Il était sans armure, armé un sourire au coin des lèvres quand les PJ ont compris qu'ils s'étaient faits empapaouter.Sama64 a écrit :le primarque était balèze ou juste là pour se faire descendre sans faire de dégat ?
Hier j'ai joué à un truc et j'ai envie d'en parler ici
- Cédric Ferrand
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Re: Hier j'ai joué à un truc et j'ai envie d'en parler ici
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Re: Hier j'ai joué à un truc et j'ai envie d'en parler ici
Hier soirée aux caves alliées ( c'est très bruyant) avec Emojk et Ozen, puis une partie de sombre avec l'auteur. Super soirée.
Provocateur OUI, pédagogue NON !!!!
- Lucide
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Re: Hier j'ai joué à un truc et j'ai envie d'en parler ici
Hier partie de Night Witches, dernière mission d'entrainement pour notre escadron, il manquait des qualifications à une grosse partie de nos aviatrices et la mission fut une réussite (notre première mission réussie sans accroc), permettant à toutes d'être prêtes pour partir sur le front (au chagrin de l'une d'entre nous, espérant éviter d'aller sur le front et être réaffectée à un poste moins dangereux).
Tout était donc parfait, idyllique presque, non ? Sauf que durant la mission, mon personnage faisait équipe avec notre chef de section et cette dernière ayant été indécise et agitée, elle a jugé que c'était son devoir d'énoncer ses doutes sur son leader durant le débriefing, ça a mené à une mémorable fin de session où notre unité soudée a été au bord de l'éclatement. Un grand moment
Tout était donc parfait, idyllique presque, non ? Sauf que durant la mission, mon personnage faisait équipe avec notre chef de section et cette dernière ayant été indécise et agitée, elle a jugé que c'était son devoir d'énoncer ses doutes sur son leader durant le débriefing, ça a mené à une mémorable fin de session où notre unité soudée a été au bord de l'éclatement. Un grand moment

- Hudson
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Re: Je prends un peu d'avance mais ce n'est pas grave
Avec du retour, voilà mon retour du scénario étrangement d'actualité pour les FranciliensHudson a écrit :Dimanche prochain, mon Cthulhu sera basé sur le scénario de Mister T.(Le cas étrange du professeur Sebert), mâtiné de l'aventure S.O.S. Météores, de l'organisation criminelle la Main Rouge de ce cher Gustave Le Rouge, avec une intro à la Elias Jackson dans les Masques (l'hôtel).
Ne me demandez pas pourquoi, c'est ce qui s'est imposé naturellement...

Partie assez chaude (1 perso mort, 3 grièvement blessés) où les joueurs ont laissé leur personnage prendre leurs adversaires pour des amateurs, ce qui leur a été fatal pour la bonne conclusion du scénario.
A noter le sempiternel problème jamais réglé : les perso s'emparent d'un collier portant une petite main rouge dont ils subodorent un usage (neutraliser l'alarme qui déclenche une bombe en l’occurrence). Bien évidemment, en repartant en mission, les joueurs oublient de le préciser dans la liste des objets pris. Gentil Meneur, je fais faire un jet de Chance raté. Et s'ensuit la discussion stérile où, bien qu'ils aient oublié, ils avaient l'objet

Il y eu ensuite le joueur dont le premier perso, mal en point à cause de la-dite explosion, a tenu à le faire participer à la fin musclée du scénario malgré mon gentil avertissement. Arriva ce qui devait arriver : mortellement blessé (-2 PV en Cthulhu v5.5, il meurt à le fin du round s'il est encore en négatif - il faut donc passer à 0 pour être sauvé), un autre perso le soigne (1PV, soit -1PV à la fin du round), donc perso mort. Rebelote sur les points de règles pour voir si c'est vraiment ça ...
J'espère que mes joueurs auront compris que les enquêtes :
- ça ne se prend pas/plus à la légère (vu le profil des perso, je corse les histoires),
- mettent en confrontation avec des adversaires qui ne sont pas des neuneus (prévoir des pièges, déguiser leurs sbires en soldats, faire disparaître les preuves),
Le monde se divise en 2 catégories :
Ceux qui ont un pistolet chargé, et ceux qui creusent...
