Kieffer a écrit :On a touché la grande limite des codes rouges : c'est un personnage ou monstre intangible, il ne peut rien lui arriver, donc lorsque la seule extrémité qui vous reste est de l'éliminer, vous êtes dans la merde, celui-ci ne pouvant, du point de vue de l'univers, être occis.
C'est quoi cette histoire de code rouge ? Est-ce que les PJ sont censés le savoir ?
Parce qu'à mon avis, si le MJ se débrouille bien, peu importe que les PJ ne puissent pas tuer le type, le scénar ne devait pas se baser que sur ça, si ? Faire du méta-jeu en disant "ouais mais de toute façon on peut pas le tuer, c'est écrit dans le jeu", c'est un peu de l'anti-jeu je trouve.
Z-Corps est un jeu à gamme (fermée, mais à gamme quand même). Du coup, je suppose que si des adversaires sont censés survivre, c'est pour les réutiliser plus tard. Et là, je vois mal comment les auteurs auraient pu faire autrement que dire "Attention, ce PNJ doit survivre parce qu'il est réutilisé plus tard".
Je ne dirais pas qu'ils sont mauvais mais ils ne me semblent pas représenter toute la tension et les possibilités offertes par l'univers. Je précise aussi que ma vision de l'univers est limitée par mes connaissances de simple joueur.
Et je relativise aussi, c'est clairement la partie la moins intéressante que j'ai faite depuis que j'ai rejoint le groupe mais c'est sans doute une exception.
C'est très plaisant de jouer dans cet univers. Maintenant que je regarde l'évolution de l'univers et de notre groupe, c'est effarant la différence qu'il y a entre les premières semaines de jeu, et notre candeur face à l'apparition et au traitement de la menace zombie, et notre comportement maintenant où certains membres de l'équipe euthanasient des personnes infectées par dizaines.
Je pense que c'est juste un passage à froid et que cela reprendra de plus belle la semaine prochaine.
La partie n'était pas non plus inintéressante et tout n'était pas à jeter mais j'ai clairement senti des limites. Notre MJ a bien essayé de nous montrer qu'il était possible de réussir le scénario (sur les trois groupes qui l'ont testé à Octogones, je crois que deux ont été totalement annihilés durant le scénario) mais la porte de sortie choisie par lui et son groupe me semblait par trop aléatoire et le comportement nécessaire à sa mise en oeuvre trop éloigné du comportement habituel de nos personnages.
L'énorme intérêt de ce scénario pour l'équipe aura été je pense de montrer qu'il faut un leader solide pour le mener et qu'il faut qu'on soient plus soudés. Maintenant, souder une équipe qui part dans tous les sens suite à ce scénario, cela va être une tâche de titan pour l'heureux élu. Entre ceux qui veulent rejoindre les Blackwater, ceux qui sont prêts à aller se faire sauter dans les locaux de One World (j’exagère un peu) et ceux qui finissent de se dire que décidément ils ne sont pas dans le bon camp, bon courage pour le MJ.
Mais je le redis, sans avoir le fin mot de l'histoire, peut être l'intention des concepteurs du jeu était elle de faire vaciller définitivement les convictions des Z-Corps pour préparer leur passage en freelance ou à l'ennemi dans le prochain supplément.
A raison d'une partie par semaine et vu que le prochain supplément ne sortira sans doute pas avant six mois minimum, nous avons encore 25 séances au moins de jeu et je pense que notre MJ nous réserve encore des surprises de choix, habitué qu'il est à exploiter la moindre parcelle de background des suppléments.
Loludian a écrit :
C'est quoi cette histoire de code rouge ? Est-ce que les PJ sont censés le savoir ?
Parce qu'à mon avis, si le MJ se débrouille bien, peu importe que les PJ ne puissent pas tuer le type, le scénar ne devait pas se baser que sur ça, si ? Faire du méta-jeu en disant "ouais mais de toute façon on peut pas le tuer, c'est écrit dans le jeu", c'est un peu de l'anti-jeu je trouve.
