Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!
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Re: Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!
Gork est « brutal mè ruzé » et son frère Mork est « ruzé mè brutal »
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Re: Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!
Numéro 24, un film norvégien, sur numéro 24 nom de code du résistant le plus décoré de Norvège.
Un film réaliste sur un homme qui a sacrifié 5 ans de sa vie pour libérer la Norvège.
Pas d'actions, le film se contente de conter des évènements marquants de ses 5 années y compris les cotés sombres.
Une résistance réaliste et une leçon dur à suivre, numéro 24 explique en conférence qu il a 5 tiroirs dans sa tête, trois ouvert constamment, de temps en temps, un dernier fermé le 8 mai 1945
Un film réaliste sur un homme qui a sacrifié 5 ans de sa vie pour libérer la Norvège.
Pas d'actions, le film se contente de conter des évènements marquants de ses 5 années y compris les cotés sombres.
Une résistance réaliste et une leçon dur à suivre, numéro 24 explique en conférence qu il a 5 tiroirs dans sa tête, trois ouvert constamment, de temps en temps, un dernier fermé le 8 mai 1945
Dernière modification par Rosco le ven. mai 02, 2025 8:46 am, modifié 1 fois.
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Re: Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!

la différence entre un adulte et un enfant, c'est la taille et le budget du jouet
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Re: Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!
Et l heure
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Re: Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!
Vu trois films cette semaine :
Sinners : un très bon film d'horreur, avec des acteurs convaincants. La réalisation est au top, et j'en avais oublié que c'était un film d'horreur jusqu'au moment de bascule. Le petit plus du film, c'est que même sans le côté horreur, on est pris dans l'histoire, les personnages, leurs soucis, leurs mystères, jusqu'à ce que l'horreur arrive et bazarde tout le reste car il faut survivre.
Thunderbolts : un très bon film Marvel. En fait, c'est un bon film en soit, et les implications qu'il promet sont majeures. Comme d'habitude, il y a pas mal d'humour, mais cette fois il y a un thème que je n'avais jamais vu aborder sérieusement dans les films de super-héros grand public, et que je ne m'attendais pas à voir ici,. J'ai trouvé que c'était traité avec sérieux, et le film m'a ému (alors que je ne pensais pas tirer une larme devant du super-héros). Bref, j'y allais par défaut car c'est un Marvel, mais j'en suis ressorti vraiment content de l'avoir vu.
Asteroid City : là, c'est la douche froide. J'ai dû convaincre mon chéri que si, on allait finir le film et ne pas s'arrêter au premier tiers. Bon, ben au final j'ai l'impression d'avoir perdu deux heures de ma vie. C'est intéressant niveau style et réalisation, mais le jeu d'acteur est vraiment bof, et l'histoire ne m'a pas du tout accroché. Pas d'enjeu, pas de scénario, on voit juste le réalisateur s'amuser avec ses acteurs.
Sinners : un très bon film d'horreur, avec des acteurs convaincants. La réalisation est au top, et j'en avais oublié que c'était un film d'horreur jusqu'au moment de bascule. Le petit plus du film, c'est que même sans le côté horreur, on est pris dans l'histoire, les personnages, leurs soucis, leurs mystères, jusqu'à ce que l'horreur arrive et bazarde tout le reste car il faut survivre.
Thunderbolts : un très bon film Marvel. En fait, c'est un bon film en soit, et les implications qu'il promet sont majeures. Comme d'habitude, il y a pas mal d'humour, mais cette fois il y a un thème que je n'avais jamais vu aborder sérieusement dans les films de super-héros grand public, et que je ne m'attendais pas à voir ici,
Spoiler:
Asteroid City : là, c'est la douche froide. J'ai dû convaincre mon chéri que si, on allait finir le film et ne pas s'arrêter au premier tiers. Bon, ben au final j'ai l'impression d'avoir perdu deux heures de ma vie. C'est intéressant niveau style et réalisation, mais le jeu d'acteur est vraiment bof, et l'histoire ne m'a pas du tout accroché. Pas d'enjeu, pas de scénario, on voit juste le réalisateur s'amuser avec ses acteurs.
Le Facebook de Krystal, le jdr post-apo optimiste (mais pas bisounours).
Chez Lolu, mon site/blog avec du Krystal et du Trinités dedans.
Dernier article (18/07/2017) : L'homme et la femme dans le jdr
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- Mugen
