[CR illustré] Wastburg : Les Perdreaux de l'Année
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[CR illustré] Wastburg : la Montre aux Pucelles actuelle
Ces gens-là : la Montre aux Pucelles actuelle
La marieuse organisatrice (p.18 et 24)
Le jury (p.19 et 25)
(en plus de Dounker et six autres jurés figurants)
L'assistante-marieuse (p. 24)
Le maître de danse et professeur de maintien (p. 24)
Le charpentier responsable de la mise en place de la scène et des tribunes (p. 25)
Le responsable des aspects techniques (p. 25)
Les futures dauphines (p.25 et 26)
(parmi une vingtaine de candidates)
La marieuse organisatrice (p.18 et 24)
Le jury (p.19 et 25)
(en plus de Dounker et six autres jurés figurants)
L'assistante-marieuse (p. 24)
Le maître de danse et professeur de maintien (p. 24)
Le charpentier responsable de la mise en place de la scène et des tribunes (p. 25)
Le responsable des aspects techniques (p. 25)
Les futures dauphines (p.25 et 26)
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Dernière modification par Ego' le lun. déc. 04, 2017 1:20 am, modifié 1 fois.
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Re: [CR illustré] Wastburg : Les Perdreaux de l'Année
Ouf! Ce nouveau CR m'avait fait craindre que tu abandonnais définitivement le précédent!Ego' a écrit : ↑dim. déc. 03, 2017 8:19 pmLes joueur•euse•s se sont inscrits à Wastburg pour trois séances d'essai (ce qui devrait être suffisant pour conclure Ces gens-là), et si c'est concluant, on s'engagera pour une plus longue série (mais un autre soir en semaine lors de la reprise de Ténèbres en janvier).
Canard
Les règlements doivent s'adapter à la situation et non l'inverse.
La sagesse suprême est d'avoir des rêves assez grands pour ne pas les perdre du regard tandis qu'on les poursuit. Faulkner
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Re: [CR illustré] Wastburg : Les Perdreaux de l'Année
Actuellement je suis bien trop overbooké pour poursuivre ce CR. Je reprendrai sans doute le fil en main lorsque nous ferons d'autres scénarios de la gamme dans le courant de l'année.
Je préciserai juste que les séances se sont particulièrement bien passées - plusieurs répliques et situations cocasses resteront dans nos mémoires. De plus j'ai senti une nette différence entre ma première maîtrise de Ces gens-là il y à quatre ans sans trombinoscope et avec dernièrement : en mettant un visage sur chaque PNJ, les joueur•euse•s ne se mélangeaient pas les pinceaux entre tous les noms. Les avis exprimés par les quatre recrues de l'époque et par les trois actuelles ont été nettement différents.
Avoir la carte des relations au format A3 sous les yeux constamment m'a été très utile de mon côté de l'écran, et contrairement à ma première maîtrise, je n'ai pas oublié plusieurs sous-parties et PNJ secondaires de l'intrigue. Contrairement aux trombinoscopes, je ne m'étais pratiquement jamais préparé de mind map pour un scénario du commerce, mais aujourd'hui, je n'ai plus du tout envie de faire l'impasse dessus. Si je n'ai qu'une seule leçon à retenir de cette expérience, c'est bien celle-là.
Comme on m'a gentillement demandé si j'avais sous la main des fichiers d'impression des aides de jeu, autant en faire profiter tout le monde :
A la votre
EDIT : liens réparés le 29/11/2018
Je préciserai juste que les séances se sont particulièrement bien passées - plusieurs répliques et situations cocasses resteront dans nos mémoires. De plus j'ai senti une nette différence entre ma première maîtrise de Ces gens-là il y à quatre ans sans trombinoscope et avec dernièrement : en mettant un visage sur chaque PNJ, les joueur•euse•s ne se mélangeaient pas les pinceaux entre tous les noms. Les avis exprimés par les quatre recrues de l'époque et par les trois actuelles ont été nettement différents.
Avoir la carte des relations au format A3 sous les yeux constamment m'a été très utile de mon côté de l'écran, et contrairement à ma première maîtrise, je n'ai pas oublié plusieurs sous-parties et PNJ secondaires de l'intrigue. Contrairement aux trombinoscopes, je ne m'étais pratiquement jamais préparé de mind map pour un scénario du commerce, mais aujourd'hui, je n'ai plus du tout envie de faire l'impasse dessus. Si je n'ai qu'une seule leçon à retenir de cette expérience, c'est bien celle-là.
