[CR] - Le donj du vendredi soir présente:D&D 5 dans le dodé!

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Soulyacémoa
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Re: [CR] - Le donj du vendredi soir présente:D&D 5 dans le dodé!

Message par Soulyacémoa »

Nos aventures ressemblent à une partie d'échecs,
certes disputée, sanglante et heurtée,
mais une partie d'échecs, assurément.
Sans doute Baron savez-vous jouer aux échecs ?
Vous avez certainement acquis ce talent comme moi,
avec l'archétype "Noble" qui nous sied si bien...

Et il faut reconnaître que l'on ne se débrouille pas trop mal.
Versatiles au possible, les Tristes Sires jouent,
les noirs ou les blancs, c'est selon...
Mais toutes les pièces sont bien là,
pour la démonstration de stratégie
(si une fois ou deux, on avait planifié, non ?),
bref la plus brillante démonstration qui soit :

Nous sommes ses hommes liges,
oui, le Baron est notre roi,
et si Kartryn est la Dame du Tricéphale,
Zmey est celle de la Compagnie.
Devlin et Cylen sont nos tours,
Argarn et l'Etranger nos cavaliers,
Albéric le moine ivre et votre dévoué sont bien fous,
les Devlin boys sont nos pions,
piétaille sans réelle importance...

La partie a commencé, je ne sais qui sera le prochain adversaire,
mais c'est égale, nous allons vaincre...
et s'il le faut même, sans tricher.

Mustov Moroz,
Barde des Tristes Sires.
Dernière modification par Soulyacémoa le ven. nov. 13, 2015 3:13 pm, modifié 4 fois.
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Soulyacémoa
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Re: [CR] - Le donj du vendredi soir présente:D&D 5 dans le dodé!

Message par Soulyacémoa »

50 posts les amis, je lâche le mic, c'est promis...

Si c'est un trip d'écrire, rien ne vaut la vie risquée d'aventurier à vos côtés.
Dernière modification par Soulyacémoa le jeu. mai 12, 2016 1:44 pm, modifié 2 fois.
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Orlov
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Re: [CR] - Le donj du vendredi soir présente:D&D 5 dans le dodé!

Message par Orlov »

Continue Yahya !
"Et si Kartrine est la dame du tricépahele
Zmey est celle de la compagnie"

J'en rigole encore !
Cryoban a écrit : lun. juin 26, 2023 7:56 am Le vrai problème c'est les gens.

Mildendo aka Capitaine Caverne a écrit : Faire du Jdr c'est prendre une voix bizarre et lancer des dés en racontant qu'on tue des gobs.
Memphis
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Re: [CR] - Le donj du vendredi soir présente:D&D 5 dans le dodé!

Message par Memphis »

Memphis Uraeus est satisfait de vous voir répondre à son appel.

Survivez au cerbère ailé des Anciens
et en tant qu'Aîné et Maître des Treize,
je vous garantis un accueil sans pareil en ma demeure.
Vous pourrez parcourir mon royaume pour l'éternité,
sans jamais vous lasser...
ni trouver la sortie.

Je vous attends, que votre supplice commence,
telle est ma volonté.
Memphis Loki.
Dernière modification par Memphis le jeu. nov. 12, 2015 6:38 pm, modifié 1 fois.
Memphis
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Re: [CR] - Le donj du vendredi soir présente:D&D 5 dans le dodé!

Message par Memphis »

5
5 cinq
5 est l'Aïeul de 50,
5 est la perfection :
5 noms pour un barde déjanté,
5 sommets au pentacle rouge et torturé,
5 doigts seulement pour une main qui tient le glaive du destin,
2 mains pourraient applaudir ou bien broder
comme une petite vieille désœuvrée
mais certes 5 est la vérité
Oui 5 est la vérité.
5 cinq
5


5 noms glorieux seulement passeront à la postérité :
5 étoiles brillent au firmament des Tristes Sires,
Car en vérité je vous le dis,
3 ne survivront pas.

Et ce monde impur à 12 faces bientôt tremblera...

5 est l'essence de la perfection.
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Dof Man
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Re: [CR] - Le donj du vendredi soir présente:D&D 5 dans le dodé!