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Re: Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!
Loludian a écrit : ↑ven. mai 02, 2025 9:11 am Asteroid City : là, c'est la douche froide. J'ai dû convaincre mon chéri que si, on allait finir le film et ne pas s'arrêter au premier tiers. Bon, ben au final j'ai l'impression d'avoir perdu deux heures de ma vie. C'est intéressant niveau style et réalisation, mais le jeu d'acteur est vraiment bof, et l'histoire ne m'a pas du tout accroché. Pas d'enjeu, pas de scénario, on voit juste le réalisateur s'amuser avec ses acteurs.
Je n'aime pas Wes Anderson exactement pour cette raison-là.
C'est pour moi un génie de la mise en scène, mais ses films me barbent.
Sois satisfait des fruit, des fleurs et même des feuilles,
Si c'est dans ton jardin à toi que tu les cueilles.
Ne pas monter bien haut peut-être, mais tout seul.
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Re: Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!
@Loludian
Merci pour le spoiler, j avais absolument pas tilter dessus, mais c est peut être du qu'avec ma fille on regarde des séries c est mis en avant donc que pour nous c est normal.
Merci pour le spoiler, j avais absolument pas tilter dessus, mais c est peut être du qu'avec ma fille on regarde des séries c est mis en avant donc que pour nous c est normal.
Gork est « brutal mè ruzé » et son frère Mork est « ruzé mè brutal »
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Re: Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!
Little Jaffna
Un très bon polar, où un jeune policier français d'origine tamoule (Lawrence Valin) s'infiltre dans la maffia tamoule parisienne, qui alimente plusieurs trafics dans le but de financer des opposants au régime Sri Lankais.
Un très bon polar, où un jeune policier français d'origine tamoule (Lawrence Valin) s'infiltre dans la maffia tamoule parisienne, qui alimente plusieurs trafics dans le but de financer des opposants au régime Sri Lankais.
Sois satisfait des fruit, des fleurs et même des feuilles,
Si c'est dans ton jardin à toi que tu les cueilles.
Ne pas monter bien haut peut-être, mais tout seul.
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Re: Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!
Capitaine Sky et le Monde de demain (Kerry Conran, 2004) : dans des années 30 uchroniques, des scientifiques disparaissent mystérieusement alors que des robots géants attaquent New York. Sky Captain, célèbre pilote héroïque, et Polly Perkins, journaliste intrépide, mènent l'enquête.
En voilà un film unique. Littéralement déjà, puisque c'est le seul long-métrage de Kerry Conran. Il a auparavant réalisé The World of Tomorrow, un court-métrage qui a servi de démonstration et de carte de visite jusqu'à trouver des producteurs assez fous pour financer le long.
Entièrement tourné sur fond bleu, l'intégralité des décors et des créatures non humaines ayant été ajoutés numériquement en post-production. La photographie est volontairement "artificielle", parfois désaturée et proche du noir et blanc, parfois avec des contrastes forts qui mettent en avant certains détails de l'image.
Unique ou presque pour sa proposition également. Le film est une lettre d'amour aux serials des années 30, aux comic books de SF et à la littérature pulp, mais n'est l'adaptation d'aucune œuvre précise, Conran a dû s'amuser comme un gosse à jouer avec tous les clichés du (des) genre(s). C'est bien simple, il y a tout : robots géants, savant fou, dinosaures, fusée spatiale, zeppelins, pilotes téméraires, reporter intrépide, cité cachée au Népal, porte-avions volants, avions bourrés de gadgets, femme fatale androïde, rayon de la mort, base secrète cachée sur une île, et j'en oublie sûrement. Alors que l'industrie du cinéma américain est généralement très amatrice de remakes, adaptations et autres reboots c'est surprenant de voir que toute cette culture-là a été plus ou moins oubliée, ou du moins laissée de côté. Bon, le film a fait un bide à sa sortie, ceci expliquant peut-être cela. Joe Johnston a su à deux reprises se rapprocher de cette ambiance avec Les Aventures de Rocketeer et Captain America : First Avenger mais les deux sont des adaptations de comic books. Non, vraiment, je vois aucun film comparable avec ce Capitaine Sky.
Le film n'est pas non plus sans défauts, notamment une histoire un peu rushée, un scénario parfois nébuleux et certains effets visuels qui ont pris un vrai coup de vieux. Mais il vaut réellement la peine d'être vu, comme dit plus haut pour sa proposition unique.

