Re: [CR collectif multi-jeux] Les Âmes Mortes
Publié : lun. sept. 09, 2019 7:15 pm
Technique
Acte I : Padhiver
Fiction :
J’étais heureuse de revenir à Padhiver après la réunion du cercle. Contrairement à mes frères et mes sœurs, je n’ai aucune haine contre les villes, tant qu’elles ne débordent pas sans contrôle là où la nature doit prévaloir. Marcher dans le quartier de Lacnoir me faisait plutôt plaisir, si ce n’était la splendeur perdue de cet endroit.
Arrivée au manoir Colombe, je constatais tout de suite la figure inquiète de notre fidèle Boland. Il vait mon age et m’avait servie avant de servir ma fille. Je le connaissais donc bien. Boland ne s’est jamais inquiété inutilement, que ce soit alors que j’étais initiée, à plus de 50 ans printemps, par des individus que la noblesse de Padhiver ne pouvait que réprouver, ou lors des escapades fréquente de ma fille, qui peut quitter le manoir plusieurs jours sans donner de nouvelles. Il se passait donc quelque chose.
Je n’eu pas besoin de longtemps pour lui tirer les vers du nez. Corella était absente depuis plus d’un mois, ce qui était largement plus que d’habitude et aucun courrier ou animal n’avait apporté le moindre mot d’elle. Je connaissais ma fille, elle était aventureuse, comme moi, mais pas imprudente ni du genre à laisser ce pauvre Boland se ronger les sangs. Je décidais qu’il était urgent de partir à sa recherche. Au dernière nouvelles, elle avait entendu parler d’un groupe d’esclaves des orcs échappés du royaume de Moult-flèches et arrivés à Padhiver. Elle voulais s’assurer qu’ils allaient bien et, le cas échéant, les aider.
Je me rendais aux porte de la ville pour me renseigner sur les réfugiés. Le capitaine Klut me connaissait bien et ne m’aimait pas trop. Entre les interventions de ma famille sur les nouveaux arrivants et les visites de mes amis druides, nous avons une longue liste de différents avec le capitaine. Quand il m’indiqua négligemment qu’il n’avait pas vu ma fille, je ne doutais pas qu’il me mentait. Non pas qu’il ne voulais pas m’aider, non, il avait quelque chose à cacher. Heureusement, le brave Pete, lui était un peu plus loquace (une petite pièce aidant). Il avait bien vu ma fille il y a un mois environ. Elle s’entretenait avec des réfugiés et le père Nicholi Nortoi, prêtre Lathandre et ami de la famille. J’interrogeais deux trois personnes qui me confirmèrent le passage de Corella et son départ.
Le père Nortoi accepta de m’en dire plus. Ma fille avait ouï-dire que certains réfugiés étaient abordé par des gens peu scrupuleux pour un travail soit-disant bien payé hors de la ville. Elle aurait décidé de suivre la piste et serait donc partie en direction de Castel-Tempête pour mener son enquête. Je la reconnaissais bien là, et non sans fierté !
Technique :
Spoiler:
Acte I : Padhiver
Fiction :
J’étais heureuse de revenir à Padhiver après la réunion du cercle. Contrairement à mes frères et mes sœurs, je n’ai aucune haine contre les villes, tant qu’elles ne débordent pas sans contrôle là où la nature doit prévaloir. Marcher dans le quartier de Lacnoir me faisait plutôt plaisir, si ce n’était la splendeur perdue de cet endroit.
Arrivée au manoir Colombe, je constatais tout de suite la figure inquiète de notre fidèle Boland. Il vait mon age et m’avait servie avant de servir ma fille. Je le connaissais donc bien. Boland ne s’est jamais inquiété inutilement, que ce soit alors que j’étais initiée, à plus de 50 ans printemps, par des individus que la noblesse de Padhiver ne pouvait que réprouver, ou lors des escapades fréquente de ma fille, qui peut quitter le manoir plusieurs jours sans donner de nouvelles. Il se passait donc quelque chose.
Je n’eu pas besoin de longtemps pour lui tirer les vers du nez. Corella était absente depuis plus d’un mois, ce qui était largement plus que d’habitude et aucun courrier ou animal n’avait apporté le moindre mot d’elle. Je connaissais ma fille, elle était aventureuse, comme moi, mais pas imprudente ni du genre à laisser ce pauvre Boland se ronger les sangs. Je décidais qu’il était urgent de partir à sa recherche. Au dernière nouvelles, elle avait entendu parler d’un groupe d’esclaves des orcs échappés du royaume de Moult-flèches et arrivés à Padhiver. Elle voulais s’assurer qu’ils allaient bien et, le cas échéant, les aider.
Je me rendais aux porte de la ville pour me renseigner sur les réfugiés. Le capitaine Klut me connaissait bien et ne m’aimait pas trop. Entre les interventions de ma famille sur les nouveaux arrivants et les visites de mes amis druides, nous avons une longue liste de différents avec le capitaine. Quand il m’indiqua négligemment qu’il n’avait pas vu ma fille, je ne doutais pas qu’il me mentait. Non pas qu’il ne voulais pas m’aider, non, il avait quelque chose à cacher. Heureusement, le brave Pete, lui était un peu plus loquace (une petite pièce aidant). Il avait bien vu ma fille il y a un mois environ. Elle s’entretenait avec des réfugiés et le père Nicholi Nortoi, prêtre Lathandre et ami de la famille. J’interrogeais deux trois personnes qui me confirmèrent le passage de Corella et son départ.
Le père Nortoi accepta de m’en dire plus. Ma fille avait ouï-dire que certains réfugiés étaient abordé par des gens peu scrupuleux pour un travail soit-disant bien payé hors de la ville. Elle aurait décidé de suivre la piste et serait donc partie en direction de Castel-Tempête pour mener son enquête. Je la reconnaissais bien là, et non sans fierté !
Technique :
Spoiler: