
[CR] - Oltrée Patrouille Urbaine - Sur le fil
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Re: [CR] - Oltrée Patrouille Urbaine - Sur le fil
En même temps ça risquait pas, les dés étaient avec nous..... Enfin, faut dire que comme Paiji est un infâme tricheur qui jette en douce des dés 20 à la place des dés 8, ça aide 

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Re: [CR] - Oltrée Patrouille Urbaine - Sur le fil
Ah ouais, c'est clair que les 3d20 au lieu des 3d8 ont été pour quelque chose dans l'avancement de l'histoire en mode "bon ben on va prendre des raccourcis dans la campagne". Mais c'est pas forcément pour me déplaire. Comme je suis le rythme que les joueurs prennent, je n'amène les éléments que progressivement. Là, le "super" jet d'érudit a permis d'en apprendre beaucoup d'un coup et donc aussi de donner un coup de fouet à la partie (enfin j'espère).
@Mister D. : t'inquiète pas pour les règles ou pour le jeu. Ce qu'il faut c'est ne pas hésiter à amener des éléments comme tu veux - en gros, qu'est-ce qui te fait plaisir de jouer ou de voir dans une aventure ? Quelles sont les histoires que tu veux vivre ? Dans le pire des cas, je propose des aménagements si vraiment ça déraille un peu beaucoup et sinon je prends comme ça vient et j'intègre à mon setting pour lui donner de l'épaisseur et des points d'accroche.
LG
@Mister D. : t'inquiète pas pour les règles ou pour le jeu. Ce qu'il faut c'est ne pas hésiter à amener des éléments comme tu veux - en gros, qu'est-ce qui te fait plaisir de jouer ou de voir dans une aventure ? Quelles sont les histoires que tu veux vivre ? Dans le pire des cas, je propose des aménagements si vraiment ça déraille un peu beaucoup et sinon je prends comme ça vient et j'intègre à mon setting pour lui donner de l'épaisseur et des points d'accroche.
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Re: [CR] - Oltrée Patrouille Urbaine - Sur le fil
Et voilà la suite ...
Après la rencontre avec notre petit informateur, nous sommes finalement arrivés chez l’érudit Pompilius.
Il habite dans une maison étroite et haute, serrée entre ses voisines, dans le quartier de l’Université. La façade en est décoré de figures aux corps humains et aux têtes animales dénommées Atlantes. Après avoir frappé à la porte avec un heurtoir de bronze en forme d’œil, nous avons attendu et Mme Eva est venu nous ouvrir.
Mme Eva est la gouvernante de Pompilius, c’est une femme d’âge mur mais callipyge, on ne connait pas la nature exacte de ses relations avec son employeur et l’imagination y gagne ce que l’exactitude y perd. Ce fut un plaisir de la suivre jusqu’à Pompilius en contemplant ses formes appétissantes.
Pompilius nous attendait dans sa serre, où il cultive toutes sortes de plantes exotiques. C’est un petit homme un peu bouffi et manchot mais ce n’est pas ça seule particularité physique. Il y a des années, Il a été victime d’une explosion de jarres contenant un liquide magique alors qu’il participait à une expédition archéologique et a subi une mutation qui lui a fait perdre un bras et gagner une queue. Depuis il vit en reclus dans sa maison où on le consulte sur beaucoup de choses et principalement l’archéologie.
Il répond aimablement à nos questions sur les monstres même si ce n’est malheureusement pas son domaine de prédilection. Le sujet a été étudié depuis des siècles et surtout à l’apogée de l’Empire. Ils sont tous uniques et ne se reproduisent pas même s’ils ont une origine biologique. Ils sont fabriqués par Le Père des Monstres dans ce qu’on appelle des nids, des couveuses ou des fabriques mais que personne n’a jamais vu. Il existe une autre théorie sur la naissance des monstres qui implique des poussières corruptrices amenées par le vent et qui corrompraient hommes et animaux mais elle apparaît moins plausible.
Au cours de la conversation nous l’interrogeons sur la possibilité de trouver des informations dans la bibliothèque engloutie de la ville de Cyr comme nous l’a révélé le sergent des Dératiseurs rencontré le matin même et il nous suggère de nous adresser au Premier Libraire de la bibliothèque de l’Université car il a entendu dire que des chercheurs de trésor auraient trouvé des livres et les auraient proposés à l’université.
