[CR DD4] Les Valeureux du Val !

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Et voici le début du résumé de la 2° Scéance !!!


1-Un Feu dans la Nuit

Après ce long combat, nos Valeureux Aventuriers étaient, pour la plupart, passablement amochés et fortement dépourvu d’une grande partie de leur puissance de frappe quotidienne. Un long débat s’engagea alors pour savoir si il était préférable de se reposer ici et maintenant au milieu des cadavres ensanglantés, au risque d’être débusqué par d’autres brigands ou s’il fallait continuer jusqu’à la nuit tombé, au risque d’être agressé sans avoir pu récupérer…

Finalement, quitte à se prendre une branlée, il fut décidé d’avancer et de voir ce qu’il se passerait alors. L’important étant de se rapprocher promptement de Cascadonne, tout en essayant de s’éloigner de cette zone à risque.

Après 2-3 heures d’une progression rendue difficile, tant par l’état physique que par le risque d’être attaqué au plus bas de leur forme, nos héros décidèrent de s’arrêter, la nuit tombant, et de recourir aux laborieux lutins du sieur Menelwyn. Malheureusement, les lutins avaient décidés de s’unir face au patronat et refusaient obstinément d’établir le campement (1 nat’ au jet d’Arcanes…).

Lassés par cette dernière péripétie, ils s’installèrent comme ils pouvaient sur le bord de la route, oubliant presque d’établir des tours de garde… Après une âpre négociation, ils s’organisèrent en 3 binômes se relayant toutes les 3 heures.

Peu de temps après avoir pris leur tour de garde, le deuxième binôme remarqua une étrange et forte lueur vacillante visible au nord ouest.


A suivre...

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2 – Au Feu les Aventuriers

Au feu les Aventuriers,
Y a l’orphelinat qui brûle !
Au feu les Aventuriers,
Y a l’Orphelinat qui brûle !
C’est pas un sale gosse qui l’a brulée,
C’est un Vilain Kobold…*

Menelwyn et Razor, après avoir déterminé qu’il s’agissait d’un incendie plutôt important et devant se produire à plus d’une heure d’ici, s’observèrent un long moment en réfléchissant à ce qu’il convenait de faire… Razor, bien que n’ayant pas franchement réfléchi, fila un coup de sa grosse patte félidée dans l’arrière train de Russel… A moins qu’il ne s’agisse d’Hank. Déjà qu’il était pas facile de les différencier de jour et éveillé, alors de nuit et endormi…

L’impact du gros orteil poilu sur la fesse gauche musclée du féral tira Lili de son léger sommeil, toujours prompte à réagir face au danger. Thora ronflait lourdement et était bien décidée à profiter de ce long repos pour récupérer des péripéties de la journée.

Finalement, toute la troupe se réveilla en râlant de n’avoir suffisamment récupérer et s’interrogea sur l’urgence de la situation :

« Bon ! Ca brûle ! Mais qu’est-ce que tu veux qu’on y fasse ??? »
« En plus, c’est loin ! »
« Y a quoi à bouffer ? »

Après un moment de flottement et le passage bourdonnant d’une chauve-souris, nos Valeureux Héros ne s’empressèrent guère à se mettre en route… Menelwyn et Lili réveillèrent les mules et attelèrent le chariot, car il n’était point question de laisser la bière sans surveillance.

Au terme d’une petite ballade nocturne, portés par la chansonnette* du Gnome, les Aventuriers arrivèrent, enfin, sur les lieux du drame. Ils constatèrent qu’une large bâtisse était la proie des flammes et, qu’au vue de l’importance de l’incendie, qu’il n’y avait rien d’autre à faire que de recherchez d’éventuels survivants dans les alentours.


A suivre...

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3 – La Petite Jeva

Bénéficiant d’un éclairage certain de la zone grâce à l’incendie sus cité, nos aventuriers explorèrent consciencieusement le périmètre.

Lili, les oreilles en éveil dans cette semi-obscurité, perçue rapidement le bruit de sanglots étouffés provenant d’un bosquet proche. Précautionneusement, elle se dirigea vers cette source auditive.

Pendant ce temps, le reste de la troupe avait trouvé, en vrac, les éléments suivants :

- Un écriteau sur le sol, qui devait être accroché quelque part à l’entrée de la bâtisse et portant la mention suivante : « Refuge d’Elara – Orphelinat ».
- Un corps sans vie et portant de nombreuses entailles similaires à des morsures causées par de petites dents pointues. Il s’agit d’une femme de petite taille, à l’allure sévère, qui devait avoir une cinquantaine d’années.
- De multiples traces de pas de petits humanoïdes allant et venant. Après une observation attentive, nos fameux pisteurs en distinguèrent de 2 types : celles d’enfants humains âgés de 6 à 10 ans et pieds nus et celles appartenant à de petits humanoïdes portant des chausses trouées ou pas du tout et montrant des signes de griffures.

