[CR] The Laundry - The Angleton Files
- chaviro
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Re: [CR] The Laundry - The Angleton Files
Il faudra que je fasse des transparents, mais je n'ai absolument pas eu le temps.
L'OSR est le véganisme du JDR
«Les rôlistes ont bien raison de se défendre des machines à saucisses»(Romaric B.)
«Un TPK d'entrée, c'est bon»(Dude)
«Quand les joueurs en ont marre de voir leurs PJ sodomiser des poney morts, ils commencent à jouer»(Dr Dandy)
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Re: [CR] The Laundry - The Angleton Files
Tu as eu un gros boulot à faire pour l'adaptation Laundry ?
Je pensais à faire exactement la même chose...
Pourquoi n'avoir pas gardé le Gumshoe ?
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- chaviro
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Re: [CR] The Laundry - The Angleton Files
Parce que Loris, c'est le seul adepte convaincu du system matter que je connaisse qui s'empresse d'oublier les règles dès le début de la partie et de naviguer au pifomètre tout au long de la soirée
Imagine Gaston Lagaffe en MJ (« les règles ? Mouhais, bof… »), mais sans le chat sur les genoux…

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Re: [CR] The Laundry - The Angleton Files
chaviro a écrit :Parce que Loris, c'est le seul adepte convaincu du system matter que je connaisse qui s'empresse d'oublier les règles dès le début de la partie et de naviguer au pifomètre tout au long de la soiréeImagine Gaston Lagaffe en MJ (« les règles ? Mouhais, bof… »), mais sans le chat sur les genoux…


"Over the centuries, mankind has tried many ways of combating the forces of evil... prayer, fasting, good works and so on. Up until 'DooM', no one seemed to have thought about the double-barrel shotgun. Eat leaden death, demon!"
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Re: [CR] The Laundry - The Angleton Files
A part réécrire les documents, non, aucun.Thabanne a écrit :Tu as eu un gros boulot à faire pour l'adaptation Laundry ?
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Re: [CR] The Laundry - The Angleton Files
On a continué mais j'ai pas pris de notes.
Faut aussi que je fasse le document 3, histoire de remettre un 1€ dans le jukebox.
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Re: [CR] The Laundry - The Angleton Files
J'ai pris des notes mais je les ai oublié chez Loris 
Du coup au prochain scénar je fais le CR de la fin de la séance 3 + la séance 4.

Du coup au prochain scénar je fais le CR de la fin de la séance 3 + la séance 4.
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Re: [CR] The Laundry - The Angleton Files
Hier, ça a bien bougé.
Et Emöjk a récupéré ses notes
Et Emöjk a récupéré ses notes

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Re: [CR] The Laundry - The Angleton Files
Reprenons.Loris a écrit :Au cirque, ils assistent à un spectacle de monstres. Deux forts des halles (dont les noms apparaissaient dans un doc) et un monstre innommable, parodie effroyable d'humain. Ils finissent aussi par trouver la colocataire du gourou. Celle-ci est une sorte de Madame Irma locale.
On commence par un foreshadowing : McGill est blessé au flanc, à l'arrière d'une voiture. Baloo et moi sommes choqués, partageant une cigarette devant le cirque en flammes...
Or donc le cirque est un petit chapiteau décrépi, dont l'attraction principale et Alfie Pivar, un homme-monstre, véritable profond voire pire... Peut-être un hybride de quelque chose d'autre. Ça nous fait froid dans le dos.
Claudia Brazda fait de la divination dans sa caravane. L'un des hommes forts, Sergueï Garkalin, connaissait Thomas Ongine, l'ex-président de la ligue d'astronomes (celui que nous avons descendu) : Claudia, elle, connaît surtout la Laverie. On essaye de l'impressionner un peu mais elle ne s'en laisse pas compter, et nous acceptons rapidement de la mettre sous notre protection. En échange, elle nous révèle bien des choses : Thomas est venu au cirque il y a quelques temps, et s'est intéressé à Alfie et sa mutation. Alfie est un fils de Yog-Sothoth, créé à dessein par un culte. Il a réussi à s'évader car il devait servir de porte à son papa et n'était pas très chaud. Thomas a essayé de reproduire l'invocation qui a créé Alfie, et Claudia a tenté de l'en empêcher.
On sort de la roulette et tombons sur Sergueï, Vladimir et Alfie, visiblement pas là pour nous serrer la main. Claudia ouvre un portail, la jeunesse de Sergueï y est aspirée et le pauvre est vite réduit en poussière. McGill tire sur Alfie ; les balles produisent un son métallique, mais aucun effet visible. Bon, rendons-nous à l'évidence : c'est le moment de fuir. Notre voiture s'éloigne au loin, et nous ne pouvons que tirer quelques balles pour ralentir Yog-Sothoth Jr. pour garantir notre fuite...
En bonus : les deux premières lettres d'Angleton.