Pour finir il nous emmène dans son bureau pour nous montrer une carte qu’il maintient à jour régulièrement avec toutes les attaques de monstres recensées et il apparaît que l’épicentre des apparitions serait au nord du Rhuan, le fleuve qui sépare en deux la cité, à l’aplomb du quartier du Cinq.
Il s’agit d’un quartier d’affaires au carrefour de 5 grandes voies commerciales mais qui est connu également pour abriter un réseau parallèle d’officines pour la débauche des commerçants du quartier, jeu, alcool, sexe et drogues y sont proposés à ceux qui en ont les moyens et savent montrer patte blanche. Il a été passé au peigne fin à plusieurs reprises mais on n’a jamais rien trouvé.
Au moment de prendre congé, Mme Eva rappelle à Pompilius son rendez-vous de 15 heures avec le « borgne aux guenilles » et celui-ci a l’air gêné. Interrogé, il nous explique que cet homme l’importune depuis quelques temps, en prétendant qu’il est un élu et qu’il a des révélations à lui faire sur sa mutation. "Je ne sais comment m’en débarrasser" avoue Pompilius et nous lui proposons de revenir plus tard et d’assister à l’entretien s’il le souhaite. Pompilius accepte avec reconnaissance et nous le quittons en promettant de revenir dans l’après-midi.
A l’université, nous rencontrons le Premier Libraire. Quand nous l’interrogeons sur la possibilité que la grande bibliothèque de Cyr ait survécu il a l’air embarrassé et nous demande de le suivre dans un cabinet secret rempli de livres derrière son bureau. Il accepte, sous le sceau du secret, de nous révéler qu’il existe bien des passages pour atteindre les ruines de la ville engloutie mais que le secret a été gardé pour ne pas provoquer une ruée de chercheurs de trésor et de pillards. Les livres qu’il stocke dans son cabinet sont officiellement des héritages que l’université a rachetés. Parmi ces livres, un serait susceptible de nous intéresser, un catalogue des monstres assez incomplet. Le Premier Libraire propose de nous en faire faire une copie contre un service à lui rendre à l’occasion. Nous acceptons, le livre nous sera livré au fortin.
Après ce rendez-vous, et en attendant de retourner chez Pompilius dans l’après-midi, nous décidons d’aller voir de plus près ce liquide vert et mystérieux qu’on nous a signalé suintant sous une taverne.
La taverne en question s’appelle La Canette au Feu et a pour enseigne une tête de canard enflammée ! (sacré Dokkie !)
C’est une auberge de 3° catégorie dont la cheminée tire très mal, où une odeur de fumée et de rance prend à la gorge dès qu’on y pénètre. Elle est encombrée de l’habituel lot de pochetrons et de bons à rien. La patronne, que les clients appellent maîtresse Jacquotte, une blonde bien charpentée, est avenante malgré sa jambe de bois. La bière et la cuisine y sont toutefois d’excellente qualité.
Nous adoptons une approche directe mais, à l’évocation d’un liquide vert, Jacquotte se fige et a l’air mal à l’aise. Elle retourne en cuisine et deux videurs nous empêchent de la suivre. Ergoune le suiffard (notre compagnon nain pour ceux qui ne suivent pas) s’énerve alors que nous essayons de parlementer, il décide de quitter l’auberge et pénètre dans les égouts via un soupirail. Il ne tarde pas à s’y perdre.
Pendant ce temps, sentant que la discussion avec les deux armoires à glace va virer à l’aigre, la patronne de l’auberge accepte de nous révéler le secret du mystérieux liquide. Derrière les cuisines se trouvent les cuves à bière et derrière les cuves, l’équivalent médiéval d’un labo de methamphétamine (dixit le MJ) ou un type à l’air décavé concocte des produits "récréatifs". « Nous avons eu une fuite, dit Jacquotte, mais ne vous inquiétez pas, nous allons nettoyer et il n’y paraîtra plus. » Elle nous propose un pot de vin contre notre silence, que je refuse, au grand dam de Gérald la fouine.