Z-Corps est un jeu à gamme (fermée, mais à gamme quand même). Du coup, je suppose que si des adversaires sont censés survivre, c'est pour les réutiliser plus tard. Et là, je vois mal comment les auteurs auraient pu faire autrement que dire "Attention, ce PNJ doit survivre parce qu'il est réutilisé plus tard".
Sur ce point, j'avoue avoir un léger doute, je ne sais pas si la "chose" que nous avons affronté devait se trouver dans le scénario ou si notre MJ a décidé de nous la montrer de près et que cela s'est retourné contre lui en annihilant le groupe alors que la bête était code rouge.
De même je ne sais pas s'il a joué le scénario "by the book" en y incluant certains éléments des backgrounds de nos personnages ou s'il ne s'est servi que de la trame et en a fait sa petite cuisine, il faut donc relativiser mes propos.
Et je le répète, malgré cela nous prenons un grand plaisir à explorer les Etats-Unis ravagés chaque semaine, à sauver la veuve et l'orpheline et à pourfendre les conspirateurs vivants ou morts.
Compte-rendu de la dernière séance d'Earthdawn !
Bon, mister Manu ayant été lâché par sa fidèle tuture ; nous avons terminé sans lui. Hrak a donc été PNJsé. Contrairement à ce que proposais Manu, je ne l'ai pas envoyé s'enfuir seul dans le grand monde : trop facile. Hrak avait commis certains actes, et il allait devoir l'assumer. Et ses compagnons avec ;o)
Sérieusement : vu que Hrak est un prétiré, que c'est la dernière session d'un One-shot, je n'ai pas eut d'hésitation à faire subir ce qui semblait logique à Hrak. Je ne pense pas que Manu m'en voudra. (hein ! Dis ?)
Petit rappel des protagonistes :
- Jaddo, nain navigateur aérien (Selpoivre)
- Gelko, orque nécromancien (Zeben)
- Dagglin, nain sorcier (Blackears)
- Hrak, orque archer (Udo, mais PNJ pour cette séance)
Nous avions laissé nos fiers aventuriers au Lac Ban. Endroit fort populeux, centre du commerce sur le fleuve serpent, remplie de gens et de marchandises provenant de tous les coins du Fleuve Serpent. Pas très rassuré sur ces îles de roseaux, ils prennent le premier bateau en direction de Throal. Sur le trajet, force est de constaté que les dernières exemplaires de l'art de Hrak sont plutôt inquiétante. Gelko commence à se demander s'il ne faudra pas envisager une solution définitive. En tout cas, l'entrée de Hrak dans Throal semble compromise. Et ses nuits commencent à être agitées...
Voyant le bout du voyage, nos fiers aventuriers arrivent en vue de Throal. Ils s'inquiètent un peu en voyant une tribu de cavalier orques en exercice dans les plaines devant Throal. Mais les patrouilles de ceux-ci semblent les ignorer, et s'amuser de leurs airs inquiets.
Hrak reste à Grand Foire, pendant que nos trois autres compagnons s'aventurent dans Throal et commence la découverte de ce royaume souterrain. Après un peu de visite, ils arrivent à la Grand bibliothèque de throal. Après avoir annoncé les raisons de leur venue, ils sont assaillis de question concernant leur Kaer. Ils trouvent rapidement de l'aide pour leur recherche, en échange d'un journal de leur voyage. Ils font également la connaissance d'un sorcier orque membre de la cour du roi Varulus III.
C'est finalement auprès de la guilde des forgerons qu'ils trouveront les renseignements concernant les objets forgés par Delon. (objets destinés au protecteur du Kaer). Malheureusement, un membre de la garde de Throal vient à leur rencontre avec mauvaise nouvelle : un certain Hrak, qui se dit être leur ami, à tenté de forcer le contrôle à l'entrée de Throal pour venir les rejoindre. Ils l'ont mis en cellule pour le moment.
