[CR] L'Affaire Armitage
- Mat
- Dieu d'après le panthéon
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- Inscription : jeu. août 03, 2006 12:09 am
- Localisation : Paris
[CR] L'Affaire Armitage
Hier soir j'ai enfin lancé ma campagne.
Cela faisait un certain temps que je voulais monter une table sur l'affaire Armitage, la campagne free forme de trail of Cthulhu. C'est chose faite. Comme j'ai vendu mon âme à l'Apocalypse Engine, j'ai donc voulu testé la campagne avec le système de Tremulus.
Après quelques discutions privées avec Fingolfin, j'ai eu envie de retravailler un peu les livrets des archétypes. Donc je ferai parfois référence a des actions spétiales qui n'existent pas dans le livre de base. Comme "professeur émérite" pour le professeur, "Enquête préliminaire" pour le détective privé et "Vision" pour l'héritier. Globalement et après ma campagne d'Apo World, j'ai viré toute les augmentations et les switch de carac. Les personnages n'auront, au début, aucune carac à 3 et auront des vraies faiblesses. cela fait pas mal d'action qui sautent, j'ai donc rempli les vides avec des Actions de mon invention et effacé certain passage d'autres actions. Comme cela gênera peu le CR je ne vais pas énumérer ici ces changements. Si cela vous intéresse vraiment d'avoir mes fiches de perso retravaillées, je peux vous les envoyer par mail.
Pour la campagne à proprement parlé. J'ai imposé a l'un des joueurs de prendre l'archétype du professeur en lui disant qu'il allait jouer le professeur Armitage himself.
Attention pour les puristes Lovecraftien. Même si j'aime bien les romans et nouvelles du monsieur je ne me sent pas particulièrement obligé de suivre les canons de ses romans et surtout de respecter l'identité des personnages.
Donc l'Armitage joué par mon joueur ne sera pas l'Armitage de l'abomiation de Dunwitch, il ne s'appel même pas Henry, mais William, n'est pas bibliothécaire, mais anthropologue et le joueur n'a jamais lu les bouquins de Lovecraft. La seule chose qui m'importe c'est que les pages qui arrivent durant la campagne soient écrites de sa main. Le PJ est donc au centre de la campagne, se qui me semble beaucoup plus intéressant d'un point de vu dramatique.
Les joueurs ont aussi crée leur propre club de recherche du surnaturel, il n'a donc aucun rapport avec celui présenté dans le livre de base de Trail of Cthulhu.
Les personnages sont les suivant :
Professeur William Armitage. 60 ans, Anthropologue de l'université de Miskatonic, fondateur du CRAP, Club de Recherche sur l'Anormal et le Paranormal.
Le détective privé Richard "Lacy" Armitage la trentaine, Le fils du professeur.
Benjamin Blackwood presque quarante ans, ancien élève d'Armitage, revenu au pays suite à la mort de son oncle l'exentrique Théodore Blackwood.
le club est constitué d'autre personnes, les plus notables sont :
- Miss Linda Thompson, 55 ans, secrétaire du club.
- Le professeur Linang Xiao. Anthropologue Chinois, qui a fuit le régime de Mao et malgré la xenophobie ambiente, a été accepté comme professeur et assistant d'Armitage à l'université de Miskatonic. Bien que critiqué pour sa largesse d'esprit, la carrière sans tâche d'Armitage a permis de faire accepter cette "exentricité" aux autres professeurs de l'université.
- Martin Price, Eléonore Masson et Rudolph Valentino, trois élèves chercheurs, dont Armitage est le directeur.
Les joueurs ont posé aussi les choses suivantes :
L'oncle de Benjamin Blackwood était un explorateur, son manoir, dont Benjamin et maintenant le possesseur, est rempli de nombreux trophés que l'oncle Blackwood a ramener de ses expéditions.
Benjamin c'est toujours senti différent, persuadé qu'un grand destin lui est réservé. Il est donc très sensible à tout se qui est étrange et mystique et croit en son instinct.
Armitage s'est surtout spétialisé en antropologie et a mené des recherches sur les peuplades primitives d'Amérique du Sub et d'Amazonie en particulier.
