[CR][REIGN] A La Découverte d'un Nouveau Monde

Critiques de Jeu, Comptes rendus et retour d'expérience
Avatar de l’utilisateur
Cédric Jeanneret
Dieu des petits Suisses à la choucroute
Messages : 2749
Inscription : mer. oct. 19, 2005 3:10 pm
Localisation : Genève
Contact :

Re: [CR][REIGN] A La Découverte d'un Nouveau Monde

Message par Cédric Jeanneret »

le compte-rendu est-il à jour ?
Avatar de l’utilisateur
Sammael99
Dieu des babines ruinées
Messages : 12921
Inscription : mer. sept. 15, 2004 11:43 pm
Localisation : Nantes, France

Re: [CR][REIGN] A La Découverte d'un Nouveau Monde

Message par Sammael99 »

Non, pas tout à fait.

J'avoue qu'avec mes soucis professionels, j'ai du mal à me dire que je devrais faire ça plutôt qu'autre chose.

Désolé pour le retard...
Mozart n'a pas écrit que le Boléro de Ravel. Mais aussi plein d'autres trucs beaucoup moins connus (comme le canon de Pachelbel). - Le Grümph
Avatar de l’utilisateur
Cédric Jeanneret
Dieu des petits Suisses à la choucroute
Messages : 2749
Inscription : mer. oct. 19, 2005 3:10 pm
Localisation : Genève
Contact :

Re: [CR][REIGN] A La Découverte d'un Nouveau Monde

Message par Cédric Jeanneret »

pas de souci, l'important c'est toi tu sois bien avant tous !

Là ou nous pourrions t'en vouloir c'est si tu ne termines jamais cette naration, mais on peut attendre.
Avatar de l’utilisateur
Sammael99
Dieu des babines ruinées
Messages : 12921
Inscription : mer. sept. 15, 2004 11:43 pm
Localisation : Nantes, France

Re: [CR][REIGN] A La Découverte d'un Nouveau Monde

Message par Sammael99 »

Voici le début de la fin de la mise à jour avant un final qui devrait être joué cette semaine j'espère.

***

Un des gamins que Martin a chargé de suivre le jeune Renan fait son rapport.
- « On l’a suivi jusqu’au pont de la Maugre, entre Gambes et Silo. Il a traversé, et puis une fois entré dans Silo, il est rentré dans un ancien entrepôt désaffecté. On a pas osé le suivre plus loin, si jamais c’était leur repaire… »

- « Mouaif… » répond Martin. « C’est peu probable, mais on va quand même mettre l’endroit sous surveillance, ne serait-ce que pour voir si c’est là que se rend Œil de Verre après le rendez-vous de demain… »

Martin a en effet fait passer le message par Renan qu’il acceptait un rendez-vous avec Œil de Verre pour discuter des conditions de la libération d’Eléonore. Le rendez-vous a lieu le lendemain en plein jour sur la place du marché de Maraîche.
Jehan, Pierre et Martin se retrouvent pour discuter de la tactique à adopter.

- « Il y a une chose dont je devrais vous parler », commence Pierre. « Depuis quelques temps, j’ai beaucoup étudié le grimoire que nous avions retrouvé sur le cadavre de l’explorateur d’Obsidiane, dans la jungle, et… j’ai acquis quelques talents. Je pense pouvoir camoufler un chariot bâché non loin du point de rendez-vous, on pourrait y mettre des hommes armés... »

- « Tu peux camoufler QUOI ? » demande Jehan stupéfait.

- « Ben, un objet de la taille d’un chariot quoi… »

- « … »

- « Ça sera sûrement utile tôt ou tard », reprend Martin, « mais pour demain je ne veux pas prendre de risque. Œil de Verre n’a aucune raison de m’attaquer, il attend quelque chose de moi, et puis je sais me défendre. Par contre s’il pense qu’on essaie de le piéger, il risque fort de faire du mal à Eléonore. Donc pour demain on fait le rendez-vous comme prévu, avec une surveillance renforcée par prudence, et surtout on le perd pas de vue après. »

- « Entre temps, on pourrait demander à divers contacts s’ils peuvent nous mettre à disposition le cadastre du quartier des Silos pour voir si le bâtiment a des chances d’être leur repaire… »

- « Oui, Salard devrait pouvoir nous aider. Pierre, tu peux t’en occuper ? »


***
Le lendemain, vers midi, Martin attend au milieu de la place du marché de Maraîche, comme convenu avec Œil de Verre. Il a un couteau à la main avec lequel il se cure nonchalamment les ongles. Quelques hommes de Malbert sont placés autour des étals avec pour ordre de n’intervenir que si Martin se fait visiblement attaquer.