Après tout, bien que surement illégaux (au fait on n'a pas demandé), leurs petits trafics ne sont pas notre problème, nous ne sommes pas des forces de l’ordre et si nous commençons à dénoncer les gens, personne ne nous parlera plus.
Pendant ce temps, Ergoune s’est enfoncé au plus profond des entrailles de la ville.
Complètement perdu, au détour d’un passage, il se retrouve nez à nez avec une demi-douzaine de personnages en armure, à l’exception de l’un d’entre eux habillé en noble, et qui s’expriment en noirceux. Avec horreur, Ergoune réalise que ce sont des squelettes !
Fin de la séance (quelque chose me dit que nous ne serons pas à l’heure chez Pompilius
).
Après la rencontre avec notre petit informateur, nous sommes finalement arrivés chez l’érudit Pompilius.
Il habite dans une maison étroite et haute, serrée entre ses voisines, dans le quartier de l’Université. La façade en est décoré de figures aux corps humains et aux têtes animales dénommées Atlantes. Après avoir frappé à la porte avec un heurtoir de bronze en forme d’œil, nous avons attendu et Mme Eva est venu nous ouvrir.
Mme Eva est la gouvernante de Pompilius, c’est une femme d’âge mur mais callipyge, on ne connait pas la nature exacte de ses relations avec son employeur et l’imagination y gagne ce que l’exactitude y perd. Ce fut un plaisir de la suivre jusqu’à Pompilius en contemplant ses formes appétissantes.
Pompilius nous attendait dans sa serre, où il cultive toutes sortes de plantes exotiques. C’est un petit homme un peu bouffi et manchot mais ce n’est pas ça seule particularité physique. Il y a des années, Il a été victime d’une explosion de jarres contenant un liquide magique alors qu’il participait à une expédition archéologique et a subi une mutation qui lui a fait perdre un bras et gagner une queue. Depuis il vit en reclus dans sa maison où on le consulte sur beaucoup de choses et principalement l’archéologie.
Il répond aimablement à nos questions sur les monstres même si ce n’est malheureusement pas son domaine de prédilection. Le sujet a été étudié depuis des siècles et surtout à l’apogée de l’Empire. Ils sont tous uniques et ne se reproduisent pas même s’ils ont une origine biologique. Ils sont fabriqués par Le Père des Monstres dans ce qu’on appelle des nids, des couveuses ou des fabriques mais que personne n’a jamais vu. Il existe une autre théorie sur la naissance des monstres qui implique des poussières corruptrices amenées par le vent et qui corrompraient hommes et animaux mais elle apparaît moins plausible.
Au cours de la conversation nous l’interrogeons sur la possibilité de trouver des informations dans la bibliothèque engloutie de la ville de Cyr comme nous l’a révélé le sergent des Dératiseurs rencontré le matin même et il nous suggère de nous adresser au Premier Libraire de la bibliothèque de l’Université car il a entendu dire que des chercheurs de trésor auraient trouvé des livres et les auraient proposés à l’université.
Pour finir il nous emmène dans son bureau pour nous montrer une carte qu’il maintient à jour régulièrement avec toutes les attaques de monstres recensées et il apparaît que l’épicentre des apparitions serait au nord du Rhuan, le fleuve qui sépare en deux la cité, à l’aplomb du quartier du Cinq.
Il s’agit d’un quartier d’affaires au carrefour de 5 grandes voies commerciales mais qui est connu également pour abriter un réseau parallèle d’officines pour la débauche des commerçants du quartier, jeu, alcool, sexe et drogues y sont proposés à ceux qui en ont les moyens et savent montrer patte blanche. Il a été passé au peigne fin à plusieurs reprises mais on n’a jamais rien trouvé.
Au moment de prendre congé, Mme Eva rappelle à Pompilius son rendez-vous de 15 heures avec le « borgne aux guenilles » et celui-ci a l’air gêné. Interrogé, il nous explique que cet homme l’importune depuis quelques temps, en prétendant qu’il est un élu et qu’il a des révélations à lui faire sur sa mutation. "Je ne sais comment m’en débarrasser" avoue Pompilius et nous lui proposons de revenir plus tard et d’assister à l’entretien s’il le souhaite. Pompilius accepte avec reconnaissance et nous le quittons en promettant de revenir dans l’après-midi.