Toi...tu creuses 8)
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- Mickey
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Re: Hier j'ai joué à un truc et j'ai envie d'en parler ici
Petite partie rapide du nouveau 7th Sea, afin de beta-tester la bête, avec la création d'une cellule du Rilasciare montaginoise.
Un noble capitaine de cavalerie, un "polak" [me souviens plus du nom] avocat humilié qui parle aux ombres, un innismore mercenaire et ma pomme: un vodacce de la rue, très social & infiltration, passé par Ambrogia mais qui a du fuir sa nation.
Le chef de la cellule nous réuni mais n'est pas là. On se connait tous à peine, alors on décide de chercher Tristan en fouillant un peu chez lui. Mais assez vite, un groupe d'une 10ène d'hommes en noir nous tombent sur le rable. La capitaine s'échappe et trouve des militaire dans le 1er bistro venu, et les ramène vers la barraque.
A l'intérieur, alors que les lieux laissent penser que le dit Tristant a soit quitté les lieux très précipitemment, soit qu'ils aient été fouillé avec minutie, le mercenaire embarque l'avocat et passe par les toits pour s'échapper. Le vodacce, lui, se planque dans une armoire. Il voit donc débarquer le gros des hommes et se sent bien seul. Mais dans l'armoire, il trouve un manteau noir et un bandana qui enfile pour se faire passer pour un assaillant.
Les militaires mettent en déroute les hommes en noir, mais le vodacce continu de se faire passer pour eux et sauve l'un d'eux pour savoir qui les envoit. Il fait copain-copain en prétant être un vulgaire voleur embauché pour dérober un livre au propriétaire des lieux, prit entre 2 feux, et libère l'homme de main qui doit l'amener voir son chef, tout ca en évitant les militaires, pour ne pas se faire plomber comme de la volaile, contrairement à bien des assaillants.Il croise le capitaine et réussi à lui faire part de son plan, puis il lui confie un rendez-vous: "demandez Marie à la Lanterne Rouge", le bordel du quartier.
Le mercenaire lui, a sauté du toit dans la paille et s'est caché dans une ruelle... où une voix fluette l'interpelle: elle lui donne le code RIlasciare et se présente comme Ophélie, un grand nom du groupe. La femme lui explique que Tristant doit avoir des problèmes et qu'il faut absolument le retrouver, à minima pour ne pas qu'il fasse tomber trop de cellules.
La poussière retombe et le groupe est divisé: le capitaine fait arrêter les quelques survivants et prends les honneurs de la garde, puis va dès le lendemain à la Lanterne Rouge en attente de son collègue. Le mercenaire et l'avocat son dans une planque d'Ophélie, qui leur confie qu'il faut absolument qu'ils retrouvent Tristan pendant qu'eux vont se renseigner sur ses mystérieux hommes en noir qui ont débarqué en masse. Il faudrait qu'ils aillent parler à un contact bien informé qui passe son temps à la Lanterne Rouge!
Enfin, le vodacce est introduit auprès du boss des hommes en noir. Il réussi à sauver son alibi et laisse son nouvel ami se porter garant malgré lui. Le boss donc, est un castillan religieux, qui n'étonnerait personne en temps qu'espion pour la couronne. Il propose donc une association temporaire: le vodacce retrouve la trace de Tristant pour eux, et lui pourra lui demander où se trouve son fameux bouquin (qui n'existe pas, hein, soyons clair). Pour ce faire, le vodacce semble mieux armé que les castillans questions discrétion pour aller parler avec un homme suspecté d'être un soutien de Tristant. Ce dernier réside à la Lanterne Rouge... ben tient!
Bref, tout ce petit monde se retrouve dans le bordel... qui n'a jamais aussi bien porté son nom!
Le capitaine est là depuis quelques, avec Marie (et une autre professionnelle), attendant le vodacce.
Ce dernier arrive là inconito, mais avec un chaperon castillan qui fait un peu tache dans ce lieu de débauche, avec sa grosse croix vaticcine. Heureusement, ce dernier n'est pas idiot et se tient loin du vodacce afin qu'il puisse faire son enquête. Avec quelques piecette, il convainc la dame de petite vertue qui ravitaille en alcool les clients et lui demande de prévenir le capitaine de sa venue mais aussi de la présence du castillan. De même, il rallonge la paie en demandant à la serveuse de convaincre un client de crée une petite diversion: en effet, il lui faut pouvoir parler au contact de Tristant pour le retrouver.