- « Salut Martin… Ça fait un paye… » dit une voix grave derrière le mercenaire.

Martin se retourne. L’homme qui se tient maintenant devant lui est grand et racé. Il porte un capuchon, mais Martin voit assez du visage pour deviner qu’il est couvert de cicatrices et qu’un des yeux est bizarre.
- « On se connaît ? »

- « Tu ne me reconnais pas? Je suis un déçu, bien sûr, mais je ne peux pas t’en vouloir. Ma gueule a été un peu ravagée quand tu avais fait une croix sur moi en me laissant pour mort dans un entrepôt en ruines il y a vingt ans… »

- « Rodolphe ? »

- « On m’appelle Œil de Verre, de nos jours. Mon ancien patronyme me rappelle de trop mauvais souvenirs. En tous cas, je t’ai toujours suivi de loin. Tu as bien réussi, on pourrait même dire que tu es devenu… respectable. Mais pour qui te connaît, tes faiblesses sont faciles à cerner. »

- « Ca n’était donc pas un hasard si tu t’en es pris à Eléonore… »

- « Bien sûr que non ! J’ai toujours su que tu aimais trop cette vieille pie pour ton bien… »

- « Où est-elle ? »

- « Tu aimerais bien que je te le dise… Mais tu vois, tu m’as causé beaucoup de tort. Et je ne parle pas de mon œil ou de ma gueule il y a vingt ans. Non, tu ne t’es pas contenté de me défigurer, tu es venu mettre ton nez dans mes affaires et t’as fait s’écrouler tout le petit commerce que j’avais patiemment mis en place. Ca justifierait largement que je t’en fasse voir de belles, mais je n’ai même pas ce luxe. Je ne peux pas faire un pas sans être reconnu, et toutes mes anciennes relations savent que ma tête vaut de l’or. Tu ne me laisses pas le choix, et ta vieille Eléonore est la seule monnaie d’échange qu’il me reste… »

- « Qu’est-ce que tu veux ».

- « Un sauf-conduit. Pas officiel, bien sûr, je ne crois pas que même avec tes relations dans la haute tu pourrais m’obtenir ça. Non, je veux un passage vers le Sud. C’est moi qui t’indiquerais le navire, et on s’y retrouvera alors qu’il quitte le port, pour qu’il n’y ait pas d’entourloupe. Je te rendrais la vieille quand je serais sûr que tout est réglo. »

- « Qu’est-ce qui me dit que je peux te faire confiance ? »

- « Rien. Mais est-ce que tu as le choix ? »

Martin fulmine en silence pendant un instant puis, finit par répondre :

- « En effet, je n’ai pas vraiment le choix. C’est d’accord. »

- « A la bonne heure. Je te ferais passer un message par mon fidèle Renan le moment venu, pour t’indiquer sur quel navire je compte embarquer. A toi la charge d’assurer ma sécurité et surtout le fait que les autorités n’en sachent rien. J’aurais ta copine avec moi, et je n’hésiterais pas à lui trancher la gorge si tu n’es pas à la hauteur… »

- « Je n’en doute pas… »

- « Bon, et bien sur ce », reprend Œil de Verre avec un sourire mauvais, « ça a été un plaisir de te retrouver et de faire affaire ! A très bientôt ! »

- « Rodolphe, une dernière chose… »

- « Oui ? »

- « Qu’est devenue Line ? »

- « Ah, Line… Dire que nous avons tous les deux poursuivi de nos attentions cette minette arrogante… Elle n’a pas eu une vie facile… Elle s’était pourtant bien mariée, avec un bourgeois. Malheureusement, il a fait des investissements malheureux et il a été ruiné. Il a fini par se pendre de désespoir, et peu de temps après, le seul fils de Line est mort dans un accident tragique. Elle s’est retrouvée à la rue, a fini par tapiner un peu. Aujourd’hui, je ne sais plus très bien où elle est, mais je suis sûr que tu ne la reconnaîtrais pas… »