A l’université, nous rencontrons le Premier Libraire. Quand nous l’interrogeons sur la possibilité que la grande bibliothèque de Cyr ait survécu il a l’air embarrassé et nous demande de le suivre dans un cabinet secret rempli de livres derrière son bureau. Il accepte, sous le sceau du secret, de nous révéler qu’il existe bien des passages pour atteindre les ruines de la ville engloutie mais que le secret a été gardé pour ne pas provoquer une ruée de chercheurs de trésor et de pillards. Les livres qu’il stocke dans son cabinet sont officiellement des héritages que l’université a rachetés. Parmi ces livres, un serait susceptible de nous intéresser, un catalogue des monstres assez incomplet. Le Premier Libraire propose de nous en faire faire une copie contre un service à lui rendre à l’occasion. Nous acceptons, le livre nous sera livré au fortin.
Après ce rendez-vous, et en attendant de retourner chez Pompilius dans l’après-midi, nous décidons d’aller voir de plus près ce liquide vert et mystérieux qu’on nous a signalé suintant sous une taverne.
La taverne en question s’appelle La Canette au Feu et a pour enseigne une tête de canard enflammée ! (sacré Dokkie !)
C’est une auberge de 3° catégorie dont la cheminée tire très mal, où une odeur de fumée et de rance prend à la gorge dès qu’on y pénètre. Elle est encombrée de l’habituel lot de pochetrons et de bons à rien. La patronne, que les clients appellent maîtresse Jacquotte, une blonde bien charpentée, est avenante malgré sa jambe de bois. La bière et la cuisine y sont toutefois d’excellente qualité.
Nous adoptons une approche directe mais, à l’évocation d’un liquide vert, Jacquotte se fige et a l’air mal à l’aise. Elle retourne en cuisine et deux videurs nous empêchent de la suivre. Ergoune le suiffard (notre compagnon nain pour ceux qui ne suivent pas) s’énerve alors que nous essayons de parlementer, il décide de quitter l’auberge et pénètre dans les égouts via un soupirail. Il ne tarde pas à s’y perdre.
Pendant ce temps, sentant que la discussion avec les deux armoires à glace va virer à l’aigre, la patronne de l’auberge accepte de nous révéler le secret du mystérieux liquide. Derrière les cuisines se trouvent les cuves à bière et derrière les cuves, l’équivalent médiéval d’un labo de methamphétamine (dixit le MJ) ou un type à l’air décavé concocte des produits "récréatifs". « Nous avons eu une fuite, dit Jacquotte, mais ne vous inquiétez pas, nous allons nettoyer et il n’y paraîtra plus. » Elle nous propose un pot de vin contre notre silence, que je refuse, au grand dam de Gérald la fouine.
Après tout, bien que surement illégaux (au fait on n'a pas demandé), leurs petits trafics ne sont pas notre problème, nous ne sommes pas des forces de l’ordre et si nous commençons à dénoncer les gens, personne ne nous parlera plus.
Pendant ce temps, Ergoune s’est enfoncé au plus profond des entrailles de la ville.
Complètement perdu, au détour d’un passage, il se retrouve nez à nez avec une demi-douzaine de personnages en armure, à l’exception de l’un d’entre eux habillé en noble, et qui s’expriment en noirceux. Avec horreur, Ergoune réalise que ce sont des squelettes !
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Re: [CR] - Oltrée Patrouille Urbaine - Sur le fil
Les drogues ne sont pas à proprement parler illégales tant qu'elles sont vendues par la Klephte. Elles sont illégales quand elles sont fabriquées par des indépendants. Et ils risquent un peu plus que de la prison ^^
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Re: [CR] - Oltrée Patrouille Urbaine - Sur le fil
Et bien je me suis trompé, voilà la suite des rapports du patrouilleur Quintus Poenius, de la patrouille de Sérafina, votre serviteur.Paiji a écrit :(quelque chose me dit que nous ne serons pas à l’heure chez Pompilius).
Ma défunte mère disait toujours : le pessimisme est d'humeur, l'optimisme est de volonté. J’ai néanmoins du mal à être optimiste quand je pense à Ergoune le Suiffard. Malgré de longues heures de recherche nous n’avons pas réussi à la retrouver dans les égouts sous la taverne de la Canette au Feu.
