[CR] Adventure! 1940 (et au delà ?)

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Merlock
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Re: [CR] Adventure! 1940 (et au delà ?)

Message par Merlock »

Putain, mais c’est quoi ces types ????

Les PJs arrivent au point de rendez-vous : une rue sise le long du Cher et nommée Rue Rochepinard, ça ne s’invente pas !

Lecreux est là comme prévu, avec une superbe Citroën Traction. On s’échange les dernières consignes, surtout, surtout ! un point important. Au cours de l’entretien du matin avec les PJs, Lecreux a TRES fortement laissé entendre qu’il y avait des "moyens" mis en œuvre par leurs ennemis. Il leur tend pour leurs pistolets automatiques un chargeur contenant des balles "spéciales". Luchiani comprend : encore des putains de balles à signes fractaux gravés dessus. Le même genre que ceux utilisés par Montfort et ses barbouzes dans le château de Vouveyrant ! Ça promet !

Les regarde pas trop, petit, ça file mal au crâne...

Mais d’où sortent tous ces types ? C’est quoi ces balles ? On roule pour qui au juste ?

Toutes ces questions sont interrompues par l’arrivée de deux types en gabardine et chapeau mou.

Ils arrivent à pied, d’une démarche mécanique et saccadée. Ils s’approchent, et dans la clarté finissante de ce crépuscule de juin on distingue deux hommes au visage blême, aux yeux injectés de sangs, semblant pris de tremblement convulsifs, la bave aux lèvres et de leur gorge s’élève un feulement guttural...

Ok-kay... !

Comme un seul homme, Reinhardt, Luchiani et Lecreux sautent dans la Traction, Lecreux au volant démarre en trombe !

Les deux hommes suivent au pas de course !

Le compteur indique 60 km/h

Les poursuivants suivent !

Le compteur indique 70 km/h

Les poursuivants suivent encore !!

Le compteur indique 80 km/h

Les poursuivants suivent toujours !!!

Impossible de leur tirer dessus, les poursuivants maintiennent une distance juste assez suffisante pour rendre aléatoire un tir à l’arme de poing, surtout en de pareilles conditions…

Reinhardt leur balance une grenade par la fenêtre, un lancer parfait qui atterri juste dans les jambes d’un des hommes.

La grenade fait long feu !

On est à mi-chemin du château de Cangé, il faut se décider. On décide de faire face. Lecreux arrête la voiture et tous les trois en giclent littéralement, arme à balles "spéciales" au poing !

Leurs poursuivants arrivent. A vingt mètres de là, d’un bond prodigieux ils atterrissent littéralement sur les PJs et Lecreux.

Les PJs et Lecreux tirent, les balles percutent leurs cibles en produisant un bref éclair verdâtre, mais ces monstres semblent impassibles sous les tirs ! La puissance de leurs poings semble valoir l’impact d’un train express et Luchiani est en grande difficulté !! Il faut plus de trois ou quatre balles spéciales chacun pour les finir...

Haletants et redoutant que d’autres monstres du même acabit soient en route, les PJs et Lecreux remontent dans la voiture. Lecreux est pris de tremblements convulsifs et semble au bord de la catatonie. Luchiani prend le volant.

‘faut vraiment tout faire soi-même !

Moins de 5 minutes plus tard, la voiture arrive devant la grille massive du Château de Cangé.


(A suivre)
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Re: [CR] Adventure! 1940 (et au delà ?)

Message par Merlock »

Khentar a écrit :Il faut rendre à Reinhardt ce qui lui appartient : C'est lui qui a vu les types.

Luchiani, lui, était tout à ses emplettes pour se faire beau pour ce soir, tout content d'avoir pu en démontrer à l'inspecteur avec ses ordres de missions.

K.
Corrigé, merci! ;)
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Marchiavel
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Re: [CR] Adventure! 1940 (et au delà ?)

Message par Marchiavel »

Houlà ! J'ai bien fait d'avoir un accident de la route : c'était moins dangereux ! ;)
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Re: [CR] Adventure! 1940 (et au delà ?)

