[CR][REIGN] A La Découverte d'un Nouveau Monde
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Sammael99
- Dieu des babines ruinées
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Je leur ai demandé des jets pour mentir, avec du bonus du au roleplay.Danilo a écrit :Tout au roleplay, ou tu as demandé des jets pour confirmer leurs bonnes idées ?
Je note le point de Cédric, c'est intéressant. Il y a quelques années, j'aurais sans doute fait foirer le plan des joueurs. Aujourd'hui, si c'est bien ficelé, je considère que je n'ai pas de raisons de m'y opposer. Si les jets avaient été pourris, Jacquard aurait sans doute eu des doutes, et ça aurait pu se passer autrement.
En tous cas j'ai adoré cette scène autour de la table et encore une fois, même si je romance les dialogues, le contenu est tel quel.
Vivement ce soir !
Bon, et pour vous récompenser de vos commentaires, la suite sous peu!
Mozart n'a pas écrit que le Boléro de Ravel. Mais aussi plein d'autres trucs beaucoup moins connus (comme le canon de Pachelbel). - Le Grümph
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XO de Vorcen
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J'ai failli poster ce matin en arrivant au taf. Mais j'avais peur de passer pour un gros drogué exatique qui plane après son fix mais commence déjà à se plaindre que le prochain est pour dans longtemps. 
J'adore le fait que tes joueurs ne prennent pas la facilité de faire le coup de poing et privilégient le dialogue ou l'esbrouffe. Ils sont vraiment humains, pas des hachoirs ambulants avec un semblant de sentiments mal ajustés par dessus. Tu me sembles avoir des joueurs de qualité (du moins celle que je recherche à mon âge).
J'aime le dilemne moral qui transparait quand l'un ment effrontement et que celui qui ne ment jamais baisse la tête pour se contraindre à la fermer, à mentir par omission.
Je trouve que l'on sent bien le côté politique/intrigue avec les diverses factions. Cela ne risque t'il pas de s'estomper une fois parti au large ? Ou est ce que ce sera une alternance exploration/aventure puis intrigues politiques de retour au port ?
Par contre, si Reign t'a apporté l'ossature des factions et leur capacités, je n'ai pas l'impression que cela ait été utilisé passé le stade de la conception. Est ce la cas ? Si oui en quoi les mécanisme Reign ont ils été mios en branle (sauf si spoiler vis-à-vis de tes joueurs)
Quand les joueurs codifieront leur compagnie, pourrais tu en détailler les choix techniques en apparté stp ?
J'adore le fait que tes joueurs ne prennent pas la facilité de faire le coup de poing et privilégient le dialogue ou l'esbrouffe. Ils sont vraiment humains, pas des hachoirs ambulants avec un semblant de sentiments mal ajustés par dessus. Tu me sembles avoir des joueurs de qualité (du moins celle que je recherche à mon âge).
J'aime le dilemne moral qui transparait quand l'un ment effrontement et que celui qui ne ment jamais baisse la tête pour se contraindre à la fermer, à mentir par omission.
Je trouve que l'on sent bien le côté politique/intrigue avec les diverses factions. Cela ne risque t'il pas de s'estomper une fois parti au large ? Ou est ce que ce sera une alternance exploration/aventure puis intrigues politiques de retour au port ?
Par contre, si Reign t'a apporté l'ossature des factions et leur capacités, je n'ai pas l'impression que cela ait été utilisé passé le stade de la conception. Est ce la cas ? Si oui en quoi les mécanisme Reign ont ils été mios en branle (sauf si spoiler vis-à-vis de tes joueurs)
Quand les joueurs codifieront leur compagnie, pourrais tu en détailler les choix techniques en apparté stp ?
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Sammael99
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Maintenant que tu soulèves le point, a n'a pas pu se passer exactement comme ça, car c'est Gonzague qui ne ment jamais. Je leur demanderais ce soir.XO de Vorcen a écrit :J'ai failli poster ce matin en arrivant au taf. Mais j'avais peur de passer pour un gros drogué exatique qui plane après son fix mais commence déjà à se plaindre que le prochain est pour dans longtemps.
