Sammael99 a écrit : ↑mer. juin 27, 2018 11:51 am
je n'ai pas trouvé la mesure des scènes d'action pour le moment
En ce qui me concerne, j'ai l'impression que la meilleure façon de les mettre en danger c'est de multiplier le nombre d'attaques, même si elles ne sont pas puissantes, sinon ils parent ou résistent à tout avec leurs pouvoirs, leurs miracles etc ...
J'avais moins de joueurs que toi mais face à 1 adversaire avec 3 attaques et qui agit trois fois par round (donc jusqu'à 9 attaques) avec des dégâts directs, ils faisaient moins les malins. Ils n'ont pas tant de hp que ça et dans ce jeu on touche facilement.
Oui les combats a Godbound sont un peu délicats au début à cause du niveau de puissance. Il faut avoir une idée de ce qu'on veut faire avant le combat. Soit il s'agit d'une scène violente mais sans autre enjeux que de permettre aux joueurs de se faire plaisir en lâchant la bride à leur puissance. Et dans ce cas en quelques jets de dés c'est plié.
Pour les scènes de vrai combat, je pars du principe que les PJ sont impétables, donc je met le paquet sans chercher à leur faire le moindre cadeau. Ca veut dire que je ne laisse jamais un boss seul face aux PJs ou alors c'est un boss qui leur immensément supérieur, je n'hésite pas à faire intervenir des hordes de mobs si nécessaire, même si ca finit par ressembler à une illustration de WH40K. Comme le dit @Paiji , statistiquement y'en a qui touchent.
Et s'agissant de combat divin, il ne faut pas hésiter à frapper là où ca fait mal en utilisant des armes à la Kryptonite de PJ, ou avec des pouvoirs de contre, quitte à créer un PNJ taillé dans ce but seul, car après tout, on est bien entrain de décider d'enjeux divins et tous les coups doivent être permis car quand on veut détruire l'univers, on se prépare et c'est bien connu, les dieux maléfiques passent leur temps à tricher.
Les Godbounds sont suffisamment balaises et versatiles pour pouvoir s'adapter à presque toute les situations, donc il n'y a pas de crainte de faire un TPK
Il ne faut pas avoir peur du TPK, il est arrivé à mes joueurs de tomber sur une opposition vraiment trop forte pour eux, un parasite god établi, alors qu'ils n'étaient que niveau 2, et ils ont su trouver leur salut dans la fuite. Du coup, la leçon a été bien assimilée : dans un sandbox il n 'y a pas d'équilibrage des rencontres et c'est aux joueurs d'estimer le niveau du danger où ils se jettent, à leurs risques et périls.
(Note: les faits ajoutés par les joueurs suite à leur passage de niveau:
Apollon: Guérisseur People
Poséïdon: Gourou des Îles
Arès: Chef de Gang Criminel)
Poséïdon installe les bases d'un culte sur l'île d'Antikithira. Sa position de "gourou", d'homme sage de l'île s'étend, d'abord à la (maigre) population de l'île, puis graduellement aux îles alentours. Il n'établit pas encore de rites à proprement parler, pour le moment ceux qui le suivent sont plus des admirateurs que des adorateurs.
Apollon quant à lui établit sa clinique de bien-être Elysion sur Antikithira. Il exerce son influence et joue de la réputation qui est la sienne pour donner de la visibilité à l'opération. Il publie un livre (rédigé par le ghost writer qui avait déjà écrit Les Visages de l'Orient) sur sa prise de conscience que santé et bien-être son complètement liés au bien-être de notre planète et fait la retape d'Elysion. Les séjours de quelques pop stars sur le retour et de quelques retraitées de la vieille noblesse Européenne, et surtout leurs témoignages face caméra sur l'impact radical sur leur santé font le reste: les demandes affluent. Ses clients l'adorent, à tous les sens du terme.