La mort dans l’âme nous nous sommes résignés, Gérald et moi, à retourner chez Pompilius comme nous le lui avions promis.
Nous avons attendu avec lui que se présente son visiteur, un humain assez grand, mélange de norrois et de citadin, ou citadin acclimaté au nord sauvage, borgne et en guenilles comme nous l’avait décrit Pompilius. Il s’est présenté comme Voltan Odilus et nous a asséné une grande nouvelle : un nouvel Empereur est monté sur le trône et œuvre à réunifier les anciennes terres d’Empire malgré les velléités d’indépendance des caciques locaux et il cherche des alliés pour l’aider dans sa tâche qui sera longue et difficile. Son nom est Azdeus IV et il est le dernier descendant direct du dernier Empereur. Il a envoyé Voltan et nombre de ses camarades de par le monde, dissimulés sous l’apparence de vagabonds, mais porteur du symbole des anciens messagers de l’Empire, une roue de platine qui brûle ceux qui usurpent le titre d’envoyés de l’Empereur. Pompilius nous a certifié que l’objet était authentique et Voltan n’avait pas l’air de bruler, il a fallu en conclure que ce qu’il disait était vrai. Pour faciliter sa recherche d’alliés, Voltan dispose entre autre d’un médicament mis au point par l’Empereur, médicament qui devrait lui permettre de soigner la mutation de Pompilius. L’affaire n’est pas sans risques et sera douloureuse mais Pompilius a accepté immédiatement.
De notre côté, un patrouilleur digne de ce nom ne peut être que nostalgique de l’époque où l’Empire faisait régner la Pax Imperialis et où la Patrouille était l’un de ses bras armés. Même si je sens que Gérald est moins enthousiaste que moi, j’ai assuré Voltan du soutien total de la Patrouille, nonobstant le fait que nous sommes actuellement réduits à peu de chose (3 patrouilleurs, peut-être même deux si on ne retrouve pas Ergoune) et engagés dans la lutte contre les monstres.
Comme preuve de sa bonne foi, Voltan a proposé de nous aider dans notre lutte. Il nous a expliqué que Sérafina était surement à l’aplomb d’une fabrique mais que celle-ci se trouvait dans un autre plan d’existence et ne pouvait être atteinte qu’au moment où elle entrait en résonance avec notre propre plan. En jetant un œil sur la carte et les relevés de Pompilius, il nous a assuré qu’un monstre apparaitrait dès ce soir, aux confins des quartiers de La Louverie, Les Paniques et La Ribauderie.
Pompilius a accepté de prendre le médicament proposé par Voltan, qui est resté pour le veiller car sa guérison prendra plusieurs jours. De notre côté, nous avons décidé de les laisser et de nous occuper autant que faire se peut de la menace du monstre. Même si Ergoune le nain avait été présent, nous aurions été en difficulté pour affronter un monstre et en son absence, nous avons donc décidé d’aller voir le sergent des Dératiseurs rencontrés plus tôt.
Au début le sergent Peter a eu du mal à croire que l’on pouvait prévoir avec une certaine précision les apparitions des monstres, mais il a vite compris que si c’était vrai, ce serait une vraie révolution et a donc décidé de tester la véracité des prédictions de Voltan Odilus avec nous.
Après un diner rapide chez Jacquotte où j’ai eu le déplaisir de constater qu’une barde Sidhe du nom de Njoki répandait de nauséabondes thèses révisionnistes sur l’Empire via son tour de chant et qu’Ergoune avait sans doute déserté des rangs de la patrouille puisqu’il ne donnait pas signe de vie, nous avons rejoint les Dératiseurs pour attendre l’apparition du monstre.
C’est Gérald et moi qui avons eu l’honneur de débusquer le monstre, une énorme masse noire de protoplasme primordial. Nous marchions dans les ruelles quand nous avons senti notre force vitale s’affaiblir. Le monstre s’écoulait dans notre direction depuis une venelle. Nous avons résisté à son drain de vie et entrepris de le combattre. Le monstre frappait sauvagement à l’aide de ses pseudopodes et Gérald s’est rapidement retrouvé projeté contre un mur et hors de combat. Quand à moi, en parant ses coups comme je le pouvais, j’ai réussi à entraîner le monstre vers les Dératiseurs, ce qui nous a sauvé la vie alors que mon armure et mon bouclier étaient totalement détruites dans l’opération.