J'adore le fait que tes joueurs ne prennent pas la facilité de faire le coup de poing et privilégient le dialogue ou l'esbrouffe. Ils sont vraiment humains, pas des hachoirs ambulants avec un semblant de sentiments mal ajustés par dessus. Tu me sembles avoir des joueurs de qualité (du moins celle que je recherche à mon âge).
J'aime le dilemne moral qui transparait quand l'un ment effrontement et que celui qui ne ment jamais baisse la tête pour se contraindre à la fermer, à mentir par omission.
J'ai déjà plus ou moins abordé ce point plus haut. A ce stade, la mécanique de REIGN a peu servi, c'est clair. De plus, je ne suis pas un mécaniste, donc quand on peut gérer en RP quelque chose qui pourrait être géré par des jets de dés, j'ai tendance à favoriser le roleplay.Je trouve que l'on sent bien le côté politique/intrigue avec les diverses factions. Cela ne risque t'il pas de s'estomper une fois parti au large ? Ou est ce que ce sera une alternance exploration/aventure puis intrigues politiques de retour au port ?
Par contre, si Reign t'a apporté l'ossature des factions et leur capacités, je n'ai pas l'impression que cela ait été utilisé passé le stade de la conception. Est ce la cas ? Si oui en quoi les mécanisme Reign ont ils été mis en branle (sauf si spoiler vis-à-vis de tes joueurs)
Quand les joueurs codifieront leur compagnie, pourrais tu en détailler les choix techniques en apparté stp ?
Cela étant dit, clairement je suis en train de peindre mon décor pour que les joueurs le sentent autant que possible et puisse agir en conséquence. Donc oui clairement, ma vision c'est que s'ils trouvent un "là-bas", tout ne sera pas déporté. Ils veulent monter une Maison de Commerce et cela sous-entend évidemment de revenir à Concorde pour vendre des biens et financer les expéditions suivantes.
J'ai tout à fait l'intention de détailler tous les aspects liés aux compagnies quand on en sera arrivé là. En tout état de cause, je leur laisse plus de liberté que je n'en ai jamais laissé lors d'une campagne, et ça m'éclate. Au bas mot 80% de l'histoire so far a été initiée par les joueurs. Quelques exemples:
- toute l'histoire liée à la dague est venue du joueur d'Henri qui a fait une divination sur Jacquard
- pour le financement de l'expédition j'avais envisagé des options mais ce sont leurs choix qui ont dominé
- toute l'interaction avec Jacquard dans cette dernière partie est complètement de leur fait, j'avais juste décidé qu'il voulait leur voler les papiers.
Ce que j'adore avec ce mode de fonctionnement c'est que je suis moi en tant que MJ en réaction de ce que font les joueurs avec de temps en temps un truc dont je suis à l'impulsion. Et c'est beaucoup plus fun de masteriser comme ça!
Mozart n'a pas écrit que le Boléro de Ravel. Mais aussi plein d'autres trucs beaucoup moins connus (comme le canon de Pachelbel). - Le Grümph
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Sammael99
- Dieu des babines ruinées
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Durant la semaine qui suit, Jehan a beaucoup de travail. Le jour, il supervise la rénovation du navire pendant que Gonzague recrute un équipage. Tout cela est fait dans la plus grande discrétion pour que Jacquard Redon pense qu’ils ont renoncé à monter leur expédition.
Mais le soir, Jehan s’attable à un bureau abondamment éclairé de chandelles et fait une copie aussi parfaite que possible du journal d’Archibald Redon. Ses talents graphiques font de lui le candidat idéal pour produire un faux crédible, et Jehan se surpasse. Il choisit même de prolonger le temps qu’il alloue au projet pour qu’il soit absolument parfait alors qu’il aurait pu être plus rapide. Évidemment, après discussion avec Gonzague, certaines des détails du journal de son père sont modifiés. La tempête a fait dériver le navire au sud ouest, l’ile de Skéland a disparu du récit… Après six jours de labeur, le faux est parfait.