Message par Dof Man »

salutations distinguées,

n'ayant pas été alerté de nouveaux messages, je ne m'étais pas rendu sur le fil de cette histoire si belle. et quelle surprise ! des posts et des posts comme s'il en pleuvait !

bon, le Baron est dans la place.

que cette ville de Gebenheim est laide ! et elle pue, salement ! aucun charme, aucun attrait et pourtant nous nous sommes engagés à y retourner.
pour quelle stupide raison ? soutenir un compatriote qui nous en a fait la demande. il y a quelque chose de pourri à Gebenheim, nous le traquerons, nous le trouverons et alors nous aviserons.

je me fais fort de m'appliquer une devise qui jusqu'à aujourd'hui ne m'a pas fait défaut "traite les problèmes quand ils se posent".
nous reviendrons Gebenheim, et nous aviserons.

pour l'heure notre problème se situe à la capitale.
en tant que capitaine, je m'essaie de ressentir ce que chacun d'entre vous ressent. vos joies sont ma joie et vos peines sont ma peine. vos colères sont ma colère et vos volontés ma détermination.

c'est donc dans notre plus intime chair que nous avons été touchés. le seigneur d'Arn est mort. assassiné, les faucons ont lacéré de leurs serres les espoirs et promesses de paix. le deuil ne nous est pas permis.

sous mon capitanat, ceux qui pensent que nous sommes une famille se trompent, nos ennemis se trompent, nos amis se trompent. nous ne sommes pas les Tristes Sires mais la Compagnie Triste Sire, nous ne sommes qu'Un. et en tant que capitaine je ne suis ni le coeur ni l'esprit de cette compagnie, je laisse ce soin à d'autres mieux dotés et plus doués que moi, j'en suis l'Âme. les bras pour la guerre et la bataille, l'esprit pour la ruse et la stratégie, le coeur pour la force et la volonté, nos jambes pour nous mouvoir et nous répandre, et une Âme pour l'Union.

la compagnie Triste Sire a pu faire sourire, elle est jalousée, elle doit dorénavant imprimer la peur et l'effroi.
ô assassin, écoute moi, nous t'embrasserons, nous te baiserons le front comme un père aimant, nous pleurerons puis nous répandrons le sel sur toute terre que tes pieds auront foulé, nous trancherons toutes les mains qui t'ont touché et caressé, nous éviscérerons tous ceux qui t'ont aimé et donnerons leur coeur aux bêtes les plus viles, ton nom ne sera pas oublié il sera hurlé, scandé et haï, et alors nous ouvrirons nos bras et te rendrons ta liberté.

tu sauras pourquoi nos couleurs sont l'or et le noir...
"ce que tu dis est dénué de sens !
- fais gaffe, tu préfères des nuées de météores ?"
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Dof Man
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Re: [CR] - Le donj du vendredi soir présente:D&D 5 dans le dodé!

Message par Dof Man »

notre enquête se poursuit.
nos informations nous rapprochent de plus en plus d'Alexandre de Ligen, nouveau Prince depuis le décès de son père, mon père. ainsi mon cher demi-frère fait des siennes. c'était prévisible mais pas aussi tôt.
nous avons mobilisé nos ressources et nos contacts respectifs pour obtenir des informations. la pègre, les bardes, la noblesse, les quidams, les aubergistes, la sainte Wehm, j'en passe. les informations concordent mais pourquoi ? quel mobile ?
le camp des faucons, opposés à la paix ont perdu leur plus puissant opposant mais est-ce pour cette raison ? trop simple voire simpliste mais pas incohérent.
nous nous sommes rendus chez maître Mathias, herboriste de renom et empoisonneur célèbre.
alors que nous pensions uniquement y recueillir des informations la situation a dégénéré et nous avons dû nous battre pour nos vies. et nos ennemis y ont laissé les leurs.
je n'aime pas la forme que je peux prendre pour me battre mais c'est efficace, je ne l'aime pas car elle me rappelle ma faiblesse et les coups endurés durant mon enfance. si j'avais pu plus tôt me défendre ainsi, le prince ne serait plus depuis longtemps. je l'aurai réduit en pulpe lui et sa mère. et tous les autres et les autres et les autres. je n'aime pas cette forme car elle permet à ma colère de s'exprimer.

j'ai proposé à l'esprit du défunt Mathias un marché. des réponses honnêtes en échange de la vie ou une non-vie d’errance dans sa cave à y dévorer les rats.
il a choisi la première solution et j'ai tenu parole.
et ce qu'il nous a dit a jeté le trouble sur nos convictions.
l'empereur aurait reçu du Musicien plus que l'empire. je n'aime pas cette information, elle nous met en péril. apparemment notre enquête nous mène vers des domaines où ne nous sommes pas bienvenus. J'espère que nous pouvons encore compter sur Sebald sinon nos ambitions risquent d'être malmenées.

ah, pour finir, pourquoi la plus anodine des décisions devient-elle un prétexte à pugilat verbal, menaces et confusion ?

