CasusNO

Vous avez joué à quoi?

Je parie pour Oltréé

Shadow of the Demon Lord pour les règles et un cadre de campagne concocté par le Dieu de la Taverne

Hier soir, reprise de Pathfinder (begginers box) avec les enfants (enfin, les grands, mini-snorrinet dormait) et leur maman. Après le B1 et le B2, je continue les classiques TSR avec B3 Le Palais de la princesse Argenta.

Je l'ai lié avec le précédent, où j'avais fait du temple du Chaos un sanctuaire de l'absurde Culte de la Pétrification. Les personnages explorent le palais à la recherche d'indices sur les origines de ce culte - mais ils ont découvert qu'ils avaient été précédés parnles Adeptes, qui recherchent visiblement quelque-chose. Du coup, ils se montrent fort prudents.

Mole Shaman a écrit : ↑sam. juil. 14, 2018 2:12 pm Shadow of the Demon Lord pour les règles et un cadre de campagne concocté par le Dieu de la Taverne

Dans un univers bac à sable perso - le Duché d'Arvenne -, une préquelle de Eyes of the Stone Thief (campagne de Gareth Ryder Hanrahan pour 13th Age) à l'aide de l'adaptation de Dead Frost Doom (scénario pour Lamentations of the Flame Princess) qui ressemble comme deux gouttes d'eau à l'original The Lich Way (scénario White Dwarf de l'âge d'or).

Bref, du Casus NO pur jus en somme

@Emöjk Martinssøn J'ai eu l'occasion de maîtriser un scénario pour tester Blades in the Dark et j'ai un peu le même sentiment vis à vis du système. J'ai l'impression que la promesse de jouer des daring scoundrel estt difficile à tenir avec ce système de jeu et même si j'adore le principe du "oui mais..." je les trouves bien trop fréquents. Pour tout dire, mes joueurs ont manifesté une certaine lassitude de ne presque jamais réussir proprement, même dans leur spécialité (et pourtant j'avais beaucoup utilisé les circonstances extérieures pour justifier une complication ou un échec, et je jouais en considérant que le jet de résistance permettant d'ignorer la conséquence plutôt que d'en réduire la gravité).
Cela dit, j'aime bien les principes de base de la mécanique de jeu, et si les PJs avaient de meilleurs chances de réussite, plus de stress (ou le récupérait plus facilement), je pense que je n'aurais aucun mal à utiliser ce système.

Hier après-midi, partie test de Lumpen in the dark. C’est du Blades in the dark dont le MJ a changé le setting et légèrement les règles pour survivre dans la république de Weimar. Même si nous avons passé un bon moment entre joueurs, nous avons remarqué que le système est extrêmement punitif. Si on se concentre sur un seul dé (de toute façon, on n’en garde qu’un seul pour le résultat), on a 1/6 de réussir normalement, 1/3 de chances de réussir avec contrainte (qu’on a joué comme des vraies contraintes, pas des broutilles), 1/3 de chances d’échouer. Et ceci sans parler du pacte avec le diable, qui impose une (forte) contrainte en échange d’un dé à jeter en plus. Bref, on a 83% de chances de repartir avec une contrainte ou autre truc pas glop sur n’importe quel jet de dé. Avec 17% de chance de réussite sur un test, les auteurs ont réussi à faire pire que Warhammer! Le résultat de l’après-midi est assez simple: on a passé le temps à subir les contraintes générées par les jets de dé, sans faire de RP (le système que nous découvrions et appliquions quasi-by the book ne nous y poussait pas). Alors, comme d’autres précédemment, on a du y aller peut-être trop fort sur les contraintes pour une première séance de playtest du système, mais tout de même, cette sensation de se voir mécaniquement imposer des obstacles par le système de jeu sur une aussi grande fréquence (quasiment tous les jets de dés) ne m’enthousiasme pas du tout.

Dernièrement deux séances consécutives de DnD5. On se fait une PMT en explorant la tombe de Tomb of Annihilation. J'aime bien le système de la version que je découvre comme joueur...je la trouve fluide et efficace. Mais bon dieu que cette tombe est mortelle...la suite demain soir peut-être...

Lors de cette semaine de vacances, deux parties découverte de CthulhuTech (scénario To Kill a lie) et deux parties de Star Wars Edge of Space en mode uchronie : "et si Anakin n'avait pas tué Dooku ? Et que les jedis parvenaient à tuer Palpatine ?".

Tableau à jour.

Hier soir en club, première partie du scénario chtululu : "No man's land", d'un très vieux Casus. Motorisé sous ASATA (Au Seuil d'Abysses Très Anciens).
Ben... c'était top ! Faisant beaucoup de Pbta dernièrement, cela fait du bien de revenir sur quelques choses de plus "scripté". Et ASATA tourne super bien.
Pour être franc, c'est même bien meilleur que je ne le pensais : En utilisant l'option "mystère à deux sous", on a créer en moins d'une heure cinq personnages bien typés. Le système se fait oublier, et dans le cadre d'une enquête, on en revient à l'essentiel : "que font les joueurs pour avancer ?" et non : "quel compétence fait avancer les personnages des joueurs ?"
C'était super bien, et très fluide alors qu'il y avait 5 joueurs, dont une qui découvrait le jdr. Et je me suis éclaté à interprété des PNJs parisiens d'après guerre !
On termine en septembre.

Tableau mis à jour.

 

Hier c'était la première session d'Extreme Orion, du camarade Delfino et c'était très bien.

Hier, petit One Shot de l'Appel de Cthuluh qui se déroulait dans un sous-marin russe en pleine guerre froide. On est tous morts à la fin mais c'était bien sympa. Le MJ a bien géré

Troisième séance de Shadow of the Demon Lord. Après une très bonne impression à la lecture il y a deux ans, une poignée de séances très agréables avec un système intuitif, souple, et ludique. Tout se passe parfaitement bien - étonnamment comme quand on sort un jeu de poche - et en plus je ne ressens nullement ce sentiment de trop peu qui finit par croitre au fil des séances et par me lasser de la plupart des jeux light.

Bref je trouve SotDL encore plus séduisant en le pratiquant qu'en le lisant. Excellente augure

Hier, c'était ma première fois...

à Shade !
J'y joue une prétresse de Sélène et j'ai bien aimé le scénario (récupérer un document compromettant pour notre chapelle). Les règles sont plutôt pas mal et le MJ semble à l'aise avec.
Bref, une belle première séance qui me motive à continuer !

Hier soir, 4e séance pour l'épisode new-yorkais des Masques de Nyarlee.

Après avoir affronté la chose qui rôde au fond du puits de chez Ju-Ju, les investigateurs sont à cran. Ils ont l'impression d'être suivis, refusent de rester seuls, sortent armés et évitent le quartier d'Harlem autant que faire se peut. Ils ont rencontré Erica Carlyle, obtenu des ouvrages aux titres plus étranges les uns que les autres et ont évité le piège du Masque d'Hayama.