Page 42 sur 100
Re: Retour sur ce que j'ai lu ou survolé, jeune ou vieux
Publié : mar. sept. 29, 2020 3:45 pm
par DocDandy
1.) Quoi que c'est ?
Fall of London, grosse campagne pour Vampire V5 VO
2.) Vous en avez entendu parler ou pour la première fois ?
En m'intéressant aux cadres de jeux pour Vampire j'ai découvert qu'il n'y avait rien eu de concrets sur Londres. Et puis paf! Une grosse campagne pour la V5 qui sort!
3.) Achat compulsif, impulsif ou réfléchi ?
Compulsif: je passais à ma boutique et le vendeur me fait "tu tombes bien!" et me sors le bouquin. La seule chose dont je me rappelle c'est un ticket de carte bleue et le bouquin dans mes mains en sortant du magasin
4.) Vous pensiez trouver quoi ?
Une campagne un peu lourde et dirigiste dans le cadre de Londres avec peut être quelques pistes pour jouer dans ce cadre (la campagne en elle même ne m'intéressait pas).
5.) Vous avez trouvé quoi ?
Bon alors Fall of London ça parle du retour de
Devinez qui va s'y coller pour retrouver les artefacts? Les pjs
Les pjs sont donc assez balaises mais vont devoir affronter tout le monde vampirique de Londres mené par La Reine Anne et son Sénéchal Valerius. Au travers de 5 gros scénarios ils vont explorer plusieurs aspects de la ville et rencontrer tous les puissants en place. Bon ça va forcément mal finir vu que les puissants en question n'ont pas envie de laisser la place et qu'en prime un autre danger rode
Ce qui est cool c'est qu'on retrouve les tropes de Vampire: des tas de très vieux vampires qui conspirent depuis des siècles et qui vont en finir. La bonne nouvelle c'est que les pjs ne sont pas spectateurs mais carrément acteurs du changement à venir. Même si c'est assez directif au début, "bonjour, bienvenu, allez me chercher ça!" , ils ont la possibilité d'arbitrer la situation et de créer des alliances pour survivre ou même prendre le pouvoir! (bon sur ce dernier point il va falloir jouer serré). C'est bourré de pnjs vraiment tripant, mention spéciale pour le Panjabi faux medium devenu Tremere sur un malentendu ou le "Maitre espion" de l'underground londonien.

Bref c'est super cool mais....
Mais quel boulot pour le MJ! 
Il va falloir se taper les 300 pages du bouquin, prendre des notes, prévoir des storylines spécifiques pour impliquer les perso, revoir la copie pour chaque mouvement que feront les pjs, etc. En effet si chaque scénario est plutôt directif dans son amorce tout est ouvert pour que les pjs agissent selon leur envie. Pour le coup c'est anticipé avec des prétirés sympa et des accroches pour chacun d'entre eux à chaque scénario. Mais si tes joueurs veulent faire leur propre pj il va falloir bosser sur le fond.
6.) Allez vous vous en servir ?
Je suis en train de prendre des notes et je vais certainement me faire une mindmap pour tout retenir et me lancer dans une sorte de préquelle à la campagne en solo. A voir si je suis assez accroché pour faire jouer l'ensemble mais pour être franc je pense que j'aurais trop la flemme.
7.) En conseilleriez vous l'achat ??
Si Londres et ses secrets vous intéressent c'est toujours un bon plan. Par contre si vous voulez vous lancer sachez qu'il vaut mieux être costaud sur la préparation et avoir des joueurs plutôt aguerris.
Re: Retour sur ce que j'ai lu ou survolé, jeune ou vieux
Publié : mar. sept. 29, 2020 4:27 pm
par Cyrano
DocDandy a écrit : ↑mar. sept. 29, 2020 3:45 pm
1.) Quoi que c'est ?
Fall of London, grosse campagne pour Vampire V5 VO
Est-ce que la campagne peut valoir le coup en tant que supplément de contexte pour avoir des ambiances, des lieux, des factions ? Et est-ce que cela peut avoir un intérêt comme inspiration pour un autre jeu, comme Mage ?
Re: Retour sur ce que j'ai lu ou survolé, jeune ou vieux
Publié : mar. sept. 29, 2020 5:11 pm
par DocDandy
Comme ambiance, lieux, factions et une belle galerie de pnjs oui tout à fait mais va falloir faire comme moi en ce moment: prendre des notes. A part les pnjs clairement identifiés par des paragraphes blanc sur noir tout le reste est perdu dans le texte des scénarios.
