[CR][AiME] Un Dúnadan en Terres Sauvages

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polki
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Re: [CR][AiME] Aventures d'un dúnadan en Terres Sauvages

Message par polki »

:rock

par contre, va falloir etre patient car il reste encore 20 ans de campagne, vous en avez jouer 10

ou alors tu fais un tome par 10aine :mrgreen:
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Re: [CR][AiME] Aventures d'un dúnadan en Terres Sauvages

Message par Carfax »

polki a écrit : jeu. sept. 24, 2020 2:12 pm ou alors tu fais un tome par 10aine

Pas bête  :D . J'ai déjà les titres "La fraternité de l'herbe à pipe", "Les deux tours de la forêt" et "Le retour d'Aigre-Feuille" mais chut je me suis bassement inspiré du maître JRR
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Re: [CR][AiME] Aventures d'un dúnadan en Terres Sauvages

Message par Carfax »

La nuit et le froid de novembre enveloppaient depuis lurette la cité lacustre et annonçaient la fin d'une interminable journée de discussions. Celle-ci s'était close sur la convenance d'un intitulé pour notre cellule de veille : le « Conseil des affidés ». Ce n'était pas pour me déplaire. Les délégations se dispersèrent et la salle du conseil se vida de ses invités. Seuls de rares récalcitrants conversèrent quelques temps sous les lumières dansantes des torches accrochées aux hauts piliers. Sur les marches descendantes du perron de l'hôtel de ville, je croisais Vannedil et profitais de cette aubaine pour lui présenter une requête. Pouvait-il jouer de son réseau à Esgaroth pour s'informer sur d’éventuelles machinations des bas-fonds de la ville envers le roi Bard ? Les dernières révélations de mon ami à ce sujet m'inquiétaient grandement et je jugeais la situation actuelle très opportune pour des malandrins mal intentionnés. Un souverain éloigné de son trône était vulnérable. Il me promit d'y travailler.
 
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Ce soir-là, une nuit calme berça Esgaroth. Aux premières lueurs de l'aube, la cité s'anima tout comme nos délégations. Après une collation matinale, chacune se prépara pour rejoindre la salle du conseil. Une deuxième journée de palabres nous attendait et, nul doute, elle serait tout aussi chargée que la première. Puis, lorsque nous fûmes tous réunis autour de nos émissaires assis en cercle, Legolas se dressa et s'exprima d’une voix claire et franche. Il exposa un sujet d'importance aux yeux de son roi et père, Thranduil. Depuis quelques années désormais, des bûcherons bardides coupaient et sciaient des arbres dans la forêt orientale du Royaume Sylvestre. Une missive elfique, réclamant la cessation de ces agissements, avait été envoyée au roi Bard mais elle était restée lettre morte à ce jour. Pour le peuple elfe, ces exactions étaient de véritables meurtrissures car les arbres étaient des êtres vivants sensibles et aimés. Une harmonie était brisée. Jadis, plus au sud, un comportement similaire des hommes avait entaillé durement la forêt et laissé à jamais une brèche en son sein. Je ne pouvais qu'abonder en me souvenant de mes multiples traversées du Goulet de la Forêt ces dernières années. Puis Legolas conclut. Ces terres forestières bûcheronnées étaient les leurs et, par ailleurs, les bois n'avaient pas été créés par les dieux pour servir abondamment de poutres et de madriers. Le roi Bard prit la parole à sa suite. Oui, la missive leur était parvenue mais Dale se reconstruisait et la pierre ne pouvait y suffire. La désolation destructrice du dragon Smaug avait brûlé tous les bois alentours de la ville et ce matériau indispensable était désormais seulement présent à ses frontières. Les Bardides s’efforçaient de ne prélever que l'utile et, bien sûr, leur intérêt, tout comme leur désire, n'étaient pas d'épuiser la forêt elfique. Le roi finit sur ces mots mais Lomuld rebondit immédiatement en avouant sa grande surprise. Comment diantre les Bardides prélevaient, au prix de la colère d'un allié rare, ce que les marchands d'Esgaroth pouvaient leur fournir ? Cette interrogation mit un terme aux prises de paroles. Les émissaires restèrent cois et la séance fut levée pour entamer des discussions mouvementées. Une nouvelle fois, je retrouvais mes deux amis en aparté. La question touchait Beleg au cœur. Tous les trois, nous nous mobilisâmes pour obtenir un compromis auprès des différentes ambassades. Plutôt que de prévenir et s'échauffer contre des prélèvements sauvages et délétères, nous poussâmes pour une coupe sélective sous l'égide des elfes. Cette proposition n'enchanta guère le peuple marchand d'Esgaroth et laissa indifférente les bons nains comme Beorn. Elle trouva néanmoins un écho favorable chez les Hommes des Bois. Finalement, les Bardides s’en accommodèrent. En fin de matinée, le vote des émissaires trancha favorablement en notre sens.

