Elijah Shingern a écrit : ↑lun. mai 15, 2017 8:32 pm
Vendredi dernier, à Apt, avec deux amis de vingt ans que je n'avais pas vu depuis (trop) longtemps, j'ai maîtrisé - en improvisant - ma première partie de Libreté.
Je peux donc dire ceci : en s'appuyant sur les conseils à l'aversaire et sur l'ambiance si particulière de ce jeu, on arrive à créer une atmosphère de violence et de sacré assez folle.
Mes deux vieux potos ont été soufflés, et, en réponse, j'ai parfois été troublé par leur jeu.
Je pense qu'avec un peu plus de travail, il est possible d'atteindre des sommets.
Imagine moi te lisant, des étoiles plein les yeux
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Elijah Shingern a écrit : ↑lun. mai 15, 2017 8:32 pm
Vendredi dernier, à Apt, avec deux amis de vingt ans que je n'avais pas vu depuis (trop) longtemps, j'ai maîtrisé - en improvisant - ma première partie de Libreté.
Je peux donc dire ceci : en s'appuyant sur les conseils à l'aversaire et sur l'ambiance si particulière de ce jeu, on arrive à créer une atmosphère de violence et de sacré assez folle.
Mes deux vieux potos ont été soufflés, et, en réponse, j'ai parfois été troublé par leur jeu.
Je pense qu'avec un peu plus de travail, il est possible d'atteindre des sommets.
Imagine moi te lisant, des étoiles plein les yeux
J'imagine bien .
J'aime beaucoup le jeu (et son ambiance folle, cathartique et cruelle) et je ne regrette pas d'avoir tout acheté lors de mon passage à la librairie Charybde.
(Ce qui me rappelle les discussions qui avaient eu lieu à propos des "scènes difficiles" sur ce forum. Ce jeu est l'exemple même de ce qu'on peut faire. En outre, y jouer m'a fait penser à cette phrase de Paul Claudel dans L'Art Religieux : "Tout ce qui est est symbole, tout ce qui arrive est parabole.")
Vous nous voyez parmi les nations
Nous battrons-nous toujours pour la terre charnelle
Ne déposerons-nous sur la table éternelle
Que des cœurs pleins de guerre et de séditions
On s'est lancé sur Dungeon World ce vendredi.
Finalement pour ma part comme PJ pour la première, mais c'est aussi l'autre côté de l'écran qui me branche pour les prochaines parties. Seulement 2 joueurs , et étonnement ni combattant, ni lanceur de sort : une barde elfe et un cambrioleur halfelin.
On a donc démarré avec le scénario "Les Serviteurs de la Reine des Cendres". Et sur quelques heures, on a fait la partie du village, des ruines et bien entamé celle des souterrains sous les ruines.
Ça s'est très bien passé, super fluide, très agréable, notamment car jamais de temps mort. On a le sentiment que, dans chaque scène, dès lors que le 1er jet de dés est fait il ne peut plus y avoir de pause dans la narration et que les événements ne font plus que s’enchaîner. On a beaucoup échangé sur les règles avec le MJ pendant et après la partie (puisque c'était une 1ére pour tout le monde sur ce système), probablement par appréhension de bien pouvoir utiliser les spécificités de ce système, mais même si ça peut être amélioré sur quelques points, c'était très bien pour un lancement.
Après avoir navigué sur le Darklake, les PJ sont arrivés dans la cité des Duergar. Les compagnons qui leur restent : Stoot le myconid, Jimjar le gnome des profondeurs, Helmet le Duergar qu'ils ont arrachés des griffes des Kuo-Toa, Sarith le Drow et enfin les deux gobelins qui les ont guidés dans les Silken Path.
Rapidement, ils se trouvent confrontés aux gardes Duergar de la cité qui les tiennent à l'oeil, et commencent à sentir que quelque chose ne tourne pas rond chez les Duergar. Agissements étranges, présence de monnaies venues de la surface, ... . Ils commencent à suspecter que des Derros se cachent derrière cela.
Par ailleurs, un groupe de Drow semble les observer sans pour autant les approcher.
La séance s'est achevée après qu'ils aient neutralisé la menace d'un géant de pierre à deux têtes...
Moi, je dirais avant dernier scénario de la campagne Necessary Evil Break-out mélangé avec des trucs persos (liés à Torg)...
J'avais 7 joueurs et y avait pas mal de bière à table.
7 joueurs, je sais, c'est trop. Mais la bière fait passer.
L'intrigue est compliquée, les pnjs sont retors et les pjs ont laissé les bad guy se mettre dessus pour ramasser les morceaux.
Ils ne savent pas qu'un bad guy est resté vivant, fusion des deux bad guys qui se sont mis dessus. Il reste deux séances je dirais plus ou moins officielles de jeu (qui concorderaient avec le départ d'une joueuse de Bourges). Je vais essayer de donner dans l'épique, et de toutes les manières, deux seigneurs des possibilités sont appelés à être créés...
Partie d'une dizaine d'heures de Kult ce weekend, avec l'Alpha des règles de la nouvelle édition.
J'étais pas convaincu par ces règles à la lecture, je l'ai pas été en application. Non que ce soit catastrophique, juste suffisamment bancal pour que je me retrouve à maîtriser un peu tout au doigt mouillé, ce qui dans un PBTA est franchement mauvais signe.
