Contrendu
Publié : mer. juin 19, 2019 8:23 pm
Hier soir début de la campagne Eternal Lies, sous Cthulhu Dark, pizzas et divers vins.
Au rendez-vous donné par Madeleine Winston-Twight (PJ-PNJ pour la circonstance, remplaçant l'originelle Janet Winston-Rogers) dans son penthouse new-yorkais, répondent l’intriguant Mustafa Ernst, le légionnaire défiguré Markus Grohl, l’archéologue de l’intrépide Irvin Washington et le reporter freelance du NYT George O’Leary. Ayant difficilement décrypté les lettres envoyées par Henslowe (la presbytie des vieux joueurs expliquant ceci), ils décident fort logiquement d’embarquer dans le Vif-Argent, DC-3 privé affrété par Twight, direction Savannah.
Ernst et Grohl, deux prétendus as allemands de la Première Guerre Mondiale tentent en vain de disputer le palonnier au pilote légitime.
Une fois sur place, une dispute sur le choix des catégories d’hotel menace de mettre en péril la belle équipe.
Puis ils se rendent à l’asile. Là et las, ils décident « pour ne pas attirer l’attention » d’envoyer en solo le reporter à la pêche aux infos, ce qui tombe bien c’est son boulot. Pour ne pas séparer le groupe de joueurs déjà aviné et sans doute pour continuer à échanger des saillies, je considère qu’ils auront le primeur de l’info au retour d’O’Leary. Je tente de poser une ambiance malsaine tropicale, sudiste quoi, mais je ne sais pas si ça a vraiment imprimé l’imaginaire des joueurs. Je ne crois pas en fait.
O’Leary entreprend Keaton puis Henslowe après s’être fait dûment mordre par un fou. Il apprend ce qu’il faut savoir, y compris la présence d’Edgar Job dans les lieux. Puis, une fois obtenu le sésame de la propriété Henslowe, s'y rend avec ses amis.
Tout se passe comme prévu, ils engagent la converse avec le pourtant peu engageant Currothers puis Maman Henslowe que j’ai peinte en vieille pochetronne sénile, proposant sa « tisane », en l’occurence une bouteille de Gin Hendrick’s. Ils récupèrent le matos qui va bien pour déambuler sous la pluie vespérale dans le cimetière sis derrière la propriété et en déterrer la boîte contenant les indices indiquant la prochaine étape : LA.
Bon je n’ai pas fait intervenir les thugs. Et les joueurs/le joueur n’a pas pensé à visiter Job. J’ai quand même tenu à leur faire comprendre que, s’ils avaient été plus entreprenants, ils auraient découvert plus de choses…
L’ambiance est restée résolument à la galéjade, ce qui, malgré la teneur contraire de l'histoire, n'était pas désagréable.
Au rendez-vous donné par Madeleine Winston-Twight (PJ-PNJ pour la circonstance, remplaçant l'originelle Janet Winston-Rogers) dans son penthouse new-yorkais, répondent l’intriguant Mustafa Ernst, le légionnaire défiguré Markus Grohl, l’archéologue de l’intrépide Irvin Washington et le reporter freelance du NYT George O’Leary. Ayant difficilement décrypté les lettres envoyées par Henslowe (la presbytie des vieux joueurs expliquant ceci), ils décident fort logiquement d’embarquer dans le Vif-Argent, DC-3 privé affrété par Twight, direction Savannah.
Ernst et Grohl, deux prétendus as allemands de la Première Guerre Mondiale tentent en vain de disputer le palonnier au pilote légitime.
Une fois sur place, une dispute sur le choix des catégories d’hotel menace de mettre en péril la belle équipe.
Puis ils se rendent à l’asile. Là et las, ils décident « pour ne pas attirer l’attention » d’envoyer en solo le reporter à la pêche aux infos, ce qui tombe bien c’est son boulot. Pour ne pas séparer le groupe de joueurs déjà aviné et sans doute pour continuer à échanger des saillies, je considère qu’ils auront le primeur de l’info au retour d’O’Leary. Je tente de poser une ambiance malsaine tropicale, sudiste quoi, mais je ne sais pas si ça a vraiment imprimé l’imaginaire des joueurs. Je ne crois pas en fait.
O’Leary entreprend Keaton puis Henslowe après s’être fait dûment mordre par un fou. Il apprend ce qu’il faut savoir, y compris la présence d’Edgar Job dans les lieux. Puis, une fois obtenu le sésame de la propriété Henslowe, s'y rend avec ses amis.
Tout se passe comme prévu, ils engagent la converse avec le pourtant peu engageant Currothers puis Maman Henslowe que j’ai peinte en vieille pochetronne sénile, proposant sa « tisane », en l’occurence une bouteille de Gin Hendrick’s. Ils récupèrent le matos qui va bien pour déambuler sous la pluie vespérale dans le cimetière sis derrière la propriété et en déterrer la boîte contenant les indices indiquant la prochaine étape : LA.
Bon je n’ai pas fait intervenir les thugs. Et les joueurs/le joueur n’a pas pensé à visiter Job. J’ai quand même tenu à leur faire comprendre que, s’ils avaient été plus entreprenants, ils auraient découvert plus de choses…
L’ambiance est restée résolument à la galéjade, ce qui, malgré la teneur contraire de l'histoire, n'était pas désagréable.