Comme on m'a gentillement demandé si j'avais sous la main des fichiers d'impression des aides de jeu, autant en faire profiter tout le monde :
- Trombinoscope n°1 - Les six Prétirés et leurs 12 contacts en grand format
- Trombinoscope n°2 - Les PNJ (première partie)
- Trombinoscope n°3 - Les PNJ (seconde partie)
- Les Backgrounds des six Prétirés
- Carte des relations (A4 et A3)
A la votre
EDIT : liens réparés le 29/11/2018
Dernière modification par Ego' le jeu. nov. 29, 2018 9:26 pm, modifié 2 fois.
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Re: [CR illustré] Wastburg : Les Perdreaux de l'Année
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Re: [CR illustré] Wastburg : Les Perdreaux de l'Année
(discussion tenue ailleurs mais pouvant être utile ici)
Oui, je comprends, c'est tout à fait normal.
Si ça peut t'être utile, voici ma méthode.
Dans un premier temps je vais m'imprégner des visages. Et donc, je vais relire le scénario, étape par étape, en prenant le temps d'observer chaque portrait, et en tentant de m'imaginer comment je mettrai en scène le personnage (les fiches des PNJ sont plus que parfaites pour ça). Inventer des expressions, des postures, des gestes, éventuellement une démarche. Comment est-ce qu'il réagirait face à tel ou tel comportement habituel de chaque joueur de ta table : l'interrogateur-inquisiteur, le chien dans un jeu de quilles, le cérébral-glacial, la brute menaçante, le charmeur-flatteur, le bouffon-pitre, ... Bref, il faut pouvoir jouer chaque PNJ comme si on y tenait, comme si c'était notre propre personnage et que l'on était simple joueur. Passer cinq minutes par PNJ permet ainsi de le "sentir", et le moment venu de l'interpréter naturellement, d'improviser si nécessaire sans même y réfléchir.
Il ne faut pas non plus uniquement s'imprégner du scénario. Il faut aussi se l'approprier. Si l'on a une idée, que l'on s'imagine une scène, ne pas hésiter à la noter et à la mettre en oeuvre si l'occasion se présente (par exemple : voilà un "cousin" qui se montre sympathique avec les gardoches par hasard au début de l'enquête, et qui bien plus tard viendra les "prévenir parce qu'il les a à la bonne", puis qui enfin fera ce qu'il faut avec ses complices pour se débarrasser définitivement du problème que les recrues représentent tout en cherchant à se déculpabiliser en leur balançant à la gueule sa "déception").
Sa difficulté principale, c'est que ce n'est pas un scénario d'enquête linéaire. C'est une sorte de bac-à-sable, mais un bac-à-sable scripté => plusieurs lieux où aller, plusieurs PNJ fixes ou mobiles. Et le reste de la ville en toile de fond.
Les PJ vont donc pouvoir se balader dans tous les sens, et surtout là où on ne les attend pas (notamment au début). Il ne faut pas se démonter si ça arrive. Il faut simplement prendre cinq secondes pour se demander quel(s) PNJ pourrai(en)t se trouver là, et réagir en conséquence. Et s'il n'y a rien à trouver, ne pas hésiter à trancher en faisant une ellipse claire et nette ("une heure plus tard, alors que vous revenez bredouilles de blablabla") : il y a suffisamment de lieux à visiter, des PNJ à voir, et même de fausses pistes, pour ne pas perdre son temps en cherchant à improviser/meubler. Comme leur temps est compté (trois jours... que l'on va égrainer heure par heure), ils ne vont pas t'en vouloir, bien au contraire. Partir de ce principe permet de se concentrer sur l'essentiel, et donc de minimiser ses craintes face à l'immensité relative de la ville.
En s’imprégnant bien des PNJ, on en vient à connaître sur le bout des doigts l'intrigue, sans même avoir à se reporter sur des notes, ni le texte du scénario la plupart du temps. La carte des relations permet de servir de pense-bête, et donc de se rappeler en un coup d'oeil des points clefs via les liens entre PNJ.
Il faut penser également à afficher les PNJ sur un tableau magnétique, une planche avec des punaises, ou des cordelettes avec des pinces à linge. Bref, les placer à la vue de tous, constamment. Voire encore mieux, leur laisser arranger les portraits sur un tableau comme ils le veulent : c'est un outil qui leur est destiné avant tout.