Entre temps, Henri reçoit un message du Sénateur Salard lui demandant de venir le voir de toute urgence. Henri obtempère et trouve un Sénateur abasourdi : un paquet vient de lui être remis. Il contenait sa dague Fuligine, enveloppée dans un tas de chiffons :
- « C’est à n’y rien comprendre… »
- « Au contraire, j’aurais été surpris si elle ne vous avait pas été remise »
- « Comment ? Mais… comment ? »
- « C’est le fils Jacquard qui vous a volé la dague. Je ne sais pas comment, mais je sais que c’est lui. Je l’ai confronté à ce sujet, et la peur du scandale l’aura sans doute motivé à vous rendre votre bien… »
- « Tout cela est bien mystérieux … »
- « Vous aimez les antiquités, moi j’aime les mystères ! Permettez-vous que j’examine l’objet ? »
-« Bien sûr ! »
Henri ouvre le paquet de chiffons sur le bureau du Sénateur. Une odeur forte d’encens lui monte au visage. Cette odeur ne lui est pas étrangère, et pourtant il ne parvient pas à l’identifier tout à fait. Elle lui fait penser à quelque rituel magique, mais également à la prêtrise Mémmonite…
- « Je ne suis pas complètement sûr de moi, mais vous devriez vous méfier du jeune Redon » dit-il à Salard. « Je le soupçonne d’acquointances avec le culte Mémmonite Orthodoxe… »
Salard est choqué et promet à Henri non seulement de garder le silence sur leur association mais également de garder un œil sur Jacquard.
Durant les derniers jours avant le départ, Gonzague et Henri se rendent à l’Echoppe du Géographe, non loin de la capitainerie. C’est là que l’on trouve Philibert Delespaul, ancien géographe de l’Académie des Sciences qui s’adonne aujourd’hui à sa passion, la collection des cartes. Pour assouvir sa passion, il a besoin de revenus, et c’est pourquoi il copie les cartes rares et les revend à bon prix aux marins en quête de frissons. A la demande de Gonzague, il déniche pour eux une ancienne carte localisant le Skéland. Il s’agit d’une carte Grélandaise, mais Henri parle et lit passablement la langue. Le prix est prohibitif, mais c’est la dernière grosse dépense et, voyant qu’il ne parviendra pas à faire baisser le montant, Gonzague s’en acquitte volontiers.
Une semaine après l’entrevue houleuse avec Jacquard Redon, Gonzague et Jehan lui rendent de nouveau visite. Ils exigent pour les papiers de son père la somme de 80 livres et la condition qu’Archibald Redon ne sache jamais qu’ils lui ont revendu le journal et les cartes. Jacquard compulse rapidement les papiers et, reconnaissant sans aucun doute l’écriture de son paternel, la négociation s’engage. Finalement, les deux hommes sortent du rendez-vous avec 40 livres, une somme rondelette pour financer les derniers aspects de l’expédition.
Martin engage quatre hommes d’armes comme les financiers de l’expédition l’avaient exigé. A l’abri des regards, il entraîne également l’ensemble de l’équipage recruté par Gonzague au maniement simple des armes. Le prétexte est évidemment que les flibustiers rodent, et qu’il faut être préparé à toute éventualité.
Gonzague quant à lui achète des provisions, outils, cordages et voilure en abondante quantité si bien que le pont du navire est bientôt largement encombré de caisses, tonneaux et autres coffres.