Dans l'après-midi, nous entendîmes les tourments rapportés par les peuples voisins. Tout au nord, le mont Gundabad pullulait d'innombrables gobelins et orques. Dans l'est lointain, des hommes vils parcouraient et meurtrissaient les grandes plaines, Les Wargs, ces loups sauvages et imposants, couraient toujours plus nombreux sur les terres de la haute vallée de l'Anduin. Bien sûr le conseil fut attentif à chacune de ses tristes nouvelles mais que pouvait-il entreprendre ? Guerroyer ? Si loin ? Et Quand bien même, la soldatesque s’avèrerait une force très insuffisante. L'Ombre s'épaississait et notre espoir s'amoindrissait, voilà bien la triste évidence qui éclatait aux yeux de tous !

Comme la veille, nous terminâmes tardivement. Vannedil m'interpella et m'informa de ses recherches : il n'avait rien entendu d'alarmant concernant la sécurité du roi Bard. L'instigatrice avait disparu de la cité et, ici, tout le monde avait de l'affection, voire de l'admiration, pour le roi de Dalle. Nous nous dîmes bonsoir et nous souhaitâmes une bonne nuit de repos.

Mais celle-ci ne vint pas si aisément ce soir-là, elle me fuyait même. Dans la salle commune de l’auberge, je rêvassais devant une collation tardive, mes fesses posées sur un tabouret en bois non loin du feu central. A cette heure tardive, celui-ci crachait ses dernières flammèches entre deux tisons mourants. Peu à peu le froid de l’automne me saisissait. La salle commune était bien silencieuse. Tous, ou presque, avait regagné les chambrées lorsque, emmitouflé dans un chaud manteau, Vannedil y surgit. Je ne sus comment il l'apprit mais un Homme des
Bois, cuisant, évasif et peu amène, traînait dans un tripot des bas-fonds. Un comportement inhabituel pour ceux de ma communauté, peu promptes à la débauche. Inquiet, mon ami souhaitait en avertir ma délégation. D'un geste de la main, je lui exprimais mon hostilité face
à cette initiative et lui dis « Mène-moi ! ». Voir cet escogriffe assoiffé m’assurerait de l’identifier si jamais il s’avérait être l’un des nôtres. Je voulais m'assurer qu'il s'agissait là d'un simple ivrogne de trop dans cette cité.


Sur notre route, de ruelles en venelles, nous atteignîmes le quartier elfique et requîmes le soutien de Beleg. Nous nous hâtâmes tous les trois vers le bas-quartier de la ville. Nous étions armés de nos simples dagues et, pour seule défense, nous portions nos épais manteaux de laine. Le froid mordait nos joues et nos bouches soufflaient une pâle vapeur. Nos bottes martelaient les pontons de bois humides. Ils s’encombrèrent de cordages, de tonnelets et de caisses lorsque nous arrivâmes au port. L'air marin, mêlé à la puanteur des poiscailles, saisit nos narines. Nous trouvâmes sans mal le tripot recherché dont l'enseigne délavée grinçait au grès de la bise givrante. Deux fenêtres aux carreaux crasseux, au travers desquels une frêle lumière s’échappait, encadraient une porte en bois abîmée et défraîchie. Comme nous en convînmes, j'entrais seul. Immédiatement, une odeur âcre de sueur agressa mes narines. Je me renfrognais et embrassais la salle du regard. Son sol était jonché de paille et de roseaux putrides et, en son centre, un feu crépitait dans un grand chaudron. Le conduit tirait mal car l'âtre enfumait l'entièreté du lieu le rendant irrespirable. Mais même si mon nez manifestait son mécontentement, je fis quelques pas vers le comptoir à travers les nombreux quidams présents. Il s'agissait d'une simple populace où les manouvriers se mélangeaient aux marins. Tous braillés, chantés où éructés des insultes suivies d'éclats de rire. Une malheureuse serveuse, peu aguichante, vagabondait au milieu des tables évitant avec adresse les mains baladeuses des plus malotrus. Je commandais une chope au tavernier d'âge mûr dont les cheveux avaient depuis longtemps désertés le crâne. Un tablier sale et taché recouvrait son ventre plat. Il me servit et je lui glissais une piécette. Alors que je scrutais la salle enfumée, une donzelle de bas-étages m'accosta. « Laisse-moi ! » l’intimidais-je avant même qu'elle put prononcer un seul mot. Ma voix caverneuse dut suffire car elle se détourna quérir ailleurs un mauvais amour. Je perçus alors à travers les volutes un homme seul et encapuchonné au fond de la salle. Son regard se perdait dans les profondeurs abyssales de l'alcool car il fixait sans discontinuité sa chope tout en gesticulant nerveusement un pied. Sa tenue vestimentaire était caractéristique de celle des Hommes des Bois. « Voilà notre homme… » songeais-je mais il m'était impossible d'apercevoir son visage. La porte d'entrée du tripot s'ouvrit et je tournais la tête. C’était Vannedil. Il me rejoignit nonchalamment pour me glisser à l'oreille : « Il semblerait que nous ayons retrouvé notre ami chasseur ? ». Je l'interrogeais du regard et il poursuivit : « Le propriétaire du pendentif perdu dans les marécages, près des tombes du tumulus désigné par la Dame de la Rivière. Hunald le chasseur. Un heureux mouvement du bougre nous a permis de le reconnaître à travers les carreaux. Une chance. Beleg nous attend dehors. ». Mais je rétorquais : « Non, allons voir cet homme. ». Vannedil commanda deux chopes et me devança. Tranquillement, nous approchâmes d'Hunald mais il leva son menton et nous aperçut. Son regard était fuyant, comme hanté. Immédiatement, il nous reconnut et l'inquiétude crispa son visage. Tout se précipita.
 