Pour tout autre jeu que Vampire je suis pas sûr que ça vaille le coup, on parle beaucoup des vampires et de leurs lieux de prédilections. Pour Mage à la rigueur mais il y a du tri!
Re: Retour sur ce que j'ai lu ou survolé, jeune ou vieux
Publié : mar. sept. 29, 2020 6:23 pm
par Mabuse
@DocDandy, tu as réussis à me vendre le seul supplément qui me faisait nullement envie. Après j'ai un peu peur de son utilité, car au final la campagne se passe avant le changement de lore de la V5 non ?
Dans le Livre de base, Londres apparait comme bien vide ...
Re: Retour sur ce que j'ai lu ou survolé, jeune ou vieux
Publié : mar. sept. 29, 2020 6:31 pm
par DocDandy
Pas de spoil mais oui, la campagne se passe en 2012 et préfigure ce qui est expliqué dans le livre de base. C'est une préquelle donc.
Re: Retour sur ce que j'ai lu ou survolé, jeune ou vieux
Publié : mer. sept. 30, 2020 8:11 pm
par Cédric Ferrand
Pax Elfica
Avertissement : Qu'il soit su que l'éditeur de Pax Elfica, les 12 Singes, est par ailleurs mon éditeur sur la gamme Wastburg. Ça ne veut pas dire pour autant que ce billet est du copinage éhonté ou de la pub déguisée : j'ai acheté mon exemplaire comme n'importe quel client. Claude Guéant n'est pas un ami, mais j'ai collaboré avec lui il y a... pfiou... des éons, quand il a publié une de mes nouvelles dans le zine Vision-Ka qui était dédié à Nephilim. Je pense pouvoir dire qu'il y a prescription. Et je me suis déjà brouillé avec un auteur des 12 Singes pour avoir dit publiquement du mal de son jeu sur Hu-Mu, ça devrait vous rassurer sur ma partialité.
C'est super facile de résumer Pax Elfica : c'est la rencontre entre la série télévisée Un Village français et D&D. Ou bien Papy fait de la résistance transposé en medfan. La campagne se déroule dans Brenhaven, une cité d'un royaume du nord assez générique (ce qui permet de recaser l'intrigue dans votre univers vanilla favori) dont la région a connu il n'y pas si longtemps le joug assez cruel du Nécromant, un tyran qui a bien failli dominer le monde pour de bon. Heureusement pour tous, les elfes sont sortis de leurs forêts pour mettre fin à cette emprise morbide sur le monde en boutant le Nécromant de son trône. Sauf qu'à la fin de la guerre, au lieu de retourner paisiblement dans leur insondable forêt, les elfes libérateurs ne sont pas retiré de la cité de Brenhaven. Pire que ça, ils ont commencé à imposer des lois scélérates et à interdire la magie, le port d'arme, les métiers liés au bois... De sympathiques émancipateurs, les elfes ont glissé vers le rôle d'occupants.
Et au moment où débute la campagne, les PJ sont tous des vieux briscards qui ont connu la guerre contre le Nécromant puis assisté, impuissants, à la prise de pouvoir des elfes à Brenhaven. Ils ont un point commun : ils travaillent tous dans une auberges de Brenhaven. Et sans surprise, ils sont plutôt opposés à la présence elfique dans la cité et travaillent dans l'ombre contre les forces d'occupation. Vous voyez le topo : c'est La Traversée de Paris avec des épées et des boules de feu. Et ça convoque tout de suite des images mentales hyper facile à expliquer pour animer ce cadre de jeu : les collabos qui supportent l'oppresseur elfe, les habitants de la cité qui ne veulent pas faire de vague, les soldats elfes qui ne sont pas tous des salauds, la résistance qui veut faire des actions d'éclat mais qui a peur de se faire infiltrer par des agents pro-elfes, les désaccords politiques entre résistants sur la politique de la cité après l'éventuelle libération... La situation de base est hyper riche car elle fait appel à une situation que nous n'avons pas connu directement mais qui fait partie de notre imaginaire historique. Et si j'étais né en 17 dans une forêt elfique ?