Le départ approche. Dans quelques jours, Henri, Gonzague, Martin et Jehan s’apprêtent à se lancer dans l’expédition la plus hasardeuse, la plus folle, mais peut-être aussi la plus excitante et la plus lucrative le leur génération. Partir à la découverte d’un nouveau continent, peut-être habité. Il ne reste plus qu’une formalité, mais elle est d’importance : nommer leur navire.
Nos quatres compères décident de se payer un dernier bon repas dans un restaurant réputé de la Capitainerie pour en discuter. Autour de la table, les propositions fusent. Finalement, c’est Henri qui fait l’unanimité :
- « Messieurs, nous ne devons nullement oublier notre bienfaiteur, celui sans qui nous ne serions pas à l’aube de cette belle aventure, Maistre Redon. En son honneur, je vous propose que nous nommions notre premier navire l’Archibald ! »
Mais le soir, Jehan s’attable à un bureau abondamment éclairé de chandelles et fait une copie aussi parfaite que possible du journal d’Archibald Redon. Ses talents graphiques font de lui le candidat idéal pour produire un faux crédible, et Jehan se surpasse. Il choisit même de prolonger le temps qu’il alloue au projet pour qu’il soit absolument parfait alors qu’il aurait pu être plus rapide. Évidemment, après discussion avec Gonzague, certaines des détails du journal de son père sont modifiés. La tempête a fait dériver le navire au sud ouest, l’ile de Skéland a disparu du récit… Après six jours de labeur, le faux est parfait.
Entre temps, Henri reçoit un message du Sénateur Salard lui demandant de venir le voir de toute urgence. Henri obtempère et trouve un Sénateur abasourdi : un paquet vient de lui être remis. Il contenait sa dague Fuligine, enveloppée dans un tas de chiffons :
- « C’est à n’y rien comprendre… »
- « Au contraire, j’aurais été surpris si elle ne vous avait pas été remise »
- « Comment ? Mais… comment ? »
- « C’est le fils Jacquard qui vous a volé la dague. Je ne sais pas comment, mais je sais que c’est lui. Je l’ai confronté à ce sujet, et la peur du scandale l’aura sans doute motivé à vous rendre votre bien… »
- « Tout cela est bien mystérieux … »
- « Vous aimez les antiquités, moi j’aime les mystères ! Permettez-vous que j’examine l’objet ? »
-« Bien sûr ! »
Henri ouvre le paquet de chiffons sur le bureau du Sénateur. Une odeur forte d’encens lui monte au visage. Cette odeur ne lui est pas étrangère, et pourtant il ne parvient pas à l’identifier tout à fait. Elle lui fait penser à quelque rituel magique, mais également à la prêtrise Mémmonite…
- « Je ne suis pas complètement sûr de moi, mais vous devriez vous méfier du jeune Redon » dit-il à Salard. « Je le soupçonne d’acquointances avec le culte Mémmonite Orthodoxe… »
Salard est choqué et promet à Henri non seulement de garder le silence sur leur association mais également de garder un œil sur Jacquard.
Durant les derniers jours avant le départ, Gonzague et Henri se rendent à l’Echoppe du Géographe, non loin de la capitainerie. C’est là que l’on trouve Philibert Delespaul, ancien géographe de l’Académie des Sciences qui s’adonne aujourd’hui à sa passion, la collection des cartes. Pour assouvir sa passion, il a besoin de revenus, et c’est pourquoi il copie les cartes rares et les revend à bon prix aux marins en quête de frissons. A la demande de Gonzague, il déniche pour eux une ancienne carte localisant le Skéland. Il s’agit d’une carte Grélandaise, mais Henri parle et lit passablement la langue. Le prix est prohibitif, mais c’est la dernière grosse dépense et, voyant qu’il ne parviendra pas à faire baisser le montant, Gonzague s’en acquitte volontiers.
