Vociférator a écrit : ↑lun. juin 03, 2024 12:47 pm
Vu la tronche de l'interview gonflée à l'ego dans le Casus 51, peut-être que les auteurs se sont offusqués que les revues n'ont pas davantage vu et célébré l'aspect visionnaire de ce jeu, pour ne ramener cela qu'à une basse histoire de $ou$ et de JDR le plus cher (et de loin) de l'époque.
Ou bien la mémoire de Tristan lui joue des tours et:
- soit l'anecdote qu'il rapporte concernait les auteurs d'un autre jdr
- soit elle concernait un magazine autre que Chroniques
- soit elle n'a jamais eu lieu…
Sama64 a écrit : ↑lun. juin 03, 2024 11:09 am
Merci @Vociférator pour cette belle madeleine, le Casus 51 doit être un des 1ers que j'avais acheté en kiosque.
[...]
L'encart scénarios est effectivement un must
Merci
Je confirme que j'ai bien aimé l'encart pour ce numéro mais je pense que l'effet madeleine (perso il m'en reste une vingtaine avant que je ne dise ceci pour mon premier Casus) joue aussi à fond cf. le scénario L'Ambassadeur qui n'a pas remporté les mêmes louanges entre ce que j'en ai dit en 2024 et ce qui l'ont lu (et joué !) il y a 35 ans.
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Je confirme que j'ai bien aimé l'encart pour ce numéro mais je pense que l'effet madeleine (perso il m'en reste une vingtaine avant que je ne dise ceci pour mon premier Casus) joue aussi à fond cf. le scénario L'Ambassadeur qui n'a pas remporté les mêmes louanges entre ce que j'en ai dit en 2024 et ce qui l'ont lu (et joué !) il y a 35 ans.
Et ben, moi je confirme tout : il y a une trentaine d'années, j'ai (et mes joueurs ont) adoré jouer L'ambassadeur du n°48, tout comme le laboratoire de l'angoisse et le temple des grands appels du n°51. Je (on) dois/devais (doit/devait) être très (trop) bon public...
Et encore un grand merci @Vociférator pour toutes ces magnifiques plongées historico-nostalgico-ludico-rôlistiques.
Esbehmj a écrit : ↑mer. juin 05, 2024 10:24 am
Et ben, moi je confirme tout : il y a une trentaine d'années, j'ai (et mes joueurs ont) adoré jouer L'ambassadeur du n°48, tout comme le laboratoire de l'angoisse et le temple des grands appels du n°51.
Je (on) dois/devais (doit/devait) être très (trop) bon public...
Nan, en fait je ne le pense pas du tout, rien ne vaut la pratique. Et puis c'est facile d'avoir un oeil plus critique aujourd'hui alors que la production était beaucoup moins large (et nous-mêmes moins exigeants) il y a 35 ans. J'apprécie beaucoup quand vous me faites vos remontées de souvenirs et que vous me corrigez mes biais.
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La revue du n°52 juillet - août 1989 approche et je voulais poser une question d'ordre général à cette occasion, à propos de la partie que je mets en introduction sur les actualités de l'époque sur la période, avant d'attaquer dans le détail de Casus Belli. Je m'en sers personnellement pour me raviver mes souvenirs d'il y a 35 ans qui commencent à être nets sur le monde qui m'entoure, et aussi pour remettre ma lecture dans le contexte.
Petite question sur ce sujet à propos de cette partie introductive, sans que je sache encore de mon côté si je la fais évoluer ou pas :
elle ne vous intéresse pas et vous la sautez pour passer à la lecture du contenu du Casus chroniqué
elle est trop courte et vous aimeriez qu'elle soit plus longue
elle est trop longue et vous aimeriez qu'elle soit plus synthétique
on ne change rien, c'est très bien comme ça
Evidemment, vous pouvez moduler vos réponses en commentaire !
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Vociférator a écrit : ↑sam. juin 22, 2024 12:28 pm
[*] on ne change rien, c'est très bien comme ça
C'est intéressant / bienvenue (par rapport à cet exercice) pour remettre dans le contexte.
Je les lis toujours (et il y a des choses dont je ne me souvenais pas ou que je ne connaissais pas, parfois).
Plus long je ne les lirais sans doute pas / pas intégralement.
Par contre, juste une petite remarque sur les présentations.....serait-il possible de résumer les scénarii parus, je ne sais pas comment vous faites tous pour vous en rappeler, moi c'est le noir total je ne sais même pas de quoi on parle la plupart du temps.
Bon j'en ai rarement fait jouer, ceci explique peut-être cela, mais je ne me souviens presque de rien (à part d'un scénario Daredevils du pauvre Martin Latallo, avec un "homme invisible").