Nos trois compagnons se dépêchent de revenir vers l'entrée de Throal. Ils trouvent un Hrak furieux d'avoir été emprisonné. Il délire complètement. Ils se dépêchent de convaincre les gardes de les laisser l'emmener loin de Throal. Ils ressortent à l'extérieur de Grand Foire. Hrak hurle que les thérans ont trouvés le Kaer. Les survivants du navire les ont guidés là bas. Et ils n'hésiteront surement pas à sacrifier des membres du Kaer pour détruire l'horreur. Il en est sur, il l'a vu ; la voix lui a dit ce qu'ils allaient faire !
Grand dilemme de nos trois compagnons. Est-ce une ruse de l'horreur pour leur faire abandonner leur quête et les obliger à quitter Throal ? Leur dit-elle la vérité, pour qu'ils arrêtent les thérans avant qu'ils l'enferment à nouveau ? Ce qu'ils veulent obtenir eux-mêmes, mais surement pas au prix de la vie des membres du Kaer.
Après une longue discussion, vu les détails fournis et la probabilité que des survivants est alerté l'armée thérane ; ils décident de partir rapidement pour le Kaer. Un trajet à pieds serait trop long. Le temps d'arriver aux pics du crépuscule pour demander de l'aide aux Griffes de Pierre, cela prendrait au moins deux semaines. Ils se décident à demander de l'aide au service d'exploration de sa Majesté, en tachant d'expliquer les fortes chances que des thérans s'en prennent à leur Kaer (mais sans parler des "visions" de Hrak). Se montrant convaincant, le groupe d'exploration obtient l'aide d'un capitaine de la Royale (marine des airs Throalienne), Rozko, et s’est à bord de son navire que nos héros repartent vers les montagnes Délaris.
Durant le voyage, Hrak se fait de plus en plus pressant sur la situation, et son comportement commence à se remarquer sur le navire. Pour que celui-ci ne risque pas de se faire posséder par l'horreur, et n'attire trop l'attention sur son état, ses compagnons décident finalement de l'enchaine à fond de cale pour sa propre sécurité. (et la leur...)
note : il y a eut une discussion sur le fait de passer demander l'aide des Trolls en plus des thérans. Mais il y a avait quelques incertitudes sur comment les trolls prendraient l'arrivé d'un navire de l'armée de Throal chez eux, et au delà, une demande de se battre au coté d'un autre peuple. Finalement, il a été décidé de filer au plus vite vers le Kaer.
Ils arrivent en vue du Kaer, et c'est exactement ce qu'ils craignaient : un navire de pierre est amarré au promontoire attenant à l'entrée du Kaer. Profitant de la surprise, Rozco fait tirer une première salve de bouches à feux. Les thérans sont surpris et prennent cette salve de plein fouet. Mais ils s'organisent rapidement, préparant la riposte. Pour éviter d'essuyer le feu nourri de la navette thérane, l'assaut est lancé !
Nos compagnons foncent sur une barque, et foncent vers le sol. Jaddo, dirigeant la barque, esquive un tir de bouche d’un magnifique piquet et foncent vers l'entrée du Kaer dans une manœuvre de 1e classe. Pendant que la Royale combat les thérans, ils vont tacher d'atteindre le cœur du Kaer, et interrompre les rituels si ceux-ci ont lieu.
Ils combattent deux guerriers thérans qui surgissaient du Kaer. Combat rapide, dont ils sortirent indemne, mais leur donna quelques sueurs. Fonçant dans le Kaer, ils libèrent quelques membres du Kaer qui sont prisonniers, et les encourage à combattre les autres gardes.
Sans plus prendre de repos, ils accourent dans la zone interdite, la salle où est emprisonnée l'horreur. Un homme dans une tenue cérémonielle est en train d'effectuer un sacrifice. Des prisonniers sont en train d'attendre leur tour dans un coin de la pièce. Un T'skrang s'interpose alors devant eux...
