
Alors, faut comprendre que c'est parti d'une discussion à la con avec monnépouze, que ça a mariné une nuit et que le lendemain j'avais quasiment 7h de bagnole pour monter et descendre de Paris, avec le collègue François (celui des Chagars), qu'on a mis à profit pour discuter, délirer et poser les bases du machin. Deux petites journées plus tard, me reste de l'écriture, certes, mais c'est quand même bien avancé

Et en plus, je ne sais même pas ce que je vais faire de la chose. C'est un gros exercice en vrai.