Message par pelon »

j'aime beaucoup cette ambiance, à se demander si les absents ont vraiment toujours tort
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Merlock
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Re: [CR] Adventure! 1940 (et au delà ?)

Message par Merlock »

Marchiavel a écrit :Houlà ! J'ai bien fait d'avoir un accident de la route : c'était moins dangereux ! ;)
Ah ça! Les touristes allemands conduisent comme des cons! :runaway
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Re: [CR] Adventure! 1940 (et au delà ?)

Message par Khentar »

Là encore, dans cette bagarre, il faut voir que Luchiani demande à s'arrêter car on ne va pas ramener ces créatures au château et se dit que son métèque devrait etre à même de gérer.

On descend donc, on approche. A 30m on ouvre le feu. Je claque un point de volonté + un point d'inspiration pour doubler mon score. Je passe à 8D10 + 1 succès. je fais 7 succès sur les 8D10 !!!! Soit 8 Succès.

Merlock dit : "Malgré ton tir impressionnant, tu le rates. D'ailleurs, il en profite pour faire un immense bond vers toi, il sera là au round prochain. Fais moi un extraordinaire jet d'initiative, t'as peu de chance de le réussir, il devrait commencer à te bouffer avant que tu puisses retirer."

Ca pose son ambiance.

Pendant ce temps, Reindhart a réussi à négocier le sien, aidé par Lecreux.

J'ai esquivé les attaques et les deux combattants ont crevés le mien ensuite.

Ca tient au miracles et aux points d'inspirations et volonté claqués qu'on s'en soient sortis. Merlock a ensuite dit en apparté qu'ils étaient prévus pour un groupe plus complet. A sa place, je les aurais nerfés un peu. Enfin, on a survécu sans gros dégâts donc ça allait.

C'est la suite qui nous a fait nous poser des questions, d'autant qu'on était très short en ressources (volonté et inspiration) et que l'on allait devoir négocier l'entrée et l'arrestation.

On imaginait bien dans la cave du château encore quelques unes de ces saloperies-ci...

K.
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Re: [CR] Adventure! 1940 (et au delà ?)

Message par Merlock »

Ils étaient costauds, c'est vrai. Et je les ai joués tel que je les avais créés. Normalement, des Inspirés tels que vous s'en tirent... normalement.

Ce devait être un Putain de Challenge, vous Pouviez échouer: genre vous retrouver démolis et forcé de fuir à la nage en suivant le courant et échouer à demi noyés sur un bras du Cher... et lire des nouvelles navrantes dans le journal... Les types que vous aviez en face de vous et qui vous ont envoyé ces monstres voulaient FRANCHEMENT votre peau.

Par contre, même si je suis disposé à sérieusement amocher des PJs, je ne le tue jamais arbitrairement ou au cours d'un "simple" combat, aussi crucial soit-il... A Adventure! on meurt héroïquement et en apothéose ou pas du tout...
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Re: [CR] Adventure! 1940 (et au delà ?)

Message par Merlock »

Château de Cangé 12 juin 1940, 20h45.

Les PJs sont arrêtés devant la grille massive du Château de Cangé. De l’autre côté c’est un véritable déploiement de force à base de gendarmes mobiles, gardes républicains en tenue de combat et des soldats de l’armée de terre guère moins équipés.

Un Brigadier les interroge, il a tendu les coups de feu et les PJs dans l’atmosphère confinée de la voiture sentent encore la poudre. "C'est vous qui avez tiré ?" demande-t-il.

Face à l’évidence, Luchiani est bien obligé d’admettre que oui. Il parvient à inventer une histoire assez crédible d’agression sur la route, ce qui est la stricte vérité, qu’il attribue à une "cinquième colonne" quant à elle tout à fait imaginaire...

Le moins que l’on puisse dire c’est que le Pandore n’est guère convaincu, et c’est à peine s’il se détend au vu du prétendu "Ordre de mission" qu’exhibe Luchiani. L’état de Lecreux ne s’améliore pas, il reste figé, le regard dans le vide et agit comme un somnambule...

