Le défi, c'est peut-être le portrait éclairé juste par le rougeoiement du bout du clope !

Khentar a écrit : ↑mer. juin 10, 2020 3:03 pmXaramis a écrit : ↑mer. juin 10, 2020 9:01 amCe portrait me fait un effet bizarre, probablement dû aux motifs de son couvre-chef : je perçois davantage de netteté sur un bout de la partie basse du chapeau, que sur les lunettes. De ce fait, mon regard est plutôt attiré par les motifs nets que par le "regard" ou le visage dans son ensemble.
Je suis parfaitement d'accord. Il a légèrement bougé la tête au moment du shoot et vu la faible profondeur de champs, c'est un peu plus décalé que je ne le voulais. Raison pour laquelle je l'ai mise dans la partie test. Cependant je trouve que ça donne quelque chose d'étonnant
Le IV me va un peu mieux à la main que le III et ses prédécesseurs, mais je ne me fais toujours pas à ses lignes anguleuses. Quant aux menus, ils sont réputés pour ne pas avoir été conçus par des gens qui ont à les mettre en pratique.Pour ce qui est des A7, faut effectivement se faire à l'ergonomie des boitiers. D'ailleurs le IV a une poignée bien plus agréable que le III. Par contre son tarif est hélas stratosphérique...
Khentar a écrit : ↑ven. juin 19, 2020 1:03 pm Il y a un trait vraiment commun dans ces portraits. Tu t'améliores c'est évident. Une fascination pour les musiciens noirs, @Loris ?
De mon côté, mon père photographe de 70 ans avec 52 ans de photo derrière lui - sur Pentax, Makina, Hasseblad, Leica M et Nikon - me saoulant avec le fait que l'on est pas un "vrai" photographe tant que l'on a pas réussi des clichés en argentique sans assistance (et encore il veut inclure le développement dedans), je me suis imposé un défi.
Je lui ai soutenu que lorsque je suis passé de mes Reflex Nikon (D750 et D810) au XT-3 Fuji j'avais beaucoup progressé grâce à la configuration Fuji. En effet, sur un Nikon/Canon, on est régulièrement en mode S ou A. La logique Fuji amène rapidement le photographe à se mettre en "équivalent M". Je dis équivalent car il n'y a pas de molette de mode, juste des molettes d'ISO, vitesse et ouverture (et correction d'expo) que l'on peut mettre en A si on le souhaite. Le viseur electronique donnant une idée nette de la photo à prendre à l'inverse d'un viseur optique, on se plait à tourner ses molettes pour voir le niveau d'expo / profondeur de champs que l'on va avoir. Au bout d'un an d'utilisation, on "sait" déjà ce que l'on va voir la plupart du temps dans le viseur.
Du coup je lui ai emprunté son (très) vieux Nikon F Photonik (pas son vieux F5 bien sûr car c'est déjà "tricher"), me suis acheté de la Tri-X 400NB, j'ai pris un vieux 35mm F2 et je vais aller brûler de la pelloche dans Paris. Bon, faut pas que je laisse tomber sa relique sinon je me fais déshériter !
Résultat dans un mois sans doute
K.
Khentar a écrit : ↑ven. juin 19, 2020 6:15 pm Je suis presque certain que mes premières photos seront sous/surexp mais j'ai confiance. Le plus chaud pour moi sera de tester dans les endroits ombragés. 400 ISO, c'est très peu. D'ailleurs quand je vois que le F1 peut monter la sensibilité à 6400, je ne vois pas trop comment c'est possible. Je sais que l'on peut doubler l'ISO d'une pellicule mais plus haut ?