Ce fier bretteur s'amuse leur présence, et commence à rigoler au nez de Jaddo, qui en perd ses moyens. S'engage alors un combat entre notre fier navigateur aérien et le maître d'arme. Pendant ce temps, Gelko tache d'interrompre le ritualiste. Le duel est rude pour Jaddo ; ayant perdu de son assurance, et le maître d'arme retournant ses attaques contre lui. Dagglin intervient de ses dagues mentales, frappant le T'skrang de plein fouet le temps que Jaddo reprenne ses esprits, et se relance dans le combat. Gelko a interrompu le ritualiste, mais celui-ci tisse quelque chose. Gelko, puis Dagglin quand celui-ci a fini d'aidé Jaddo, tente d'interrompre le théran. Celui tombe au sol sous attaques des deux héros. Mais encore conscient, il arrive à achever son sort. Dans de terribles cris de douleur, Dagglin et Gelko sentent les os de leurs corps se briser ; et s'écroulent. S'ensuit un combat entre trois sorciers/nécromants, tachant d'incanter tout en étant écrouler par terre, baignant dans leur sang.
Le T'skrang est trop affaibli par l'attaque précédente de Dagglin, Jaddo achève le duel, et vient au secours de ses compagnons.
Le rituel est interrompu. Les prisonniers sont libérés. Ils vont pouvoir prévoir leur propre rituel, mais basé sur le vrai nom des objets protecteur du Kaer.
Par contre, une terrible nouvelle les accable. Durant la bataille, Hrak a réussit à se libérer de ses chaînes. Il a fait un carton parmi les thérans, faisant preuve d'une puissance et d'une précision rarement vue. Des tirs provoquant une rare douleur chez leur cible...
Une fois sa soif de thérans assouvie, Hrak s'est tourné pour courir vers le Kaer. Ayant compris que quelque chose n'allait pas, Rozko a voulu s'interposer devant Hrak. (entre le délire d'Hrak durant le voyage, sa façon de saigner les thérans, ses yeux... Rozko a compris qu'il valait mieux qu'il reste attaché)
La situation a dégénérée. L'horreur poussée dans ses dernières extrémités, voulant pousser Hrak à intervenir dans le Kaer pour qu'il tue ses amis, elle le pousse à forcer le passage en faisant passer les nains pour des thérans, à ses yeux. Rozko est blessé, les throaliens éliminent Hrak...
Nos trois compagnons, en deuil, vont participer à la sortie de leur communauté vers le grand monde. Et ils préparent le rituel pour bannir définitivement l'horreur...
Voilà, c'est fini !
Bon, pour Hrak, certains vont surement trouvés que j'ai été dur. Comme je l'ai dit en préambule, c'était la dernière session d'un One Shot, donc, pas de raison de l'épargner. Lors de la session précédente, Udo avait sciemment accepté du Karma de l'horreur, afin de combattre plus efficacement des esclavagistes -> il été marqué. A partir de là, l'horreur s'est servi de lui comme elle pouvait tout en restant prisonnière du sceau. Elle lui faisait faire des cauchemars, l'a alerté que les thérans avaient trouvé le kaer et voulaient faire des sacrifices. Cela ne l'arrange pas qu'il soit enfermé. Quand Hrak s'est retrouvé enchainé à fond de cale, par ses propres amis, pas besoin de l'horreur pour qu'il soir furieux. Lorsque celle-ci lui a proposé sa puissance pour qu'il se libère et l'aider à combattre les thérans, j'ai considéré qu'il avait sauté à pieds joints dedans, comme la 1e fois. Et plus il accepté de sa puissance, plus celle-ci s'est insinué dans sa trame ; plus ses illusions devenaient réalistes, ou lui faisaient accomplir des actes sans que celui-ci réalise ce qu'il se passait. Et les nains n'étant pas particulièrement des proches de Hrak, quand celui-ci a frappé le capitaine, les membres de la royale non pas hésité à le descendre...