Quant au paquet qui contient la bouteille de vin Grand-Cru-Très-Cher il est emporté pour examen, tandis que le Brigadier n’en finit pas de passer mains coups de téléphones depuis le poste de garde.

Un véhicule bourré de gendarmes mobiles est envoyé "vérifier et rendre compte" sur le lieu de l’embuscade.

Finalement on laisse passer les PJs (et un Lecreux léthargique), et on leur restitue le paquet qui contient la bouteille de vin Grand-Cru-Très-Cher, mal refermé comme il se doit après une fouille en règle. Mais la bouteille n’a pas été ouverte, preuve qu’en France on respecte encore certaines valeurs...

On fait signe aux PJs d’entrer et d’installer leur voiture devant le château, à côté des limousines officielles. En descendant, les PJs constatent que Lecreux a définitivement disjoncté, catatonique, les muscles raidis il ne réagit plus, autant le laisser dans la voiture pour le moment, on le couche sur la banquette pour éviter qu’on le remarque...

Et on y va.

Il est 21h30.

Les PJs entrent dans le château. L’intérieur est… Renaissance avec un double escalier monumental qui mène au premier étage et à la salle du Conseil des ministres. Les tout est surveillé par des gardes républicains, pas tibulaires mais presque, postés un peu partout.

Luchiani, qui révèle encore une fois toute l’étendue de ses talents sociaux, avise un vieux Maître de cérémonie sans doute évacué avec le gouvernement, au complet avec son collier-chaîne en or. Après un savant baratin sur le fait de devoir livrer un colis au Maréchal, le vieux (qui sucre un peu les fraises) lui indique le chemin et confirme aux gardes républicains que les PJs peuvent passer.

Les PJs arrivent au Premier, remontent un couloir à droite, prennent une porte à droite et se retrouvent dans une sombre antichambre.

De l’autre côté, des voix s’élèvent, graves...


Il est 22h.


Maréchal nous voilà !*

*Désolé, pas pu m’empêcher.

Le Conseil des Ministres vient de s’ouvrir dans une ambiance électrique, d'où ils sont les PJs entendent tout, une petite ouverture dans le mur décrépit leur permet même d'apercevoir les silhouettes des protagonistes : Pétain, bien sûr, mais aussi Albert Lebrun (Président de la république), Paul Reynaud (Président du Conseil et Ministre de la Guerre), George Mandel (Ministre de l'Intérieur) et une grande perche dégingandée en tenue de général de brigade de l'Armée de Terre... et d’autres ministre et secrétaires d’état plus anonymes.

Après les comptes rendus d’usage sur la calamiteuse situation militaire, Pétain demande la parole et lit une longue déclaration. Il critique d’abord les conditions de la déclaration de guerre (pénurie de matériel, faiblesse de l’aviation française) puis attaque avec violence les jusqu’au-boutistes, en particulier le général de brigade susmentionné, avant de réclamer un armistice :

"La folie ambitieuse de quelques arrivistes, profitant de l’affaiblissement du pouvoir politique, a obtenu de ce dernier une décision inconsidérée et malavisée : le départ du général Weygand, chef de grand talent, soldat exemplaire, dont le retour immédiat est une nécessité absolue. Ces inconscients ont ainsi détourné le gouvernement de l’urgence actuelle : demander au plus tôt aux autorités allemandes un armistice dans l’honneur. En effet, c’est le cœur serré que je vous l’affirme, mais il serait pire de se leurrer : la France a perdu cette guerre et il faut cesser le combat. Seule la cessation des hostilités pourrait sauver de l’invasion une partie importante du territoire national et maintenir l’ordre et la cohésion dans les troupes décimées et harassées. Il est clair aujourd’hui que la poursuite du conflit serait fatale au pays."

Une telle déclaration déclenche immédiatement une discussion à base de grande déclaration sur l’Honneur et le Patriotisme, d’arguties juridiques mesquins, de sous-entendus politicards et d’attaques personnelles, de mise en demeure de choisir entre "être une province de l'Allemagne ou de l'Angleterre" (ambiance !), le tout ponctué des inévitables "Vive la France !" même si on se demande bien de quelle "France" parlent les uns et les autres.... Le ton monte rapidement et haut !