Les dieux étaient avec nous et les prédictions de Voltan Odilus se sont révélées exactes. Bien sûr nous avons failli y laisser la vie mais nous savons maintenant qu’il est possible de prédire les apparitions des monstres en se fondant sur leur rythme ainsi que les zones où ils apparaissent.
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Re: [CR] - Oltrée Patrouille Urbaine - Sur le fil
AVIS A LA POPULATION
La patrouille recrute un patrouilleur (ou une patrouilleuse)
Tu as une adresse G-Mail, une web cam ? Tu veux vivre des aventures palpitantes (mais en tout bien tout honneur) ?
Rejoins la patrouille !
Nous patrouillons une fois par semaine (en tous cas on essaye), généralement le mercredi soir de 21h à 23h30 maximum via google hangout et roll20.
Tu est motivé ? Sérieux ? Bon camarade ?
La patrouille t'offre une occasion unique de devenir un brave, dans un environnement débonnaire mais stimulant.
N'attend pas et envoie ton mp de motivation au comité de sélection (votre serviteur, Le Grümph, Dokkalfar & Sammael99).
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Tu est motivé ? Sérieux ? Bon camarade ?
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Re: [CR] - Oltrée Patrouille Urbaine - Sur le fil
Alors comme façon d'apprendre que son perso est mort, c'est pas très cool...


Mozart n'a pas écrit que le Boléro de Ravel. Mais aussi plein d'autres trucs beaucoup moins connus (comme le canon de Pachelbel). - Le Grümph
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Re: [CR] - Oltrée Patrouille Urbaine - Sur le fil
Mwahahaha...
Non, tu as juste disparu. Ou plutôt, tu n'as pas reparu.
Ils t'ont cherché deux ou trois heures, demandé à des gens dans les égouts, mais personne ne t'a aperçu nulle part.
Tu en sauras plus la prochaine fois que tu nous rejoins.
LG
Non, tu as juste disparu. Ou plutôt, tu n'as pas reparu.
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Re: [CR] - Oltrée Patrouille Urbaine - Sur le fil
Pauvre Sammael, c'est vrai qu'en lisant le CR je me suis dit qu'il allait croire être mort. Mais non ma loute, c'est juste le point de vue et les interrogations du personnage qui rend compte!
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Re: [CR] - Oltrée Patrouille Urbaine - Sur le fil
Pasqu'en vrai, l'elfe, elle joue super bien du ukulele ^^
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Re: [CR] - Oltrée Patrouille Urbaine - Sur le fil
Si il est mort (avec la voix de Valérie Lemercier) !
En fait, oui, c'est le CR vu par les yeux de mon personnage, il n'a pas la prétention d'être objectif
Et au cas où ça n'aurait pas été compris, nous cherchons réellement un joueur supplémentaire.
En fait, oui, c'est le CR vu par les yeux de mon personnage, il n'a pas la prétention d'être objectif

Et au cas où ça n'aurait pas été compris, nous cherchons réellement un joueur supplémentaire.
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Re: [CR] - Oltrée Patrouille Urbaine - Sur le fil
Je n'ai pas cru une seule seconde que mon perso était mort, c'est juste la superposition de la scène et de l'annonce qui m'a fait marrer!
Mozart n'a pas écrit que le Boléro de Ravel. Mais aussi plein d'autres trucs beaucoup moins connus (comme le canon de Pachelbel). - Le Grümph
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Re: [CR] - Oltrée Patrouille Urbaine - Sur le fil
Nous sommes le 2ème jour de la semaine basse, dans le mois du Chat Noir, c’est le début de l’été et nous revoilà au fortin, dans la Vieille Ville.
Ergoune n’a pas réapparu mais nous avons été rejoint par Clèomède, une patrouilleuse de bonne ascendance, une impériale comme moi, qui s’était consacrée jusqu’à présent à remettre en état notre fortin après l’attaque des monstres.