Si Hrak les avait accompagné, avec ses capacités "améliorés", le combat contre le ritualiste et le duelliste aurait été très rapide et moins risqué ; mais c'est contre un Hrak possédé qu'auraient eut lieu le combat final. En se séparant de lui, ils s’en sont protégés (bien anticipé), mais ils n'étaient plus là pour veiller sur lui.
J'adore ce final. Vraiment. Mon perso a fait ce qu'il n'aurait pas dû faire (laisser la Corruption le gagner) ce qui a à la fois sauvé le Kaer -puisque Hrak a eu ses visions prémonitoires- mais provoqué sa propre perte.
Si j'avais été là, tu n'aurais certainement pas osé aller jusqu'au bout (l'Horreur prend le contrôle d'un PJ) - ce qui est logique.
Et je ne sais pas si j'aurais osé me retourner "contre le groupe" dans le grand final.
Donc en tant que MJ tu as assuré le cachou en intégrant l'absence d'un joueur pour faire profiter l'intrigue d'un dénouement dur et triste, mais comme tu le dis, c'est pas le pays des Bisounours, Earthdawn. Et tout ça en semi-impro puisque je (enfin, ma voiture) vous ai lâché au dernier moment !
Donc moi je dis: bravo !
Mon blog: http://www.udo-prod.com avec La Superclique gratuite et les Aventures Spears & Sandals d'Agôn !
Udo Femi a écrit :
Si j'avais été là, tu n'aurais certainement pas osé aller jusqu'au bout (l'Horreur prend le contrôle d'un PJ) - ce qui est logique.
Et je ne sais pas si j'aurais osé me retourner "contre le groupe" dans le grand final.
Merchi !
Par contre, si tu avais été là, tu n'aurais pas eut la parti facile quand même. J'aurai vraiment été curieux de voir la confrontation si les autres PJs avaient essayé de t'attacher. Ils n'auraient peut-être pas osé allez au bout, mais cela aurait valu le détour
Pour le final, si tu avais été présent, les deux cas les plus probables :
option 1 : tu as décidé de ne plus utilisé le karma de l'horreur -> elle aurait tenter d'utiliser la marque pour puiser dans ton énergie vitale, et tenter de prendre une forme qui lui permettre de fuir. Mais cela aurait été une formé très affaiblie, et toi tu te serais retrouvé dans un sale état.
Option 2 : tu as continué à puiser dans le karma de l'horreur. Dans ce cas, elle pourrait manipuler tes sens pour te faire croire que tes amis ont été vaincus, et que tu dois tu es la dernière chance de vaincre leurs assassins. (alors qu'en fait tu combattrais tes amis). Et à de voir s'ils prennent le risque de te capturer vivant, pour t'enfermer le temps de bannir l'horreur, quitte à ce que tu en trucides un au passage.
Tu aurais donc été le grand méchant de la fin. D'un autre coté, le combat juste avant, avec tes capacités "boostés" auraient été une formalité .
(pas de remord sur un One-shot. Je me serai plus posé de question dans une campagne. C'est clair)
Mais comme je disais au début, c'est tes interactions avec tes petits camarades, et la gestion de leur méfiance, qui aurait été le plus intéressant de développer.
La semaine dernière: première partie de kingmaker, malheureusement une de mes joueuses à eu un empêchement de dernière minute, donc du coup ils n'étaient que deux pour affronter les dangers des terres volées .
La séance c'est plutôt bien passée, comme personnages nous avions un guerrier humain et un rôdeur demi-elfe. Ils ont eu très chaud par moment, à deux c'était pas toujours évident de gérer certaines situations, notamment les combats.