Après analyse et réflexion, ils conclurent qu’il s’agissait d’empreintes laissées par des Kobolds – de petits humanoïdes lâches et sournois, à la peau écailleuse et à la tête ressemblant au mélange de celle d’un reptile et de celle d’un chien à la mâchoire garnie de petites dents pointues - , que ces vils créatures vivaient de préférences dans des souterrains ou des cavernes, le plus souvent au fond des bois et qu’il s’alliaient souvent avec des Monstres plus gros et plus puissant (ce qui, en fait, n’est pas bien compliqué).

Au fait, mais que faisait Lili, déjà, durant tout ce temps ??? Ah oui ! Nous l’avions laissée alors qu’elle s’approchait prudemment d’un bosquet sanglotant… Arrivée à hauteur du dit bosquet, elle le contourna énergiquement, armée de sa rapière effilée, et toisa de son inquiétant regard la petite forme recroquevillée qui se dissimulait, sournoisement, derrière.

Constatant, piteusement, que la Menace Pleurnichante n’était, en fait, qu’une innocente (« t’es sûr ? Hein ! ») et fragile gamine en larmes, elle rengaina prestement sa fine lame et adopta une attitude maternelle et protectrice…

Menelwyn, surpris d’entendre un son aussi doux et attendrissant de la bouche de la larrone, se rapprocha alors rapidement – tout du moins, autant que lui permettais ses courtes pattes arquées – pour porter mains fortes à la voleuse.

Une fois rassurée (enfin, jusqu’au moment où elle aperçu le Gnome au regard torve…), la gamine se présenta comme étant une certaine Jeva, pensionnaire de Feu l’Orphelinat. Intriguée, Lili ne manqua pas de l’interroger sur le fait qu’en dehors du cadavre, pardon des cadavres (et oui, pendant ce temps là, les autres n’étaient pas restés pattes croisées et avaient fait d’autres découvertes macabres qu’ils ne manquaient pas de signaler à haute voix : « y a un cadavre ici ! » « Pis ! Un autre là ! »), d’adulte, il n’y avait traces d’aucun enfants, morts ou vifs !

Un peu secouée par la rudesse de ces paroles prononcées avec une voix si douce et avenante (comme quoi, elle n’est pas doué qu’avec ses mains mais aussi avec sa bouche, pensa un Menelwyn distrait et songeur…), Jeva expliqua, entre deux sanglots, qu’avec 5 autres gamins, elle avait fait le mur. S’en suivi une longue réprimande comme quoi c’est pas bien de faire le mur, mais que pour le coup ça avait été une bonne idée, mais qu’il ne fallait pas recommencer… Se reprenant soudainement, Lili lança un lourd et inquisiteur regard à la gamine et lui demanda d’expliquer ses motivations (le terme fut soufflé par un érudit gnome proche de la scène) ayant entrainé une telle escapade.

Jeva, après avoir réfléchi quelques minutes afin de bien comprendre la question, expliqua que tout était de la faute de Kimi, une grande qui file des baffes et qui se prend pour la chef, et qu’elle les avait entrainés à faire le mur parce que c’était marrant et qu’on allait bien rigoler. Sauf, qu’après s’être cachés derrière les fourrés pour être sûr de ne pas avoir été suivit, ils aperçurent la horde de petits monstres rouges qui attaquèrent le Pensionnat, tuant tous les adultes, capturant tous les enfants et enflammant la bâtisse une fois leur forfait accompli…

Menelwyn tortillait sa barbichette avec anxiété, faisant mine de réfléchir, quand la voleuse souleva un détail qui la surprenait :

« Comment-çà, LES ? »
« Bah oui, il y avait aussi : Mikras, Hollin, Jurin et Savram » répondit alors la petite fille.
« Et, ils sont où maintenant ? » rétorqua du tac au tac une Lili bien décidée à ne pas s’en laisser compter – ce qui fit sursauter le gnome – par une gamine de 10 ans.
« Kimi, elle a dit qu’il fallait sauver les autres et ils sont partis par là » revéla-t’elle en désignant vaguement le nord.
« Ouaip ! C’est par là qu’on l’air de mener les traces de petits pieds » annonça fièrement un des férals.


A suivre...

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4 – La Piste des Kobolds

Malgré la nuit, pas trop sombre par cette lune ascendante, nos Valeureux Héros, toujours encombrés d’un chariot chargé à bloc et tiré par deux mules poussives et, maintenant, accompagnés d’une gamine reniflante, à moins que ce ne soit le contraire, progressèrent rapidement en suivant les multiples traces laissées par des kobolds incompétents.