La ville bruisse de rumeurs inquiétantes, nous avons appris qu’une ville mouvante gnolle se rapproche de Sérafina via les plateaux Hyrtaniens au nord. Les clans cavaliers n’ont pas pu l’arrêter et refluent en déroute. Pour la première fois depuis bien longtemps, la Légion fait mouvement et les compagnies de cette troupe d’élite joueront le rôle d’une digue face à cette marrée mortelle qui déferle sur nous.
De notre côté, nous avons décidé de remettre le fortin en état et pour commencer, de recruter un maître forgeron. En mettant à profit nos réseaux, nous avons appris qu’une maître forgeron naine nommée Magaelle a récemment été chassé du ghetto nain par les siens et recherche un employeur. Malheureusement, nous avons également appris que Graccus, un ancien patrouilleur qui a trahi la patrouille en détournant une partie de ses biens, aimablement surnommé La Raclure par nos soins, est également à la recherche d’un maître forgeron.
Depuis que ses malversations lui ont permis de bâtir sa fortune sur le dos de ses frères, Graccus a fait du chemin et il occupe aujourd’hui le poste d’Architecte de la Maison Haute, responsables des travaux et embellissement de la ville et de ses cérémonies. Il ne fait aucun doute qu’un tel poste est une bénédiction pour quelqu’un avec aussi peu de scrupules et si habile à truquer les comptes et les bilans. En attendant, si nous voulons lui souffler la forgeronne sous le nez, il va falloir faire vite.
Ah, j’oubliais, une rumeur circule également selon laquelle un obscur Satrape d’une satrapie voisine chercherait à déstabiliser la ville en faisant courir le bruit que l’Empereur est revenu via des agents étrangers. J’ai bien expliqué à Gérald qu’il s’agit sans nul doute d’une pathétique tentative par des agents provocateurs de l'usurpateur actuel de nuire au légitime rétablissement de l’Empire et qu’il est évident qu’il ne faut pas y accorder le moindre crédit, je ne suis pas sur qu’il ait compris.
Nous étions donc partis en direction du quartier nain pour essayer de trouver Magaelle quand nous sommes tombés sur trois esclaves gobelours en fuite, poursuivis par une bande de coupe-jarrets faisant usage de leurs armes (flèches et bolas) sans porter la moindre attention à la foule alentour.
Nous nous sommes interposés entre les créatures et leurs poursuivants, interrompant la poursuite, en clamant que ces esclaves étaient une partie de l’aide que nous avait promis le seigneur de la Maison Haute pour rebâtir le fortin (et c'était vrai, Clèomède avait les documents pour le prouver). Le contremaître qui menait la troupe des poursuivants n’était pas d’accord et a essayé de résister en prétextant que l’Architecte avait annulé cet ordre (une ligne de plus au bas de la dette qui sera présentée un jour à Raclure). Nous avons failli en venir aux mains avant que Clèomède ne ramène tout le monde à la raison grâce à sa voix calme. Finalement nous avons obtenu gain de cause, mais pendant ce temps, les gobelours essayaient de s’enfuir. Par un superbe lancer de bolas, Clèomède en a arrêté deux, une véritable prouesse, mais le troisième s’est enfui. Les coupe-jarrets de Raclure ont fini par lever le camp, non sans que j’ai eu le temps de pousser leur contremaître dans le canal tout proche. C'était mesquin mais ça m'a fait plaisir.
Nous avons discuté avec les gobelours et tenté de les convaincre qu’ils auraient une meilleure vie au fortin et peut être un jour la liberté, meilleu0er en tous cas que celle d’un esclave en fuite. Dans un grand élan de confiance dans les qualités d’âme de nos gobelours, Clèomède a décidé de les laisser partir, certaine qu’ils se rendraient d’eux même au fortin. J’ai quand même demandé à Brutus, mon garde du corps, de les suivre et de s’en assurer.
Nous avons repris la Patrouille.
Ergoune n’a pas réapparu mais nous avons été rejoint par Clèomède, une patrouilleuse de bonne ascendance, une impériale comme moi, qui s’était consacrée jusqu’à présent à remettre en état notre fortin après l’attaque des monstres.
