
Et je préfère ne pas parler de l'explication/démonstration du système de jeu, ça donne mal au Crane ; là encore, autant Burning Wheel était bien écrit, autant tout dans Freemarket fait que les premières parties partent en sucette cosmique, parce qu'il n'y a vraiment pas beaucoup de branches auxquelles se raccrocher. Par exemple, quand une feuille de personnage est incompréhensible parce qu'il n'y a pas un seul terme qu'il ne faille expliquer (que du jargon), on tombe en plein dans le syndrôme « Jorune », pour reprendre une remarque de Whimpering Vote. Bref, Freemarket se présente comme une Ferrari en conduite libre mais, sans conduite accompagnée, soit tu pars dans le décor, soit tu n'arrives pas à passer la seconde : si le MJ, comme moi, découvre le jeu en même temps que les joueurs, ça marche moins bien.
Personnellement, j'ai très mal vécu cette séance, même si, en relisant les feuilles de personnage ce matin la tartine à la main, nous sommes à peu près dans le ton (d'ailleurs, on retrouve beaucoup de points communs avec le blog sus-cité) et qu'une suite se profile.

L'objectif, qui était de (faire semblant de) jouer à Freemarket à Paris avant que la clique Lyonnaise le fasse a été atteint, c'est le principal