Sa femme est morte d'une tuberculose foudroyante, le professeur étant secrètement persuadé d'avoir été maudit par un sorcier tribal Amazonien ce qui a causé, pense t'il, la mort de sa femme. "A si je n'avais pas offensé cette peuplade en touchant cette statue sacrée".
Il a une gouvernante du nom de Miss Annie Howthorn.
Il y a quelques années Richard a enquêté, sur la demande de son père, sur un étrange meurtre sacrificiel à New York. Il présentait des similitudes troublantes avec les sacrifices de la peuplade d'Amazonie que le professeur avait étudié.
Richard a été hanté par la vision de la scène de crime pendant longtemps et fut accablé lorsqu'il apprit que le policier, son ami James Gravy chargé de l'enquête, avait été interné suite à une crise de délirium foudroyant survenu durant son investigation. Le meurtre est toujours non élucidé.
C'est sur ces bases que nous avons lancé la campagne.
Cela faisait un certain temps que je voulais monter une table sur l'affaire Armitage, la campagne free forme de trail of Cthulhu. C'est chose faite. Comme j'ai vendu mon âme à l'Apocalypse Engine, j'ai donc voulu testé la campagne avec le système de Tremulus.
Après quelques discutions privées avec Fingolfin, j'ai eu envie de retravailler un peu les livrets des archétypes. Donc je ferai parfois référence a des actions spétiales qui n'existent pas dans le livre de base. Comme "professeur émérite" pour le professeur, "Enquête préliminaire" pour le détective privé et "Vision" pour l'héritier. Globalement et après ma campagne d'Apo World, j'ai viré toute les augmentations et les switch de carac. Les personnages n'auront, au début, aucune carac à 3 et auront des vraies faiblesses. cela fait pas mal d'action qui sautent, j'ai donc rempli les vides avec des Actions de mon invention et effacé certain passage d'autres actions. Comme cela gênera peu le CR je ne vais pas énumérer ici ces changements. Si cela vous intéresse vraiment d'avoir mes fiches de perso retravaillées, je peux vous les envoyer par mail.
Pour la campagne à proprement parlé. J'ai imposé a l'un des joueurs de prendre l'archétype du professeur en lui disant qu'il allait jouer le professeur Armitage himself.
Attention pour les puristes Lovecraftien. Même si j'aime bien les romans et nouvelles du monsieur je ne me sent pas particulièrement obligé de suivre les canons de ses romans et surtout de respecter l'identité des personnages.
Donc l'Armitage joué par mon joueur ne sera pas l'Armitage de l'abomiation de Dunwitch, il ne s'appel même pas Henry, mais William, n'est pas bibliothécaire, mais anthropologue et le joueur n'a jamais lu les bouquins de Lovecraft. La seule chose qui m'importe c'est que les pages qui arrivent durant la campagne soient écrites de sa main. Le PJ est donc au centre de la campagne, se qui me semble beaucoup plus intéressant d'un point de vu dramatique.
Les joueurs ont aussi crée leur propre club de recherche du surnaturel, il n'a donc aucun rapport avec celui présenté dans le livre de base de Trail of Cthulhu.
Les personnages sont les suivant :
Professeur William Armitage. 60 ans, Anthropologue de l'université de Miskatonic, fondateur du CRAP, Club de Recherche sur l'Anormal et le Paranormal.
Le détective privé Richard "Lacy" Armitage la trentaine, Le fils du professeur.
Benjamin Blackwood presque quarante ans, ancien élève d'Armitage, revenu au pays suite à la mort de son oncle l'exentrique Théodore Blackwood.
le club est constitué d'autre personnes, les plus notables sont :
- Miss Linda Thompson, 55 ans, secrétaire du club.
- Le professeur Linang Xiao. Anthropologue Chinois, qui a fuit le régime de Mao et malgré la xenophobie ambiente, a été accepté comme professeur et assistant d'Armitage à l'université de Miskatonic. Bien que critiqué pour sa largesse d'esprit, la carrière sans tâche d'Armitage a permis de faire accepter cette "exentricité" aux autres professeurs de l'université.