- « Tu es vraiment une crevure abominable… »

- « Si peu. Juste quelqu’un qui n’aime pas qu’on lui marche sur les pieds. Tâche de t’en rappeler ! »
Mozart n'a pas écrit que le Boléro de Ravel. Mais aussi plein d'autres trucs beaucoup moins connus (comme le canon de Pachelbel). - Le Grümph
Avatar de l’utilisateur
Sammael99
Dieu des babines ruinées
Messages : 12921
Inscription : mer. sept. 15, 2004 11:43 pm
Localisation : Nantes, France

Re: [CR][REIGN] A La Découverte d'un Nouveau Monde

Message par Sammael99 »

Il est tard, un soir de printemps pluvieux. Martin est assis, seul, à une table au fond de la taverne de Malbert. Devant lui, deux choppes vides et une à-moitié pleine. Martin a la mine sombre. D’un geste brusque, il finit sa bière en quelques gorgées bruyantes, comme s’il venait de prendre une décision. Il fait signe à la serveuse, qui s’approche.

- « Fais savoir à Malbert que j’aimerais bien lui causer… »

Quelques minutes plus tard, le tenancier s’extirpe de l’arrière-salle et vient s’asseoir à la table de Martin.

- « Tu as la tête des mauvais jours, Martin, qu’est-ce qu’il se passe ? »

- « Tes hommes ont exploré le repaire dans lequel le petit Renan et Œil de Verre se sont réfugiés. On vous a donné les cartes. Est-ce qu’on peut y aller en force ? »

- « S’ils y sont, on peut toujours, mais pas sans dégâts, et surtout pas sans qu’ils ne soient prévenus de notre arrivée. Mais personnellement je ne crois pas qu’ils y soient… »

- « Pourquoi tu dis ça ? »

- « Parce qu’on surveille l’endroit jour et nuit et qu’on les voit jamais ni entrer ni sortir sauf quand ils ont rendez-vous avec toi. Ça colle pas. A mon avis, ils vont ailleurs à partir de là. Impossible d’être sûr sans y rentrer, cela dit… »

- « En supposant qu’on identifie leur repère, tu penses qu’il y a moyen de faire un raid discret ? »

- « Honnêtement, c’est pas à toi que je vais apprendre que les raids discrets c’est aussi fréquent que les chiens verts à cinq pattes. Et ils ont un otage. Moi, ça me fait pas froid aux yeux, et mes hommes encore moins, mais si tu tiens à la vie de l’otage, ça m’ paraît pas très finaud… »

Martin reste silencieux pendant un long moment.

- « Ouais. Je crois que t’as raison. Je vais avoir un service un peu particulier à te demander… »

- « Décidément, je vais finir par posséder la moitié de Terre-Neuve à ce rythme… »

- « Non, c’est pas un service que te demande la Compagnie, c’est un service que je te demande moi. Le mec qui t’a cassé la gueule et chatouillé dans une cave il y a deux ans te demande un truc, ça devrait te faire plaisir… »

- « Ha ha. Pas faux. On pourra parler de paiement une fois que je saurais de quoi il s’agit alors… »

- « C’est simple et à mon avis c’est dans tes cordes. Dans quelques jours je vais organiser l’évasion le départ de cette ordure d’Œil de Verre de Concorde, parce que c’est le seul moyen que j’ai de récupérer Eléonore. Ça me fait mal au bide, mais j’y peux rien… Je me suis engagé à ce qu’il quitte Concorde en toute sécurité et j’honorerais ma parole. »

- « A ta place, j’y réfléchirais à deux fois. Laisser cette fouine en vie, c’est peut-être le truc le plus débile que tu feras de ta vie… »

- « Laisse-moi finir. Je me suis engagé à ce qu’il quitte Concorde en toute sécurité, mais pas qu’il arrive à bon port. Un accident est si vite arrivé… Est-ce que tu peux te débrouiller pour mettre à bord un ou deux hommes de confiance sur un bateau que je t’indique quelques heures avant le départ ? »

Malbert regarde Martin, étonné.

