Sama64 a écrit : ↑jeu. avr. 25, 2019 11:50 am
Ce soir
The Sprawl : faut que j'arrive à boucler toute la phase d’action + "se faire payer" en 3h / 3h30
tableau MAJ
1er scénario de The sprawl bouclé, en 2 sessions (scénario de mon cru).
J'ai du un peu forcer pour finir hier soir, et finalement on a joué presque 4h au lieu des 3h prévues (phase exfiltration accélérée, et "se faire payer" joué en roleplay et sans conséquences, car les joueurs avaient choisi "le rendez-vous n'est pas une embuscade").
Les joueurs étaient contents, moi aussi et ça s'est plutôt bien passé. Une ou 2 fois je me suis demandé à quelle manœuvre correspondait telle ou telle action (sans la trouver) et j'ai ressenti une fois le besoin de faire agir mes pnjs (mais ça n'est pas possible, puisque le MJ ne lance pas les dés).
Les joueurs ont trouvé la mécanique plutôt lourde (ils pensaient que les règles étaient plus légères) mais le système des Directives a été bien apprécié.
Je me suis aussi servi de l'étiquette "endetté" pour rebondir sur échec d'un personnage et ça a mis du piment dans le dénouement.
Les combats sont assez mortels, le Tueur a fini avec un compteur de blessures à 23h (et il avait regagné 1h grace à un traumapatch).
Les 2 autres PJs ont aussi été blessés. Faut dire qu'avec leurs échec en phase d'investigation, leur cible état en alerte avant même leur intrusion
Par contre quelques exemples de manœuvres/ conséquences en cas d'échec total à la manœuvre "Agir sous pression" ne seraient pas du luxe, je me suis trouvé un peu sec 2 ou 3 fois :/
Un peu dubitatif sur le Tech, ses manoeuvres étant plutôt limitées par son domaine d'expertise (par exemple "cybernéticien" n'est pas vraiment utile pour réaliser des
runs) mais le joueur était quand même satisfait de son personnage.
J'aimerai ien faire une deuxième partie car la courbe d'apprentissage sur ce jeu me semble quand même assez importante
L'expression "adolescent boutonneux" est désormais proscrite : Bienvenue chez les ayatollahs du dictionnaire
"Le tact dans l'audace, c'est de savoir jusqu'où on peut aller trop loin" J. Cocteau