je sais pourquoi j'ai été désigné capitaine. je crois qu'aucun autre que moi en aurait enduré autant. j'ai plus besoin d'eux que eux de moi, ils le savent, le sentent et cela permet à chacun d'entre eux, mes chers tristes sires, de marquer son individualité dans un collectif qui pourrait les faire disparaître.
nul ne veut se diluer au sein de la compagnie Triste Sire, je le conçois, le tolère et l'estime. et le respecte.
j'assume et continuerai d'assumer ma fonction de capitaine, j'assumerai les décisions qui peuvent provoquer de la colère ou du ressentiment, il faut bien que quelqu'un le fasse. ma fonction ne me met pas à l'abri de l'erreur, au contraire même, ne se trompent que ceux qui décident et agissent. ma fonction est d'être le réceptacle des échecs et des décisions foireuses, je vous laisse la gloire et la fortune, je me contenterai du reste.
je ne suis pas ambitieux, mon ambition est morte alors que j'avais 5 ans, quand ma mère, dame de compagnie de la mère de mon père, est décédée, puis morte à nouveau quand mon grand-père, capitaine de la garde de Ligen, est décédé. j'avais 7 ans. c'est alors que j'ai été appelé auprès de mon père pour y recevoir une éducation, c'est alors qu'ont commencé mes tourments. c'est alors que je me suis tourné vers Lui, le Toujours Souriant, le Maître des masques, l'Innomé, le Mille-noms, le Dieu oublié, le Dieu sans temple, le Dieu sans culte, le Dieu sans fidèle. c'est alors que je me suis tourné vers la lumière. Lui est Le Dieu de la lumière, des lumières, de toutes les lumières.

nos couleurs sont l'or et le noir. mes chers tristes sires, vous brillez de mille feux.
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Orlov
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Re: [CR] - Le donj du vendredi soir présente:D&D 5 dans le dodé!

Message par Orlov »

C'est un problème de bottom management tout ça.
Mon conseil t'inspirer du plus fameux manager d'épicerie de tout le wisconsin
Cryoban a écrit : lun. juin 26, 2023 7:56 am Le vrai problème c'est les gens.

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Dof Man
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Re: [CR] - Le donj du vendredi soir présente:D&D 5 dans le dodé!

Message par Dof Man »

c'est pas qu'une question de management, c'est aussi plus généralement une loose un peu globale.

forts de la légitimité de notre enquête bien qu'officieuse, nous avons cherché à mobiliser nos réseaux.
mais le temps nous manquait et nous devions faire des choix.
j'en ai opéré deux, ou plutôt trois.

rencontrer la Sainte Wehm, solliciter une audience auprès de l'Empereur, et un truc un peu plus perso.
chou blanc dans mes deux premières entreprises, la troisième est encore en préparation.

ce n'est pas que le sujet ne l'intéresse pas mais la Sainte Wehm ne se mobilise que très rarement sur les questions de politique intérieure. ils me laissent mener l'enquête comme je l'entends et attendent un compte-rendu exhaustif et fidèle dès celle-ci résolue. je crois qu'avec nos dernières infos en poche, ils pourraient y accorder un peu plus d'attention bien que je suppose que leur position restera la même. ce n'est pas grave, je saurai me plier à leurs demandes.
j'aime l'austérité du bâtiment qui habite cette vénérable et ancienne institution. j'aime le calme qui y réside. et pourtant il y aurait de quoi rendre fou un esprit simple. on devine derrière chaque porte un secret oublié, derrière chaque tenture une menace empêchée, derrière chaque mot employé une économie de force et de volonté. la force et la volonté se mobilisent pour d'autres tâches.

malgré mon insistance et l'urgence de la situation, le Sénéchal de Sébald n'a pas réussi a m'obtenir une audience auprès de l'Empereur. je voulais ressentir au plus près l'impact de la perte de son dernier compagnon, je voulais par quelques mots échangés connaître sa position, son ressenti et par là déterminer notre marge de manœuvre. l'Empereur est très pris actuellement et n'a pas pu se rendre disponible. je remettrai à plus tard cette rencontre.

ma dernière est plus simple mais plus longue et plus coûteuse. je continue de croire que l'histoire de la Compagnie Triste Sire n'a qu'à peine dépassé son prologue. quelques chapitres au mieux. mais l'Histoire, celle que l'on racontera reste construire. et il manque des artifices, des accessoires qui deviendront reliques et se transmettront de générations en générations. nous avons notre bannière mais j'aimerai que chacun d'entre nous ait un petit quelque chose qui nous rassemble, qui matérialise notre alliance. j'ai demandé à ce que soient confectionnés 8 anneaux. 6 d'or, un d'argent et 1 noir.
j'attends avec impatience le résultat. ceux-ci viendraient en complément de nos chevalières.
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Cygur
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Re: [CR] - Le donj du vendredi soir présente:D&D 5 dans le dodé!

Message par Cygur »

On le sait la mémoire s’amuse à jouer des tours, depuis ces souvenirs sont passés bien des jours…
Tendancieuse, partiale, sera ma narration ; j’éviterai cependant les mensonges, la fiction.

