Cédric Ferrand a écrit : ↑lun. févr. 10, 2025 2:17 pm
La seul alliance qu'on accepte, c'est avec nos soeurs et nos frères wallons.
On ne veut pas de votre jaja, on préfère le grand Jojo.
Le Grand Jojo était bruxellois, pas wallon. Donc l'équivalent d'un Montréalais anglophone.
Si des indépendantistes revanchards obsédés par la suprématie territoriale de leur langue se cherchent des copains en Belgique, c'est plutôt vers le Nord du pays qu'il faut regarder, hein.
D'ailleurs le grand jojo se moque de lui et des indépendantistes du nord dans les bonbons 67
Gork est « brutal mè ruzé » et son frère Mork est « ruzé mè brutal »
‘If in doubt, serve more ale.’
— First lesson of the rites of healing
Jacques B était flamand francophone, comme nombre de Bruxellois.
Ces déchirements ethno-linguistiques (surtout dans les pays où les langues font ethnies officielles) font parfois de grands artistes, comme aussi Johan Sibelius, finnois suédophone.
La cuisine rôliste du Selpoivre (World of Lies, Dead Dice...)
Membre de la LLDT, la Ligue Lyonnaise des Détournements de Threads · Binouzeur Casusien itinérant · Avatar du mauvais goût cinématographique · Joueur de Magic en Commander multi occasionnel et accroc à VTES Modère en vert
OSR a écrit : ↑mar. févr. 11, 2025 8:00 am
Par exemple en Bosnie-et-Herzégovine, il y a des Musulmans catholiques.
Je ne comprends pas bien
En Bosnie-et-Herzégovine "Musulman" (avec un majuscule) est un nom officiel d'ethnie, pas forcément une religion. Enfin, on dit plutôt "Bosniaque" depuis les années 90, mais "Musulman" est encore d'usage courant https://www.axl.cefan.ulaval.ca/europe/Yougmus.htm
Pareil, les Flamands ne parlent pas forcément flamand, en Finlande qu'il y a des Suédophones qui ne parlent pas suédois, etc.
Tiens, un outil intéressant permettant de calculer la côte de popularité (entre autres) de diverses personnalités politiques au fils du temps...Trump devient plus populaire, mais ce qui est notable c'est que jusqu'à 20% des Républicains ne partagaient pas cet avis.
« Ça sonne bien sur le papier, mais en pratique, c'est un désastre », assure Donald Trump dans une vidéo diffusée par la Maison Blanche où on le voit signant le décret qui suspend cette loi en vigueur depuis près de 50 ans. « À cause de cette loi, si un Américain se rend dans un pays étranger pour y faire des affaires, de manière légale ou non, il est quasiment sûr de faire l'objet d'une enquête et de poursuites. Résultat: plus personne ne veut faire affaire avec les Américains », poursuit le président des États-Unis.
Le Foreign Corrupt Practices Act (FCPA) signé en 1977 introduisait le principe d'extraterritorialité : des entreprises pouvaient être poursuivies pour des actes de corruption commis à l'étranger, qu'elles soient ou non américaines. À partir du moment où elles participaient d'une manière ou d'une autre à un marché financier aux États-Unis, la justice américaine pouvait s'intéresser à leurs activités.
le retour du droit à la corruption à l'etranger
Gork est « brutal mè ruzé » et son frère Mork est « ruzé mè brutal »
‘If in doubt, serve more ale.’
— First lesson of the rites of healing
Rosco a écrit : ↑mar. févr. 11, 2025 6:41 pm
et un decret de plus
« Ça sonne bien sur le papier, mais en pratique, c'est un désastre », assure Donald Trump dans une vidéo diffusée par la Maison Blanche où on le voit signant le décret qui suspend cette loi en vigueur depuis près de 50 ans. « À cause de cette loi, si un Américain se rend dans un pays étranger pour y faire des affaires, de manière légale ou non, il est quasiment sûr de faire l'objet d'une enquête et de poursuites. Résultat: plus personne ne veut faire affaire avec les Américains », poursuit le président des États-Unis.
Le Foreign Corrupt Practices Act (FCPA) signé en 1977 introduisait le principe d'extraterritorialité : des entreprises pouvaient être poursuivies pour des actes de corruption commis à l'étranger, qu'elles soient ou non américaines. À partir du moment où elles participaient d'une manière ou d'une autre à un marché financier aux États-Unis, la justice américaine pouvait s'intéresser à leurs activités.
le retour du droit à la corruption à l'etranger
Les intermédiaires aussi ont le droit de vivre ! Commissions (et rétro-commissions) étaient passées de mode (hum), elles retrouvent droit de cité. Merci Donald !
senradackod a écrit : ↑mar. févr. 11, 2025 8:00 pm
Rosco a écrit : ↑mar. févr. 11, 2025 6:41 pm
et un decret de plus
« Ça sonne bien sur le papier, mais en pratique, c'est un désastre », assure Donald Trump dans une vidéo diffusée par la Maison Blanche où on le voit signant le décret qui suspend cette loi en vigueur depuis près de 50 ans. « À cause de cette loi, si un Américain se rend dans un pays étranger pour y faire des affaires, de manière légale ou non, il est quasiment sûr de faire l'objet d'une enquête et de poursuites. Résultat: plus personne ne veut faire affaire avec les Américains », poursuit le président des États-Unis.
Le Foreign Corrupt Practices Act (FCPA) signé en 1977 introduisait le principe d'extraterritorialité : des entreprises pouvaient être poursuivies pour des actes de corruption commis à l'étranger, qu'elles soient ou non américaines. À partir du moment où elles participaient d'une manière ou d'une autre à un marché financier aux États-Unis, la justice américaine pouvait s'intéresser à leurs activités.
le retour du droit à la corruption à l'etranger
Les intermédiaires aussi ont le droit de vivre ! Commissions (et rétro-commissions) étaient passées de mode (hum), elles retrouvent droit de cité. Merci Donald !
Rosco a écrit : ↑mar. févr. 11, 2025 6:41 pm
et un decret de plus
« Ça sonne bien sur le papier, mais en pratique, c'est un désastre », assure Donald Trump dans une vidéo diffusée par la Maison Blanche où on le voit signant le décret qui suspend cette loi en vigueur depuis près de 50 ans. « À cause de cette loi, si un Américain se rend dans un pays étranger pour y faire des affaires, de manière légale ou non, il est quasiment sûr de faire l'objet d'une enquête et de poursuites. Résultat: plus personne ne veut faire affaire avec les Américains », poursuit le président des États-Unis.
Le Foreign Corrupt Practices Act (FCPA) signé en 1977 introduisait le principe d'extraterritorialité : des entreprises pouvaient être poursuivies pour des actes de corruption commis à l'étranger, qu'elles soient ou non américaines. À partir du moment où elles participaient d'une manière ou d'une autre à un marché financier aux États-Unis, la justice américaine pouvait s'intéresser à leurs activités.
le retour du droit à la corruption à l'etranger
C'est pas cette loi qui permis de prendre en otage d'arreter Frédéric Pierucci d'Alstom juste avant l'arnaque les négociations avec Général Electric ?
Si c'est celle-là, c'est plutôt une arme redoutable de moins pour les Hamburgers.
Je ne suis pas vieux, je suis vintage et à jamais Sochalien !