Sauf qu'un bon pitch, c'est bien, mais encore faut-il être capable de livrer la marchandise une fois la campagne lancée. Et l'auteur de Pax Elfica (Claude Guéant, donc) n'y est pas allé de mainmorte. En fait, il existe 4 intrigues qui s'entrecroisent à Brenhaven. Je ne vais bien évidemment pas vous en révéler le contenu ici, mais sachez qu'elles sont super bien ficelées et permettent progressivement de découvrir les petits secrets de la cité et de ses habitants (elfiques ou non). Et bien sûr, la situation n'est pas aussi manichéenne que la présentation initiale le laisse volontairement croire. On se fait hameçonner par un pitch clair et précis (on va casser la gueule à des elfes nazis comme dans Inglourious Basterds, sauf qu'au lieu d'une batte de baseball, le guerrier aura une claymore) puis on grenouille dans des intrigues tout en dégradés de gris avant de se dire "Ah ouais, c'est pas si simple...". Il y aura bien évidemment de grandes séquences d'action où l'on va se défouler en luttant contre un oppresseur, mais on va également se retrouver à devoir gérer de beaux dilemmes moraux. C'est loin d'être une campagne pulp où l'on se défoule en cassant la gueule à des SS : Brenhaven est une cité pas si grande, toutes nos actions ont donc un impact concret sur nos voisins. Décocher une flèche assassine sur tel gradé elfe, c'est possible, mais si ça implique des représailles, est-ce que ça en vaut vraiment le coup ?
La campagne se déroule sur 10 semaines en jeu, et il y a une quantité impressionnante de scènes et événements pour animer cette histoire. Jour 1, l'intrigue 1 avance un peu. Jour 2, tel scénette fait avancer l'intrigue 2 et telle autre annonce le démarrage de l'intrigue 3. Jour 3, retour sur les conséquences de l'intrigue 1... Un déroulé par défaut des événements permet d'imaginer en amont l'enchaînement de tout cela, mais à la lecture, c'est parfois vertigineux car évidemment les décisions et actions des PJ vont ajouter beaucoup de chaos dans cette histoire. Mais à chaque fois on se retrouve avec assez de billes pour imaginer comment raconter la suite de l'histoire. Sauf que, mazette, ce vivier de PNJ à faire vivre... C'est pas une AP Pathfinder avec des donj' génériques et des monstres en série : il y a des cartes relationnelles pour s'y retrouver, c'est limite intimidant. Forcément, à Brenhaven, tout à une incidence sur tout. C'est impressionnant de voir à quel point les 400 pages de ce gros livre sont bourrées d'infos mais surtout de matos à jouer. Ça reste concret tout du long, même si la vision d'ensemble peut vous foutre les miquettes par son apparente complexité. Mais je suis sûr qu'on peut y aller par étapes sans chercher à tout savoir sur tout le monde dès le départ. Avancer une semaine à la fois. Ne pas trop se soucier de ce qu'il se déroulera deux semaines plus tard. C'est un peu comme aux échecs : les grands maîtres jouent 7 coups d'avance, certes, certes. Mais il y a aussi moyen de s'amuser sans trop se projeter et de savourer l'instant présent.
Un mot sur les illustrations : elles sont magnifiques. L'écran est une tuerie visuelle, les cartes des lieux iconiques de la campagne sont un plaisir à déployer sur la table de jeu, la dizaine de personnages pré-tirés vous immerge immédiatement dans cette histoire. C'est bien simple : il m'en aurait fallu plus tellement c'est chouette. Parce qu'on peine quand même à s'imaginer Brenhaven. La campagne se focalise beaucoup sur la cité, c'est un peu dommage de ne pas avoir plus de panoramas urbains. Et pendant qu'on y est, les portraits des PNJ sont de qualité, mais j'ai souvent l'impression que l'artiste a travaillé en se basant sur des photos. Le trait est hyper réaliste, sauf que ça sonne trop réel, pas assez imaginaire. Mais je chipote.