En pensant à la lune croissante, l’Arcaniste et les Religieux se remémorèrent de macabres détails quand aux pratiques religieuses des Kobolds qui consistaient en divers sacrifices de créatures pensantes, à la pleine lune et dans un but indéterminé…

Traces qui, d’ailleurs, les menèrent rapidement à l’orée d’un sombre bois où ils devaient maintenant s’enfoncer.

« J’te dis que çà passe pas ! »
« Mais si, il passe large ! »
« Bon ! Qu’est-ce que vous foutez ? »
« J’veux ma Môman…Sniff… »
« T’en as pas ! T’es orpheline… »
« J’te dis qu’on va péter l’essieu »
« Quoi ? »
« Bon, toi le velu à rayures, trouve-nous un bon coin pour planquer le chariot ! »
« Avec un gros arbre pour attacher les mules… »

Finalement, convaincu de ne pouvoir traverser la forêt avec le chariot et après les essais infructueux du Gnome pour porter, seul, un tonneau de bière sur son dos, la petite troupe - et une gamine en larmes - se remit en route et s’enfonça dans les sous-bois.

« Pourquoi qu’elle chiale encore celle-là ? » demanda une Lili énervée.
« Menelwyn lui a dit qu’elle avait pas de maman… » balança un des férals.
« … » ajouta le gnome en question, en se tortillant la barbichette…

Alors, héroïquement, ils progressèrent, furtivement pour Lili en tête et bruyamment pour les autres – sûrement pour couvrir la progression de l’éclaireuse -, au sein de cette nature sauvage et hostile… Soudain, la voleuse s’arrêta net, regardant avec insistance un arbre sur sa gauche :

« Qu’est-ce qu’il y a ? »
« Chut ! C’est l’arbre là… »
« Bah quoi, il a bougé ? »
« Non, non, y a 3 mini-gonzesses ailées qui sont clouées dessus ! »
« J’arrive !!! » lança alors Menelwyn.
« Alors ! C’est quoi ??? »
« Hum » fit-il en tortillant savamment sa barbichette, ce qui ne manquait pas d’énerver Lili.
« Ce sont de petites fées… »
« Et ? » s’impatienta la jeune femme.
« Une croyance de culs-terreux, je crois, comme quoi on pourrait transformer le plomb en or avec leur sang » expliqua froidement le Mage miniature.
« Et, çà marche ??? » demanda une voleuse soudainement captivée par les propos de son énervant compagnon à courtes pattes.
« Bien sûr que non !!! » coupa alors le petit arcaniste, en ricanant moqueusement.
« J’me disais aussi… Bon bin, on continu alors ! » conclua, déçue, la douce rapineuse.

Après une longue progression pas trop compliquée, seulement perturbée par le passage d’une wyverne qui ne les repéra même pas, mais là n’était pas sa préoccupation, ils arrivèrent en vue d’une large clairière où se dressait les ruines d’une espèce de massif fortin délabré.


A suivre...

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5 – Le Monastère en ruines

Entre les anciens arbres noueux, nos héros en devenir aperçurent les ruines de ce qui devait être un massif monastère. Il ne semblait plus constitué que de simples blocs de pierre polis par le passage du temps. Des pans entiers du toit d’ardoise étant tombés et des sections du mur extérieur s’étant écroulées. Les mauvaises herbes et les épineux jonchait la vaste clairière qui entourait l’édifice trapu. Au-delà, une cour en friche se tenait dans les ténèbres.

Le vieux chemin menant aux ruines disparaissait à une quinzaine de mètres du monastère. Avant d’entrer dans la cour, il passait entre 2 vieilles statues de pierre. Bien que l’une d’elle n’était guère plus que décombre et gravas, l’autre était relativement intact, quoique recouverte de mousse et de lichen.
Elle ne mesurait que 1.50m de haut et représentait un nain, vêtu d’un large tablier, levant un marteau au-dessus de sa tête.

Mais, là, n’était pas trop la préoccupation des aventuriers. En effet, ils se concentrèrent rapidement, délaissant leur soudaine passion pour l’Histoire de l’Architecture Naine, sur l’arrivée de quatre quadrupèdes – pour un total de 16 pattes !!! – aux babines retroussées et au regard acéré.

Sans avoir besoin d’un Rôdeur pour cela, ils identifièrent aisément la menace et restèrent groupé pour l’affronter avec efficacité. Les quatre – là, y a que 8 pattes – combattants, oui oui un prêtre est aussi un combattant, de la petite bande s’occupèrent frontalement des quatre – 24 pattes !!! – loups pendant que Lili opérait un subtil mouvement circulaire pour tenailler l’un d’entre-eux et que le gnome astiquait son bâton en prévision du moment où il enverrait l’arcanique purée. Concernant Jeva, et bien, tout laisse à supposer qu’elle s’était dissimulées, sanglotante, dans un fourré proche.