Dernier point en préparatif : penser à faire vivre et vibrer la ville par petites touches. Donc préparer en amont des petites scénettes de la vie quotidienne que l'on va intercaler entre deux lieux. Des bruits proches ou lointains, des odeurs, des couleurs, des passantes et passants. C'est très utile pour les joueurs, car cela va les replonger à chaque fois dans une atmosphère vivante où ils ne sont pas au centre de tout et qui vit en dehors de leur propre existence.
Ah oui. Deux à quatre joueurs. Un ou deux binômes de gardoches. A mon avis, surtout pas plus.
Septa a écrit : ↑mer. févr. 14, 2018 3:20 pmBin après pour un MJ qui a jamais fait de l'enquête c'est impressionnant quand même comme scénar.Ego' a écrit : ↑mer. févr. 14, 2018 1:54 pmCela fait très franchement partie du charme du jeu, et change radicalement des scénarios simplistes présentés dans la plupart des livres de base (quand il y en a).
À mon avis, il serait dommage, de le remplacer par un scénario ne faisant pas appel aux méninges dans une V2. La richesse et la difficulté de "Ces gens-là" permet de vendre Wastburg auprès de ses partenaires, qui découvrent, au delà des tribulations de leurs gardoches ou des situations cocasses, un jeu bien plus dense et profond que ce à quoi ils s'attendaient avant d'y jouer.
Même avec tes aides de jeu brillantes je flippe un peu pour la partie qui arrive.
Je vais passer mon dimanche à potasser le truc le graphe et me faire des fiches...
Ce serait dommage de faire sauter le scénar, mais effectivement si le contexte et l'idée de jouer des bernois c'est top pour commencer à priori, le scénar est impressionnant. (Oui je me répète)
Oui, je comprends, c'est tout à fait normal.
Si ça peut t'être utile, voici ma méthode.
Dans un premier temps je vais m'imprégner des visages. Et donc, je vais relire le scénario, étape par étape, en prenant le temps d'observer chaque portrait, et en tentant de m'imaginer comment je mettrai en scène le personnage (les fiches des PNJ sont plus que parfaites pour ça). Inventer des expressions, des postures, des gestes, éventuellement une démarche. Comment est-ce qu'il réagirait face à tel ou tel comportement habituel de chaque joueur de ta table : l'interrogateur-inquisiteur, le chien dans un jeu de quilles, le cérébral-glacial, la brute menaçante, le charmeur-flatteur, le bouffon-pitre, ... Bref, il faut pouvoir jouer chaque PNJ comme si on y tenait, comme si c'était notre propre personnage et que l'on était simple joueur. Passer cinq minutes par PNJ permet ainsi de le "sentir", et le moment venu de l'interpréter naturellement, d'improviser si nécessaire sans même y réfléchir.
Il ne faut pas non plus uniquement s'imprégner du scénario. Il faut aussi se l'approprier. Si l'on a une idée, que l'on s'imagine une scène, ne pas hésiter à la noter et à la mettre en oeuvre si l'occasion se présente (par exemple : voilà un "cousin" qui se montre sympathique avec les gardoches par hasard au début de l'enquête, et qui bien plus tard viendra les "prévenir parce qu'il les a à la bonne", puis qui enfin fera ce qu'il faut avec ses complices pour se débarrasser définitivement du problème que les recrues représentent tout en cherchant à se déculpabiliser en leur balançant à la gueule sa "déception").
Sa difficulté principale, c'est que ce n'est pas un scénario d'enquête linéaire. C'est une sorte de bac-à-sable, mais un bac-à-sable scripté => plusieurs lieux où aller, plusieurs PNJ fixes ou mobiles. Et le reste de la ville en toile de fond.
Les PJ vont donc pouvoir se balader dans tous les sens, et surtout là où on ne les attend pas (notamment au début). Il ne faut pas se démonter si ça arrive. Il faut simplement prendre cinq secondes pour se demander quel(s) PNJ pourrai(en)t se trouver là, et réagir en conséquence. Et s'il n'y a rien à trouver, ne pas hésiter à trancher en faisant une ellipse claire et nette ("une heure plus tard, alors que vous revenez bredouilles de blablabla") : il y a suffisamment de lieux à visiter, des PNJ à voir, et même de fausses pistes, pour ne pas perdre son temps en cherchant à improviser/meubler. Comme leur temps est compté (trois jours... que l'on va égrainer heure par heure), ils ne vont pas t'en vouloir, bien au contraire. Partir de ce principe permet de se concentrer sur l'essentiel, et donc de minimiser ses craintes face à l'immensité relative de la ville.