La mécanique, maintenant. La campagne peut se jouer selon deux systèmes de jeu : Clé en main ou bien D&D 5e édition. En fait, non, la cinquième édition du plus célèbre des jeux de rôles, désolé. Ça n'a rien à voir. Si c'est votre mécanique de jeu, il y a là toutes les options nécessaires pour jouer avec votre triptyque de base, c'est sérieusement fait. Par contre si vous opté pour Clé en main (moi c'est la première fois que je le lis), la mécanique est presque complète : seule la création de personnage n'est pas expliqué. Mais les pré-tirés sont là, vous pouvez rapidement jouer. J'ai bien aimé la mécanique de CEM, c'est finalement assez simple, avec une astucieuse gestion des dégâts qui utilise les 3d6 de la résolution d'attaque. C'est malin. Pour tout dire, j'ai dès le départ cherché une solution alternative à CEM et D&D 5e édition, mais en relisant la section dédiée à CEM, je me suis finalement dit "Mais pourquoi tu t'emmerdes alors que tout le boulot a déjà été prémâché ? C'est pas assez compliqué de jongler avec 4 intrigues emmêlées comme des serpents lovés et une brochette gargantuesque de PNJ, tu veux en plus changer la mécanique ?" D'autant que la campagne offre une double échelle de difficulté tout du long des scènes, c'est très pratique de s'y retrouver grâce à un code couleur qui identifie les infos techniques pour CEM ou D&D. Évidemment, que vous choisissiez l'un ou l'autre, vous aurez l'impression que les profils techniques pour le système que vous n'utilisez pas prennent de la place pour rien, mais c'est le jeu. Ah oui, toujours en parlant de CEM : les règles mécanisent plusieurs jeux des 12 Singes, donc le texte présenté dans Pax Elfica parlent de fusils d'assaut ou de grenades... C'est un peu dommage, ça m'a sorti de mon immersion de l'univers de la campagne. Je comprends que c'est un système de jeu universel, mais enlever les mentions à d'autres univers aurait pris 5 minutes. Mais encore une fois, c'est pour le plaisir de couper les cheveux en quatre.
Au final, c'est vraiment une grosse surprise pour moi. Certes, je savais que le pitch me ferait rêver mais je ne me doutais pas que le bouquin serait si énooorme et surtout que la structure scénaristique serait à la fois si complexe par son ambition et paradoxalement si clairement organisée. C'est un modèle du genre niveau présentation. Je ne sais pas si cette manière d'écrire et d'éclater l'information fonctionnera avec tous les lecteurs (nous n'avons pas tous les mêmes facilités quand vient le moment d'absorber autant d'infos), mais on sent que l'auteur et l'équipe d'édition (car il y a du monde qui a bossé en coulisses pour peaufiner cette campagne) se sont creuser le ciboulot pour parfaire l'ergonomie du produit. J'ai l'impression que Pax Elfica va être un standard, à partir de maintenant. En tout cas, moi, après l'avoir lu, ça m'a obligé à repenser à ma manière d'écrire des campagnes. Je ne suis pas en train de dire que toutes les parutions de JdR doivent désormais copier ce modèle, mais c'est une approche qui va sans doute faire des émules, je le sens.
Et donc, au final, vais-je faire jouer à Pax Elfica ? Et bien oui et non. Non, parce que ma table de joyeux lurons et moi, on vient de se (re)plonger dans Nephilim, et que rien qu'avec la première boite de l'édition Légendes, on en a pour plusieurs années de jeu. Je ne vais pas tout mettre de côté pour une campagne de Donj', aussi sympathique soit-elle. Mais boudiou, je suis quand même tellement emballé par ma lecture que je dois trouver une manière de faire jouer cette histoire. L'hiver s'en vient, nous débutons un nouveau confinement... l'occasion me parait idéal pour enfin mettre en place la fameuse table familiale de JdR que je me promets de lancer depuis fort longtemps. Les illustrations des pré-tirés devraient faire rêver ma femme et ma fille. Le système CEM est compréhensible par ma fille de 10 ans. Leur faire incarner des employés d'auberge qui résistent encore et toujours à l'envahisseur ne devrait pas leur poser de problème. Alors oui, je vais sans doute devoir mettre la pédale douce sur certains aspects de la campagne car, allez savoir pourquoi, ma fille préfère regarder les Ninjagos plutôt que L'Armée des ombres ou Lucie Aubrac, mais même en adoucissant un peu l'ambiance de Brenhaven, il y a moyen de raconter une histoire abordable. Elle va adorer détester les elfes, chercher à sauver l'auberge et découvrir les secrets de la cité. Sa mère verra sans doute l'ombre de Paris brûle-t-il ? en arrière-fond, mais c'est ce qui est bien avec le JdR : chacun vient y chercher des trucs différents, mais on joue tous ensemble au même jeu. Et puis, au final, les ingrédients de Pax Elfica sont hyper classiques : on se retrouve avec une accroche atypique, mais les révélations en fond une campagne finalement archétypale. Et c'est loin d'être un défaut.