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Re: [CR] The Laundry - The Angleton Files
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Re: [CR] The Laundry - The Angleton Files
Il est temps de mener notre petite enquête sur ce cirque. Administrativement, ça ne donne pas grand chose : il paie ses impôts, est mentionné sporadiquement dans la presse. Son patron, Earl Murdoch, habite à Portsmouth, où nous décidons de nous rendre avec McGill (Baloo est encore envoyé compter des trombones).
L'adresse correspond à un hangar paumé. Sur la boîte aux lettres, il y a tous les gens du cirque (y compris Alfie). On planque, mais hélas je reçois soudain un appel de mon « vrai boulot » : je dois mettre à jour mes objectifs pro, là tout de suite, parce que je n'ai pas rendu le fichier à temps. Je reste donc dans la voiture en grommelant pendant que McGill se dirige vers le hangar ; il y perçoit une silhouette, qu'il tente de poursuivre mais abandonne vite lorsqu'elle atteint la forêt voisine.
Finalement nous crochetons sans mal la porte du hangar. À l'intérieur : des équipements de chimie, des salles avec des crochets et des chaînes. Il ne faut pas être très intelligent pour additionner 2 et 2... Je réprime une envie de foutre le feu au bâtiment et prend un échantillon d'un produit bizarre qui traîne.
Le lendemain matin, nous recommençons à attaquer le problème par l'angle administratif. Le propriétaire actuel du hangar est inconnu. Le lieu, clairement off-the-map, était précédemment la propriété d'un certain Isaïa Havens, disparu depuis ; il a inventé un célèbre jeu de société et a été témoin d'une invocation ratée, je vous laisse deviner lequel de ces deux faits est sans doute lié à sa disparition. Ah oui, et le hangar a été retiré du cadastre peu après les élections municipales, il y a quelques années...
Nous nous orientons donc vers le maire, Herman May, un travailliste. Il a été réélu à un poil de fesse aux dernières élections. Dans ses amis on compte Vance Whitney, une fortune locale soupçonnée de blanchiment d'argent et de liens avec le syndicat du crime. D'ailleurs tous deux sont probablement des membres du club nautique...
On essaye de faire parler les opposants politiques de May sur d'éventuels cadavres frais dans le placard, mais à part quelques banals délits d'initiés (genre « May est un chef de BTP »), rien de probant. Il ne nous reste donc plus qu'à infiltrer ce fameux club nautique vers lequel tout semble converger...
On chope du matos d'écoute, des bleus de travail, et roulez jeunesse. Bon, au club nautique on a beau se faire passer pour des plombiers, le staff semble peu dupe, et nous renifle le cul sans relâche. McGill parvient bien à poser un pauvre micro dans les toilettes, vu que c'est le seul endroit où on le laisse aller seul, mais c'est peu probable qu'on entende quoi que ce soit d'intéressant là-dedans...
Non, le seul truc qu'on retient vraiment de notre visite, c'est qu'il y a une seule pièce où l'on n'a pas le droit de régler les radiateurs, et c'est la pièce centrale.