Une semaine après l’entrevue houleuse avec Jacquard Redon, Gonzague et Jehan lui rendent de nouveau visite. Ils exigent pour les papiers de son père la somme de 80 livres et la condition qu’Archibald Redon ne sache jamais qu’ils lui ont revendu le journal et les cartes. Jacquard compulse rapidement les papiers et, reconnaissant sans aucun doute l’écriture de son paternel, la négociation s’engage. Finalement, les deux hommes sortent du rendez-vous avec 40 livres, une somme rondelette pour financer les derniers aspects de l’expédition.
Martin engage quatre hommes d’armes comme les financiers de l’expédition l’avaient exigé. A l’abri des regards, il entraîne également l’ensemble de l’équipage recruté par Gonzague au maniement simple des armes. Le prétexte est évidemment que les flibustiers rodent, et qu’il faut être préparé à toute éventualité.
Gonzague quant à lui achète des provisions, outils, cordages et voilure en abondante quantité si bien que le pont du navire est bientôt largement encombré de caisses, tonneaux et autres coffres.
Le départ approche. Dans quelques jours, Henri, Gonzague, Martin et Jehan s’apprêtent à se lancer dans l’expédition la plus hasardeuse, la plus folle, mais peut-être aussi la plus excitante et la plus lucrative le leur génération. Partir à la découverte d’un nouveau continent, peut-être habité. Il ne reste plus qu’une formalité, mais elle est d’importance : nommer leur navire.
Nos quatres compères décident de se payer un dernier bon repas dans un restaurant réputé de la Capitainerie pour en discuter. Autour de la table, les propositions fusent. Finalement, c’est Henri qui fait l’unanimité :
- « Messieurs, nous ne devons nullement oublier notre bienfaiteur, celui sans qui nous ne serions pas à l’aube de cette belle aventure, Maistre Redon. En son honneur, je vous propose que nous nommions notre premier navire l’Archibald ! »
Mozart n'a pas écrit que le Boléro de Ravel. Mais aussi plein d'autres trucs beaucoup moins connus (comme le canon de Pachelbel). - Le Grümph
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KamiSeiTo
- Dieu aux ailes de papillon
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- Inscription : lun. août 27, 2007 7:05 pm
- Localisation : Bruxelles
Je rejoins tout à fait l'avis de XO sur le côté humain de tes joueurs qui ne sont pas des trancheurs sur pattes.
Je viens de lire les 2 morceaux de récit, c'est que du bonheur. Effectivement, je serais curieux de voir quand la mécanique des règles entre en scène (quand ça peut être intéressant), j'ai cru en deviner un peu derrière la négociation de la carte grélandaise, ceci dit. ^^
Vivement la suite, ils sont sur le départ, là!!
Je viens de lire les 2 morceaux de récit, c'est que du bonheur. Effectivement, je serais curieux de voir quand la mécanique des règles entre en scène (quand ça peut être intéressant), j'ai cru en deviner un peu derrière la négociation de la carte grélandaise, ceci dit. ^^
Vivement la suite, ils sont sur le départ, là!!
Proposer un jeu qui soit au service d’une façon de jouer spécifique et, surtout sans tomber dans le piège de ne pas en permettre d’autre, néanmoins tout inféoder à cette dernière.
Brand.
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Sammael99
- Dieu des babines ruinées
- Messages : 13312
- Inscription : mer. sept. 15, 2004 11:43 pm
- Localisation : Nantes, France
Quand c'est pertinent, j'essaie de le glisser dans le récit, mais ce sont de petites choses.KamiSeiTo a écrit :Je rejoins tout à fait l'avis de XO sur le côté humain de tes joueurs qui ne sont pas des trancheurs sur pattes.
Je viens de lire les 2 morceaux de récit, c'est que du bonheur. Effectivement, je serais curieux de voir quand la mécanique des règles entre en scène (quand ça peut être intéressant), j'ai cru en deviner un peu derrière la négociation de la carte grélandaise, ceci dit. ^^
Vivement la suite, ils sont sur le départ, là!!
