La chasse
À cette époque, la chasse n’est pas qu’un passe-temps pour nobles désœuvrés en quête de sensations fortes : c’est aussi un petit commerce juteux…
Le gros gibier était réservé aux gens bien nés, évidemment. Les cerfs, les sangliers, et autres bêtes majestueuses n’étaient pas pour les gueux, non. Il fallait être noble ou dûment mandaté pour y toucher. Les chasseurs « officiels » avaient le rôle de veiller sur les bestioles, d’empêcher de braconner, ou d’assister les seigneurs en mal d’adrénaline.
Le petit gibier, quant à lui : lapins, lièvres, renards, et joyeux rongeurs, était parfois à la portée du commun, à condition d’avoir l’autorisation. Les loups, eux, n’étaient généralement aimés de personne, donc tout le monde pouvait s’en charger, surtout s’ils venaient déguster le bétail.
Le braconnage, lui, c’était une autre affaire : très risqué, très puni. On passait vite du pilori à la corde. Ceux qui s’y adonnaient avaient intérêt à viser juste et à courir aussi vite que le gibier que l'on chassait, ou à frapper plus fort que le garde-chasse.
À cette époque, la chasse n’est pas qu’un passe-temps pour nobles désœuvrés en quête de sensations fortes : c’est aussi un petit commerce juteux…
Le gros gibier était réservé aux gens bien nés, évidemment. Les cerfs, les sangliers, et autres bêtes majestueuses n’étaient pas pour les gueux, non. Il fallait être noble ou dûment mandaté pour y toucher. Les chasseurs « officiels » avaient le rôle de veiller sur les bestioles, d’empêcher de braconner, ou d’assister les seigneurs en mal d’adrénaline.
Le petit gibier, quant à lui : lapins, lièvres, renards, et joyeux rongeurs, était parfois à la portée du commun, à condition d’avoir l’autorisation. Les loups, eux, n’étaient généralement aimés de personne, donc tout le monde pouvait s’en charger, surtout s’ils venaient déguster le bétail.
Le braconnage, lui, c’était une autre affaire : très risqué, très puni. On passait vite du pilori à la corde. Ceux qui s’y adonnaient avaient intérêt à viser juste et à courir aussi vite que le gibier que l'on chassait, ou à frapper plus fort que le garde-chasse.