[CR][REIGN] A La Découverte d'un Nouveau Monde

Critiques de Jeu, Comptes rendus et retour d'expérience
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touff5
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Message par touff5 »

Bon et bien alors je viens de m'enfiler les 16 pages du compte-rendu à la suite.


Alors je n'aurais que deux mots, mon assiduité parlant pour moi : très bien ! :bierre:

Vivement la suite et d'autres petites explications sur le système et leur impact sur la narration.
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Sammael99
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Message par Sammael99 »

touff5 a écrit :Bon et bien alors je viens de m'enfiler les 16 pages du compte-rendu à la suite.


Alors je n'aurais que deux mots, mon assiduité parlant pour moi : très bien ! :bierre:

Vivement la suite et d'autres petites explications sur le système et leur impact sur la narration.
Youhou! Un nouveau lecteur!
Mozart n'a pas écrit que le Boléro de Ravel. Mais aussi plein d'autres trucs beaucoup moins connus (comme le canon de Pachelbel). - Le Grümph
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Jiohn Guilliann
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Message par Jiohn Guilliann »

Quelques petits détails sur la vie à bord.

Afin de limiter les tensions, Martin a mis en place des ateliers pour occuper l'équipage : De l'apprentissage du maniement des armes, des combats sur le pont etc. Le capitaine lui, s'est concentré sur des concours entre les équipes pour la gestion des voiles, des cordages et tout le bordel maritime. (et croyez moi, personne ne voulait être dans l'équipe perdante).

Lorsqu'une tension apparaissait dans l'équipage, on organisait un combat pour le régler au mieux.

Ca peut paraitre du détail, mais qui sait si ça n'aura pas d'importance pour la suite, hein ?

Jiohn Guilliann
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philippe_j
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Message par philippe_j »

Hehehe, trop cool la video de Greg Stolze :mrgreen:
C'est clair qu'il a de quoi etre content, on a la suite en avance, du cote anglais! M'enfin pas avec la meme verve que Sammael, tout de meme (amtha)
- Philippe -
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Hybban
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Message par Hybban »

Ce n'etait pas risque de devoile le nouveau continent a l'equipage avant d'arriver au skeland?
En tout cas, c'est vraiment un plaisir a lire!

Hyb' qui aime les feuilletons!
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Paiji
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Message par Paiji »

Jiohn Guilliann a écrit : Le capitaine lui, s'est concentré sur des concours entre les équipes pour la gestion des voiles, des cordages et tout le bordel maritime. (et croyez moi, personne ne voulait être dans l'équipe perdante).
Il y en a un parmi vous qui a lu les aventures de Jack Aubrey de Patrick O'Brian ? Parce que c'est typiquement une des façons de faire d'Aubrey avec ses équipages.

Pour ceux qui ne connaissant pas, Jack Aubrey est le héros d'une série de romans maritimes dont on a tiré le film Master and Commander.
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Sammael99
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Message par Sammael99 »

Paiji a écrit :
Jiohn Guilliann a écrit : Le capitaine lui, s'est concentré sur des concours entre les équipes pour la gestion des voiles, des cordages et tout le bordel maritime. (et croyez moi, personne ne voulait être dans l'équipe perdante).
Il y en a un parmi vous qui a lu les aventures de Jack Aubrey de Patrick O'Brian ? Parce que c'est typiquement une des façons de faire d'Aubrey avec ses équipages.

Pour ceux qui ne connaissant pas, Jack Aubrey est le héros d'une série de romans maritimes dont on a tiré le film Master and Commander.
Je crois que Thierry les a lus, mais c'est Pierrick (Akhad) qui a fait ces suggestions. Je sais pas s'il les a lus.

Ce qui est sur c'est que ça m'aurait pas fait de mal de les lire, particulièrement pour régir de manière un peu plus narrative aux jets de dés pendant la tempête...
Mozart n'a pas écrit que le Boléro de Ravel. Mais aussi plein d'autres trucs beaucoup moins connus (comme le canon de Pachelbel). - Le Grümph
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Paiji
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Message par Paiji »

Il n'est jamais trop tard, ils sont chez Omnibus, et puis, s'il y a un voyage aller, il y aura bien un voyage de retour non ? :mrgreen:
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Sammael99
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Message par Sammael99 »

Paiji a écrit :Il n'est jamais trop tard, ils sont chez Omnibus, et puis, s'il y a un voyage aller, il y aura bien un voyage de retour non ? :mrgreen:
Il est jamais trop tard, mais il faut pouvoir. Pour le moment, spécifiquement dans le contexte de cette campagne, j'ai trois bouquins sur le feu, un sur la première colonie nord américaine à Plymouth, un sur les incas pré et post colonisation et un sur l'histoire des maoris.