Lisa Frankenstein (Zelda Williams, 2024) : 1989. Lisa, lycéenne impopulaire et marginale, est involontairement responsable de la résurrection d'un jeune homme mort plus d'un siècle avant. Leur rencontre va changer la vie de l'adolescente.
C'est le premier long-métrage réalisé par Zelda Williams (fille de Robin) et il est écrit par Diablo Cody, scénariste réputée pour par exemple Jennifer's Body, Juno et Tully. Le film se déroule dans les années 80 et, s'il évite le 80's porn insupportable, est quand même hyper référentiel, mais pas seulement de cette décennie. C'est en gros la progéniture de Frankenstein, Edward aux mains d'argent, Une créature de rêve, Le Voyage dans la Lune et Le Jour des morts-vivants, directement cité. À ce mélange bizarre on peut ajouter une DA pop, fluo et acidulée et la patte très reconnaissable de Diablo Cody.
Le film reste relativement inoffensif mais est plutôt agréable à regarder, je pense qu'ado (parce que c'est un vrai teen movie) j'aurais encore plus aimé. L'actrice principale est top. Il vient d'être dispo sur Netflix, ce qui m'a permis de le revoir et de le faire découvrir à ma compagne, fan des scénarios de Cody. C'est une belle inspi pour Monsterhearts également.

Jackie (Pablo Larraín, 2016) : novembre 1963. Un journaliste interviewe Jackie Kennedy peu de temps après l'assassinat de son mari John F. Kennedy, président des États-Unis.
Je l'avais pas revu depuis longtemps, j'aime toujours autant. Pablo Larraín a réalisé une incroyable trilogie informelle avec ce film, Spencer et Maria. Trois biopics uniques de femmes puissantes mais prisonnières de leur rôle et de leur image, Jackie Kennedy donc, puis Lady Di et Maria Callas.
Le film s'intéresse aux deux aspects de la vie de Jackie, la first lady populaire qui fait la couverture de magazines et qui est la star d'émissions télé, et la femme derrière ce masque, perdue et rapidement mise de côté par le gouvernement après la mort de son mari. Malgré tout, elle continue désespérément à entretenir la "légende Kennedy", balayant sous le tapis, pour son bien et celui de sa famille, tout ce qui ne correspond pas au glamour officiel. Elle a activement participé à créer cette légende et des événements tragiques ne vont pas l'arrêter.
Natalie Portman est géniale dans le rôle-titre et le reste du casting est très bon également ; Greta Gerwig, Peter Sarsgaard, John Hurt, Billy Crudup, Richard E. Grant... Pour la petite anecdote, Caspar Phillipson, l'acteur qui incarne JFK, a repris le rôle dans Maria du même réalisateur en 2024 et également en 2022 dans Blonde d'Andrew Dominik, autre biopic décalé d'une icône mondiale.

En voilà un film unique. Littéralement déjà, puisque c'est le seul long-métrage de Kerry Conran. Il a auparavant réalisé The World of Tomorrow, un court-métrage qui a servi de démonstration et de carte de visite jusqu'à trouver des producteurs assez fous pour financer le long.
Entièrement tourné sur fond bleu, l'intégralité des décors et des créatures non humaines ayant été ajoutés numériquement en post-production. La photographie est volontairement "artificielle", parfois désaturée et proche du noir et blanc, parfois avec des contrastes forts qui mettent en avant certains détails de l'image.
Unique ou presque pour sa proposition également. Le film est une lettre d'amour aux serials des années 30, aux comic books de SF et à la littérature pulp, mais n'est l'adaptation d'aucune œuvre précise, Conran a dû s'amuser comme un gosse à jouer avec tous les clichés du (des) genre(s). C'est bien simple, il y a tout : robots géants, savant fou, dinosaures, fusée spatiale, zeppelins, pilotes téméraires, reporter intrépide, cité cachée au Népal, porte-avions volants, avions bourrés de gadgets, femme fatale androïde, rayon de la mort, base secrète cachée sur une île, et j'en oublie sûrement. Alors que l'industrie du cinéma américain est généralement très amatrice de remakes, adaptations et autres reboots c'est surprenant de voir que toute cette culture-là a été plus ou moins oubliée, ou du moins laissée de côté. Bon, le film a fait un bide à sa sortie, ceci expliquant peut-être cela. Joe Johnston a su à deux reprises se rapprocher de cette ambiance avec Les Aventures de Rocketeer et Captain America : First Avenger mais les deux sont des adaptations de comic books. Non, vraiment, je vois aucun film comparable avec ce Capitaine Sky.
Le film n'est pas non plus sans défauts, notamment une histoire un peu rushée, un scénario parfois nébuleux et certains effets visuels qui ont pris un vrai coup de vieux. Mais il vaut réellement la peine d'être vu, comme dit plus haut pour sa proposition unique.