- Martin Price, Eléonore Masson et Rudolph Valentino, trois élèves chercheurs, dont Armitage est le directeur.
Les joueurs ont posé aussi les choses suivantes :
L'oncle de Benjamin Blackwood était un explorateur, son manoir, dont Benjamin et maintenant le possesseur, est rempli de nombreux trophés que l'oncle Blackwood a ramener de ses expéditions.
Benjamin c'est toujours senti différent, persuadé qu'un grand destin lui est réservé. Il est donc très sensible à tout se qui est étrange et mystique et croit en son instinct.
Armitage s'est surtout spétialisé en antropologie et a mené des recherches sur les peuplades primitives d'Amérique du Sub et d'Amazonie en particulier.
Sa femme est morte d'une tuberculose foudroyante, le professeur étant secrètement persuadé d'avoir été maudit par un sorcier tribal Amazonien ce qui a causé, pense t'il, la mort de sa femme. "A si je n'avais pas offensé cette peuplade en touchant cette statue sacrée".
Il a une gouvernante du nom de Miss Annie Howthorn.
Il y a quelques années Richard a enquêté, sur la demande de son père, sur un étrange meurtre sacrificiel à New York. Il présentait des similitudes troublantes avec les sacrifices de la peuplade d'Amazonie que le professeur avait étudié.
Richard a été hanté par la vision de la scène de crime pendant longtemps et fut accablé lorsqu'il apprit que le policier, son ami James Gravy chargé de l'enquête, avait été interné suite à une crise de délirium foudroyant survenu durant son investigation. Le meurtre est toujours non élucidé.
C'est sur ces bases que nous avons lancé la campagne.
Dernière modification par Mat le jeu. mai 01, 2014 5:23 pm, modifié 1 fois.
"Débouler chez des inconnus, de préférence bien plus faibles que soi, les menacer, les tuer pour leur voler leurs biens... c'est vrai qu'à donj, ça n'irait choquer personne ; tout au plus on dirait qu'il y a un problème équilibrage dans l'opposition." Capitaine Caverne 11/12/16
- Mat
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Re: [CR] L'Affaire Armitage jouée sous Tremulus
Préparation du MJ.
De mon côté je me suis un peu plus préparé qu'à Apocalyse World, rien de fou non plus, juste quelques bases avec beaucoup de trou à remplir durant la campagne.
Je me suis tout de même amusé a refaire moi même les fameuses pages que reçoivent les PJ. Déjà car je n'étais pas très satisfait par certain choix de traduction et tournure de phrase que je trouve trop littérale. Ensuite car je veux pouvoir retirer ou ajouter tout se que je veux pour coller encore plus aux aventures et aux choix de mes joueurs.
Pour la base j'ai posé 4 grandes conspirations.
j'ai ensuite listé tout les PNJ, organisations, lieux qui apparaissent dans les pages que les joueurs ont reçu (pour le moment les document 1 et 2).
J'ai fais un rapide decriptif comme pense bête et pour avoir une base de role play. Ensuite j'ai fais deux à trois propositions d'intrigue autour des PNJ/orga en les liants à l'une des 4 conspirations. Durant les parties et en fonction des choix des joueurs je déterminerai quelle forme prend alors mon PNJ/Organisation.
Austin Kitrell par exemple peut être un sorcier lié au culte du Desséché, qui vole la vie de ses victimes, ou bien un simple dépravé qui pourrait être manipulé psychiquement pas les émissaires stellaires.
En gros j'ai repris une bonne partie des propositions de la campagne en ajoutant deux trois possibilités de mon inventions.
Les 4 conspirations sont les suivantes (elles sont livrées avec une sombre destinée qui surviendra, comme l'annonce les documents d'Armitage, sauf peut être si les joueurs arrivent à déméler les mensonges des vérités) :
Le projet Solaris
Il ya une dizaine d'années une météorité s'est écrasée dans le désert américain. A l'intérieur se trouvait des Vampires de feu, serviteur de Cthugha (Grand Ancien du feu peut utilisé dans les campagnes de Cthulhu)
L'armée américaine a dut combattre les antités que vomissait le cratère de la météorite. Après avoir réussit à andiguer la menace, le FBI a décidé de former une branche spéciale pour étudier, contrôler, affronter toute antité extraterrestre qui voudrait encore venir sur terre.
