Re: [CR][REIGN] A La Découverte d'un Nouveau Monde
Publié : mer. janv. 04, 2012 5:35 pm
Dans la mesure où j'envisage de reprendre et terminer bientôt la campagne de REIGN, je vais résumer la dernière séance rapidement (c’était il y a longtemps et puis il y a relativement peu d’évènements majeurs, donc vous ne m’en voudrez pas si ça manque de dialogues finement ciselés…
Henri finit après un long voyage par revenir à Terre-Neuve. Il est retourné à pied du cœur de l’Empire à Concorde puis de Concorde à Santerne en bateau avant de pouvoir reprendre un des navires de la compagnie jusqu’à Terre-Neuve.
Les nouvelles qu’il apporte sont mauvaises : l’invasion va avoir lieu, et les moyens Impériaux mis en œuvre sont considérables. La compagnie a tout au plus quelques mois pour se préparer plus avant. De plus, leurs financiers à Concorde exigent le retour de toute urgence de tous les associés.
La seule réaction notable est celle de Pierre : « Donc si je comprends bien, tu as infiltré l’Empire pour les convaincre de nous envahir. Tu as fait se réaliser la prophétie ». Si l’heure n’était pas si grave, Marion pourrait presque en rire…
Martin, Pierre et Jehan informent également Henri des évènements des derniers mois : découverte de la colonie Santernienne, négociations avec Sharquenoir, mise en place du réseau de messagers parmi les tribus indigènes et entrainement d’une force d’élite susceptible de répondre aux techniques de guerre Impériales.
Lorsqu’il apprend que la colonie a découvert de l’Obsidiane, Henri est très intéressé, et encore plus surpris que Pierre en possède une telle quantité et sache en faire quelque chose. Martin l’informe qu’ils ont prévu une expédition entre associés vers la source présumée à l’est de Terre-Neuve.
Les associés partent donc quelques jours en exploration. Ils traversent les forêts des Eteotaraoji, puis des marécages peuplés de reptiles peu amènes. Ceux-ci s’assèchent peu à peu pour laisser place à une savane peuplée de fauves hexapodes dont un manque de dévorer Henri. Enfin, la savane elle-même cède la place à un plateau presque désertique.
Bientôt, la petite troupe se trouve en haut d’une immense falaise surplombant un désert à perte de vue. Pierre et Henri ressentent une gêne étrange, leurs poils sont hérissés, ils sont convaincus qu’il y a là quelque chose de mystique. Martin trouve une brèche légèrement éboulée pour faciliter la descente de la falaise (qui fait tout de même une soixantaine de mètres de haut).
Martin descend le premier. Parvenu en bas, il aperçoit dans le flanc de la falaise une ouverture, comme une caverne située à une trentaine de mètres du sol. Il en informe les autres restés en haut, et Pierre se met en quête d’un passage qui mènerait à ladite caverne et faciliterait grandement leur descente. Lors de cette exploration il découvre des traces anciennes de campement et un morceau de tissu déchiré de facture indéniablement ‘ancien continent’. Il en conclut qu’ils sont sur la bonne voie, celle prise par Benoist lors de sa fuite il y a de longs mois.
Il finit par trouver un conduit qui descend dans la terre, et contrairement à ses attentes, se rend compte que la caverne vue par Martin n’est pas naturelle. Elle est clairement taillée dans la roche, et dans la pièce centrale ouverte sur le grand désert se trouve une vasque similaire à celle trouvée par Pierre dans l’île de la Vasque.
Henri et Jehan suivent Pierre dans la caverne. Pierre n’a pas perdu de temps pour ‘tester’ la vasque et constate qu’il peut comme sur l’île obtenir des visions. Il suppose même qu’il soit possible de communiquer entre les deux vasques, mais cela ne peut évidemment pas être testé…
Depuis la caverne, il est plus aisé de descendre dans le désert et surtout de laisser en place les cordes qui permettront de remonter. Les gourdes remplies d’eau et de la viande séchée plein les sacs, les associés de la compagnie se lancent dans la traversée du désert.
Ils marchent de nuit et s’abritent de jour sous des toiles qu’ils ont emportées avec eux. Leurs provisions s’amenuisent, et la sensation de malaise ressentie par Pierre et Henri s’amplifient au fur et à mesure qu’ils vont vers l’Est. Au bout d’un moment, même Martin et Jehan la ressentent. Finalement, alors qu’ils n’ont plus de provisions et presque plus d’eau, ils aperçoivent un point noir à l’horizon. Ils parviennent finalement dans une oasis au centre de laquelle est érigée une obélisque noire.
Ecroulés de fatigue, ils s’endorment tous et font des rêves étranges dans lesquels ils incarnent des indigènes visiblement puissants et contribuent à l’érection de l’obélisque. Dans ces rêves le désert n’existe pas (l’obélisque est érigée au milieu d’une jungle fertile), ils se sentent menacés par un ennemi puissant (mais indéfini) et comprennent confusément qu’il y a plus d’une obélisque.
Au matin, ils explorent les environs de l’obélisque qui est érigée sur un îlot au centre d’un petit étang. Ils testent les eaux pour vérifier qu’il n’y a pas là quelque prédateur malfaisant, mais ne rencontrent aucun danger. Ils fabriquent un radeau de fortune avec des branches des arbres de l’oasis et s’approchent. Ils s’aperçoivent qu’une fragment latéral de l’obélisque a été extirpé, visiblement de force, et il se confirme qu’il s’agit bien d’Obsidiane.