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D’un geste vif et surprenant, il empoigna un arc et un carquois – jusque-là restés invisibles à ma vue – et se précipita dans un couloir sombre placé juste derrière lui. D’un coup d’épaule, je bousculais mon compagnon qui obstruait mon passage et pris sa poursuite. Dans mon dos, j’entendis héler Vannedil : « Hunald, nous sommes là pour discuter, ne soyez pas idiot ! ».

Au bout du court couloir obscur, je dévalais un escalier grinçant et irrégulier. Dans le noir, je faillis trébucher en sautant une de ses marches pour atterrir dans une petite pièce. Aux odeurs perçues, je compris sans peine qu’il s’agissait là de la cave de la taverne. La poussière soulevée m’irrita la gorge. Je ne voyais rien mais, là, devant moi, tout proche, j’entendis un loquet s’ouvrir. Je fonçais en avant espérant ne pas m’assommer sur une poutre basse. Une trappe s’ouvrait. La lumière de la lune perça et je vis le chasseur s’en extraire. Je priais intérieurement que Beleg, resté dehors, eut la bonne idée de surveiller les issues cachées de ce tripot. Derrière moi, l’escalier vermoulu grinça à nouveau. Vannedil arrivait mais je ne l’attendis point.

Je m’extirpais de la trappe. Le fuyard courait déjà dans la traverse. Je me précipitais à sa suite le coursant comme un lièvre. J’entendis Beleg nous interpeller mais n’en eus cure. Désormais à portée, je bondis sur le dos d’Humald. Tous les deux, nous chutâmes violements au sol et roule boulâmes au milieu d’un fatras de caisses et de filets de pêche. Je le ceinturais de toutes mes forces mais le chasseur se débattait avec la rage d’un forcené. Il poussait des cris primaux comme s’il était terrifié d’être capturé. Ma prise lâcha et j’esquivais un coup de poing. Dans un ultime effort, j’arrivais à le retourner et, d’une main ferme, je lui saisis les cheveux et frappais violement son visage sur le sol. Une arcade sourcilière éclata tout comme son nez. Il s’évanouit dans son sang.

