Snorri a écrit : ↑sam. juil. 28, 2018 2:31 pmPour un on-shit cyberpunk, j'avais fusionné états et compagnies. Mon plus beau succès était Cuba Cola. Il y a sans doute une veine à exploiter.
Ce n'est pas très constructif, mais j'a-do-re.
Très emblématique de la dissolution des états dans les corpos.
J'aurais su je te l'aurais emprunté pour Miami.
SamuelZiterman a écrit : ↑sam. juil. 28, 2018 2:31 pmCe qui me gêne dans le jeu, c'est l'aspect très procédural d'une partie, mais ce n'est peut-être qu'un a priori et en jeu ce sera bien différent. De toute manière, c'est aussi cet aspect-là qui m'attire puisqu'il a l'air très adapté pour proposer du one shot, ou bien une campagne au long cours que l'on peut reprendre sans trop de mal toues les 2 semaines, tous les mois ? Que pensez-vous du rythme de jeu nécessaire pour profiter pleinement de
The Sprawl ? Groupe fixe ? Régularité des parties ?
Le découpage des phases de jeu peuvent donner cette impression, mais en fait, c'est ce qu'on adopte assez naturellement comme méthode, et ça n'interdit pas des expérimentations. Il ne faut pas se dire "on va passer en phase d'Action" mais... "hey, vous attaquez le complexe, on est donc en train de passer en phase d'Action". Tant qu'on dit ce qu'on fait avant de déduire ce à quoi ça correspond dans la mécanique (découpage ou manoeuvres), l'aspect procédural disparaît ou, du moins, on n'en a que les avantages (cadrage et résolution par conséquences).
J'ai joué des one-shot et des campagnes.
Le jeu fonctionne avec les deux (pour les one-shot, Khel' va publier une aide de jeu pour dynamiser la partie). Je trouve cependant qu'il révèle toute son ampleur en campagne avec un groupe plus ou moins fixe, parce qu'on approfondit à partir des éléments posés au début. Sur la campagne HK-Macao-Shenzhen, nos actions ont mené à l'éveil d'une Singularité organique, et on a dû décider comment se positionner et quoi en faire. Plus généralement, le monde s'enrichit et s'épaissit au fur et à mesure, notamment grâce aux Contacts, qui fournissent de beaux enjeux humains.
Bon, il y a aussi le fait que Gibson soit cité à toutes les pages, j'adore le
Cyberpunk mais moyennement cet auteur, opinion hautement personnelle
Hamish est über-fan. Son modèle est "New Rose Hotel", alors forcément... bon, je me plains pas, je suis fan aussi. Mais je comprends que l'écriture de Gibson puisse rebuter.
Sinon, nous allons jouer sur roll20 et je prépare déjà quelques outils pour faciliter la gestion des horloges, j'ai trouvé des .PNG très sympa pour ce faire.
Tiens nous au courant !