Arès quant à lui établit une ferme relation avec Don Mascareno. Dyonisos est également de la partie mais un peu en retrait. Don Mascareno leur a fait comprendre qu'il sait qu'ils sont recherchés par une organisation internationale, et que tant que tout se passe bien entre eux, ladite organisation n'aura pas accès à eux. C'est une menace voilée. Arès commence à recruter des proches parmi les hommes de main de la mafia sicilienne. Il instaure un rituel de recrutement qui commence par une traversée dans la montagne dans des conditions extrêmes et se finit par une lutte en cercle dont seuls les 7 vainqueurs sont recrutés dans le cercle supérieur. C'est sur cette base qu'il établit les débuts de son culte, même si sa divinité n'est pas encore explicite.
Les journalistes commencent à s'intéresser à tous ces agissements. La couverture médiatique concernant Poséidon et Apollon est d'autant plus similaire qu'ils sont sur une même (petite) île. En clair, on accuse l'un de s'établir comme nouveau gourou d'une secte aux objectifs sinistres (on parle de disparitions, de viols...) et l'autre d'abuser de la crédulité de riches grabataires.
Poséidon n'est pas très inquiet de ces retours, et prend en charge l'organisation concrète de la clinique d'Apollon. Sur la base des contrats de travail nécessaires pour faire tourner la clinique (pour l'entretien, les infirmiers, le personnel administratif, etc.) il obtient systématiquement des permis de travail pour des migrants à travers les ONG avec lesquelles il est en contact. La population de l'île grossit rapidement, mais les nouveaux arrivants s'intègrent bien grâce au patronage de Poséidon.
Le succès d'Apollon devient de plus en plus médiatique, mais également controversé. Il est finalement convoqué par l'Ordre des Médecins Français (il a une licence médicale française) pour révocation. On l'autorise à présenter une défense. Comprenant que les sages grabataires qui le jugent sont incapables d'accepter que leurs certitudes scientifiques puissent être remises en cause, il commence à diagnostiquer les différentes maladies et handicaps de ses juges, puis guérit le plus endommagé d'entre eux de tous ses maux. Dans la stupéfaction générale, la séance est levée sans que la révocation n'ait été prononcée.
Arès quant à lui remonte les branches de la mafia hors de Sicile pour rencontrer le supérieur de Don Mascareno qui s'avère être une femme qu'on ne connaît que sous le nom de Donatella. Il devient son amant, installant progressivement ses pions pour pouvoir supplanter Don Mascarena le moment venu.
Poséidon reçoit la visite d'un journaliste d'une revue philosophique d'extrème-gauche athénienne, la Plume Rouge (κόκκινο φτερό). Il écrit sous le nom de plume de Dolios, et se présente, la quarantaine rugueuse, légèrement claudiquant, il a une canne. Il a pris le bateau mensuel d'Athènes pour venir rencontrer Akram en personne. Il l'interroge sur son installation sur l'île, son rôle de gourou (qu'Akram réfute), son travail avec les migrants, etc. A plusieurs reprises, Poséidon a l'impression qu'il parle par sous entendus et qu'il sait plus de choses qu'il ne le laisse entendre, mais ne confronte pas ces sous-entendus.
Apollon et Poséidon ont remarqué qu'une faune sauvage qu'on a jamais vue sur l'île d'Antikithira commence à faire son apparition. C'est un miracle de plus après la luxuriance presque surnaturelle depuis quelques mois. Apollon a une idée derrière la tête et se renseigne sur les allées et venues sur l'île. Il cherche en particulier à savoir si une jeune femme aurait été vue. Un marin du port signale en effet une jeune femme un peu sauvage qui aurait débarqué quelques jours plus tôt avant de s'enfoncer dans les bois. Apollon fait un oracle (Miracle du Temps) et prédit qu'il rencontrera sa soeur à la pleine lune au bord de la cascade de la rivière blanche. Et effectivement, ce soir là, Artémis vient à lui.