Quand j'aurais fini tout ça, j'essaierais de me dégotter Aubrey en VO!

En attendant, j'ai chopé et lu l'Etoile Matutine que tu as recommandée et je l'ai bien appréciée (je me demandais d'ailleurs si le bouquin de Mac Orlan était une lecture facile...)
Mozart n'a pas écrit que le Boléro de Ravel. Mais aussi plein d'autres trucs beaucoup moins connus (comme le canon de Pachelbel). - Le Grümph
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Akhad
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Message par Akhad »

Sammael99 a écrit :Je crois que Thierry les a lus, mais c'est Pierrick (Akhad) qui a fait ces suggestions. Je sais pas s'il les a lus.
Euh non, mon idée venait de l'encyclopédie de Cyber-Age avec les voyages en espace profond. Je ne sais plus trop dans le détail mais le principe est que les situations conflictuelles sont altérées en vase clos. La fuite ou l'évitement est difficile, l'affrontement est dangereux et le repli sur soi néfaste.
Ritualiser les conflits donne plus d'importance au respect des règles qu'au résultat de sorte que le vaincu ne perd pas trop la face mais les deux adversaires se sont défoulés et on vidé la querelle.
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Paiji
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Message par Paiji »

Sammael99 a écrit : (je me demandais d'ailleurs si le bouquin de Mac Orlan était une lecture facile...)
Malheureusement je l'ignore, je ne l'ai pas lu. Au départ c'est l'auteur de la BD, Riff Rebs qui m'a attiré l'oeil parce que j'avais déjà ses anciennes productions.
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Sammael99
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Message par Sammael99 »

- « Terre Droit Devant ! »

La Vigie vient de hurler ; le capitaine Gonzague sort en trombe de sa cabine, son torse décharné au grand air et les joues encombrées de savon à barbe. En effet, on aperçoit un point élevé et noir sur l’horizon au Nord.

Quelques heures plus tard, l’Archibald est à l’approche. Gonzague et Henri comparent la carte achetée à l’Echoppe du Géographe avec le périmètre de l’île vue du sud, et il semble bien qu’il s’agisse de Skéland. Du coup, le capitaine dirige la manœuvre pour aborder au niveau du seul port identifié sur la carte.

En guise de port, il n’y a qu’une anse au fond de laquelle on aperçoit un village miteux. Aussitôt l’ancre jetée, Henri se tourne vers Martin :

- « Allez, on y va ! »

- « Eh, je suis pas ta maman ! »

- « Ah, c’est pas le moment pour les querelles ridicules. Les autochtones sont déjà en train de s’amasser sur le quai, il faut y aller ! »

Gonzague désigne trois membres de l’équipage pour accompagner Henri et Martin à terre. La chaloupe est mise à mer et s’approche rapidement d’un vague ponton de pêche à moitié pourri. Alors que l’île se rapproche, on commence à apercevoir les habitants. Ils sont plutôt grands dans l’ensemble, et leurs cheveux presque blancs et leurs yeux bleu pâles les identifient très clairement comme d’ascendance Grélandaise. Mais il y a quelque chose de bizarre dans cette population apparemment placide qui les accueille. Les uns ont une posture étrange, les autres louchent, d’autres enfin ont les traits bouffis.

Henri s’extirpe tant bien que mal de la chaloupe et, dans son meilleur Grélandais, il rend hommage à la Déesse Corbeau. C’est la salutation d’usage au Gréland, et le vieil homme qui semble faire office de chef du village a l’air étonné. Henri lui adresse la parole, lui indique qu’ils viennent en paix et seulement pour commercer et réparer leur bateau. Il précise également qu’ils ont des présents pour le chef de cette belle communauté.