Réminiscence : Ligen, Yog Sototh et sa suite, le dédale, ses couloirs, le carnage et la fuite.
Iago muselé par vœux ; Albéric : épuré ; l’aube éclaire Nymferburg, brûlée, défigurée.
L’enfer forge un serment : « l’union pour réussir » ; nous façonnerons des bagues, dédiées aux « Tristes Sires » :
de guingois les couronnes, sur masques riant bien, et ces sceaux sur nos doigts, réveilleront ce lien.

Désertant cataclysme et forces surhumaines, vers Sébald à nouveau, nos routes nous ramènent.
Dépourvu de moyens, sénéchal donne des titres, à défaut d’enrichir, anoblit les bélîtres.
Quarante mille pièces d’or qui semblent se cacher, c’est dans le ‘Bois Pourri’ que nous devrons chercher.
Inquiétants et volants, juste avant le bivouac, Iago distingue des êtres, qui s’avancent et attaquent,
Hybrides créatures à la fois aigle et cerf, la guerre est un diner où ils servent de desserts.
Cadeaux de la Wyvern ou plutôt un acompte, quand nous nous reverrons nous règlerons nos comptes.

Vraiment le ‘Bois Pourri’ mérite l’appellation, enfin la caravane après l’exploration :
avec ronces, mêlés, orcs, chevaux, chariots, et pas un survivant dans les rangs impériaux.
L’or ayant disparu, seule déduction : pillage. Nécessitant repos, direction un village
décelé entre-temps, sans mur ou mirador ; Dreadnot à l’extérieur de l’auberge où l’on dort
localise les trois orcs, deux portant un mourant, le laissant choir au sol et partant en courant.
Approchant le cadavre, alertés prestement, on voit ses convulsions, son anéantissement.
Grouillants insectes, immondes, du crevard perverti, émergent en rampant, nous voici avertis.

En cette nature hostile et oubliée des Dieux, on recrute un ranger, populaire en ces lieux.
C’est sous sa direction que nous suivons la nôtre, un ‘Triste Sire’ en plus, comme un nouvel apôtre.
Agrippés par des branches, des végétaux vivants, des lianes qui louvoient, ou des sables mouvants,
pour parvenir au fort, un mètre est une lutte ; à la lame on défriche, minute après minute.
Impossible repos dans l’ambiance à gerber, autour les bois s’agitent, voulant nous absorber.
Découverte au matin, grâce aux yeux des veilleurs, la vaste cavité, et l’étoile en son cœur,
formée par sacrifiés. Les examens menèrent, au centre du fossé, de l’immense cratère,
d’où sortirent mains griffues, empoignant Albéric, puis deux autres sorcières, tout aussi hystériques.
Chacune d’elle se distingue par ses capacités : la lutteuse, la guerrière, fieffées solidités,
une mage, dans les airs, tuée par Iatov et Zmeï, ce qui fit qu’elle ne pût accomplir merveilles.
On tue la thaumaturge et ses sœurs progressent. On ruine l’accrocheuse : maintenant chasseresse,
un arbre combattant, survolté, reste en lice ; toutefois c’est la fuite, quand ses branches grandissent.
Nombreux ont décampé, binôme fou reste encore, malgré sorts et racines, dévaste au corps à corps.
Des assauts acharnés, victorieux non sans mal ; un arbre de pendu, d’une noirceur abyssale
apparait devant nous, sans aucune logique ; sur treant-sorcière, se trouve un heaume magique.
L’or restant introuvable, allons vers le fortin ; atmosphère délétère qui ravive nos instincts.
Curieux nous prospectons, vermines et moribonds, des scènes de tueries, relents nauséabonds ;
au sous-sol on découvre une abomination : druide à corps d’araignée ; passons donc à l’action.
Face à nos sorts, nos lames, voici notre horizon : chitine et mandibule, morts-vivants et poison.
Étripage sanglant, avec tout ses excès, récupérer le fric, achève notre succès.

Message à l’employeur, que notre casque alerte, il prescrit ‘Sainte Wehme’ pour notre découverte.
Cavalcade et campement. Hommes-bourbe à l’affut : nos cris, incantations, se mêlent au raffut.
Ces pourceaux on pourfend, vase pour œil, boue pour sang ; diversion qui occulte, bien qu’il fût adjacent :
gigantesque, effarant, musculeux, vert d’écailles, soufflant, pestant, rageant, dragon voulant ripaille.
Mais tout doux, va coucher, nous sommes forte affaire, à la longue l’expérience amène à nous parfaire,
bien qu’immense et mortel, sois-tu, puissant ennemi, ce groupe te rongera comme la septicémie.
On combat, on subit, on meurt, et on rugit ; peu à peu on s’adapte et forme des stratégies ;
tu dois t’avouer vaincu, la fuite est ton option. Nouvel adepte : « au poste », et obtiens notre onction.
Traquons bête blessée, jusque dans sa tanière, jusqu’au passage étroit, coursive meurtrière ;
scission du groupe subie, créée par mur de pierre ; Devlin au corps à corps et moi juste derrière,
impétueux, imprudents, que ta mort dans nos yeux, oubliant qu’un guerrier peut ne pas mourir vieux…
Un couloir… Les ténèbres… Et la lumière au fond… une chute, un plongeon… De plus en plus profond…
Et puis rien… Rien de plus… Finalement des visages : Albéric et Dreadnot interrompent mon voyage.
Colère valant vigueur, ils nous avaient trouvés : semi-morts, inconscients ; eux-mêmes fort éprouvés.
Dragon a disparu, tant mieux vus nos états ; au nom de tout les miens, je jure une vendetta.
En mon for intérieur, c’est une approbation : ‘Tristes Sires’ et amis, j’ai misé sur bons pions.
Buvons, trinquons encore, à la tienne, à la vôtre, à nos vies, nos destins, enfin plutôt, au nôtre.