Apollon, et plus tard Poséidon, interrogent la déesse de la chasse sous la lumière de la Lune. A leur grande stupeur, elle n'est pas (comme eux) fraîchement réapparue, mais fuit depuis plus de 3000 ans. Que fuit-elle ? Elle ne sait pas bien. Un danger indistinct qu'elle sent instinctivement. Tout ce temps elle a bien constaté que le grand Zeus avait disparu, mais elle ne sait pas ce que les autres Dieux sont devenus. Apollon lui propose de rester sur Antikithira mais elle décline, précisant toutefois qu'elle sait où les retrouver et fait confiance Apollon pour la retrouver elle si besoin.
Arès quant à lui a maille à partir avec la Police. Il apprend qu'un mandat d'arrêt interpol est lancé contre lui pour traffic de drogue et crime en bande organisée. Un matin, la police vient l'arrêter. Il ne résiste pas, mais une fois en salle d'interrogatoire, il utilise un Miracle pour ordonner aux policiers de le libérer, ce qu'ils font sur le champ. Rapidement toutefois, la vidéo de l'interrogatoire où l'on voit Victor nonchalamment dire aux flics de le laisser partir et de bruler son dossier est diffusée sur internet. C'est un nouveau scandale qui éclate, montrant la corruption de la police sicilienne.
Enervé, Arès contacte Apollon et Poséidon disant qu'il en a assez de ceux qui travaillent contre eux, et qu'il est temps d'y mettre fin. Les trois divinités mettent en commun leurs efforts pour tenter de comprendre qui répand rumeurs et articles plus ou moins mensongers mais toujours négatif sur leurs comptes. Ils remontent la piste jusqu'à une société de relations publiques basée à Skopje en Macédoine appelée 'Echo'.
Les trois dieux effectuent un raid sur la résidence qui sert de quartier général à 'Echo'. Alors que Poséidon et Arès arrivent par devant, Apollon fait le tour et surprend les employés en train de s'enfuir. Il leur ordonne de s'arrêter en les menaçant de les cramer, ils continuent de fuit, il en crame un, ils s'arrêtent. C'est alors qu'une voix le maudit pour son méfait (mais il sent que la malédiction n'a pas de prise sur lui). Ne voyant personne, il essaie d'engager la conversation, sans succès. La voix, féminine, l'invective et lui assure qu'elle le détruira. Les employés s'enfuient, et il rejoint les autres.
Arès et Poséidon ont fouillé de fond en comble les lieux, sans rien trouver de notable. Ils embarquent le matériel informatique et Poséidon invoque une vague de 10 mètres de haut (à 100 km de la mer) pour détruire les lieux. De retour chez eux, ils constatent que le matériel informatique ne contient rien, comme s'il n'avait jamais été utilisé.
Mozart n'a pas écrit que le Boléro de Ravel. Mais aussi plein d'autres trucs beaucoup moins connus (comme le canon de Pachelbel). - Le Grümph
Dionysos développe une sorte de culte orgiaque moderne. Il "recrute" ses ouailles à travers des chaînes d'email: oui, vous pouvez vraiment trouver quelqu'un qui veut faire l'amour au coin de chez vous, oui, ces pilules qui boostent la libido fonctionnent vraiment. Entendant parler du rituel de recrutement des cuirassiers de Napoléon, il l'adapte à son public moderne: trois bouteilles de grappe, trois partenaires de son choix et trois chevaux, celui ou celle qui épuise les trois est admis dans le cercle restreint de ses adorateurs.
Hephaistos quant à lui développe une doctrine de protection de la nature à travers la technologie. Il commence à faire la tournée de conférences un peu en marge des circuits classiques en développant le concept de "carbon-negative lifestyle" et commence à attirer également un petit groupe de croyants qui suivent ses apparitions et propagent ses idées.
Les cinq divinités ont eu des souvenirs / flashbacks de scènes où ils ont été tués. Ces scènes avaient lieu à diverses époques (de l'ère romaine aux années 60) mais comportaient tous des similitudes: ceux qui les tuent sont visiblement prêts à ce que leur essence divine apparaisse dans un corps humain, qui est souvent ficelé, enchaîné, ou contraint. Les méthodes de meurtre sont souvent associées à leurs faiblesses (Poséïdon est incinéré, Dionysos n'a personne autour de lui à influencer, etc.) Enfin, il y a souvent un personnage féminin (mais pas toujours le même) qui donne l'ordre de l'exécution.