Le mercenaire et l'avocat arrivent sur ces entrefaits: le premier va directement parler à la cible, alors que le second s'offusque de la piètre qualité du vin.
Le capitaine, ayant reçu le message du vodacce, va faire le célèbre coup du "oops, je suis désolé de vous avoir renversé mon verre dessus" au castillan, qui laisse échapper un juron dans sa langue natale. Le vodacci, discrètement, glisse aux quelques saoulards qui l'entourent "mais ca ne serait pas le fameux militaires castillans qui a infligé la dernière défaire en date à notre fière armée?!?"
Et hop, les saoulards s'engrennent avec le castillan, qui, ni une ni deux, plante l'un des malautrus.
Là, tout s'accèlere: le patron du bordel, notre cible, siffle le rappel des gros bras du coin, pus pend une porte dérobée. Le castillan sort un sifflet et averti la troupe qui campait non loin. Ces derniers déboulent rapidement par les fenêtres, armes au clair.
Le mercenaire se retrouve nez à nez avec le chef castillan qui vient de débarquer. Le capitaine échange des coups violents et peu correctes avec le chaperon castillan. Le vodacci passe derrière le comptoir et, discrètement, suit la cible. Il arrive à lui parler et lui explique se qu'il se passe, alors que se dernier lui confirme qu'il faut fuir.
Le combat commence à tourner mal, lorsque l'avocat monte sur le comptoir et marmonne de sombres propos: aussitôt, l'ombre d'un castillan s'anime, s'entortille autour de l'homme jusqu'à son cou, et l'étouffe lentement. Les quelques consommateurs qui s'étaient simplement réfugiés sous les tables prennent panique: la magie est de sortie, et c'est clairement une mauvaise chose!
Le castillan tombé redonne l'avantage aux héros, qui mettent en déroute les quelques survivants.
Le vodacci de son côté comprend que la cible n'est pas tant un "ami" de Tristant qu'un rival idéologique. A mi-mot, il comprend que c'est cette cellule extrémiste Rilasciare qui a enlevé Tristan.
La partie s'est arrêtée là dessus.
Un noble capitaine de cavalerie, un "polak" [me souviens plus du nom] avocat humilié qui parle aux ombres, un innismore mercenaire et ma pomme: un vodacce de la rue, très social & infiltration, passé par Ambrogia mais qui a du fuir sa nation.
Le chef de la cellule nous réuni mais n'est pas là. On se connait tous à peine, alors on décide de chercher Tristan en fouillant un peu chez lui. Mais assez vite, un groupe d'une 10ène d'hommes en noir nous tombent sur le rable. La capitaine s'échappe et trouve des militaire dans le 1er bistro venu, et les ramène vers la barraque.
A l'intérieur, alors que les lieux laissent penser que le dit Tristant a soit quitté les lieux très précipitemment, soit qu'ils aient été fouillé avec minutie, le mercenaire embarque l'avocat et passe par les toits pour s'échapper. Le vodacce, lui, se planque dans une armoire. Il voit donc débarquer le gros des hommes et se sent bien seul. Mais dans l'armoire, il trouve un manteau noir et un bandana qui enfile pour se faire passer pour un assaillant.
Les militaires mettent en déroute les hommes en noir, mais le vodacce continu de se faire passer pour eux et sauve l'un d'eux pour savoir qui les envoit. Il fait copain-copain en prétant être un vulgaire voleur embauché pour dérober un livre au propriétaire des lieux, prit entre 2 feux, et libère l'homme de main qui doit l'amener voir son chef, tout ca en évitant les militaires, pour ne pas se faire plomber comme de la volaile, contrairement à bien des assaillants.Il croise le capitaine et réussi à lui faire part de son plan, puis il lui confie un rendez-vous: "demandez Marie à la Lanterne Rouge", le bordel du quartier.
Le mercenaire lui, a sauté du toit dans la paille et s'est caché dans une ruelle... où une voix fluette l'interpelle: elle lui donne le code RIlasciare et se présente comme Ophélie, un grand nom du groupe. La femme lui explique que Tristant doit avoir des problèmes et qu'il faut absolument le retrouver, à minima pour ne pas qu'il fasse tomber trop de cellules.
