Dans mon warhammer à moi sur ma table, les elfes sont out, mais j'inclus les nains, les ogryns (des ogres civilisés) et les halfelins. Donc quatre peuples jouables. Les skavens sont out aussi.
Pour moi, warhammer, ça tient en quelques piliers :
+ Une humanité divisée. Un empire politiquement, philosophiquement, géographiquement, très divisé. Penser Amérique de Trump ces jours-ci. Tout le monde se déteste, est malveillant avec les étrangers et les "pas pareils" ou forme des communautés assez soudées. + Il y a des gens bienveillants au milieu, qui tentent de faire ce qu'ils peuvent pour que ça tienne.
+ Un chaos adverse, mais indispensable. Sans le chaos, personne ne fait plus rien. Les petits esprits se focalisent contre sa nature ; les gens un peu éveillés savent que c'est une question compliquée et subtile, sans réponse évidente.
+ Des complots partouts, à échelle humaine. les histoires dans Warhammer, c'est pas de la high adventure. C'est l'inspecteur Barnaby contre les vampires. En vrai, tout est à échelle humaine : les complots, les intrigues, les aventures. Dès qu'on en arrive à plus gros que ça, il faut mobiliser des armées, des sorciers impériaux spécialistes de la Tac Nuke et du prince-démon monté sur Gargan. C'est pas pour les PJ, tout ça. Donc, il y a moyen de lutter contre des sectes, contre des méchants, contre des gobelins, mais ça reste politique, local, mesquin et humain...
Voilou comment moi j'ai géré mes trois dernières campagnes (deux ans chacune...)
LG