Espérée Hunderturm, capitale de l’Empire, qu’on prend plaisir à vivre quand on survit au pire,
Sainte Wehme prend le casque, voilà « semaine de joie », repos soit, mais mission, comme mercenaire se doit.
Archers Dreadnot, Argarn, furtifs dans paysage, ‘Beliatov’ fait forger un heaume à trois visages,
hôtel particulier pour Devlin saigneur nain, en Erlen, casino, louant corps féminins,
le banquet d’Albéric pour la publicité, les réseaux haut placés aussi sollicités,
par Zmeï et Johannes qui rôdent au Palais, campagne promotionnelle, c’est ce qu’il nous fallait.

Pour un traité de paix, trajet vers Belgalide, nous escortons Sébald, augurant des séides.
Terrain neutre île vide, accueille délégations, celle dans face n’amenant que la dévastation :
agresseurs en armure, costauds et résilients, courants d’air assassins, sifflants et malveillants.
Le sénéchal blessé prend la route du retour, et nous nous questionnons : qui nous a fait ce tour ?
La ‘Wyvern’ à coup sûr, par quel entremetteur ? Le vrai ambassadeur, quel fut son prédateur ?
Poursuivant vers le sud, le groupe cherche à savoir, nous remontons la piste, sans jamais perdre espoir,
jusqu’à ville fortifiée, par douves entourée. Examinons les risques, en cas d’échauffourées :
fantassins aux créneaux, et donjon fort gardé ; nous comptons à l’avance ceux qu’il faudra larder.
C’est beau un plan réglé, comme papier à musique : plaque de marbre et burin, gravons la date unique !
Sans traumatisme grave, consul est libéré : boulot fait, à la paye, et puis récupérer.

Hunderturm pour six mois, pas que de l’entraînement ; car l’égo de chacun, vise à l’accomplissement :
de ceux qui, tout en haut, saluent un empereur, courtisent nobles et riches, parés de leurs splendeurs,
jusqu’au bas de l’échelle où l’on boit de la bière, où l’on forge des armes, et baise des ‘chambrières’,
omniprésents résonnent, les noms de tous ces hommes ; nul ne peut désormais, ignorer qui nous sommes.
L’union de Béliatov, cérémonie grandiose, avec Dame Kartrine, fut une apothéose.