La poussière retombe et le groupe est divisé: le capitaine fait arrêter les quelques survivants et prends les honneurs de la garde, puis va dès le lendemain à la Lanterne Rouge en attente de son collègue. Le mercenaire et l'avocat son dans une planque d'Ophélie, qui leur confie qu'il faut absolument qu'ils retrouvent Tristan pendant qu'eux vont se renseigner sur ses mystérieux hommes en noir qui ont débarqué en masse. Il faudrait qu'ils aillent parler à un contact bien informé qui passe son temps à la Lanterne Rouge!
Enfin, le vodacce est introduit auprès du boss des hommes en noir. Il réussi à sauver son alibi et laisse son nouvel ami se porter garant malgré lui. Le boss donc, est un castillan religieux, qui n'étonnerait personne en temps qu'espion pour la couronne. Il propose donc une association temporaire: le vodacce retrouve la trace de Tristant pour eux, et lui pourra lui demander où se trouve son fameux bouquin (qui n'existe pas, hein, soyons clair). Pour ce faire, le vodacce semble mieux armé que les castillans questions discrétion pour aller parler avec un homme suspecté d'être un soutien de Tristant. Ce dernier réside à la Lanterne Rouge... ben tient!
Bref, tout ce petit monde se retrouve dans le bordel... qui n'a jamais aussi bien porté son nom!
Le capitaine est là depuis quelques, avec Marie (et une autre professionnelle), attendant le vodacce.
Ce dernier arrive là inconito, mais avec un chaperon castillan qui fait un peu tache dans ce lieu de débauche, avec sa grosse croix vaticcine. Heureusement, ce dernier n'est pas idiot et se tient loin du vodacce afin qu'il puisse faire son enquête. Avec quelques piecette, il convainc la dame de petite vertue qui ravitaille en alcool les clients et lui demande de prévenir le capitaine de sa venue mais aussi de la présence du castillan. De même, il rallonge la paie en demandant à la serveuse de convaincre un client de crée une petite diversion: en effet, il lui faut pouvoir parler au contact de Tristant pour le retrouver.
Le mercenaire et l'avocat arrivent sur ces entrefaits: le premier va directement parler à la cible, alors que le second s'offusque de la piètre qualité du vin.
Le capitaine, ayant reçu le message du vodacce, va faire le célèbre coup du "oops, je suis désolé de vous avoir renversé mon verre dessus" au castillan, qui laisse échapper un juron dans sa langue natale. Le vodacci, discrètement, glisse aux quelques saoulards qui l'entourent "mais ca ne serait pas le fameux militaires castillans qui a infligé la dernière défaire en date à notre fière armée?!?"
Et hop, les saoulards s'engrennent avec le castillan, qui, ni une ni deux, plante l'un des malautrus.
Là, tout s'accèlere: le patron du bordel, notre cible, siffle le rappel des gros bras du coin, pus pend une porte dérobée. Le castillan sort un sifflet et averti la troupe qui campait non loin. Ces derniers déboulent rapidement par les fenêtres, armes au clair.
Le mercenaire se retrouve nez à nez avec le chef castillan qui vient de débarquer. Le capitaine échange des coups violents et peu correctes avec le chaperon castillan. Le vodacci passe derrière le comptoir et, discrètement, suit la cible. Il arrive à lui parler et lui explique se qu'il se passe, alors que se dernier lui confirme qu'il faut fuir.
Le combat commence à tourner mal, lorsque l'avocat monte sur le comptoir et marmonne de sombres propos: aussitôt, l'ombre d'un castillan s'anime, s'entortille autour de l'homme jusqu'à son cou, et l'étouffe lentement. Les quelques consommateurs qui s'étaient simplement réfugiés sous les tables prennent panique: la magie est de sortie, et c'est clairement une mauvaise chose!
Le castillan tombé redonne l'avantage aux héros, qui mettent en déroute les quelques survivants.
Le vodacci de son côté comprend que la cible n'est pas tant un "ami" de Tristant qu'un rival idéologique. A mi-mot, il comprend que c'est cette cellule extrémiste Rilasciare qui a enlevé Tristan.
La partie s'est arrêtée là dessus.
