Ben face aux éventuelles protections d'armure de bois, os, coquillages ou cordes tressées ces armes font aussi bien leur taf que leurs homologues d'acier face à un côté de mail ou un plastron de métal.
Si tu n'as pas d'armure et arme métallique il n'y a pas de risque de bris sur un 1. Mais c'est une règle élégante de B&B pour gérer la "course Au boulet et à la cuirasse" sans surenchère : une épée tue ou mutile car c'est ça fonction. Après qu'elle soit en dents de requin ou en vibranium le résultat sans protection est le même.
Mon délire sur l'arme qui risque d'être endommagée à chaque combat violent et un état intermédiaire pour amortir un peu vient :
- de ma vision (romantique ?) de cette culture où les phases d'intimidation précède le combat et où ce dernier peut finalement être concéder sans qu'un coup soit porté.
- de ma récente visite d'un centre paléolithique avec des scientifiques enthousiastes pour partager leurs connaissances et expériences d'archéologie reconstructive. Une simple pointe de flèche demandé des heures de boulot, une hache des jours. On ne risque pas de telles ressources sans bonnes chances de réussite. Un questionnement permanent sur le gain et la perte. Que l'on n'a pas avec une arme très durable et des facilités pour la remplacer.
Après c'est une vision et donc une simple inspiration pour éventuellement nourrir ta propre vision.