Résident du Palais, conseiller des plus Hauts, pondérant belliqueux, de la paix un héros,
colombe parmi faucons, demeurant vaille que vaille, Comte Haarn est comme un père, qui propose travail :
tâche confidentielle, ramener fils ‘enlevé’ ; un rapt ou une fugue ? Ce voile doit se lever.
Rançon est demandée, un endroit mentionné, tout de go, Doppeldam, ‘Tristes Sires’ missionnés.
Sur place, avouons-le, l’autochtone prête à rire : merlus, colins, gardons, pourraient bien les décrire.
Pourtant ça semble plaire à notre ‘kidnappé’, car d’Élisa Rochweig il ne veut s’échapper.
Facile de le trouver, nous sommes même invités, pour souper au manoir, en toute intimité.
Seigneur et capitaines expliquant leur projet : lever malédiction, quêter pour un objet,
caravelle affrétée, partir pour autre face ; projet trop imprévu, juge baron perspicace.
Car une chose à la fois, d’abord ramener le fils. Rauchweig s’y résout. On sort de l’édifice.
Nous avions convenu de partir la nuit faite, mais c’était sans compter, sur les plans de fillette.
Traquenard dans la ville, dirigeant les ‘cultistes’, inédite rivale, s’ajoute à notre liste.
Pendant bataille elle fuit ; désirant des réponses : volte face au château. Sur place on y renonce :
bain de sang, têtes tranchées, sauf fils Haarn, tout le monde. Débarquent les escouades : nous entrons dans la ronde.
« Crevez tous, toi aussi », empestant la tripaille, nous finissons la joute, couverts de sang, d’écailles.
Œil de lynx, Devlin, apercevant Dagon ; face à tel adversaire, dérobade se cautionne :
il fait vibrer le sol à chacun de ses pas, charriant avec lui, des carnages, des trépas.
Détaler à toutes jambes, effacer sa vision, qui malgré la distance provoque la confusion.
Mais pendant qu’on essaye d’oublier l’infamie, de Charybde en Scylla, survient un tsunami,
emportant avec lui ce qui pouvait rester ; les gens et la cité, tout cessa d’exister.
On distingue, accablés, plus haut que flottaison, lames de fond, déferlantes, submergeant les maisons.
Attendant l’accalmie, sa conséquence induite… Renommée confirmée : « Doppeldam, ville ‘des-truites’ ».
Payer un tel tribut, macabre aberration ; Nymferburg, Doppeldam, même constatation :
« tout affronter », c’est âpre ; mais que dire de « comprendre » ? On combat des énigmes, et on laisse des cendres.
Un rituel du baron dispense de natation, suite à pareil prodige on relance l’incursion.
Faisons bref : le château, bâti sur promontoire, on fouille et on découvre, cachés dans des tiroirs,
trois objets : un livret, une boussole et une carte. Plus rien à faire ici, mais avant qu’on ne parte :
intact et hors des eaux, fouiller le temple étrange, barré de l’extérieur, dont l’essence nous dérange.
Une fermeture externe, pas si bêtes les locaux, savaient ce que renferment ces lieux inamicaux :
des gluants, des visqueux, de stupre ‘élémentaux’. Au fond statue géante ; motifs ornementaux
s’affichent sur piédestal, qui une fois déchiffrés, autorisent un accès, où l’on vient s’engouffrer.
Échelle, puits et caverne, atmosphère qui glace, trop étrange domaine, regagnons la surface.
Mais le retour s’avère moins simple que l’aller, vomissure de démon vient sur nous s’étaler.
Après passage en force, maitre Haarn contacté, traquer ‘Élisanguille’, c’est là sa volonté.

Macchabée du fils Haarn, grâce à nécromancie, a détaillé les plans, à fait même un récit,
des plans envisagés par sa douce fiancée : étape à Gubbenheim, et de quoi financer
les projets de Rochweig, la grande traversée ; pêchons ‘Piranhisa’, sans plus tergiverser.

Après quarante huit heures, prospectant dans la ville, dinant chez dignitaires, soudoyant les plus vils,
mettons donc en commun toutes les informations, que nous avons glanées pour mener la mission :
la lumière du temple, construit pour Apollon, protégeant la cité, de Loki le Félon ;
exacte vérité ? Délire ésotérique ? : La légende de ‘l’Ombre’, espace labyrinthique ;
la ‘Wyvern’ aujourd’hui, aux yeux de tous s’affiche, en honnêtes commerçants, voulant juste être riches ;
Penberg et Robertson, pionniers de l’excursion - dont Dame ‘Élisanchois’ veut réalisation -
escrocs charismatiques, qui en bons parasites, s’en allèrent au diable, grâce à l’or des élites ;
imprimeur à leur solde, connais ‘Élirascasse’, il faudra le trouver, puis le rendre loquace ;
Tobias le capitaine, de son navire spolié, prêt à prendre la mer dès qu’il aura voilier ;
bourgmestre dirigeant une agglomération, plutôt cartel de guildes, formant association.