En quelques coups de lames bien appuyés, un loup s’écroula promptement et un autre se voyait déjà en péril. Alors que la Famille Claw au grand complet entamait, avec l’appui sournois de la voleuse, un loup esseulé, Thora assurait, seule, de son côté face à un loup et demi, mais vu qu’elle compte pour un et demi aussi… Menelwyn, fin prêt, balança quelques pouvoirs arcaniques pour faire bonne figure, ce qui, cumulé au reste, termina d’achever la lupine résistance.

Après le massacre, nos Valeureux du Val s’engagèrent sur ce qui restait du chemin menant à l’entrée du Monastère. Chemin faisant, ils firent une pause pour examiner les statues et découvrirent une inscription naine : « Gloire à … ». Fort de cette information cruciale, ils jugèrent préférable de délaisser l’entrée principale (« C’est ouvert ! Ca pue le piège ! ») et de passer par un des murs écroulés (« c’est ouvert aussi, mais c’est pas fait exprès… »).

Au-delà du mur écroulé s’ouvrait une vaste cour gagnée par quelques hautes herbes éparses et de nombreux débris de maçonnerie. 3 issues dont 2 ouvertes s’offrait au regard nocturne des Férals et du Gnome alors que l’Humaine et la Montagnarde attendaient qu’on leur désigne quelque chose. Ceux qui y voyaient quelque chose virent une forme humanoïde avachie contre le puits et décidèrent d’y envoyer Lili (« C’est p’tet piégé ? ») en reconnaissance.

L’Héroïque Larrone ne se fit pas prier et, tâtonnante, elle se glissa dans l’obscurité jusqu’à son objectif. Thora, n’y voyant pas grand-chose non plus, décida de la suivre à quelques pas pour la couvrir en cas de mauvaise rencontre. Pendant ce temps là, les noctambules velus et le barbu décidèrent d’entreprendre la plus proche porte ouverte (« Oui, mais celle-là c’est pas pareil, elle est à l’intérieur »).

Lili détermina que la forme recroquevillée contre le puits devait être un défunt confrère et décida de récupérer ses affaires pour venger sa mémoire. Thora, n’écoutant que sa témérité, dépassa la scène et s’avança droit sur la double porte. Se retrouvant isolée en pointe, maintenant que la voleuse était retournée se frotter à la douce fourrure de Razor, elle marqua un moment d’hésitation avant de se décider à retourner auprès des autres plutôt que de ne pas voir ce qui se trouvait dans l’obscurité derrière les portes doubles.

En file indienne, menés par un des prêtres jumeaux, la petite troupe entama l’exploration des ruines du monastère avant d’être traitreusement agressé par un petit carreau d’arbalète appartenant à un kobold en embuscade dans le coude sournois du couloir délabré.


A suivre...

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6 – Un Combat désordonné

Pour contrer cette soudaine menace, la troupe se divisa en 2 groupes de 3 : Hank, Thora et Lili, toujours en file, fonçant droit sur le coude à la poursuite du perfide arbalétrier écailleux tandis que les 3 autres, menés par Menelwyn, sortaient par là où ils étaient entrés pour contourner l’ennemi…

Par contre, ce qui n’était pas prévu, c’est que le macchabé du puits venait de se faire un nouveau copain, vivant celui-là ! En effet, un archer hobgobelin, ô combien plus compétent que le kobold, attendait tranquillement, à couvert derrière le vieux puits, qu’une cible pointe le bout de son (gros) nez. Tchak ! L’Arcaniste rabougri se mangea une belle flèche dans le tarin (20 nat’), y laissant une grande part de sa vitalité et saignant abondamment de cette profonde blessure, comme pour marquer son état. Ni une, ni deux, il se planqua du mieux qu’il pouvait et laissa les deux férals l’accompagnant s’occuper du problème. Surtout qu’il était bien calmé après s’être mangé une deuxième flèche du jumeau du hobgobelin planqué dans ce qui restait de l’écurie. Quand on n’a pas d’armure, on passe pas devant !

Pendant que les 3 autres étaient tenu en échec par un kobold solitaire dans ce foutu couloir trop étroit, Russel et Razor s’étaient engagés au milieu de la cour pour affronter les deux archers et couvrir la retraite sanguinolente du gnome jusqu’à la porte (« J’ai mal ! J’ai MAL !!! »). Dilapidant une mineure action, les 2 frères dégainèrent leurs épées pour aller trancher les gros matous.