Parallèlement, Apollon, particulièrement irrité par sa confrontation à Skopje avec celle qu'il pense être Héra, cherche à en savoir plus sur elle et sur ses plans. Malheureusement, il n'a pas beaucoup de pistes. C'est alors qu'il se souvient d'avoir entendu Poséïdon lui parler d'un poissant parlant qui lui aurait dit quelque chose. Il appelle le Dieu des Mers, qui avait lui-même oublié. Il se creuse la tête et se souvient que le message était: "Mon Oncle, retrouvez moi où sont nés les Jumeaux".
Apollon comprend vite que les Jumeaux, c'est lui et sa soeur Artémis. Il en déduit donc sans peine que le message parle de l'île de Delos. Accompagné de Dionysos et Hephaistos, ils se rendent sur Delos tout en se remémorant l'histoire de la naissance des Jumeaux: Leto, la mère d'Apollon et Artémis est poursuivie par la colère d'Héra. Héra la maudit, lui interdisant de trouver refuge où que ce soit sur terre. Mais l'île de Delos dérive, elle n'est donc pas une terre. Leto y accouche, et pour remercier ses habitants de leur accueil, elle ancre l'île pour de bon.
Arrivés à Delos, les dieux se demandent comment attirer discrètement l'attention de celui qui a envoyé le message à Poséïdon. Dionysos décide de se promener avec une fourche à trois dents. Apollon se contente de se promener en public, où tout le monde reconnaît le "guérisseur des stars". Il entre dans une boulangerie pour acheter un sandwich, et un vieil homme avec une canne lui adresse la parole:
- Vous êtes vraiment une bande de guignols...
- Je suppose que tu es celui qui nous a appelés ici ? demande Apollon.
- Oui, mais si j'avais sû je crois que je ne l'aurais pas fait...
- Si tu nous expliquais un peu ce qui se passe ?
- Volontiers, mais à la condition que vous vous comportiez de façon un peu plus discrète. Ca fait des mois que je passe sous les radars de la belle-deuche, c'est pas pour que vous plantiez un gros drapeau "on est ici" à son attention.
Les trois divinités s'aperçoivent que la boulangerie s'est vidée: il n'y a plus personne dans la pièce, et même Apollon n'attire plus l'attention. Ils s'assoient à côté du vieil homme. Après un début d'échange un peu tendu, ils comprennent qu'ils ont affaire à Hermès. Ce dernier ne manque pas de les critiquer de manière acerbe indiquant par exemple que leur incapacité à rester discrets.
Il leur apprend néanmoins un certain nombre de choses. Tout d'abord qu'il y a bien une organisation qui vise à les éliminer. C'est d'ailleurs grâce à lui qu'ils sont là: lorsqu'il est apparu il y a un peu moins d'un an, il a réussi à tromper ses assassins ("après tout, je suis le Dieu de la Tromperie...") et s'enfuir puis, plus tard, à leur faire croire qu'il était mort. Ensuite, il a essayé de remonter la piste pour comprendre qui voulait sa mort.
Il a découvert que Héra était à l'origine de la conspiration ("je le savais!" s'exclame Dyonisos), mais qu'elle n'était pas seule: les autres déesses étaient alignées avec elle ("sauf Artemis", précise Apollon). Héra dirige une organisation secrète dont le seul but est d'éliminer les Dieux Mâles quand ils menacent de réapparaître. Hermès pense qu'elle doit avoir à sa disposition un oracle, qui lui permet de savoir qui va réapparaître et où: c'est la seule explication au fait que les sbires de l'organisation soient prêts à les tuer à l'instant où leur essence divine fait son apparition.
Hermès a utilisé ses dons pour désorganiser la communication de l'organisation (il est également Dieu de la Communication) et c'est ce qui a permis aux autres Dieux Mâles d'avoir le temps de reprendre leurs esprits avant d'être tués. Hermès soupçonne également Héra d'avoir perdu la main depuis le temps, parce qu'il trouve qu'ils ont été peu discrets et peu fins, et il s'attendait à ce qu'elle les frappe bien plus fort.