C’est fou ce que permettent, nos belles réputations ; avec ces deux derniers, nous avons tractations :
dans cinq jours les milices, iront chez qui héberge, ‘Élithon’, qui déjà, possède bateau sur berge,
et elle sera virée, manu militari. « Ou morte bien avant », voilà notre pari.
Achetant le second, Haarn père et crédits, « Revoilà ton navire, appareille quand on dit ».
Éludons les détails, on n’est pas des touristes ; par ledit imprimeur, débutons notre piste.
« Contacte ‘Élisablette’, nous jurons récompense ; joue au niais avec nous, on te crève la panse ».
Concevant le sérieux de la phrase précédente, typographe fait appeler de manière diligente,
un courrier hobelin, lourdaud et corpulent, qu’on prend en filature ; mais on est bien trop lent.
Aussi haut qu’il est large, l’adipeux est une flèche, franchissant les obstacles, quand ceux-ci nous empêchent.
Poursuivants morcelés, ‘Tristes Sires’ bredouilles, « recourir contre lui, mieux vaut secouer les nouilles ».
Barbare est approché, temps semblant s’arrêter, par spectrales créatures, désirant l’inviter,
à venir au bordel, ‘cercle rouge’ appelé, dont la mère maquerelle a pour nom Céphalée.
L’invitation contient une dose de toxine, qui dut produire carnage, en rendant fou Devlin.
Racontant son histoire, il parait écumer : les valets en livrée, disparurent comme fumée.
Imprimeur a déjà la réponse d’’Élimande’ : ‘dix-huit heures, Coutellerie ‘, voilà quand elle nous mande.
Á Gubbenheim cette rue, c’est synonyme de mort. Pour peu qu’on s’en soucie ; mais être loin du port,
rend possible la fuite de notre amie commune ; rencard vaut algarade, l’heure est inopportune.
Chacun argumentant, on estime, on ergote, coutume chez ‘Tristes Sires’, à mains levées le vote.
Quitte à crever tant pis, testons la ‘Coutellerie’, va pour la gueule du loup, même si c’est filouterie.
Nous sommes seuls ici, voulant se pavaner ; les fenêtres, les portes, sont toutes condamnées.
Dix puis vingt, trop nombreux, zombies, spectres, sorciers, nous poussent à adopter l’allure du coursier.
Ruelles, carrefour, embûche, au seuil d’une auberge, assassins et archers, empoisonnés concierges.
Spadassins achevés, cadavres piétinant, un nain obnubilé, trouve les lieux fascinants.
On le suit et soudain, au détour d’un mirage, le troquet disparait, à sa place : marécages,
squelettes et eau croupie, baroque cathédrale, à quelques pas de nous, inattendue, glaciale.
Ombre de Gubbenheim, Lokéion, est réel ! Vas-y Johannes John, implore ton Éternel.
Après s’être présenté, on pousse la double porte, attendant que Loki, ses grâces nous apporte…
Êtres à tentacules, attirant dans les airs, furieux démon ailé, qui invoque ses ‘frères’…
On finit la bataille, éclopés, éreintés. Clignement d’œil plus tard, comme téléportés ;
évanouis : Lokéion et les démons inertes ; la clique est en plein jour, dans impasse déserte.
Tobias et le bourgmestre ont tous deux même langage : « je vous croyais enfuis, ayant pliés bagages ».
Nos pérégrinations auront duré sept jours… Bateau Rochweig en mer, Élisa vogue toujours.
Le pire est à venir : Haarn père décédé ; mais ce mot rime trop bien avec ‘dessoudé’.
Sébald nous rappelle afin d’élucider, si c’est mort naturelle, ou s’il fut trucidé.
‘Bénévole’, mot banni, du lexique de Zmeï : qu’importe nos amitiés, mercenaire se paye.
Déçu de l’attitude, générant discussion, baron y met un terme, promettant picaillons.

Capitale, chez comte Haarn, trois valets suspectés, dont deux se sont enfuis, troisième exécuté.
L’égorgée fut trouvée près d’une taverne des Chiens ; insuffisant toutefois, pour établir un lien.
Nécromancie sur elle ; voix déshumanisée : « Alexandre de Ligen a tout organisé ».
Au sein de leurs milieux, membres du groupe s’instruisent. On intrigue, on discute, questionne et se déguise.
Deux jours, Concile de Pierres, pour notre ralliement ; réunion ‘Tristes Sires’, quels sont renseignements ?
Nobles grouillent au Palais, la joute les agglutine, pour hommage à comte Haarn, à la Cour cabotinent ;
les faucons raffermis encerclent l’Empereur, « Traité de paix, foutaises, ce fut d’Haarn une erreur,
d’abjecte Galicorne, nous devons nous méfier », remettent en question ce qui fut édifié ;
l’herboriste Mathias, qui conçut la mixture, - payée par Alexandre -, qu’il faudra qu’on triture ;
testament de feu Haarn, suscitant les émois : Biens Nés pérorent en boucle, ‘héritage’ et ‘tournoi’ ;
des servants disparus, une trace estompée : vers Helskrig tout au Nord, cuisinière échappée.

Commençons par ce que nous savons faire le mieux : « Salut Mathias, balance, ou tu rejoins ton Dieu ».
On essaye d’éviter de passer pour des brutes… Terrain d’entente trouvé : « tu meurs puis on discute ».
C’est de l’or ‘Ligènite’, qui paya l’élixir ; cette preuve, quoique mince, peut émouvoir l’empire.
Un laquais de Mathias, ayant fui chez Ligen, de fouiller le castel, nous nous mettons en peine.
Maison cossue jouxtant, impériale forteresse, les soldats qui patrouillent, obligent qu’on se presse.
Trop de pièces, peu de temps ; nous laissons aux milices, soin de faire place nette, dans pareil édifice.
Confirmant l’égorgée, Mathias pointe Alexandre ; cependant qu’à mi-mots, il tâche de faire entendre
que Thorsen succédant à empereur musicien, peut être instigateur, lâchant brides à ses chiens.
Entre enclume et marteau, voilà les ‘Tristes Sires’ : venger un bienfaiteur, mais sans nuire à l’Empire.
En odeur de sainteté, resterons-nous encore, si le frère du baron sert de pitance aux porcs ?
Face aux vœux des élites, groupe d’aventuriers, pèse bien peu de chose : choix des Hauts peut varier.
Ceux qu’un jour on admire, pour efficacité, peuvent être au lendemain, pire que décapités,
car la raison d’état, c’est des tas de raisons : est venue l’heure des choix, pour notre garnison.