L'adresse correspond à un hangar paumé. Sur la boîte aux lettres, il y a tous les gens du cirque (y compris Alfie). On planque, mais hélas je reçois soudain un appel de mon « vrai boulot » : je dois mettre à jour mes objectifs pro, là tout de suite, parce que je n'ai pas rendu le fichier à temps. Je reste donc dans la voiture en grommelant pendant que McGill se dirige vers le hangar ; il y perçoit une silhouette, qu'il tente de poursuivre mais abandonne vite lorsqu'elle atteint la forêt voisine.
Finalement nous crochetons sans mal la porte du hangar. À l'intérieur : des équipements de chimie, des salles avec des crochets et des chaînes. Il ne faut pas être très intelligent pour additionner 2 et 2... Je réprime une envie de foutre le feu au bâtiment et prend un échantillon d'un produit bizarre qui traîne.
Le lendemain matin, nous recommençons à attaquer le problème par l'angle administratif. Le propriétaire actuel du hangar est inconnu. Le lieu, clairement off-the-map, était précédemment la propriété d'un certain Isaïa Havens, disparu depuis ; il a inventé un célèbre jeu de société et a été témoin d'une invocation ratée, je vous laisse deviner lequel de ces deux faits est sans doute lié à sa disparition. Ah oui, et le hangar a été retiré du cadastre peu après les élections municipales, il y a quelques années...
Nous nous orientons donc vers le maire, Herman May, un travailliste. Il a été réélu à un poil de fesse aux dernières élections. Dans ses amis on compte Vance Whitney, une fortune locale soupçonnée de blanchiment d'argent et de liens avec le syndicat du crime. D'ailleurs tous deux sont probablement des membres du club nautique...
On essaye de faire parler les opposants politiques de May sur d'éventuels cadavres frais dans le placard, mais à part quelques banals délits d'initiés (genre « May est un chef de BTP »), rien de probant. Il ne nous reste donc plus qu'à infiltrer ce fameux club nautique vers lequel tout semble converger...
On chope du matos d'écoute, des bleus de travail, et roulez jeunesse. Bon, au club nautique on a beau se faire passer pour des plombiers, le staff semble peu dupe, et nous renifle le cul sans relâche. McGill parvient bien à poser un pauvre micro dans les toilettes, vu que c'est le seul endroit où on le laisse aller seul, mais c'est peu probable qu'on entende quoi que ce soit d'intéressant là-dedans...
Non, le seul truc qu'on retient vraiment de notre visite, c'est qu'il y a une seule pièce où l'on n'a pas le droit de régler les radiateurs, et c'est la pièce centrale.
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- Mat
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Re: [CR] The Laundry - The Angleton Files
c'est marrant de voir le scan de vos dossiers.
Comme j'ai fais les miens aussi à la main, je peux comparer les différences et les points commun.
Comme j'ai fais les miens aussi à la main, je peux comparer les différences et les points commun.