"L'Homme avance la tête en l'air, et finit par marcher dans la merde"
"L’imagination nous emmènera souvent vers des mondes qui n’existent pas, mais sans elle nous n’irions nulle part" C. Sagan
Ma collec' JdR, mon Senscritique & Une bonne action pour le Burkina Faso
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- Lotin
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Re: Hier j'ai joué à un truc et j'ai envie d'en parler ici
Vendredi soir, suite et fin de Mirror of Desire (Warh 3 officiel). Je fais court car le cr d'une des joueuses viendra en son temps pour tout détailler.
Les filles du groupe ont suivi Leopold pour le protéger en sentant bien que son plan d'aller chercher la grande inspiration pour son Poème de nuit dans la nature n'était pas très judicieux. Se doutant de l'implication de Maximilian dans la blague faite à Guthrie dans les égoûts (lui lâcher des cochons peints en bleu), Lars reste aux Armes de L'artilleur, leur nouveau rade de prédilection, pour le surveiller, en vain, toute la soirée. Pendant cette nuit de poésie, la sorcière et la naine arrivent à convaincre la troupe avinée réunie par Guthrie (comprenant Klueber, le 4e personnage de la bande) de ne pas molester Leopold. Le lendemain, avec les informations récupérées par Lars à l'auberge, ils tentent de déjouer la mauvaise blague orchestrée par Maximilian. Ils guettent les chambres louées par celui-ci et interviennent comme ils peuvent. Ils trouvent Esméralda, l'objet de tous les désirs, assise à la lueur d'une bougie dans une chambre pour se rendre compte qu'il s'agissait de Maximilian déguisé qui voulait piéger les autres prétendants.
Le lendemain, Guthrie reçoit une invitation au manoir Festenmacher pour accomplir quelques épreuves afin de prouver son véritable amour à Esméralda. Ils arrivent à régler le problème du médaillon très rapidement en jouant carte sur table avec Heissman von Bruner, en lui faisant comprendre que c'est dans son intérêt qu'un autre soupirant obtienne les faveurs d'Esméralda. La bénédiction des anciens posent plus de problèmes. Ils stoppent la déclamation de Guthrie et s'occupent du cultiste (point faible du scénario), celui-ci se tranche la langue avec ses propres dents. Pas d'apparition de fantôme. La dernière épreuve, une sorte de rallye de la poésie dans les rues d'Ubersreik à 4h du matin se déroule comme prévu. Leopold menace de se suicider depuis un toit, Tomas lâche un troupeau de bœufs dans une rue étroite empruntée par les personnages et Maximilian essaye de faire arrêter les personnages avec un faux vulgaire. Une fois devant Esméralda, le plan de Kelsydra se met en branle et voilà nos personnages enfermés dans le miroir maudit. Ceux-ci ne comprennent pas trop ce qui se passe mais parviennent à s'en sortir. Guthrie a vu la démone et ne veut plus qu'Esméralda s'approche de lui. Les trois autres soupirants ont "décuvé", il n'est plus question de mariage. Les chefs de famille Festenmacher, von Bruner et Aschaffenberg se réunissent pour résoudre cette crise et il prennent une décision pour sauver la face de toutes ces familles.
Esméralda se mariera donc avec Klueber Schonburg (l'un des joueurs).
Les filles du groupe ont suivi Leopold pour le protéger en sentant bien que son plan d'aller chercher la grande inspiration pour son Poème de nuit dans la nature n'était pas très judicieux. Se doutant de l'implication de Maximilian dans la blague faite à Guthrie dans les égoûts (lui lâcher des cochons peints en bleu), Lars reste aux Armes de L'artilleur, leur nouveau rade de prédilection, pour le surveiller, en vain, toute la soirée. Pendant cette nuit de poésie, la sorcière et la naine arrivent à convaincre la troupe avinée réunie par Guthrie (comprenant Klueber, le 4e personnage de la bande) de ne pas molester Leopold. Le lendemain, avec les informations récupérées par Lars à l'auberge, ils tentent de déjouer la mauvaise blague orchestrée par Maximilian. Ils guettent les chambres louées par celui-ci et interviennent comme ils peuvent. Ils trouvent Esméralda, l'objet de tous les désirs, assise à la lueur d'une bougie dans une chambre pour se rendre compte qu'il s'agissait de Maximilian déguisé qui voulait piéger les autres prétendants.