La ville bruisse de rumeurs inquiétantes, nous avons appris qu’une ville mouvante gnolle se rapproche de Sérafina via les plateaux Hyrtaniens au nord. Les clans cavaliers n’ont pas pu l’arrêter et refluent en déroute. Pour la première fois depuis bien longtemps, la Légion fait mouvement et les compagnies de cette troupe d’élite joueront le rôle d’une digue face à cette marrée mortelle qui déferle sur nous.
De notre côté, nous avons décidé de remettre le fortin en état et pour commencer, de recruter un maître forgeron. En mettant à profit nos réseaux, nous avons appris qu’une maître forgeron naine nommée Magaelle a récemment été chassé du ghetto nain par les siens et recherche un employeur. Malheureusement, nous avons également appris que Graccus, un ancien patrouilleur qui a trahi la patrouille en détournant une partie de ses biens, aimablement surnommé La Raclure par nos soins, est également à la recherche d’un maître forgeron.
Depuis que ses malversations lui ont permis de bâtir sa fortune sur le dos de ses frères, Graccus a fait du chemin et il occupe aujourd’hui le poste d’Architecte de la Maison Haute, responsables des travaux et embellissement de la ville et de ses cérémonies. Il ne fait aucun doute qu’un tel poste est une bénédiction pour quelqu’un avec aussi peu de scrupules et si habile à truquer les comptes et les bilans. En attendant, si nous voulons lui souffler la forgeronne sous le nez, il va falloir faire vite.
Ah, j’oubliais, une rumeur circule également selon laquelle un obscur Satrape d’une satrapie voisine chercherait à déstabiliser la ville en faisant courir le bruit que l’Empereur est revenu via des agents étrangers. J’ai bien expliqué à Gérald qu’il s’agit sans nul doute d’une pathétique tentative par des agents provocateurs de l'usurpateur actuel de nuire au légitime rétablissement de l’Empire et qu’il est évident qu’il ne faut pas y accorder le moindre crédit, je ne suis pas sur qu’il ait compris.
Nous étions donc partis en direction du quartier nain pour essayer de trouver Magaelle quand nous sommes tombés sur trois esclaves gobelours en fuite, poursuivis par une bande de coupe-jarrets faisant usage de leurs armes (flèches et bolas) sans porter la moindre attention à la foule alentour.
Nous nous sommes interposés entre les créatures et leurs poursuivants, interrompant la poursuite, en clamant que ces esclaves étaient une partie de l’aide que nous avait promis le seigneur de la Maison Haute pour rebâtir le fortin (et c'était vrai, Clèomède avait les documents pour le prouver). Le contremaître qui menait la troupe des poursuivants n’était pas d’accord et a essayé de résister en prétextant que l’Architecte avait annulé cet ordre (une ligne de plus au bas de la dette qui sera présentée un jour à Raclure). Nous avons failli en venir aux mains avant que Clèomède ne ramène tout le monde à la raison grâce à sa voix calme. Finalement nous avons obtenu gain de cause, mais pendant ce temps, les gobelours essayaient de s’enfuir. Par un superbe lancer de bolas, Clèomède en a arrêté deux, une véritable prouesse, mais le troisième s’est enfui. Les coupe-jarrets de Raclure ont fini par lever le camp, non sans que j’ai eu le temps de pousser leur contremaître dans le canal tout proche. C'était mesquin mais ça m'a fait plaisir.
Nous avons discuté avec les gobelours et tenté de les convaincre qu’ils auraient une meilleure vie au fortin et peut être un jour la liberté, meilleu0er en tous cas que celle d’un esclave en fuite. Dans un grand élan de confiance dans les qualités d’âme de nos gobelours, Clèomède a décidé de les laisser partir, certaine qu’ils se rendraient d’eux même au fortin. J’ai quand même demandé à Brutus, mon garde du corps, de les suivre et de s’en assurer.
Nous avons repris la Patrouille.
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Re: [CR] - Oltrée Patrouille Urbaine - Sur le fil
Chouette. Désolé de ne pas avoir pu me joindre à vous... encore...
Mozart n'a pas écrit que le Boléro de Ravel. Mais aussi plein d'autres trucs beaucoup moins connus (comme le canon de Pachelbel). - Le Grümph