Galvanisé par les gémissements du Mago, Hank se sorti la masse d’armes des naseaux et assèna un violent coup contondant (20 nat’) au kobold qui n’en demandait pas tant. Bien que secoué, le reptilien rikiki décida de dégager de là dar-dar et de rejoindre les 2 grands moches qu’étaient tout pareil ! Du coup, le couloir fut bel et bien dégagé, permettant à ses 3 explorateurs de progresser enfin.

Dans la cour, les férals n’étaient pas restés les bras croisés et un des affreux pissait déjà le sang (« Bien fait ! » gémit un gnome…).



A SUIVRE...

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7 – Les Renforts arrivent !

Lili décida que Thora et Hank se débrouilleraient très bien sans elle et retourna, tâtonnante, sur ses pas, guidée par les râles de Menelwyn. Ce dernier, constatant que le soigneur se trouvait à 6m de lui, décida d’effectuer une audacieuse sortie… La mauvaise idée, il fut cueilli, à peine arrivé, par un ENORME loup à la grise fourrure. Un autre loup, bien plus modeste, était également venu renforcer un des deux archers, ce qui mit en péril la santé de Razor, maintenant acculé contre le puits.

La montagnarde s’apprêtait à effectuer une violente sortie en passant par la double porte qu’elle avait précédemment approchée, mais dans l’autre sens. Elle ignorait tout du danger qui l’attendait tapi dans l’ombre des restes de l’écurie, l’arbalète prête à faire feu. La confortant sur sa décision, Hank fermait tranquillement la marche.

Dame Galène fonça droit devant elle, ignorant le ridicule carreau d’arbalète qui lui passa sous le nez, et percuta de la lourde lame le hobgobelin déjà salement amoché. La violence du choc (20 nat’) l’envoya mordre définitivement la poussière dans une gerbe de sang. Lili avait profitée de la diversion pour flanquer le loup qui déchiquetait la belle fourrure dorée de Razor. Hank, soudain concerné, fonçà, masse en avant, sur le perfide sniper qui en perdit son arbalète avant de se recroqueviller au fond de l’écurie, derrière un squelette de poney. Bon gré, mal gré, l’arcaniste résistait toujours aux morsures du gros loup gris.

Gurtlekep dégaina une flamboyante épée courte qui projeta un jet enflammé… à trois mètres du féral ! Ce dernier, flairant le roussi, l’engagea immédiatement au corps-à-corps et fût rejoint par une Thora attirée par ce spectacle pyrotechnique. Lili venait elle-même de se faire flanquer, un comble pour une voleuse, un loup s’acharnait toujours sur Razor qui se vidait de son sang, Menelwyn encaissait toujours les crocs de Grise-Fourrure et un jumeau énervé par la mort de son frère alla coller une violente branlée à un velu religieux qui s’en trouva fort mal à l’aise. On notera toutefois que Thora n’avait pas fait le déplacement pour rien, vu qu’elle mit fin à la carrière de l’incendiaire maladroit.

Le combat se prolongea de longues et douloureuses secondes, surtout pour le gnome – malgré les soins prodigués, à un moment ou un autre, par le prêtre – ensanglanté, le sang coulait à flot et tout n’était plus qu’une indescriptible mêlée. Hank mordit la poussière, alors qu’il était venu dégager Menelwyn, soutenu par Thora et Russel. Razor, adossé au puits lapait ses blessures, tentant vainement de récupérer le sang qui s’en échappait. Lili s’acharnait sur le dernier des hobgobelins, couvrant par la même son compagnon poilu.

Dans un sursaut, voyant son frère la truffe dans la poussière, Razor fonça sur le gros loup, soutenu par Russel et très certainement appuyé par quelques sortilèges du Mago aux courtes pattes arquées. Grise-Fourrure passa alors de vie à trépas, offrant enfin un espoir de victoire à nos vaillants et sanglants héros. Thora chargea les deux loups restant, alors que la rapineuse venait d’en finir avec le grand gobelinoïde.

En terminer avec les derniers loups ne fut plus qu’une formalité promptement exécutée.


A suivre...