Ce week end, 1ère partie de jeu de rôle avec mes deux grands (4 et 6 ans). Mini-scénario de 40 min dans l'univers des Pokemons, système crée pour l'occasion à base d'une poignée de carac, d'1d20, et de roll under.
ça me démangeais depuis longtemps mais j'appréhendais un peu... Et bien, je me suis inquiété pour rien : ça s'est passé sans aucun soucis. Même si la grande avait clairement plus l'esprit d'initiative que le second, les deux en redemandent
Arma a écrit : ↑lun. mai 22, 2017 3:54 pm
Ce week end, 1ère partie de jeu de rôle avec mes deux grands (4 et 6 ans). Mini-scénario de 40 min dans l'univers des Pokemons, système crée pour l'occasion à base d'une poignée de carac, d'1d20, et de roll under.
ça me démangeais depuis longtemps mais j'appréhendais un peu... Et bien, je me suis inquiété pour rien : ça s'est passé sans aucun soucis. Même si la grande avait clairement plus l'esprit d'initiative que le second, les deux en redemandent
Bref, papa heureux ^^
C'est chouette. Vivement que mon fils soit plus grand !
Hier soir, c’était I6 Ravenloft sous Abstract Dungeon.
Je sais : pourquoi choisir Abstract Dungeon pour faire jouer un module basé sur la trouille ? On ne peut pas faire de l’épouvante avec des règles qui donnent autant de latitude aux joueurs, surtout que pour mourir avec Abstract Dungeon, il faut se lever tôt…
Eh ben justement : je ne voulais pas que les PJ aient les chocottes parce que leur perso risque de perdre 3 niveaux si un vampire les coince dans un coin mais bien parce que l’ambiance est raccord avec les prémices du module. Et puis il y a moyen de leur foutre la pression avec Abstract en étant moins généreux avec les refresh, donc au final, ils ne font pas tant les fiers que ça.
À la base, j’avais en tête de faire jouer Curse of Strahd, la version D&D5 de Ravenloft. J’adore le bouquin, mais il est conçu pour prendre des PJ niveau 1, les faire monter en puissance pendant plusieurs séances en visitant des tas de donjons jusqu’au moment où ils se sentent suffisamment en confiance et en contrôle (donc niveau 10) pour affronter Strahd dans sa demeure. Et très franchement, les donjons intermédiaires, je les trouve aussi inintéressants que la pluparts des AP Pathfinder. Je comprends leur utilité, mais à la lecture, l’enchainement me parait ennuyeux au possible. Surtout que certains ajouts sont limites risibles (comme caser absolument un dragon histoire d’être raccord avec le titre du jeu).
Je suis donc retourné à la source (que je ne connaissais pas) : I6 Ravenloft. Et il y a tout ce qui faut en 32 pages pour animer quelques soirées d’épouvante. Un village maudit, des gitans inquiétants, des hurlements de loups, et en voiture Simone.
Mes PJ sont de jeunes aventuriers d’inspiration arménienne qui, surprise, mettent la main sur une lettre du burgomaster de Barovia leur demandant de l’aide pour sauver sa fille adoptive, victime d’un mal impie. Brouillard, portail qui grince, attaque de loups et découvertes du village exsangue de Barovia : tout ça nous a tenu occupé 2h30.
Les joueurs ont été surpris de la mécanique d’Abstract (on jette tous les dés au début de la partie ? T’es sûr ?) mais ont trouvé à l’usage que c’était plus tactique qu’il n’y paraissait. Je n’ai pas dû insister beaucoup pour qu’ils décrivent leur dépense de dés, ils ont pu mettre en scène leur perso (J’intimide les loups. Puisque je viens de tuer leur chef d’une flèche, je suis leur nouveau mâle alpha…).
Ils devraient pénétrer dans le château lors de la prochaine séance, et je vais essayer de jouer le jeu de l’exploration pleine et entière. On devrait pouvoir se faire l’intégralité des salles en 2 ou 3 séances. Enfin, tout va dépendre des tirages des cartes et de l’endroit où se trouvent certains objets et Strahd…
Cédric Ferrand a écrit : ↑ven. mai 26, 2017 1:39 pm
Hier soir, c’était I6 Ravenloft sous Abstract Dungeon.
Je ne l'aurais pas tentée cette association... J'ai aussi pensé à mener Ravenloft mais plutôt avec Into the Odd (mon système gritty de prédilection). D'expérience, après qq parties d'Abstract, le ton vire clairement au shonen...
Capitaine Caverne a écrit : ↑ven. mai 26, 2017 6:51 pm
Je ne l'aurais pas tentée cette association... J'ai aussi pensé à mener Ravenloft mais plutôt avec Into the Odd (mon système gritty de prédilection). D'expérience, après qq parties d'Abstract, le ton vire clairement au shonen...
Je me doutais bien que tu serais incrédule.
On verra comment ça tourne, mais je vais être chiche sur les refresh, ils vont le sentir passer.
Une fois qu'ils seront dans le donjon, ça ne va pas être coton de se reposer sans qu'un vampire déboule en plein milieu de leur sommeil pour les empêcher de relancer leurs dés.
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