Par exemple, quand Vincent a fait son jet pour la falsification du journal, il a fait 3x9 et 2x10. Il aurait pu terminer très vite avec un niveau de qualité franchement bon (9), mais vu son souci de la perfection, il a décidé que son perso prenait le 2x10, passant beaucoup plus de temps pour une qualité légèrement meilleure.
Mozart n'a pas écrit que le Boléro de Ravel. Mais aussi plein d'autres trucs beaucoup moins connus (comme le canon de Pachelbel). - Le Grümph
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Hybban
- Dieu des mecs qui couchent avec leur CB
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- Inscription : ven. juin 24, 2005 9:51 am
Ca c'est du detail qui me botte!Sammael99 a écrit :Par exemple, quand Vincent a fait son jet pour la falsification du journal, il a fait 3x9 et 2x10. Il aurait pu terminer très vite avec un niveau de qualité franchement bon (9), mais vu son souci de la perfection, il a décidé que son perso prenait le 2x10, passant beaucoup plus de temps pour une qualité légèrement meilleure.
Hyb'
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Sammael99
- Dieu des babines ruinées
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- Inscription : mer. sept. 15, 2004 11:43 pm
- Localisation : Nantes, France
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Sammael99
- Dieu des babines ruinées
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- Inscription : mer. sept. 15, 2004 11:43 pm
- Localisation : Nantes, France
Alors au menu d'hier soir, juste pour vous titiller sachant que je sais pas quand je pourrais écrire la narration, il y avait:
- un sénateur louche, peut-être un peu véreux
- une tempête
- des réparations de fortune (et une certaine honte d'un artisan un peu trop fier)
- des nordiques dégénérés
- de l'alcool de ramonage
- du sexe
- des recrutements non conformes aux règles internationales du travail
- un meurtre sordide
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KamiSeiTo
- Dieu aux ailes de papillon
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- Inscription : lun. août 27, 2007 7:05 pm
- Localisation : Bruxelles
-Haha!...
-Cooooooooool!!
-Des ragots! XD
-Baston??? ^^
-Youhou!!
-YOUHOU!!!!!
-Ca y est, ils glissent du côté obscur des PJs! :O
-Donc une enquête? Est-ce lié à la dague? Mais quel est l'âge du capitaine?...
-Cooooooooool!!
-Des ragots! XD
-Baston??? ^^
-Youhou!!
-YOUHOU!!!!!
-Ca y est, ils glissent du côté obscur des PJs! :O
-Donc une enquête? Est-ce lié à la dague? Mais quel est l'âge du capitaine?...
Proposer un jeu qui soit au service d’une façon de jouer spécifique et, surtout sans tomber dans le piège de ne pas en permettre d’autre, néanmoins tout inféoder à cette dernière.
Brand.
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Jiohn Guilliann
- Dieu du plan social
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- Inscription : jeu. août 14, 2003 3:55 pm
- Localisation : Vernon, Normandie
Ce qui est bon, c'est que c'est exactement ce qu'on cherchait : Gagner du temps vis à vis de Jacquard pour monter notre expédition tranquillement et en secret.Sargrak a écrit :Autant la vendre puisqu'on peut rien en faire, c'est glorieux. 10 jours de tranquillité gratuite du coté du ptit merdeux en une seule phrase...
Jiohn Guilliann
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Jiohn Guilliann
- Dieu du plan social
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- Inscription : jeu. août 14, 2003 3:55 pm
- Localisation : Vernon, Normandie
Je crois que c'est Henri qui a mené cette partie de la négociation. Mais honnêtement, ça c'est passé très vite, chacun apportant sa pierre naturellement (on n'avait pas répété avant, mais on avait bien discuté de ce qu'on pouvait faire de la volonté de Monsieur X d'avoir ce carnet de bord).Sammael99 a écrit : Maintenant que tu soulèves le point, a n'a pas pu se passer exactement comme ça, car c'est Gonzague qui ne ment jamais. Je leur demanderais ce soir.
Jiohn Guilliann