"Débouler chez des inconnus, de préférence bien plus faibles que soi, les menacer, les tuer pour leur voler leurs biens... c'est vrai qu'à donj, ça n'irait choquer personne ; tout au plus on dirait qu'il y a un problème équilibrage dans l'opposition." Capitaine Caverne 11/12/16
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Re: [CR] The Laundry - The Angleton Files
Ah, j'serais curieux d'comparerMat a écrit :c'est marrant de voir le scan de vos dossiers.
Comme j'ai fais les miens aussi à la main, je peux comparer les différences et les points commun.

"Over the centuries, mankind has tried many ways of combating the forces of evil... prayer, fasting, good works and so on. Up until 'DooM', no one seemed to have thought about the double-barrel shotgun. Eat leaden death, demon!"
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Re: [CR] The Laundry - The Angleton Files
Le lendemain, nous recevons une nouvelle lettre d'Angleton, qui date donc d'avant les autres, si vous avez suivi. Elle contient entre autres un numéro de plaque minéralogique, appartenant à un certain Joseph Wingate, historien local de Portsmouth, à côté des mots « L.A. Waddell ». Mais surtout, elle parle d'un meurtre, dont un H.W. Moran serait témoin. Moran est logé par Mme Wilmer Callahan, qui est également notre logeuse... Seulement à ce jour Callahan ne loge pas de Moran, qui habite actuellement Portsmouth. Il est contremaître dans un atelier de pièces automatiques.
Cela nous prend quelques minutes, mais nous comprenons soudain que le mort de la lettre n'est autre que McGill, visiblement ébranlé par la nouvelle. A priori, des Tcho-Tchos visiteront sa chambre après sa mort (peut-être causée par une étrange créature qui voyage dans le temps ?).
Entre-temps, les résultats pour la substance que j'avais prélevé arrivent : il s'agit d'un produit utilisé par les Profonds pour forcer la mutation des gènes récessifs. Tout mène donc à eux, mais pour Angleton (que nous tenons au courant) ce sont davantage les sectateurs qui sont en cause (c'est dur d'être adoré par des cons).
On en revient donc au club nautique... Un peu de gratte-crâne nous apprend que le club n'a pas de problèmes avec les Profonds, mais avec l'Ordre ésotérique de Dagon, qui a été exclu des accords. Le club pourrait espérer récupérer les anciennes prérogatives de l'Ordre.
Une planque prolongée nous révèle que le parrain local, Horace « Diamond » Walsh, y vient souvent, ainsi que le maire Herman May, Vance Whitney, Austin Kittrell (d'après Angleton, un petit voyou riche), deux femmes que nous identifierons plus tard comme Elsa Hower (riche héritière) et Ruby Reed (prostituée de luxe), ainsi qu'une silhouette encapuchonnée, qui s'avère être nul autre qu'Alfie Pivar... Il ne fuyait pas les cultes, lui ? C'est à n'y rien comprendre.
On s'infiltre donc à nouveau dans le club nautique, cette fois en « remplaçant » l'équipe de nettoyage, et en étant épaulés par un pro du terrain, Elias Johnson. On parvient à entrer dans la salle centrale sans aucun mal ; les badges et les codes nous sont aimablement fournis par les gardiens de nuit, qui se réveilleront avec un gros mal de crâne.
Derrière ce qui ressemble à une salle d'administration classique, un malaise nous prend soudain et notre médaillon se met à pulser. C'est une salle sombre en terre battue, où flotte une odeur de chenil. Un projecteur nous braque ; nous sommes sous un chapiteau. Les spectateurs sont les membres du club nautique, et une nuée d'êtres difformes... Pivar, habillé en Monsieur Loyal, finit d'éventrer Ruby Reed sous nos yeux. Johnson fait immédiatement feu, sans toucher, alors que je fais volte-face pour fuir, mais la sortie est barrée. Je me rue alors sous les gradins, avant de m'y rétamer et d'être obligé de tirer dans le tas pour m'en sortir. Pendant ce temps, McGill et Johnson continuent de se coltiner Pivar ; les balles de bannissement de Johnson marchent plutôt bien. Baloo tente de m'imiter dans la fuite mais se vautre également. Alors que je me fraie un passage à travers la toile du chapiteau, les vigiles, zombifiés, prennent soudain feu. McGill évapore Alfie avec le flingue de Johnson, mis hors combat ; le feu s'empare du chapiteau et c'est la panique. Sauf, étrangement, chez les membres du club ; ainsi Walsh et le maire se prennent des balles sans réagir. Une fois dehors, je dégomme à la file indienne tous les gens qui sortent ; Baloo et McGill (Johnson sur les épaules) me rejoignent bientôt. Baloo traîne derrière lui Elsa Hower, seule survivante du carnage.
On se casse ; l'équipe de nettoyage fera le reste.
En bonus : la troisième lettre d'Angleton.