Le lendemain, Guthrie reçoit une invitation au manoir Festenmacher pour accomplir quelques épreuves afin de prouver son véritable amour à Esméralda. Ils arrivent à régler le problème du médaillon très rapidement en jouant carte sur table avec Heissman von Bruner, en lui faisant comprendre que c'est dans son intérêt qu'un autre soupirant obtienne les faveurs d'Esméralda. La bénédiction des anciens posent plus de problèmes. Ils stoppent la déclamation de Guthrie et s'occupent du cultiste (point faible du scénario), celui-ci se tranche la langue avec ses propres dents. Pas d'apparition de fantôme. La dernière épreuve, une sorte de rallye de la poésie dans les rues d'Ubersreik à 4h du matin se déroule comme prévu. Leopold menace de se suicider depuis un toit, Tomas lâche un troupeau de bœufs dans une rue étroite empruntée par les personnages et Maximilian essaye de faire arrêter les personnages avec un faux vulgaire. Une fois devant Esméralda, le plan de Kelsydra se met en branle et voilà nos personnages enfermés dans le miroir maudit. Ceux-ci ne comprennent pas trop ce qui se passe mais parviennent à s'en sortir. Guthrie a vu la démone et ne veut plus qu'Esméralda s'approche de lui. Les trois autres soupirants ont "décuvé", il n'est plus question de mariage. Les chefs de famille Festenmacher, von Bruner et Aschaffenberg se réunissent pour résoudre cette crise et il prennent une décision pour sauver la face de toutes ces familles.
Esméralda se mariera donc avec Klueber Schonburg (l'un des joueurs).
- Yoichi Hiruma
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Re: Hier j'ai joué à un truc et j'ai envie d'en parler ici
Partie de 13th Age cet après-midi avec Zeus, heu Sherkan aux commandes. Grece antique, malédictions ancestrales et persos héroïques qui sauvent un royaume des Cyclades. Un dimanche comme un autre quoi !
- Sherkan
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Re: Hier j'ai joué à un truc et j'ai envie d'en parler ici

J'avoue que c'était fort sympa. Déjà la Grèce antique en mode Jason & les Argonautes et le Choc des Titans (l'original hein !), y a pas à dire, on a tellement ça dans le sang que ça appelle à interpréter des héros volontaires et rusés, offrant donc de très chouettes moments de roleplay bien pensés et amenés.
Ensuite ce mélange, que je trouve quand même assez dingue dans 13 th Age de crunch et de simplicité, de grosse mécanique by the book et de narrativisme cinématique, fait qu'on s'amuse énormément autour de la table.
C'était ma première fois en tant que MJ à ce jeu (mais j'avais déjà été joueur) et j'étais tranquillou dans mes charentaises. La seule condition est que les joueurs doivent pas mal connaître la classe qu'ils jouent ; ce qui fut le cas sinon je pense que j'aurai eu du mal à gérer l'ensemble devant et derrière l'écran.
Pour le reste, si Ray Harryhausen avait fait une série TV dans les années 60-70 pendant la Guerre de Troie, cette partie aurait fait partie du coffret DVD collector.
Je suis conquis et les joueurs en ont redemandé.

- Pourquoi les chinoises ont-elles un goût différent de toutes les autres filles ?
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- Non, c'est différent, le canard laqué ne se compare pas au caviar russe. J'apprécie les deux
James Bond, la classe internationale.
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- Ange Gardien
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Re: Hier j'ai joué à un truc et j'ai envie d'en parler ici
Je poste peu ici. Je joue moins depuis deux ans.
Ma campagne a été ralentie, je n'ai guère le temps que d'être joueur quasi chaque semaine sur une campagne DD5 qui n'a plus qu'une séance avant la fin et sur une campagne warhammer qui se joue à raison d'un scénario par mois ou tous les deux mois.
On fait la trilogie des scénarios de la V2 cendres de middenheim, je sais plus quoi sur altdorf et forges de Nuln...
Il y a un rajout personnel, l'investigation de mon nain au sein d'une secte de Slanesh pour trouver des informations sur d'autres sectes du chaos et le vol d'un godemiché artefact de slanesh que j'ai remis à ce culte (en échange de plusieurs objets magiques).