Finalement, Albert Lebrun parvient à rétablir un semblant de calme, ce qui permet à Camille Chautemps (Vice-président du Conseil et visiblement pro-armistice) de tenter de finasser : "Dans la situation actuelle, il conviendrait néanmoins de s’enquérir auprès de l’ennemi des conditions d’un armistice, quitte à le rejeter si ses conditions étaient inacceptables."

Pétain bondit sur l’occasion : "Nous venons enfin d’entendre une parole de sagesse, mais je ne puis oublier l’insulte faite à ma personne. J’exige des excuses publiques et la démission ou la destitution de l’insulteur. De plus, encore une fois, c’est folie que de priver le pays du général Weygand. Il faut le rappeler sur l’heure."

- "Qu’il s’agisse du renvoi d’un membre du gouvernement ou de la nomination du chef d’état-major, de telles décisions n’appartiennent qu’à moi, réplique Reynaud. Monsieur le Maréchal, le gouvernement accepte votre démission de vos fonctions ministérielles. "

Alors Pétain : "C’est ridicule ! Vous et vos amis êtes disqualifiés pour conduire le pays. Seul un soldat tel que moi peut encore empêcher un désastre total et obtenir de l’ennemi une paix dans l’honneur. Je suis prêt à faire don de ma personne à la France pour mener ces négociations, puis pour relever notre malheureux pays. Je me propose, Monsieur le Président [il se tourne vers Lebrun], avec votre autorisation, de me mettre à la tâche dès demain."

Là, le gouvernement hésite, on voit les résolutions chanceler, Mandel, Reynaud et le général de brigade susmentionné se consultent du regard visiblement déstabilisés. C’est l’instant décisif, le point de rupture… c’est la seconde précise où Luchiani bondit dans la pièce ordre d’arrestation au poing, Reinhardt sur ses talons !

L’expérience professionnelle aidant, Luchiani lui récite par cœur la formule "Au nom de la loi vous êtes en état d'arrestation". Et lui passe les menottes avec un incontestable savoir-faire... Des années d’entraînement !

Dans la salle du conseil, c’est la consternation, certains se précipitent vers Pétain, mais l’action n’étant pas leur fort c’est messieurs se heurtent à l’impassible présence de Reinhardt, non qu’il soit physiquement imposant, mais il a une lueur dans le regard qui dissuade assez vite...

Heureusement, c'est Georges Mandel qui se ressaisit le premier: Avant que quiconque ait pu réagir, il se dresse : "Monsieur Pétain (il ignore sciemment le "Maréchal") ce discours relève de la haute trahison ! Monsieur le Président du Conseil, il faut agir. Le destin du pays, le destin de la France est entre vos mains ! " Lentement, Reynaud se lève à son tour : "Ce que nous venons d’entendre de votre bouche, Monsieur Pétain, ne peut être qualifié autrement que de haute trahison. Vous en rendrez raison sur le champ." Se tournant vers les PJs : "Messieurs, emmenez-le"

C’est un vieillard affolé qui est emmené, balbutiant "Comment osez-vous..." Se rasseyant, Mandel annonce d’une voix calme que ses services arrêteront tous ceux qui se rendront coupables de défaitisme.

Il est 00h35, le 13 juin 1940.

Redoutant un éventuel "geste d'humeur" de la part des soldats qui surveillent le Château, les PJs emmènent leur prisonnier via un discret escalier de service, pratiquement un passage secret. Ne pouvant s'empêcher de plastronner, Luchiani lui lance "Hé bien Monsieur Pétain, vous n'avez plus à vous cacher sous une Cagoule, désormais."

Le mot de trop ? Le trop plein d’émotion ? Le fait d’avoir 84 ans ? Toujours est-il que Philippe Pétain se raidit et tombe frappé de syncope. On appelle d’urgence une ambulance pour l’évacuer, finalement ça tombe bien car personne ne tente de s’y opposer et c’est dans l’ambulance que les PJs accompagnent leur auguste prisonnier inconscient dans un hôpital (civil) à Tours...