Maintenant, à la fin, tirons la révérence. Toutefois, ‘chapeaux bas !’ pour le hasard des chances,
permettant à un barde, épousé récemment, autant de faces au heaume que de comportements,
de veiller sur barbare, noble mais enragé, que seule mort des ennemis peut voir soulagé,
lui aussi secondant, ‘homme-loup’ d’autre face, transperçant de ses traits, quiconque aura l’audace,
d’énerver l’écailleux, dont les yeux sont brasier, consumant même roche, grillant qui veut défier,
un homme des bois discret, qui archer ou duelliste, au mérite doit sa place, et qui toujours assiste,
alcoolique notoire, un moine inaccessible, avec haleine de bière, partageant la même cible,
qu’un guerrier tout en plaques, ombre d’un nain furieux, alchimiste à ses heures, protégeant de son mieux,
un prêtre souffreteux, ruinant les phénomènes qui menacent une équipe, qu’avec aplomb il mène.

J’ai pris part aux combats dans lesquels ils soufrèrent, et en chaque ‘Triste Sire’, je reconnais un frère ;
trop proche pour qu’on le blâme ou qu’on le laisse perdu, même si, par occasion, c’est un travail ardu.
J’ai en tout sept amis, compagnons d’infortune, désirant gloires, triomphes, tonneaux de bière et thunes.
Pas à pas chaque jour, arpentons le chemin, dont nous ne savons pas où il guidera demain,
l’avenir après tout, c’est ce qu’on en fera, et j’ai toute foi en nous. Des vôtres, Cylenzara.
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Dof Man
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Re: [CR] - Le donj du vendredi soir présente:D&D 5 dans le dodé!

Message par Dof Man »

Cylen la claque !

big up !!
"ce que tu dis est dénué de sens !
- fais gaffe, tu préfères des nuées de météores ?"
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Orlov
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Re: [CR] - Le donj du vendredi soir présente:D&D 5 dans le dodé!

Message par Orlov »

Cylen: le scalde du groupe ... quatre mois de jeu magnifiquement mis en rime
Cryoban a écrit : lun. juin 26, 2023 7:56 am Le vrai problème c'est les gens.

Mildendo aka Capitaine Caverne a écrit : Faire du Jdr c'est prendre une voix bizarre et lancer des dés en racontant qu'on tue des gobs.
Memphis
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Re: [CR] - Le donj du vendredi soir présente:D&D 5 dans le dodé!

Message par Memphis »

Cinq est la vérité vraie, l'ultime délire,
Mais ton invocation CYlen me pousse à tricher :
Allons pour six et cessons de compter les posts
Comme on ne compte plus le nombre de Tristes Sires,
Nains, hobbite, ranger vagabond,
En temps de crise tout est bon...

Cylen tu déchires encore une fois,
J'ai apprécié le final où tu as tissé
Tes alexandrins comme un maillage
Où chaque Triste Sire soutient le suivant
Sans concession ni reniement...
Merci pour ce cadeau M. Cy et merci à tous
Et en premier lieu à notre irremplaçable Capitaine,
Quoiqu'il en dise, pour cet inestimable présent :
Vous être tous déguisés avec moi
pour jouer aux blancs Justiciers...
Vivent les Justiciers !
Dernière modification par Memphis le lun. déc. 21, 2015 12:42 am, modifié 1 fois.
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Orlov
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Re: [CR] - Le donj du vendredi soir présente:D&D 5 dans le dodé!

Message par Orlov »

Les Tristes Sires sont (pas) morts ! Vivent les Justiciers !
Cryoban a écrit : lun. juin 26, 2023 7:56 am Le vrai problème c'est les gens.

Mildendo aka Capitaine Caverne a écrit : Faire du Jdr c'est prendre une voix bizarre et lancer des dés en racontant qu'on tue des gobs.
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Re: [CR] - Le donj du vendredi soir présente:D&D 5 dans le dodé!

Message par Memphis »

Et de sept qui ne font pas cinq c'est vrai mais bon...
Chers compagnons, si le compte n'est pas bon
réjouissez-vous néanmoins, ou tremblez
car j'ai pour vous grande nouvelle :

Beliatov, héraut de Memphis, vous annonce la naissance prochaine de son héritier,
Moroz de Tricéphale...

A bientôt Tristes Sires
Dernière modification par Memphis le mar. févr. 09, 2016 11:18 pm, modifié 2 fois.
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