Bref, chapeau bas, l'équipe Pax Elfica : c'est de la belle ouvrage. Ça va être quand même être rude de passer derrière vous maintenant que la barre est placée si haut, mais ça donne envie de s'y essayer.
Re: Retour sur ce que j'ai lu ou survolé, jeune ou vieux
Publié : jeu. oct. 01, 2020 1:15 pm
par ikaar
Rhaaaaa, M.Ferrand, ça me tue. J'avais hésité à backer Pax Elfica, mes finances étant un peu basse à l'époque, malgré le potentiel que j'y voyais.
Lire ce retour me fait d'autant plus regretter. En même temps, je ne joue plus vraiment. Mais la manière dont les infos et la campagne semblent être amenés m'intéresse au plus haut point. Et le contexte, aussi pour ressusciter une vieille idée perverse qui me traînait dans la tête quand j'étais adolescent et que je visionnais une certaine série SF sur canal à l'époque.
Re: Retour sur ce que j'ai lu ou survolé, jeune ou vieux
Publié : jeu. oct. 01, 2020 1:55 pm
par lordsamael
ikaar a écrit : ↑jeu. oct. 01, 2020 1:15 pm
Et le contexte, aussi pour ressusciter une vieille idée perverse qui me traînait dans la tête quand j'étais adolescent et que je visionnais une certaine série SF sur canal à l'époque.
Et c'est quoi cette idée / série svp ???

Re: Retour sur ce que j'ai lu ou survolé, jeune ou vieux
Publié : jeu. oct. 01, 2020 2:26 pm
par haplo
Ce ne serait pas "V"?
Re: Retour sur ce que j'ai lu ou survolé, jeune ou vieux
Publié : jeu. oct. 01, 2020 4:15 pm
par Kobayashi
Sur Canal ? Je partirais plutôt sur
The Tripods mais je suis vieux

Re: Retour sur ce que j'ai lu ou survolé, jeune ou vieux
Publié : jeu. oct. 01, 2020 4:21 pm
par Kandjar
Invasion planète Terre ?
Re: Retour sur ce que j'ai lu ou survolé, jeune ou vieux
Publié : jeu. oct. 01, 2020 4:31 pm
par Cryoban
Cédric Ferrand a écrit : ↑mer. sept. 30, 2020 8:11 pm
C'est loin d'être une campagne pulp où l'on se défoule en cassant la gueule à des SS
Ca y'est je n'ai plus envie de le lire...

Re: Retour sur ce que j'ai lu ou survolé, jeune ou vieux
Publié : jeu. oct. 01, 2020 4:55 pm
par Cédric Ferrand
Cryoban a écrit : ↑jeu. oct. 01, 2020 4:31 pm
Ca y'est je n'ai plus envie de le lire...
Non mais tu peux quand même rosser de l'elfe, hein.
C'est juste que la plupart ont des noms et une personnalité, difficile de se défouler sans ressentir une petite gêne.
Re: Retour sur ce que j'ai lu ou survolé, jeune ou vieux
Publié : jeu. oct. 01, 2020 5:16 pm
par Cryoban
Cédric Ferrand a écrit : ↑jeu. oct. 01, 2020 4:55 pm
C'est juste que la plupart ont des noms et une personnalité, difficile de se défouler sans ressentir une petite gêne.
Ah bon alors si c'est comme quand on tape son petit frère ça va!
Re: Retour sur ce que j'ai lu ou survolé, jeune ou vieux
Publié : jeu. oct. 01, 2020 7:26 pm
par ikaar
Kandjar a écrit : ↑jeu. oct. 01, 2020 4:21 pm
Invasion planète Terre ?
Oui, Invasion planète terre, avec un mix de V ancienne version et nouvelle version, malheureusement prématurément interrompue, mais que j'aimais assez hormis l'espère de héros niais central.
J'en avais fait qques retours très succincts sur mon vieux blog.
https://ikaar.blogspot.com/2009/10/v-pourvisiteurs.html
https://ikaar.blogspot.com/2011/01/v-sa ... -lied.html
https://ikaar.blogspot.com/2011/03/v-fi ... aison.html
Mais clairement, Invasion planète tere m'apparait comme une version SF naturelle de Pax Elfica et je me dis qu'il y aurait matière à écrire un petit truc...
Peut-être après Egarés / La Forge, dont j'ai quasi fini la mise en page.