La quantité en est tout simplement incroyable, et avec leurs armes et des gourdins de fortune, ils extirpent à leur tour quelques livres de la pierre si précieuses aux praticiens des arts mystérieux. Le voyage de retour se déroule sans encombre.
Henri finit après un long voyage par revenir à Terre-Neuve. Il est retourné à pied du cœur de l’Empire à Concorde puis de Concorde à Santerne en bateau avant de pouvoir reprendre un des navires de la compagnie jusqu’à Terre-Neuve.
Les nouvelles qu’il apporte sont mauvaises : l’invasion va avoir lieu, et les moyens Impériaux mis en œuvre sont considérables. La compagnie a tout au plus quelques mois pour se préparer plus avant. De plus, leurs financiers à Concorde exigent le retour de toute urgence de tous les associés.
La seule réaction notable est celle de Pierre : « Donc si je comprends bien, tu as infiltré l’Empire pour les convaincre de nous envahir. Tu as fait se réaliser la prophétie ». Si l’heure n’était pas si grave, Marion pourrait presque en rire…
Martin, Pierre et Jehan informent également Henri des évènements des derniers mois : découverte de la colonie Santernienne, négociations avec Sharquenoir, mise en place du réseau de messagers parmi les tribus indigènes et entrainement d’une force d’élite susceptible de répondre aux techniques de guerre Impériales.
Lorsqu’il apprend que la colonie a découvert de l’Obsidiane, Henri est très intéressé, et encore plus surpris que Pierre en possède une telle quantité et sache en faire quelque chose. Martin l’informe qu’ils ont prévu une expédition entre associés vers la source présumée à l’est de Terre-Neuve.
Les associés partent donc quelques jours en exploration. Ils traversent les forêts des Eteotaraoji, puis des marécages peuplés de reptiles peu amènes. Ceux-ci s’assèchent peu à peu pour laisser place à une savane peuplée de fauves hexapodes dont un manque de dévorer Henri. Enfin, la savane elle-même cède la place à un plateau presque désertique.
Bientôt, la petite troupe se trouve en haut d’une immense falaise surplombant un désert à perte de vue. Pierre et Henri ressentent une gêne étrange, leurs poils sont hérissés, ils sont convaincus qu’il y a là quelque chose de mystique. Martin trouve une brèche légèrement éboulée pour faciliter la descente de la falaise (qui fait tout de même une soixantaine de mètres de haut).
Martin descend le premier. Parvenu en bas, il aperçoit dans le flanc de la falaise une ouverture, comme une caverne située à une trentaine de mètres du sol. Il en informe les autres restés en haut, et Pierre se met en quête d’un passage qui mènerait à ladite caverne et faciliterait grandement leur descente. Lors de cette exploration il découvre des traces anciennes de campement et un morceau de tissu déchiré de facture indéniablement ‘ancien continent’. Il en conclut qu’ils sont sur la bonne voie, celle prise par Benoist lors de sa fuite il y a de longs mois.
Il finit par trouver un conduit qui descend dans la terre, et contrairement à ses attentes, se rend compte que la caverne vue par Martin n’est pas naturelle. Elle est clairement taillée dans la roche, et dans la pièce centrale ouverte sur le grand désert se trouve une vasque similaire à celle trouvée par Pierre dans l’île de la Vasque.
Henri et Jehan suivent Pierre dans la caverne. Pierre n’a pas perdu de temps pour ‘tester’ la vasque et constate qu’il peut comme sur l’île obtenir des visions. Il suppose même qu’il soit possible de communiquer entre les deux vasques, mais cela ne peut évidemment pas être testé…
Depuis la caverne, il est plus aisé de descendre dans le désert et surtout de laisser en place les cordes qui permettront de remonter. Les gourdes remplies d’eau et de la viande séchée plein les sacs, les associés de la compagnie se lancent dans la traversée du désert.
Ils marchent de nuit et s’abritent de jour sous des toiles qu’ils ont emportées avec eux. Leurs provisions s’amenuisent, et la sensation de malaise ressentie par Pierre et Henri s’amplifient au fur et à mesure qu’ils vont vers l’Est. Au bout d’un moment, même Martin et Jehan la ressentent. Finalement, alors qu’ils n’ont plus de provisions et presque plus d’eau, ils aperçoivent un point noir à l’horizon. Ils parviennent finalement dans une oasis au centre de laquelle est érigée une obélisque noire.
Ecroulés de fatigue, ils s’endorment tous et font des rêves étranges dans lesquels ils incarnent des indigènes visiblement puissants et contribuent à l’érection de l’obélisque. Dans ces rêves le désert n’existe pas (l’obélisque est érigée au milieu d’une jungle fertile), ils se sentent menacés par un ennemi puissant (mais indéfini) et comprennent confusément qu’il y a plus d’une obélisque.
Au matin, ils explorent les environs de l’obélisque qui est érigée sur un îlot au centre d’un petit étang. Ils testent les eaux pour vérifier qu’il n’y a pas là quelque prédateur malfaisant, mais ne rencontrent aucun danger. Ils fabriquent un radeau de fortune avec des branches des arbres de l’oasis et s’approchent. Ils s’aperçoivent qu’une fragment latéral de l’obélisque a été extirpé, visiblement de force, et il se confirme qu’il s’agit bien d’Obsidiane.
La quantité en est tout simplement incroyable, et avec leurs armes et des gourdins de fortune, ils extirpent à leur tour quelques livres de la pierre si précieuses aux praticiens des arts mystérieux. Le voyage de retour se déroule sans encombre.