Touché par deux bénédictions de slanesh (+10 en soc et +20 pour séduire, ce qui me fait passer de 20 à 50, ayant suivi un cursus de vétéran puis champion qui ne permet pas d'augmenter intelligence ou sociabilité) et une folie (sado-maso maintenant), mon nain, envisage de récupérer son godemiché magique, il a la chance d'être vu par toute la secte comme un putain d'élu de Slanesh et il porte maintenant un objet sur lui qui lui permet de négocier avec les cultistes du chaos (et qu'un cultiste n'entame pas les hostilités ou le premier coup dans un combat).
C'est la manière de le faire qui va poser problème (en buttant un max de ses soi-disants nouveaux amis) ou en continuant à jouer le jeu de l'élu et prétextant qu'il a des visions et qu'il faut lui confier l'objet en mission.
Je dois avouer que Warhammer reste un de mes trois systèmes favoris en medfan (avec DD5 et le trône de fer)
Ma campagne a été ralentie, je n'ai guère le temps que d'être joueur quasi chaque semaine sur une campagne DD5 qui n'a plus qu'une séance avant la fin et sur une campagne warhammer qui se joue à raison d'un scénario par mois ou tous les deux mois.
On fait la trilogie des scénarios de la V2 cendres de middenheim, je sais plus quoi sur altdorf et forges de Nuln...
Il y a un rajout personnel, l'investigation de mon nain au sein d'une secte de Slanesh pour trouver des informations sur d'autres sectes du chaos et le vol d'un godemiché artefact de slanesh que j'ai remis à ce culte (en échange de plusieurs objets magiques).
Touché par deux bénédictions de slanesh (+10 en soc et +20 pour séduire, ce qui me fait passer de 20 à 50, ayant suivi un cursus de vétéran puis champion qui ne permet pas d'augmenter intelligence ou sociabilité) et une folie (sado-maso maintenant), mon nain, envisage de récupérer son godemiché magique, il a la chance d'être vu par toute la secte comme un putain d'élu de Slanesh et il porte maintenant un objet sur lui qui lui permet de négocier avec les cultistes du chaos (et qu'un cultiste n'entame pas les hostilités ou le premier coup dans un combat).
C'est la manière de le faire qui va poser problème (en buttant un max de ses soi-disants nouveaux amis) ou en continuant à jouer le jeu de l'élu et prétextant qu'il a des visions et qu'il faut lui confier l'objet en mission.
Je dois avouer que Warhammer reste un de mes trois systèmes favoris en medfan (avec DD5 et le trône de fer)
- Loludian
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Re: Hier j'ai joué à un truc et j'ai envie d'en parler ici
Hier soir du Trinités, j'ai fait jouer le début d'un scénario d'une prochaine vie antérieure. C'était chouette de se remettre dans le bain 

Le Facebook de Krystal, le jdr post-apo optimiste (mais pas bisounours).
Chez Lolu, mon site/blog avec du Krystal et du Trinités dedans.
Dernier article (18/07/2017) : L'homme et la femme dans le jdr
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Re: Hier j'ai joué à un truc et j'ai envie d'en parler ici
Joué à In A Wicked Age récemment.
Très très bon.
Tortueux conflits avec montée de pression, créativité très sollicitée et négociation serrée.
Découpage en scènes permettant un bon focus et du rythme. Et des tables d'inspiration qui enflamment l'imaginaire.
Et très participatif avec un MJ chef d'orchestre.
Très très bon.
Tortueux conflits avec montée de pression, créativité très sollicitée et négociation serrée.
Découpage en scènes permettant un bon focus et du rythme. Et des tables d'inspiration qui enflamment l'imaginaire.
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- Ralph B.
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Re: Hier j'ai joué à un truc et j'ai envie d'en parler ici
Vraie question : quelle était la part du jeu et la part du MJ dans cette bonne expérience ?Fabulo a écrit :Joué à In A Wicked Age récemment.
Très très bon.
Tortueux conflits avec montée de pression, créativité très sollicitée et négociation serrée.
Découpage en scènes permettant un bon focus et du rythme. Et des tables d'inspiration qui enflamment l'imaginaire.
Et très participatif avec un MJ chef d'orchestre.
Timeo hominem unius ludi...