Rapidement, la discussion se poursuit dans une vague bâtisse délabrée qui semble faire office d’auberge communautaire. Le vieux offre à Martin et Henri une choppe d’un horrible tord-boyaux de grain qu’ils s’efforcent d’avaler avec le sourire et sans laisser paraître les larmes qui leur coulent aux yeux. Le Grélandais du vieux est clairement antique, avec des tournures presque incompréhensibles pour Henri. Henri fait mander sur le bateau une bouteille de vin qu’il offre au vieux, ainsi qu’un couteau à lame de fer. Le vieux est impressionné, surtout par la bouteille transparente qui semble le fasciner.

Le vieux leur raconte qu’ils ne sont pas les premiers à être venus d’un autre monde, mais que les autres voyageurs sont repartis il y a des lustres. Henri comprend bien vite que tout ce qui n’est pas Skéland est « un autre monde ». D’après le vieux, Skéland est la demeure des dieux, l’endroit d’où ils sont partis pour les « autres mondes ».

Revenant à des choses plus pragmatiques, Henri demande au vieux s’il leur serait possible de couper quelques arbres de leur belle île pour réparer leur navire. Le vieux accepte en échange de deux haches en fer et deux couteaux. Depuis le début de la discussion, Martin écoute d’une oreille distraite, tout occupé qu’il est à reluquer la jeune femme qui leur a apporté l’alcool de grain et quelques infâmes galettes de lichen. Elle n’est pourtant pas très avenante, sa peau laiteuse et son visage un peu bouffi n’en faisant aucunement un parangon d’esthétique Concordienne. Mais cela fait six semaines qu’il est en mer et que ses visites hygiéniques hebdomadaires Chez Gisèle ont pris fin…

Le vieux a remarqué le manège, et se tourne soudain vers Martin. Il propose pour deux haches et deux couteaux à lames de fer en plus que Martin et les marins puissent utiliser à loisir leurs femmes. Henri est un peu horrifié par la proposition, mais Martin - en bon homme d’armes - semble la trouver à son goût. Il argue de plus que les marins risquent de vouloir profiter des femmes de toute manière, donc autant le faire sous couvert de légalité.

Le soir venu, lors du maigre banquet organisé par le vieux pour fêter les marins et leurs précieux outils, Martin remarque quatre enfants d’une dizaine d’années qui se tiennent à part des autres habitants du village et semblent condamnés à manger les restes. Ils sont clairement ostracisés, et la raison en est évidente : contrairement aux autres enfants du village, ils ont la peau plus rose que blanche, les cheveux de couleur sombre et les yeux marrons ou bleus selon les cas.

Le lendemain, Jehan débarque pour superviser les opérations de découpe du bois. Le soir venu, lui et une équipe de marins ont débité trois troncs d’excellent bois. La journée de labeur a été dure, et Jehan et Martin sont attablés devant une soupe de poisson et d’herbes dont le seul mérite est d’être chaude :

- « Bon, ben va falloir songer à s’amuser ! La soubrette là n’est pas bien jolie, mais elle réchauffe bien le lit. Je crois que je vais bien m’amuser ce soir. » déclame Martin.

- « Il faut faire quelque chose. On peut pas laisser ça dans cet état… » répond Jehan d’un ton distant.

- « Quoi ? De quoi tu parles ? On parlait des filles là, non ? »

- « Hein ? Non, je disais que leurs maisons sont affreusement mal conçues. Pourtant, avec le bois qu’ils ont… Regarde ! »

Jehan sort de sa poche un morceau de papier et attrape derrière son oreille un fusain qui ne le quitte jamais. Il commence à faire un croquis d’une structure de maison longue dont les poutres sont entièrement fixées de chevrons.

- « Tu comprends, ils n’ont pas de fer ici, ou alors ils ne savent pas l’extraire. Donc en leur concevant une maison chevronnée on a un truc solide et susceptible de résister aux tempêtes hivernales qui doivent être assez sauvages. Alors que leurs pauvres cahutes là… »

Martin reste sans voix un instant, puis éclate de rire :

- « Putasse ! On a des femmes et de la gnôle à volonté et toi tu réfléchis à un nouveau concept de cabane pour Grélandais dégénérés ??? Pète un coup mon gars, détends toi et fais toi plaisir, on sait pas quand ce sera la prochaine fois ! »

Sur ce, Martin se lève et fait signe à la donzelle avec laquelle il a passé la nuit précédente…

En tout, l’équipage reste trois jours. Jehan supervise la réparation de la cabine du capitaine et à terre la construction d’une structure en bois pouvant servir de maison commune bien plus solide que ce dont disposent actuellement les Skélandais. Le vieux est très content et impressionné, même s’il semble ne pas avoir compris grand-chose aux explications de l’artisan traduites par Henri.