En s’imprégnant bien des PNJ, on en vient à connaître sur le bout des doigts l'intrigue, sans même avoir à se reporter sur des notes, ni le texte du scénario la plupart du temps. La carte des relations permet de servir de pense-bête, et donc de se rappeler en un coup d'oeil des points clefs via les liens entre PNJ.
Il faut penser également à afficher les PNJ sur un tableau magnétique, une planche avec des punaises, ou des cordelettes avec des pinces à linge. Bref, les placer à la vue de tous, constamment. Voire encore mieux, leur laisser arranger les portraits sur un tableau comme ils le veulent : c'est un outil qui leur est destiné avant tout.
Dernier point en préparatif : penser à faire vivre et vibrer la ville par petites touches. Donc préparer en amont des petites scénettes de la vie quotidienne que l'on va intercaler entre deux lieux. Des bruits proches ou lointains, des odeurs, des couleurs, des passantes et passants. C'est très utile pour les joueurs, car cela va les replonger à chaque fois dans une atmosphère vivante où ils ne sont pas au centre de tout et qui vit en dehors de leur propre existence.
Ah oui. Deux à quatre joueurs. Un ou deux binômes de gardoches. A mon avis, surtout pas plus.
Dernière modification par Ego' le mer. févr. 14, 2018 7:03 pm, modifié 1 fois.
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Re: [CR illustré] Wastburg : Les Perdreaux de l'Année
Pfiuuu...
Merci pour ces conseils. Je vais tenter de m'accrocher et de préparer ça.
Les petites touches et scénettes à préparer ça va être parfait pour occuper les surveillances de bac blancs demain.
Merci pour ces conseils. Je vais tenter de m'accrocher et de préparer ça.
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Re: [CR illustré] Wastburg : Les Perdreaux de l'Année
Bon il y a pas a dire le boulot abattu par Ego est vachement pratique...
Scénario mené en 4h. (Un peu baclé sur la fin je dois dire)
Le seul problème c'est que si on sort pas de cartes pour un perso, les joueurs se doutent qu'il ne sert vraiment à rien.
C'était assez amusant de voir les joueurs laisser tomber leur principes au fur et à mesure que le temps passe et l'échéance approche...
(Les trois cartes en bas c'était les boucs émissaires envisagés par les joueurs avant qu'ils aient l'idée de faire une descente musclée et d'aller cueillir Dounker au lit pour le faire parler qui leur a permis de "conclure" l'affaire)
Merci.
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Re: [CR illustré] Wastburg : Les Perdreaux de l'Année
Excellent
Merci pour le retour Septa, et content que tu t'en sois sorti haut la main
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Re: [CR illustré] Wastburg : Les Perdreaux de l'Année
Grand utilisateur de cartes pour les personnages (je ne fais plus de partie sans carte de PNJ aujourd'hui), j'ai résolu ce problème en prévoyant toujours des PNJ "en rabe" dans mon tas, du coup ça brouille un peu les pistes
Actuellement MJ sur Urban Shadow, Prophecy et 7eme Mer
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Re: [CR illustré] Wastburg : Les Perdreaux de l'Année
Dans le scénario "Ces gens là", il y a à mon avis suffisamment de fausses pistes pour ne pas avoir besoin d'en ajouter. Les joueur•euse•s se doutent qu'un non-illustré n'est pas crucial ? Ça n'a rien de grave, il leur reste une foule d'interrogatoires à mener et de déductions à faire. On se recentre sur l'essentiel, sans se perdre, et on peut parvenir à conclure le scénario dans une durée raisonnable (bien que perso, en quatre heures j'aurai un mal de chien). Ce n'est guère différent d'un "anonyme" ou d'un figurant dans un autre type de fiction.
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Re: [CR illustré] Wastburg : Les Perdreaux de l'Année
Merci beaucoup Ego pour l’impressionnant travail et le partage ! Cela pourrait m'être très utile dans pas très longtemps...
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Re: [CR illustré] Wastburg : Les Perdreaux de l'Année
Eurich la déveine a écrit : ↑mar. avr. 24, 2018 4:02 pm Merci beaucoup Ego pour l’impressionnant travail et le partage ! Cela pourrait m'être très utile dans pas très longtemps...
Bonne séance à toi
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Re: [CR illustré] Wastburg : Les Perdreaux de l'Année
" il est beaucoup plus facile à être contre quelque chose que pour" - Cédric Herrou
« Entre le champagne pour quelques-uns et l'eau potable pour tous, il faut choisir. » - Thomas Sankara
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