Cela nous prend quelques minutes, mais nous comprenons soudain que le mort de la lettre n'est autre que McGill, visiblement ébranlé par la nouvelle. A priori, des Tcho-Tchos visiteront sa chambre après sa mort (peut-être causée par une étrange créature qui voyage dans le temps ?).
Entre-temps, les résultats pour la substance que j'avais prélevé arrivent : il s'agit d'un produit utilisé par les Profonds pour forcer la mutation des gènes récessifs. Tout mène donc à eux, mais pour Angleton (que nous tenons au courant) ce sont davantage les sectateurs qui sont en cause (c'est dur d'être adoré par des cons).
On en revient donc au club nautique... Un peu de gratte-crâne nous apprend que le club n'a pas de problèmes avec les Profonds, mais avec l'Ordre ésotérique de Dagon, qui a été exclu des accords. Le club pourrait espérer récupérer les anciennes prérogatives de l'Ordre.
Une planque prolongée nous révèle que le parrain local, Horace « Diamond » Walsh, y vient souvent, ainsi que le maire Herman May, Vance Whitney, Austin Kittrell (d'après Angleton, un petit voyou riche), deux femmes que nous identifierons plus tard comme Elsa Hower (riche héritière) et Ruby Reed (prostituée de luxe), ainsi qu'une silhouette encapuchonnée, qui s'avère être nul autre qu'Alfie Pivar... Il ne fuyait pas les cultes, lui ? C'est à n'y rien comprendre.
On s'infiltre donc à nouveau dans le club nautique, cette fois en « remplaçant » l'équipe de nettoyage, et en étant épaulés par un pro du terrain, Elias Johnson. On parvient à entrer dans la salle centrale sans aucun mal ; les badges et les codes nous sont aimablement fournis par les gardiens de nuit, qui se réveilleront avec un gros mal de crâne.
Derrière ce qui ressemble à une salle d'administration classique, un malaise nous prend soudain et notre médaillon se met à pulser. C'est une salle sombre en terre battue, où flotte une odeur de chenil. Un projecteur nous braque ; nous sommes sous un chapiteau. Les spectateurs sont les membres du club nautique, et une nuée d'êtres difformes... Pivar, habillé en Monsieur Loyal, finit d'éventrer Ruby Reed sous nos yeux. Johnson fait immédiatement feu, sans toucher, alors que je fais volte-face pour fuir, mais la sortie est barrée. Je me rue alors sous les gradins, avant de m'y rétamer et d'être obligé de tirer dans le tas pour m'en sortir. Pendant ce temps, McGill et Johnson continuent de se coltiner Pivar ; les balles de bannissement de Johnson marchent plutôt bien. Baloo tente de m'imiter dans la fuite mais se vautre également. Alors que je me fraie un passage à travers la toile du chapiteau, les vigiles, zombifiés, prennent soudain feu. McGill évapore Alfie avec le flingue de Johnson, mis hors combat ; le feu s'empare du chapiteau et c'est la panique. Sauf, étrangement, chez les membres du club ; ainsi Walsh et le maire se prennent des balles sans réagir. Une fois dehors, je dégomme à la file indienne tous les gens qui sortent ; Baloo et McGill (Johnson sur les épaules) me rejoignent bientôt. Baloo traîne derrière lui Elsa Hower, seule survivante du carnage.
On se casse ; l'équipe de nettoyage fera le reste.
En bonus : la troisième lettre d'Angleton.




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Re: [CR] The Laundry - The Angleton Files
J'ai du arrêter trop tôt hier soir, j'suis un peu vert.
En gros, les personnages ont récupéré une doomsday machine et se demandent bien comment faire pour s'en débarrasser
En gros, les personnages ont récupéré une doomsday machine et se demandent bien comment faire pour s'en débarrasser

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