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8 – Promenons-nous dans les ruines

Après une courte récupération (« Reprends ton Souffle, j’te dis ! », « j’peux pas, j’ai pu de Souffle.. »), nos Vindicatifs Héros reprirent l’exploration des lieux, délaissant la tour quasi-intacte qui, par endroit, laissait voir de nombreuses et bien trop grandes toiles d’araignées (« Ca sent le pâté à 8 pattes cette histoire », « on se casse ! »), et s’enfoncèrent dans les ténèbres ajourées du Monastère en Ruines…

Organisés, ils s’intéressèrent en premier à une grande pièce dont les doubles portes étaient enfoncées et cassées. Grâce à l’une d’entre-elles qui gisait inanimée (ce qui, ma foi est fort logique pour une porte…) sur le sol, la voleuse pu jeter un rapide coup d’œil et, profitant de la lumineuse présence du soleil levant, dardant ses rayons au travers du mur opposé et éboulé (« je vois, je vois !!! »), distingua ce qui devait être une bibliothèque dans les restes effondrés de cette vaste salle qui laissait également voir une large et inquiétante flaque d’eau stagnante (« hum, tout cela est bien trouble » conclua-t’elle). Menelwyn, disposé à compléter sa collection d’estampes ér… pardon… d’ouvrages arcaniques, hasarda un œil inquisiteur dans la pièce. Son gros pif, percevant de fortes et humides effluves à base de sournois champignons, décréta qu’il ne fallait point risquer une chausse dans la pièce et fit apparaitre une Main Fantomatique pour aller chercher un recueil, le seul encore intact, qu’il avait repérer (« Doit être magique ce truc, il est pas tout pourri ! »). Il s’empara prétentieusement de l’ouvrage et en découvrit le titre : « Hymne à Torrag », un bouquin, genre bible, sur un dieu nain inconnu et oublié qui devait avoir, malgré tout, une certaine valeur pour cette communauté.

Ensuite, guidée par Razor, la troupe s’approcha de l’autre double porte menant à la salle jouxtant la bibliothèque toute moisie. A l’intérieur de cette grande pièce, ils distinguèrent des bancs d’ébénites renversés et couverts de poussières menant à un autel de cérémonie en forme de large enclume de granite et portant de nombreuses souillures. Les Prêtres l’analysèrent comme étant un autel autrefois dédié à Torag (corrigeant par la même l’erreur du gnome) et qui avait été profané. Flairant quelques objets magiques égarés (« T’es sûr que t’as rien senti avec ton gros pif ? », « Mais non, j’suis sûr qu’à part un piège à cons, y a rien là-dedans ! », « OK, j’y vais ! »). Sans tarder, Razor se dirigea d’un pas sûr jusqu’à l’autel, les autres lui emboîtant le pas, un gnome trainant à l’arrière (« Mais ! J’vous dis qu’y a rien !!! »). Confirmant les dires de l’arcaniste, un couple de fantômes surgit d’on ne sait où et décida de s’occuper des importuns. Après quelques coups pour faire bonne figure, nos héros se replièrent promptement derrière les portes, laissant un Gardien au pelage seyant s’acharner, seul, dans l’exploration de cette pièce. Le péril menaçant le musculeux féral, ses compagnons et néanmoins amis, décidèrent de lui prêter main forte dans cette épreuve. Cette initiative fût accueillie par un troisième fantôme de petite taille mais au large drap blanchâtre et poussiéreux. Mais, nos trois Caspers à barbes n’étaient pas de taille face à de si motivés aventuriers (« Ils ont 2 prêtres ! On est foutu ! » murmurèrent, dans leurs barbes, les fantômes) qui prirent même le temps de soigner Razor entre deux assauts sur les esprits vengeurs qui allaient bientôt être enfin libérés du monde matériel. Malgré le résultat, la victoire avait coûté cher au Valeureux du Val, dont trois des leurs gisaient, salement amôchés, sur les dalles ébréchées avant l’issue de la Rencontre. Deux des mourants étant les deux soigneurs de la bande… (« Bon ! Qui a une potion de soins ??? », « Moi, moi !! »).

La potion de soin qui attendait sagement l’occasion de pouvoir enfin servir au fond d’un des sacs fut rapidement administrée à un des religieux qui, à peine sur ses deux pattes griffues s’empressa de soigner son confrère et néanmoins frère jumeau avant de porter secours à une montagnarde entaillée…

Continuant, après une courte pause, inutile pour la plupart d’entre-eux (« on est à bout de Souffle !!! »), leur exploration, ils découvrirent la puante tanière des loups et un escalier s’enfonçant dans d’inquiétantes ténèbres.

-Bon, on se repli dans les quartiers des humanoïdes qu’on a butté dans la cour pour récupérer et on verra ce qu’il y a au-delà de ces foutues marches la nuit prochaine…

-OK Lili, on va faire çà, en plus on a plus de soins et plus rien pour assurer !


Fin de la Deuxième Séance.

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Préparatifs du 3° Scénar prêt !!!!

Ce soir, c'est le début de "La Couronne du Roi Kobold", remasterisé en DD4...

Figurines et Counters prêt !

Détail des Rencontres prêt !

Feuilles Tactiques de Rencontres, aussi !!!