- « Qu’est-ce qui est arrivé au mec intègre qui parlait morale en filant des roustes ? »

- « Son passé l’a rattrapé… »

- « Décidément », reprend Malbert après un moment, « tu devrais reparler au Patron. Des mecs de ta trempe, il y en a pas des tonneaux… Mais parlons concret, tu connais le navire ? »

- « Non. J’en serais informé quelques heures avant le départ. Je sais qu’il est en partance pour le Sud, à moins que ce soit un moyen de me tromper… »

- « Bah, en supposant que ce soit un des rares navires ou le patron n’ait pas déjà quelqu’un de confiance, on devrait pouvoir se débrouiller, même s’il part dans l’Empire ! »

- « Et Malbert, ne vois pas ça comme un signe de méfiance, mais je veux une preuve. »

- « Une main, c’est traditionnel… »

- « Non, quelque chose de plus unique et de plus reconnaissable… »

- « Je vois. Ça sera fait. »

- « Je te remercie. »

- « Ça va te coûter cher… »

- « J’en suis bien conscient… »

- « La première partie de mon prix, c’est une auberge à Terre-Neuve. »

- « Vraiment ? »

- « Ouais. Ça me travaille depuis les embrouilles d’il y a deux ans. J’ai plus rien qui me retient ici, à part ce rade, et franchement, et on me demande de le vendre deux fois par semaine. En plus le Patron va vouloir quelqu’un sur place, c’est le moment de faire valoir mes arguments. »

- « Considère que c’est fait. Je paierais moi-même pour la construction, mais je préfère te prévenir, ça ressemblera pas à ce que tu as ici… »

- « Je me doute. On pourra discuter du reste de mon paiement tôt ou tard une fois là-bas… »

***

Quelques jours ont passé. Henri, Pierre et Jehan sont affairés à lancer le Grand Emprunt National pour le soutien de la Colonie de Terre-Neuve. L’engouement qui se dessine est colossal. Un accord a également été trouvé avec le Sénateur Lassègue, qui devient investisseur minoritaire de la Compagnie en échange d’une contribution de huit navires. Jehan, qui a inspecté les bateaux de fond en comble les trouve évidemment insuffisamment préparés, mais il est secrètement plus que satisfait : son rêve de se retrouver un jour à la tête d’une flotte se réalise enfin !

Et puis un matin, à l’aube, Martin est réveillé par le jeune Renan qui lui fait passer une enveloppe scellée avant de s’enfuir précipitamment. A l’intérieur de l’enveloppe, une courte phrase :

Le Septentrion appareille aux premières heures de l’après-midi.
Je le rejoindrais en mer, une fois passée la digue Sud. A toi de jouer.

Immédiatement, Martin se rend au port et va y rencontrer le capitaine du Septentrion avec qui il fait affaire pour monter à bord le temps de la sortie du port. Il indique qu’il sera remplacé par un passager qui voudra rester discret et nécessitera sa propre cabine. Il paie abondamment pour ce privilège.

Au début de l’après-midi, il monte à bord du Septentrion. Regardant les hommes à la manœuvre, il essaie subrepticement d’identifier ceux qui pourraient être à la solde de Sharquenoir et de Malbert, mais se rend compte que tous les marins ont une mine patibulaire pour qui cherche la noirceur des âmes…

Enfin, le navire appareille. Alors qu’il franchit la digue sud, et que le roulis de la pleine mer commence tout juste à lui imprimer son rythme Martin aperçoit une barque qui quitte une des criques adjacentes au port. Il se saisit d’une longue-vue et reconnait clairement Œil de Verre à la rame. Dans le bateau il y a également une frêle silhouette avec un sac sur la tête. Est-ce Eléonore ? Impossible de le dire.

Après d’interminables minutes, la barque finit par se coller à la coque du Septentrion. Une échelle de corde est lancée. Avant de monter, Œil de Verre arrache le sac de la tête de sa passagère. Martin y découvre une Eléonore échevelée, pâle, mais déterminée à ne pas montrer son désarroi. La laissant derrière lui, les mains attachées dans le dos, l’homme au visage couvert de cicatrices grimpe rapidement la corde et se retrouve devant Martin.