- Fabulo
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Re: Hier j'ai joué à un truc et j'ai envie d'en parler ici
Vaste sujet. On était dans le même esprit, joueurs compris. Les règles accompagnent bien, à condition de piger ce qu'elles prétendent produire et avec quelle approche. Disant cela, je ne dis rien mais je ne vois pas trop comment formuler autrement.Ralph B. a écrit : Vraie question : quelle était la part du jeu et la part du MJ dans cette bonne expérience ?

- Ralph B.
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Re: Hier j'ai joué à un truc et j'ai envie d'en parler ici
Ca me va, merci.Fabulo a écrit : Vaste sujet. On était dans le même esprit, joueurs compris. Les règles accompagnent bien, à condition de piger ce qu'elles prétendent produire et avec quelle approche. Disant cela, je ne dis rien mais je ne vois pas trop comment formuler autrement.

Timeo hominem unius ludi...
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Re: Hier j'ai joué à un truc et j'ai envie d'en parler ici
Très intéressante partie de Timewatch hier soir, avec le crew habituel (Cyrano, Humphrey B. et un ananas fan des Sims) et Steve J en guest star.
Les PJ, après moult scènes d'action, se retrouvent infiltrés dans une cellule rebelle souhaitant faire sécession avec Timewatch, et avec la mission d'empêcher l'assassinat d'Abraham Lincoln, tâche compliquée vu qu'ils sont déjà intervenus sur cet événement-là...
Les adversaires et ennuis potentiels étaient d'autant plus nombreux que Steve J jouait un rebelle, un vrai, mais ils ont décidé de la jouer straight et de se concentrer sur leur mission sans insister sur les tropes habituels de « l'agent infiltré qui risque de se trahir » ou de « le rebelle qui doute et se fait retourner ». En retour, et comme l'heure tournait, je leur ai permis de sauver Lincoln sans trop d'embûches, en lui glissant quelques nano-robots dans la cervelle (la routine quoi).
Le scénar prévoit un twist final qui révèle que le chef de la cellule rebelle est un vilain méchant qui n'a que ses propres intérêts en tête, mais j'ai jugé plus intéressant de laisser les joueurs faire un vrai choix : dénoncer les rebelles auprès de Timewatch, ou rejoindre la résistance ? Le genre de choix qu'on propose finalement assez rarement et qui pouvait complètement faire sortir la campagne des rails. Ils ont opté pour une solution médiane (on reste infiltrés, on voit comment les choses évoluent) mais je trouve la perspective de changer de paradigme à la fois excitante et impressionnante... Ça devrait nous permettre de faire un pas de côté par rapport à l'esprit pulp qu'on privilégiait jusqu'ici pour aborder de front les soubassements philosophiques d'un tel jeu, qui jusqu'ici courraient en souterrain.
Les PJ, après moult scènes d'action, se retrouvent infiltrés dans une cellule rebelle souhaitant faire sécession avec Timewatch, et avec la mission d'empêcher l'assassinat d'Abraham Lincoln, tâche compliquée vu qu'ils sont déjà intervenus sur cet événement-là...
Les adversaires et ennuis potentiels étaient d'autant plus nombreux que Steve J jouait un rebelle, un vrai, mais ils ont décidé de la jouer straight et de se concentrer sur leur mission sans insister sur les tropes habituels de « l'agent infiltré qui risque de se trahir » ou de « le rebelle qui doute et se fait retourner ». En retour, et comme l'heure tournait, je leur ai permis de sauver Lincoln sans trop d'embûches, en lui glissant quelques nano-robots dans la cervelle (la routine quoi).
Le scénar prévoit un twist final qui révèle que le chef de la cellule rebelle est un vilain méchant qui n'a que ses propres intérêts en tête, mais j'ai jugé plus intéressant de laisser les joueurs faire un vrai choix : dénoncer les rebelles auprès de Timewatch, ou rejoindre la résistance ? Le genre de choix qu'on propose finalement assez rarement et qui pouvait complètement faire sortir la campagne des rails. Ils ont opté pour une solution médiane (on reste infiltrés, on voit comment les choses évoluent) mais je trouve la perspective de changer de paradigme à la fois excitante et impressionnante... Ça devrait nous permettre de faire un pas de côté par rapport à l'esprit pulp qu'on privilégiait jusqu'ici pour aborder de front les soubassements philosophiques d'un tel jeu, qui jusqu'ici courraient en souterrain.
J'écris des mini-JdR par dizaines !