KamiSeiTo a écrit : ↑lun. avr. 22, 2024 11:11 pm
Extrait suivant, si personne ne trouve avec celui-ci, le 3è (donc celui de demain) aidera beaucoup.
Avec le deuxième extrait, j'aurais trouvé si Dithral n'avait pas été plus rapide. Le premier était dur parce que tu avais choisir la Peur, qui est un trait commun à plein de jdr ("Helplessness" m'a bien foutu dedans en m'envoyant vers Nemesis et ses déclinaisons). Cela aurait été une autre émotion, cela aurait été plus facile de repérer assez vite Headspace.
Et je suis moi aussi très impressionné par la mémoire textuelle de Brand (dont l'indice m'a envoyé sur une autre fausse piste ^.^), et globalement par le niveau d'érudition général des forumistes, qui couvre un très large spectre.
Le point de départ a toujours une saveur particulière pour le voyageur.
Lorsque l'on se retourne en chemin, le cœur soudain attiré en arrière par un élan de nostalgie, on revoit l'endroit qui a vu nos premiers pas. Avant le début du voyage, ses pavés étaient l'ultime frontière avant l'inconnu. Sans lui, il n'y aurait peut-être jamais eu de voyage.
« Les employées d’aujourd’hui manquent de respect et préfèrent s’amuser plutôt que travailler »
Extrait de presse, New York, 1924.
Sur la route de Chrysopée ?
(Que j'ai toujours pas lu... u_u')
Proposer un jeu qui soit au service d’une façon de jouer spécifique et, surtout sans tomber dans le piège de ne pas en permettre d’autre, néanmoins tout inféoder à cette dernière.
Brand.
Et voici, en direct depuis les recoins les plus obscurs de ma jeuderôlothèque :
CHOISIR SES OBJECTIFS PERSONNELS
Au début de chaque Aventure (ou scénario, votre [personnage] devra se choisir au moins 1 Objectif Personnel à réaliser en cours de jeu. Le [meneur] peut éventuellement en autoriser plusieurs, selon votre expérience à [jeu] ou du temps dont vous disposez pour jouer (avoir plusieurs objectifs implique des parties plus longues). Ceux-ci se présentent sous la forme de petites missions ou quêtes secondaires que vous devrez accomplir en parallèle de l'histoire principale, et avant la fin de l'Aventure (à ne pas confondre avec la fin d'une partie, car une Aventure peut durer plusieurs parties).
J'ai pris la liberté par rapport aux règles d'appliquer la même logique au terme spécifique aux PJs que la règle qui dit de remplacer le terme spécifique du MJ (genre Divine Rose Trémière) par [meneur].
P.S. : c'est encore un livre de base.
Et sinon, un autre extrait d'un autre jeu spécialement juste pour Brand :
is
Proposer un jeu qui soit au service d’une façon de jouer spécifique et, surtout sans tomber dans le piège de ne pas en permettre d’autre, néanmoins tout inféoder à cette dernière.
Brand.
(En partant du principe que tu parles de l'extrait spécial pour toi, et pas de l'autre,) j'abandonne. T'es trop fort.
Proposer un jeu qui soit au service d’une façon de jouer spécifique et, surtout sans tomber dans le piège de ne pas en permettre d’autre, néanmoins tout inféoder à cette dernière.
Brand.
Le principe me rappelle Oltréé (où les PJ ont bien un nom particulier), mais je ne crois pas que ce soit le genre du jeu de préciser qu'une aventure peut durer plusieurs parties. Ce sera quand même ma proposition, histoire de ne pas tricher deux jours de suite.
Je tente un "mon premier jeu de rôle", d'après la description ca parle de héros, narrateur et objectif. Et ca peut coller avec le côté didactique de la description d'une Aventure
Apparently you can take the boy out of the dungeon, but you can't take the dungeon out of the boy
(knights of the dinner table #73)
Bon... Ce premier extrait n'a pas inspiré grand monde...
En voici un deuxième, qui devrait commencer à débloquer un peu les choses :
LA RELIGION BOUDDHISTE
C'est au sixième siècle que le bouddhisme fut importé de Corée parmi toutes les influences continentales dont s'inspirait alors le pays du soleil levant, comme le confucianisme et les KANJIS Chinois. Fort d'une pratique millénaire, cette nouvelle religion s'étendit rapidement, adoptée en tout premier lieu par la cour impériale. Bouddha, que les Japonais nommèrent AMIDA BUTSU, était donc réservé à la noblesse. Elle lui édifia rapidement des temples (on en comptait 46 à la mort du prince SHOTOKU en 622) au sein des domaines impériaux et dans de somptueux sites nichés haut dans les montagnes. La noblesse le décréta finalement religion d'état.
Il n'y a pas eu de persécution contre les bouddhistes au Japon. Il est pourtant arrivé que des SHOGUNS combattent des moines de ce culte, mais uniquement pour libérer la noblesse de l'influence de ces temples. Ils ne procédèrent pas non plus au saccage et au pillage des lieux saints, comme ce fut le cas dans d'autres nations.
Proposer un jeu qui soit au service d’une façon de jouer spécifique et, surtout sans tomber dans le piège de ne pas en permettre d’autre, néanmoins tout inféoder à cette dernière.
Brand.