- « Bon, je vois que tu as tenu ta part de l’accord… » lance-t’il à l’homme d’armes.

- « En effet. Je vais y aller maintenant ».

- « Attends une seconde. Tu ne m’as pas réservé une mauvaise surprise j’espère ? »

- « Je t’ai réservé une cabine pour que tu puisses cacher ta sale tronche des yeux des marins, c’est ce que tu voulais non ? »

- « Ha ha ha ! T’es bien trop poire pour me réserver une mauvaise surprise de toute façon. C’est la vieille qui avait raison à toujours parler de ta grande âme et du fait que tu pardonnes à tes ennemis. Non mais quel con… »

- « Le con te souhaite le bonjour. » répond Martin, les dents serrées en descendant l’échelle de corde.

Quelques minutes plus tard, après avoir détaché Eléonore et l’avoir serrée dans ses bras, il regarde au loin s’éloigner le Septentrion. Il n’éprouve pas de joie, pas de remords non plus. Juste un grand vide.

***
Les semaines qui suivent sont infernales pour les membres de la Compagnie. Il y a 8 navires de plus à affréter, des colons et des mercenaires à recruter, le financement de l’Emprunt à gérer, des réunions publiques à n’en plus finir. Les bureaux temporaires mis à disposition par Maître Redon ne désemplissent pas, entre les artisans, paysans et autres hommes de bonne volonté qui veulent s’essayer à une vie nouvelle en Terre-Neuve et les marchands, notables et officiels qui tentent d’anticiper la fortune qui semble maintenant promise à la Compagnie.

Martin est devenu le grand ordonnateur de fait de toute cette activité même si la vie au grand air et les soirées de beuverie en bonne compagnie chez la Grosse Lulu lui manquent. Un soir, bien tard, le jeune Lucien qui, en attendant de devenir l’apothicaire de Terre-Neuve fait office d’homme à tout faire pour Martin glisse un œil dans le bureau de l’homme d’armes.

- « Patron, y a un paquet pour vous… »

- « De la part de qui ? »

- « Je sais pas, on a déposé ça en fin de journée, et j’ai pas eu le temps de voir… »

- « Bon, amène moi ça et rentre dormir chez toi. »

Quelques minutes plus tard, une fois le jeune homme parti, Martin lève les yeux de la paperasse interminable dans laquelle il se noie depuis des semaines. Son regard se pose sur la petite caissette en bois posée sur son bureau. Elle est plus haute que large, de section carrée. Il n’y a aucune indication dessus.

Il sait ce qu’elle contient, et l’idée de l’ouvrir le répugne. Mais il sait qu’il n’a pas le choix, il lui faut être sûr.

Il se retourne et attrape un pied de biche.
Mozart n'a pas écrit que le Boléro de Ravel. Mais aussi plein d'autres trucs beaucoup moins connus (comme le canon de Pachelbel). - Le Grümph
Avatar de l’utilisateur
Sammael99
Dieu des babines ruinées
Messages : 12921
Inscription : mer. sept. 15, 2004 11:43 pm
Localisation : Nantes, France

Re: [CR][REIGN] A La Découverte d'un Nouveau Monde

Message par Sammael99 »

ET VOILA, LA NARRATION EST A JOUR!!!

YIPPEEE!
Mozart n'a pas écrit que le Boléro de Ravel. Mais aussi plein d'autres trucs beaucoup moins connus (comme le canon de Pachelbel). - Le Grümph
intylzah
Dieu des vampires d'avant
Messages : 2951
Inscription : dim. mai 29, 2005 11:08 am
Contact :

Re: [CR][REIGN] A La Découverte d'un Nouveau Monde

Message par intylzah »

:rock :wub: :yes:
Retrouvez mes scénarios Vampire la Mascarade sur Storytellers Vault
Avatar de l’utilisateur
Sammael99
Dieu des babines ruinées
Messages : 12921
Inscription : mer. sept. 15, 2004 11:43 pm
Localisation : Nantes, France

Re: [CR][REIGN] A La Découverte d'un Nouveau Monde

Message par Sammael99 »

Juste un petit up si jamais il n'y en avaient qui étaient fans et qui auraient raté la chose.
Mozart n'a pas écrit que le Boléro de Ravel. Mais aussi plein d'autres trucs beaucoup moins connus (comme le canon de Pachelbel). - Le Grümph
Avatar de l’utilisateur
XO de Vorcen
Dieu du brandy
Messages : 5416
Inscription : ven. août 29, 2008 10:18 am
Localisation : Savigny sur Orge (Essonne)

Re: [CR][REIGN] A La Découverte d'un Nouveau Monde

Message par XO de Vorcen »

Mais non, les fans restent à l'affut. C'est juste qu'ils restent discrets pour pas effaroucher.