Lisa Frankenstein (Zelda Williams, 2024) : 1989. Lisa, lycéenne impopulaire et marginale, est involontairement responsable de la résurrection d'un jeune homme mort plus d'un siècle avant. Leur rencontre va changer la vie de l'adolescente.
C'est le premier long-métrage réalisé par Zelda Williams (fille de Robin) et il est écrit par Diablo Cody, scénariste réputée pour par exemple Jennifer's Body, Juno et Tully. Le film se déroule dans les années 80 et, s'il évite le 80's porn insupportable, est quand même hyper référentiel, mais pas seulement de cette décennie. C'est en gros la progéniture de Frankenstein, Edward aux mains d'argent, Une créature de rêve, Le Voyage dans la Lune et Le Jour des morts-vivants, directement cité. À ce mélange bizarre on peut ajouter une DA pop, fluo et acidulée et la patte très reconnaissable de Diablo Cody.
Le film reste relativement inoffensif mais est plutôt agréable à regarder, je pense qu'ado (parce que c'est un vrai teen movie) j'aurais encore plus aimé. L'actrice principale est top. Il vient d'être dispo sur Netflix, ce qui m'a permis de le revoir et de le faire découvrir à ma compagne, fan des scénarios de Cody. C'est une belle inspi pour Monsterhearts également.

Jackie (Pablo Larraín, 2016) : novembre 1963. Un journaliste interviewe Jackie Kennedy peu de temps après l'assassinat de son mari John F. Kennedy, président des États-Unis.
Je l'avais pas revu depuis longtemps, j'aime toujours autant. Pablo Larraín a réalisé une incroyable trilogie informelle avec ce film, Spencer et Maria. Trois biopics uniques de femmes puissantes mais prisonnières de leur rôle et de leur image, Jackie Kennedy donc, puis Lady Di et Maria Callas.
Le film s'intéresse aux deux aspects de la vie de Jackie, la first lady populaire qui fait la couverture de magazines et qui est la star d'émissions télé, et la femme derrière ce masque, perdue et rapidement mise de côté par le gouvernement après la mort de son mari. Malgré tout, elle continue désespérément à entretenir la "légende Kennedy", balayant sous le tapis, pour son bien et celui de sa famille, tout ce qui ne correspond pas au glamour officiel. Elle a activement participé à créer cette légende et des événements tragiques ne vont pas l'arrêter.
Natalie Portman est géniale dans le rôle-titre et le reste du casting est très bon également ; Greta Gerwig, Peter Sarsgaard, John Hurt, Billy Crudup, Richard E. Grant... Pour la petite anecdote, Caspar Phillipson, l'acteur qui incarne JFK, a repris le rôle dans Maria du même réalisateur en 2024 et également en 2022 dans Blonde d'Andrew Dominik, autre biopic décalé d'une icône mondiale.

- KamiSeiTo
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Re: Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!
@Gridal Merci, je vais aller jeter un œil à ce Lisa Frankenstein ! 
Proposer un jeu qui soit au service d’une façon de jouer spécifique et, surtout sans tomber dans le piège de ne pas en permettre d’autre, néanmoins tout inféoder à cette dernière.
Brand.
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Re: Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!
j'ajoute que la BO de Capitaine Sky et le Monde de demain est formidable pour mettre une ambiance Pulp dans vos parties. 

- Tgx
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Re: Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!
@Gridal
Y avait Iron Sky qui était un peu dans le même genre.
Y avait Iron Sky qui était un peu dans le même genre.
« il se rencontre aussi dans le cœur humain un goût dépravé pour l'égalité, qui porte les faibles à vouloir attirer les forts à leur niveau, et qui réduit les hommes à préférer l'égalité dans la servitude à l'inégalité dans la liberté »
(Alexis de Tocqueville, de la démocratie en Amérique)
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Re: Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!
@KamiSeiTo ça reste un petit film, mais si on est dans le mood comédie horrifique pop, ça passe tout seul.
@DocDandy Oui c'est vrai la BO est excellente !
@Tgx Merci, je ne connais pas du tout, je vais y jeter un œil.
@DocDandy Oui c'est vrai la BO est excellente !
@Tgx Merci, je ne connais pas du tout, je vais y jeter un œil.
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- Dieu des jeunes à casquette
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Re: Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!
Euh...
C'est vraiment "un peu" alors
Iron Sky 1 et 2 (on attends le 3), ça mériterait un jdr campagne tout en un.
Spoiler:
Je ne suis pas vieux, je suis vintage et à jamais Sochalien !