Conclusion :

Un important remaniement ministériel a lieu, tous les partisans d’un armistice sont démissionnés avec plus ou moins de rudesse et le Conseil se sépare à 01h35, après que Reynaud ait indiqué qu’un nouveau Conseil suprême interallié se tiendrait dans la journée, à Tours.

Pour les PJs la situation suit son cours, ils n’ont pas connu d’autre incident et peuvent légitimement être fiers d’avoir rempli la mission qu’un motard anonyme leur avait légué sur une route perdue au cœur de la France : Philippe Pétain est hors du circuit, et même si des ennemis redoutables rôdent encore dans la nature, une chose est sûre, l’armistice n’aura pas lieu, le nouveau gouvernement l’assure : En ce mois de juin 1940, la République ne capitule pas...

La France continue la guerre !


FIN.
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Re: [CR] Adventure! 1940 (et au delà ?)

Message par Le moine errant »

Merlock a écrit : "Ce que nous venons d’entendre de votre bouche, Monsieur Pétain, ne peut être qualifié autrement que de haute trahison. Vous en rendrez raison sur le champ." Se tournant vers les PJs : "Messieurs, emmenez-le"

C’est un vieillard affolé qui est emmené, balbutiant "Comment osez-vous..." Se rasseyant, Mandel annonce d’une voix calme que ses services arrêteront tous ceux qui se rendront coupables de défaitisme.
Play it like Tarantino ! 8)
Très sympa à lire (et certainement encore plus à jouer).
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Re: [CR] Adventure! 1940 (et au delà ?)

Message par Merlock »

Le moine errant a écrit :Play it like Tarantino ! 8)
Très sympa à lire (et certainement encore plus à jouer).
Je me demandais si les PJs allaient se la jouer "Bâtards Inglorieux" et défourailler dans la salle du Conseil en truffant de plomb M. Pétain, mais non. :escrime

Ca aurait été drôle, mais ils ont préféré la jouer fine, ce qui est tout aussi bien... après tout ils avaient toute légitimité pour agir.

Et merci pour ton appréciation. :rock
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Re: [CR] Adventure! 1940 (et au delà ?)

Message par killerklown »

Merlock a écrit :FIN.
Mais, mais, mais ... Comment ca, FIN ?

On veut la suite, nous !

:bravo: :bravo: :bravo:
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Re: [CR] Adventure! 1940 (et au delà ?)

Message par Paiji »

Et comment qu'on veut la suite ... départ pour l'Afrique du Nord ou réduit breton ?
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Re: [CR] Adventure! 1940 (et au delà ?)

Message par pelon »

pour la suite,
le projet de pays Franco-Britanique va voir le jour?
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Re: [CR] Adventure! 1940 (et au delà ?)

Message par Merlock »

killerklown a écrit :
Merlock a écrit :FIN.
Mais, mais, mais ... Comment ca, FIN ?

On veut la suite, nous !

:bravo: :bravo: :bravo:
Fin toute provisoire, espérons-le... 8)
Paiji a écrit :Et comment qu'on veut la suite ... départ pour l'Afrique du Nord ou réduit breton ?
Quelque chose me dit qu'on verra bientôt briller un soleil très méditerrannéen sur nos futures aventures, mais chut! ne déflorons pas le sujet... :pingouin
pelon a écrit :pour la suite,
le projet de pays Franco-Britanique va voir le jour?
Idem! :mrgreen:
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Re: [CR] Adventure! 1940 (et au delà ?)

Message par Merlock »

Pour info: je suis chargé par Franck STORA (certains TRES vieux Casusiens s'en souviendront), l'un des auteurs du bouqin sur lequel je me suis basé, de féliciter tous les joueurs de ce scénario!

Félicitations donc, et par ordralphabétix, à :
-JazZ
-Khentar
-Marchiavel
-Michel
-Poulpiche

En atttendant la suite. :rock
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