Un mot sur le système choisis : les Chroniques Oubliées. Nous sommes, pour le moment, satisfaits par contre les personnages me semble encore plus bilous qu'en 3.#, du moins au niveau 1. Ils apprécient beaucoup les voies : les choix possibles, restreints mais variés.
J'ai clôturé la séance sur un cliffhanger assez cocasse (du moins pour moi) : les PJ étant perchés sur les branches du vieux Sycomore, encerclés par les mites et avec les mille-pattes géants entrain de grimper pour les rejoindre. Les joueurs commencent d'ailleurs à réfléchir à leurs prochains perso...
Nous avons rejoué hier soir. Les personnages après avoir échappés de peu au mites furieuses d'avoir étaient enfumées, ont sagement regagnés le comptoir d'Oleg, où les attendait un troisième larron, une magicienne elfe, au nom imprononçable et Kesten Garess et sa petite troupe.
Ils ont ensuite exploré la ceinture verte méthodiquement, hexagone par hexagone et en ont finalement visités dix. Au programme, deux rencontres aléatoires rapidement expédiées, la découverte de la mine d'or, un projet de réparation du pont branlant, la découverte des radis lunaires et des baies voraces (non ce n'était pas une « spéciale botanique »). Nous avons clôturé la séance après un combat épique contre Gouttière le sanglier géant, qui expédia le guerrier humain et la magicienne elfe au tapis avant d'être achevé par le rôdeur.
Suite la semaine prochaine.
Nolendur a écrit : Incidemment, bientôt dans D&D, on n'aura plus le droit de dire que le boeuf-à-poils-roux pue du cul si on rajoute pas la condition "incommodé par les odeurs" dans les règles, sans oublier la manœuvre "se boucher le nez"...
Marius a écrit :Nous avons clôturé la séance après un combat épique contre Gouttière le sanglier géant, qui expédia le guerrier humain et la magicienne elfe au tapis avant d'être achevé par le rôdeur.
C'est là que tu te dis que la traduction est un art difficile, sur lequel on peut se gaufrer magistralement !
VO: Tuskgutter
VF: Gouttière
Coming out : je ne suis pas féministe militant ! (et pourtant je respecte les femmes en général, et j'aime ma femme et mes filles en particulier)
Ca veut dire quoi "Tuskgutter" en french, please? Parceque Reverso me donne "Gouttière de défense" comme traduction .
Nolendur a écrit : Incidemment, bientôt dans D&D, on n'aura plus le droit de dire que le boeuf-à-poils-roux pue du cul si on rajoute pas la condition "incommodé par les odeurs" dans les règles, sans oublier la manœuvre "se boucher le nez"...
Marius a écrit :Ca veut dire quoi "Tuskgutter" en french, please? Parceque Reverso me donne "Gouttière de défense" comme traduction .
Tusk = défense
Gutter = éventreur (et pas gouttière dans ce sens qui nous intéresse. Je pense que le traducteur a eu la même démarche que toi ! )
Ok, merci.
J'avais du mal à voir pourquoi ils avaient nommé le sanglier Gouttière... mais bon c'est du Donj... j'ai pas trop cherché à comprendre .
D'façon, les prsonnages l'ont poutré sans savoir qu'il avait un nom
Nolendur a écrit : Incidemment, bientôt dans D&D, on n'aura plus le droit de dire que le boeuf-à-poils-roux pue du cul si on rajoute pas la condition "incommodé par les odeurs" dans les règles, sans oublier la manœuvre "se boucher le nez"...
le Zakhan Noir a écrit :
T'imagines si à Londres on avait nommé Jack "la Défonceuse"??
J'aime beaucoup Je pense que je vais m'en servir !
Heu...enfin pas pour un usage personnel, hein !? Mais bien pour un JdR !
- Pourquoi les chinoises ont-elles un goût différent de toutes les autres filles ?
- Et tu nous préfères à elles ?
- Non, c'est différent, le canard laqué ne se compare pas au caviar russe. J'apprécie les deux
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