J'ai hâte

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Grosse, grosse partie hier soir et cette nuit (21h-3h30 ), du pur dungeon crawling, 5 rencontres rondements menées et pas un seul temps mort !!! Vraiment, DD4, çà le fait

Bon, le détail et le résumé dès que j'aurais trié les photos, les notes et les retours des Joueurs (un grand à eux, ils ont asssurés !!!).

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Pour commencer, le Plan du prochain CR de la 3° Séance :

1 – La Chambre des Monuments
2 – Choppez-les tous !
3 – Le Creuset des Offrandes
4 - Un Nain Fantôme dans un couloir
5 – Des Lézards survoltés !
6 – Un Piège à la C..
7 – L’Octogone Maudit
8 – Un Familier Maboul

Faut bien commencer par quelque chose...

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1 – La Chambre des Monuments

Après une dernière fouille appliquée des ruines nettoyées de toutes hostilités, nos Valeureux Aventuriers du Val de Nentir se décidèrent, en ce milieu d’après-midi précédant la pleine lune à venir, à explorer les obscurs tréfonds du monastère abandonné.

Lili, discrète et alerte, descendit prudemment les escaliers et constata, au bout de quelques volées de marches, que dans l’obscurité totale qui se profilait, elle n’y verrait rien. Malgré ce handicap, son ouïe fine détecta le bruit étrange d’un raclement et les voix nasillardes et haut-perchées de petites créatures. Elle remonta, informa ses compagnons et attendit qu’un des noctambules se décident à descendre.

Menelwin, taquin et blagueur, s’avança dans le sombre escalier et balança un sort de lumière qui aveugla temporairement les petites créatures, permettant à la bande d’explorateurs de bénéficier d’une certaine surprise au début de cette rencontre.

Les escaliers donnaient sur une large pièce rectangulaire aux murs couverts de gravures complexes représentant des nains laborieux travaillant à la mine ou à la forge. Au centre, la moitié inférieure d’un obélisque d’obsidienne brisée se dressait tant bien que mal alors que deux petites créatures reptiliennes en trainaient piteusement un morceau.

Décidemment motivé, le gnome balança un second sort bleuté aux effets dévastateurs sur nombre de kobolds qui n’en demandaient pas tant. Lili profitant de la confusion générale, se hâta d’engager un des plus proches ennemis écailleux. Razor et sa lourde lame lui emboitant le pas. Thora s’engagea, seule, sur l’autre aile tandis que les deux jumeaux réfléchissaient derrière la voleuse et le gardien. Menelwin toujours en retrait, se préparant à distiller quelques sortilèges vindicatifs et/ou incapacitants.

Rapidement, tout alla fort mal pour les ridicules petites créatures. Hank, pour faire bonne mesure, se lança également dans la mêlée, alors que Razor débordait les kobolds sur la droite et que Lili s’en allait renforcer une Thora isolée.

Voyant la fin proche, un des kobolds pris la poudre d’escampette, rapidement imité par deux de ses congénères…


A suivre...

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2 – Choppez-les tous !

Toujours sur le qui-vive, Lili poursuivie sans délai deux des fuyards en criant à ses compagnons :

- Faut pas qu’ils se barrent ! Choppez l’autre !!!
- Ok ! J’y vais ! l’informa une rugueuse montagnarde.

Solitaire comme à son habitude, la barbare rattrapa un des fuyards dans une salle éclairée par une vaste fosse circulaire émettant une forte lumière rougeâtre et une chaleur poisseuse. Dans la foulée de sa course, elle balança une violente attaque à la petite bestiole (20 nat’) qui entama fortement son capital vital.

Pendant ce temps, un shuriken éffilé avait mit un terme à l’existence d’un coureur écailleux alors que son compère était rattrapé par un prêtre des runes en pleine bourre. Sortant de sa médiation, le prêtre décida qu’il était temps d’imiter son double runique et se porta à la hauteur du kobold fuyard pour lui prêcher la bonne parole de son culte à coup de masse (20 nat’). Peu flatté par l’intérêt qu’on lui portait, lui une si insignifiante créature, le kobold sanguinolent décida de fuir encore plus vite.


A suivre...

[nonolimitus]

3 – Le Creuset des Offrandes

Le bruit du combat ou l’odeur du sang avait attiré une créature reptilienne et poulpique qui attaqua, sans délai, une Thora comme toujours isolée.

- Bordel ! C’est quoi cette saloperie ??? s’exclama la barbare.

Razor, après un sursaut, se décida à rejoindre sa martiale camarade pour voir de quoi il en retournait. Bien lui en pris, vu qu’à peine sur les lieux, malgré l’étonnement face à une si difforme créature, il lui infligea un violent tranchant (20 nat’) qui secoua franchement l’horreur tentaculaire et serpentine.