Ce qu'Hermès de sait pas, c'est pourquoi. Il se perd en conjectures. "Si ce n'était qu'Héra", dit-il, "ce serait facile à comprendre: sa vengeance maladive". Mais pourquoi les autres déesses ? Quand à savoir quoi faire en réponse, il n'est pas plus à l'aise: il est clair qu'aucun d'entre eux individuellement ne peut tenir tête à Héra et aux autres déesses, d'autant plus que leurs cultes sont seulement naissants.
Après des discussions entre eux, particulièrement pour savoir si on peut faire confiance à Hermès, les trois dieux décident de déplacer la fontaine d'Ambroisie à Delos. En effet, Hermès leur a expliqué que la raison pour laquelle Leto était venue accoucher là, c'était que c'était le seul endroit qu'Héra ne pouvait pas voir. Et il soupçonne qu'elle ne le puisse toujours pas.
Les trois Dieux quittent Delos et réfléchissent à ce qu'ils pourraient faire. Ils hésitent à causer un coup d'éclat pour forcer Héra à réagir (Apollon envisage de se déclarer publiquement comme étant Apollon...) Mais finalement, avant de faire quoi que ce soit, Apollon décide qu'il souhaiterait parler à Athena. Il émet donc lui-même un oracle, prédisant que lui ainsi que Dyonisos et Hephaistos rencontreront Athena au Parthénon d'Athènes au soir du solstice d'été. Et c'est ce qui advient.
La déesse s'approche d'eux, les salue, et leur demande la raison de cette rencontre. Dyonisos (qu'Apollon s'est assuré d'écarter d'Athena) lui dit qu'ils aimeraient comprendre pourquoi les déesses se sont liguées contre les dieux. Elle répond d'un ton de maîtresse d'école que ça ne devrait même pas avoir à être expliqué. Leur comportement grossier, leurs obsessions sexuelles, leur manière de traiter les humains comme moins que rien, tout cela allait causer la ruine du Monde.
Quand Héra a réuni les déesses pour leur proposer de mettre fin au patriarcat, elles ont toutes accepté. Mais Athena pense maintenant que ce n'était sans doute pas la meilleure solution. A l'époque elle n'avait pas de doutes, maintenant elle est convaincue qu'il y aurait eu peut-être un meilleur moyen pour que les Dieux amendent leur comportement. Ou peut-être fallait-il en passer par là pour que "vous compreniez..."
Hephaistos, Dyonisos et Apollon comprennent alors qu'ils ont le choix entre lancer une guerre ouverte entre Dieux et Déesses ou faire amende honorable. Apollon fait des propositions dans ce sens, à quoi Athena répond qu'une simple promesse ne suffira pas. "Il faudrait qu'une haute autorité morale entérine la chose pour que nous vous croyions enfin changés..."
Une fois la déesse d'Athènes partie, les trois divinités réfléchissent.
- Je n'ai pas envie d'une guerre entre Dieux et Déesses", dit Apollon, "donc je crois que nous n'avons pas le choix...
- Je suis d'accord, rajoute Dyonisos, mais si vous croyez une seconde qu'on va pouvoir convaincre Arès...
Mozart n'a pas écrit que le Boléro de Ravel. Mais aussi plein d'autres trucs beaucoup moins connus (comme le canon de Pachelbel). - Le Grümph
Herlkin a écrit : ↑mar. juil. 03, 2018 6:27 pm
...ça donne carrément envie d'y jouer, alors que je n'apprécie pas trop les histoires de super héros aha !
Ca prouve juste que tu serais client pour une partie de super-héros intelligente où les personnages s'interrogeraient sur leur humanité, leur rôle dans l'univers, tout ça...
Mozart n'a pas écrit que le Boléro de Ravel. Mais aussi plein d'autres trucs beaucoup moins connus (comme le canon de Pachelbel). - Le Grümph
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