Arrivé derrière moi, Beleg se baissa et apposa une main sur Humald. Inanimé, l’homme ne bougeait plus mais je restais vigilant et le maintenais de mon poids au sol. L’elfe murmura une complainte apaisante mais, soudainement, il retira sa main comme s’il venait de se brûler au fer rouge. « Qui-a-t-il Beleg ? » l’interrogeais-je. Il resta interdit quelques secondes puis me dit « Ligotons le solidement ! ». « Parle, voyons ! » l’interpelais-je. Les yeux dans le vague, Beleg me répondit « Je ne sais pas qui il est ni ce qu’il a vécu mais j’ai ressenti la même peur que lorsque nous fûmes pourchassés par cette terrible ombre sur le vieux chemin elfique. » et il trembla de tout son être. Entre temps, Vannedil nous avait rejoint et prit soin de ligoter et bâillonner fermement notre fuyard. Beleg s’inquiéta « Je ne sais ce que nous devons faire de lui ? ». « Il nous faut prévenir Radagast au plus vite comme nous lui avons promis. » suggéra Vannedil. « Confions-le au guet afin qu’il soit sous bonne garde. » proposais-je mais Beleg m’ignora et montra d’un doigt l’équipement du chasseur perdu un peu plus loin lors de notre rixe. Si son arc n’avait rien d’extraordinaire, les flèches dans son carquois luisaient d’une lueur sombre. Je m’en approchais et restais interdit. Je défis mon manteau et l’enroula hâtivement autour du carquois tout en soufflant à mes amis sans même les regarder : « Des flèches forgées dans les entrailles de la forteresse d’Angmar… ».
 
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Dernière modification par Carfax le mar. nov. 24, 2020 3:55 pm, modifié 13 fois.
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Re: [CR][AiME] Aventures d'un dúnadan en Terres Sauvages

Message par AsgardOdin »

Carfax a écrit : lun. sept. 28, 2020 11:15 am « Des flèches forgées dans les entrailles de la forteresse d’Angmar… »
:runaway
Elle se révèle..
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Re: [CR][AiME] Aventures d'un dúnadan en Terres Sauvages

Message par Carfax »

Notre MJ a déménagé et attend l'ouverture de sa ligne internet. Si tout va bien, on poursuit nos aventures la semaine prochaine.  Bah en attendant c'est toujours un peu de répit gagné sur l'Ombre  :D !
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Re: [CR][AiME] Aventures d'un dúnadan en Terres Sauvages

Message par polki »

ou pas :)
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Re: [CR][AiME] Aventures d'un dúnadan en Terres Sauvages

Message par AsgardOdin »

On retarde l'inévitable voilà tout.. !
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Re: [CR][AiME] Aventures d'un dúnadan en Terres Sauvages

Message par Carfax »

Carfax a écrit : jeu. oct. 08, 2020 10:38 am Notre MJ a déménagé et attend l'ouverture de sa ligne internet.

Internet est de retour mais Vannedil - où plutôt son joueur - nous quitte jusqu'à début novembre. La mélancolie me gagne de ne pouvoir poursuivre nos aventures plus tôt mais tels sont les aléas de la vie courante, la vraie quoi  :D ! Ma plume frémit d'impatience. Je ne m'exclue pas un petit one shot pour tenir jusque là...
 
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Re: [CR][AiME] Aventures d'un dúnadan en Terres Sauvages

Message par polki »

arretes tu vas faire deprimer asgard :mrgreen:

decris la vie quotidienne, le off, d aigre feuille, ce que l on ne voit pas entre les scenes :geek
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Re: [CR][AiME] Aventures d'un dúnadan en Terres Sauvages

Message par AsgardOdin »

polki a écrit : mer. oct. 14, 2020 9:44 am arretes tu vas faire deprimer asgard :mrgreen:

decris la vie quotidienne, le off, d aigre feuille, ce que l on ne voit pas entre les scenes :geek
Je lui ai déjà exprimé mon insatisfaction et il m'a promis que le prochain CR serait fait trois heures après le scénario pour compenser  :charmeur
Mais je suis preneur de petits instants de vie oui !
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Re: [CR][AiME] Aventures d'un dúnadan en Terres Sauvages

Message par Carfax »

AsgardOdin a écrit : jeu. oct. 15, 2020 8:27 am Mais je suis preneur de petits instants de vie oui !

Alors mon petit doigt me souffle que peut-être ce samedi soir à l'heure où beaucoup sont confinés, il se pourrait que Aigre-Feuille poursuive sa quête personnelle en attendant le retour de Vannedil...
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Re: [CR][AiME] Aventures d'un dúnadan en Terres Sauvages

Message par polki »

doigt, drole de nom pour un hobbit
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Re: [CR][AiME] Aventures d'un dúnadan en Terres Sauvages

Message par AsgardOdin »

Super ! On a hâte !
Une équipe de cinq hobbits cambrioleurs qui porteraient les noms des cinq doigts de la main, ça ferait une belle histoire ça !
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Re: [CR][AiME] Aventures d'un dúnadan en Terres Sauvages

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de la main droite ou de la main gauche ?
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Re: [CR][AiME] Aventures d'un dúnadan en Terres Sauvages

Message par AsgardOdin »

Multi-tables ! 
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