Pendant ce temps, Lili et Hank avaient rattrapés le dernier des fuyards dans le couloir et s’empressèrent de le faire passer de vie à trépas. Un gnome nonchalant, suivait tranquillement derrière tout en distillant quelques sortilèges lumineux pour éclairer ses compagnons.

Le grick, malgré les profondes entailles qui laissaient s’échapper sa vitalité, résistait toujours et, seule, l’arrivée sournoise d’une Lili passablement énervée apporta la victoire.

Après s’être regroupé en ces lieux, nos vaillants s’approchèrent de la fosse pleine de scories en fusion et de sang bouillonnant.

- C’est pas commun comme éclairage, nota le gnome.
- Ouais, bon on y va, conclua l’humaine.


A suivre...

[nonolimitus]

4 - Un Nain Fantôme dans un couloir

Faut dire que la Lili, pragmatique, savait que le groupe disposait d’un timing serré pour accomplir sa mission et que, donc, il n’y avait pas de temps à perdre avec quelques curiosités locales et autres bizarreries théologiques à la noix !

Donc, escorté de Razor, elle pris la tête du détachement pour la poursuite de l’exploration… Menelwin, à l’arrière, s’occupait de l’éclairage sous le couvert de Thora. Les deux prêtres jumeaux devisant au centre du dispositif.

- Bon, les Filles, on va prendre ce couloir…
- Ok Lili, c’est toi qu’es devant !
- Mais de qui elle parle ?
- Moi aussi, j’suis devant !
- Ouais, mais nous derrière on la suit…
- Taisez-vous, j’vois une porte !
- ???

Effectivement, malgré l’obscurité angoissante de ce couloir souterrain, la voleuse distingua une porte à double battant à la limite magiquement éclairée de son champ de vision, au-delà du croisement s’ouvrant sur un autre couloir où, au passage, Russel distingua clairement une forme naine flottante en armure de plaque complète et armé d’une brillante hache d’armes qui s’avançait vers eux en faisant grésiller les murs, le sol et le plafond sur son passage.

- Hey ! Les Mecs ! C’est quoi cette saloperie ?
- Vas-y le nabot, éclair !!!
- Voilà, voilà, j’allume…
- Mais non, j’avais dit éclair pas éclaire.
- ???
- Comme une Boule de Feu, mais électrique…
- Ouais, mais Boule de Feu, j’peux pas, j’suis pas suffisamment qualifié.
- Qu’est-ce qu’on fait ?

Après un court moment d’hésitation, nos héros décidèrent de se regrouper dans la salle du pilier cassé pour planifier une tactique. Il fut décidé de séparer l’équipe en deux groupe de trois : Razor, Hank et Menelwyn retournant au croisement et Lili, Thora et Russel contournant pour arriver par derrière.

Une fois au croisement, Razor alla au contact pour immobiliser la créature et permettre à ses compagnons de mettre en place la complexe tactique précédemment établie. Avant d’avoir porté le moindre coût sur l’étrange armure flottante, il fut comme absorbé dans une espèce de gelée corrosive qui l’immobilisa complètement. Lili, prête à sneaker l’armure, s’arrêta nette en voyant la scène.

- M…. ! Un Cube Gélatineux !
- Comment tu sais çà toi ?
- Euh…

Thora, elle, n’hésita guère et s’empressa de foncer au contact pour aider son martial comparse. Le Cube en fut fort aise et l’absorba à son tour pour la rapprocher du musculeux félidé. Devant ce spectacle, les jumeaux attaquèrent la cubique monstruosité alors que Menelwin réfléchissait à un sort avec distinction de cible… Lili rongeait son frein en se demandant comment flanquer un cube ?

Voyant Russel qui pissait le sang (hum… Mais comment est-ce possible avec une attaque de gelée acide ???), elle l’attira en arrière et pris sa place, d’où elle pouvait distinctement voir ses 2 compagnons emprisonnés se flétrir à mesure que les secondes s’écoulaient. L’acidité de l’étrangeté translucide entama largement son capital vital et la situation devenait critique pour tous, excepté Menelwin qui tergiversait au loin, jusqu’au moment où il déchaina (20nat’) son arcanique puissance sur le blob à angle droit.

Après de longues secondes de lutte acharnée, le cube explosa enfin en une multitude de gerbes immondes et gluantes de gelée acidifiée, libérant ses prisonniers et les objets magiques qu’il contenait. Après gnomique analyse, il fut déterminé que la hache était magique et se nommait Brillehache et que l’armure était faite de Mithral (Mithril c’est interdit, c’est copyright Tolkien et Peter Jackson…).

- Bon, aller, faut pas trainer !


A suivre...