Le dernier jour, au moment du départ, Martin vient voir Henri.

- « Henri, t’as vu les gamins, là ? » lui dit-il en montrant les enfants exclus.

- « Oui. Sans doute un cadeau d’Archibald et son équipage à la population de ce village. Sais-tu que le naturaliste Concordien Herbert Masuire a publié un ouvrage très intéressant sur les populations qui vivent en isolation dans lequel il décrit très précisément les traits de ces Skélandais ? Yeux torves, visages bouffis, etc. D’après lui, c’est du au fait que ces peuplades se reproduisent entre eux. »

- « Tu sais quoi ? Je m’en cogne. Par contre, je veux pas laisser ces gamins derrière nous. »

- « Hein, comment ? Mais pourquoi ? »

- « Je suis orphelin et je sais ce que c’est de ne pas avoir de parents. Ici, les mômes semblent être élevés par tout le monde, sauf pour ces quatre là… »

- « Mais qu’est-ce qu’on va en faire ? »

- « Ce sont des gamins de dix ans, je suis sûr que Gonzague ne rechignera pas à avoir quelques mousses de plus… »

- « Mais enfin, tu n’y songes pas. D’abord, peut-être qu’ils ne veulent pas nous suivre. Tu ne suggères pas que nous les enlevions, quand même ? »

- « Bien sûr que non, c’est seulement si ils le veulent. C’est marrant, j’aurais pensé que tu aurais sauté sur l’opportunité d’apprendre les subtilités de la langue et des coutumes Skélandaises auprès de véritables natifs… »

- « Je… euh… tu sais que tu as tout à fait raison ! Ca pourrait nous être très utile, et puis de toute façon ils ne risquent rien, le capitaine Gonzague ne perd jamais un homme en mer ! Et s’ils veulent revenir ici, on les déposera au retour… »

Martin et Henri vont donc tout d’abord demander aux enfants s’ils souhaiteraient embarquer avec eux sur le grand navire pour l’autre monde. Une jeune fille (Annek) et un jeune garçon (Börne) acceptent. Ensuite, Henri retourne voir le vieux du village pour lui expliquer que ces deux enfants souhaiteraient les suivre. Le vieux est surpris et tente tout d’abord de dissuader Henri en lui expliquant que ce sont des bons à rien. Henri rétorque que si tel est le cas, ils ne manqueront pas au villageois. Alors, l’œil du vieux s’illumine et il dit :

- « Deux haches et deux couteaux avec des bouts en fer ! »

Une petite semaine après avoir aperçu l’ile de Skéland, l’Archibald reprend la mer, direction sud-est cette fois ci. Son équipage s'est étoffé de deux nouveaux mousses et sa cargaison s'est alourdie de galettes de lichen, infectes mais indispensables pour continuer à disposer d'un peu de verdure à tous les repas.

Il est temps : le vent a viré au glacial et les blocs de glace qui flottent sur l’océan sont de plus en plus nombreux et massifs. L’hiver approche.
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XO de Vorcen
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Message par XO de Vorcen »

Une gamine de 10 ans à bord 8O
Ca promet bien des tensions et des dilemnes moraux (quoique concernant les mousses, c'est coutumier indépendement de leur sexe :( )
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KamiSeiTo
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Message par KamiSeiTo »

Arf, j'avais oublié l'île intermédiaire, je les voyais déjà arrivés sur le nouveau continent!! ^^'
La suite! La suite!! n_n
Proposer un jeu qui soit au service d’une façon de jouer spécifique et, surtout sans tomber dans le piège de ne pas en permettre d’autre, néanmoins tout inféoder à cette dernière.
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Sammael99
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Message par Sammael99 »

KamiSeiTo a écrit :Arf, j'avais oublié l'île intermédiaire, je les voyais déjà arrivés sur le nouveau continent!! ^^'
La suite! La suite!! n_n
Deux minutes là, j'ai déjà pas encore fini le session #4!!!
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