XO qui avec 3 CR de retard n'ose plus relancer les autres
Avatar de l’utilisateur
Cédric Jeanneret
Dieu des petits Suisses à la choucroute
Messages : 2749
Inscription : mer. oct. 19, 2005 3:10 pm
Localisation : Genève
Contact :

Re: [CR][REIGN] A La Découverte d'un Nouveau Monde

Message par Cédric Jeanneret »

Pareil, j'apprécie toujours autant ce CR.
Jiohn Guilliann
Dieu du plan social
Messages : 587
Inscription : jeu. août 14, 2003 3:55 pm

Re: [CR][REIGN] A La Découverte d'un Nouveau Monde

Message par Jiohn Guilliann »

J'ai hâte de voir comment Benoit va pouvoir faire son compte rendu, vu comme la session a été chaotique :-)

Jiohn Guilliann
Avatar de l’utilisateur
Cédric Jeanneret
Dieu des petits Suisses à la choucroute
Messages : 2749
Inscription : mer. oct. 19, 2005 3:10 pm
Localisation : Genève
Contact :

fausse joie de l'après-midi...

Message par Cédric Jeanneret »

Rien ne vous empèches de l'aider...
Avatar de l’utilisateur
Sammael99
Dieu des babines ruinées
Messages : 12921
Inscription : mer. sept. 15, 2004 11:43 pm
Localisation : Nantes, France

Re: [CR][REIGN] A La Découverte d'un Nouveau Monde

Message par Sammael99 »

Bah, tu penses bien qu'ils n'ont pas envie de s'emmerder...

Cela dit, c'est vrai que ça va être coton. J'espère trouver un peu de temps pour m'y atteler en fin de semaine si le boulot me lâche un peu la grappe.
Mozart n'a pas écrit que le Boléro de Ravel. Mais aussi plein d'autres trucs beaucoup moins connus (comme le canon de Pachelbel). - Le Grümph
Avatar de l’utilisateur
Cédric Jeanneret
Dieu des petits Suisses à la choucroute
Messages : 2749
Inscription : mer. oct. 19, 2005 3:10 pm
Localisation : Genève
Contact :

Re: [CR][REIGN] A La Découverte d'un Nouveau Monde

Message par Cédric Jeanneret »

et tu n'as même plus les moyens de leur promettre des XP en échange de leur aide....

Mais on te soutient tous dans cette terrible épreuve (et puis aussi là si tu veux pas de faire péter les rotules par tous le forum la prochaine fois qu'on te croise, tu n'as pas vraiment le choix :mrgreen: )
Avatar de l’utilisateur
Sammael99
Dieu des babines ruinées
Messages : 12921
Inscription : mer. sept. 15, 2004 11:43 pm
Localisation : Nantes, France

Re: [CR][REIGN] A La Découverte d'un Nouveau Monde

Message par Sammael99 »

Cédric Jeanneret a écrit :et tu n'as même plus les moyens de leur promettre des XP en échange de leur aide....

Mais on te soutient tous dans cette terrible épreuve (et puis aussi là si tu veux pas de faire péter les rotules par tous le forum la prochaine fois qu'on te croise, tu n'as pas vraiment le choix :mrgreen: )
Quelque part, je vivrais comme un échec de ne pas aller jusqu'au bout, surtout alors qu'il ne reste qu'une session (certes touffue) à narrer. J'aurais pu abandonner tellement de fois avant...
Mozart n'a pas écrit que le Boléro de Ravel. Mais aussi plein d'autres trucs beaucoup moins connus (comme le canon de Pachelbel). - Le Grümph
Répondre