Le projet Solaris était né. L'armée a rapidement mit son nez dans ce projet et lorsque les membres du projet ont réussit à capturer et étudier leur premier vampire de feu, ils ont réalisé qu'ils pouvait utiliser cette créature comme comme source d'énergie. Les recherches sont encore au début, mais elles vont potentiellement déboucher sur la bombe atomique.
Le projet Solaris est une sorte de Delta green, plus dark, qui n'hésite pas à utiliser le mal contre le mal. Globalement ses chefs sont aussi fondue que des sectateurs classiques, mais pensent lutter contre le mal de la bonne manière et au passage mettre la main sur une source d'énergie nouvelle.
Ils mènent donc des expériences clairement inhumaines sur des cobayes pas du tout coopératif et violent de nombreuses lois pour le "bien" de l'humanité. Ils ont un côté templiers de Nephilim.
Sombre destinée, Apocalypse 01 : à force de jouer avec le feu et en voulant erradiquer une invasion des émissaires stellaire (ou tout autre invocation dangereuse du Mythe) ils vont faire exploser une proto bombe atomique qui va en fait libérer une horde de serviteur de Cthugha sur la terre.
Les émissaires stellaires
Extraterrestres à tête de pieuvre de 3 mètres de haut et aux pouvoirs psychiques de domination mental. Ils ont dépuis des millénaires présidé à la destiné de l'humanité. Certains pense même qu'ils ont crée l'humanité, en faisant muter des singes, pour réaliser leur grand projet. Cette race peu nombreuses, mais très avancé technologiquement, voyage par des portails des étoiles dont le plus proche de notre planète se trouve sur la face cachée de la Lune. Les émissaires y ont d'ailleur un temple en l'honneur de leur dieu le grand Cthulhu.
Tout puissant, tentaculaire et impie qu'ils sont, ils sont pour le moment en train de perdre les guerres stellaires qui les opposes à d'autre races serviteurs de grands anciens. Car leur grand titan, leur dieu, le Grand Cthulhu est retenu prisonnier sur terre entre le monde réel et celui des rêves.
Incapable de sortir leur dieu de sa léthargie, car incapble de rêver, les émissaires utilisent les humains pour peu à peu, siècle après siècle, ébrêcher le sommeil et donc la prison, du Grand Cthulhu.
Voulant rester discret, car tout de même mortel, et trop peu nombreux pour prendre la terre de force, ils manipulent donc psychiquement leurs victimes et implante des cortex fongiques sur certain humains pour en faire leurs âmes damnées. Les humains en question de dorment plus et donc ne rêvent plus, mais sont les agents direct de la conspirtion des émissaires.
Depuis quelque années, alors que leur grand oeuvre touche à sa fin, ils rencontrent quelques résistances de la part de cette insignifiante race. En effet les membres du projet Solaris ont commencé à traquer et abattre les agents des émissaires.
Sombre destinée, Apocalypse 02 : Les agents des émissaires arrivent à utiliser suffisament de mortel dans une grande invocation et arrivent à briser la prison de Cthulhu. Se dernier se réveille et commence à reprendre ses forces en se nourrissant des millards d'humains qui tantent d'échapper à la fureux du dieu.
Le Culte de la fécondité
Culte millénaires dédié à Shub Niggurath. Il fut pratiqué par de nombreuses peuplades primitives en prennant des formes différentes.
Aujourd'hui encore il est vivace est pratiqué par des hommes et des femmes qui savent que l'Apocalypse arrive bientôt, que des races extraterrestres essaient de plier à leurs volontés l'humanité et que la seule solution et de faire évoluer cette même humanité vers autre chose. C'est donc un culte qui pratique l'hybridation entre mutant et humains et est responsable de l'apparition des Profonds ou de tout autre mutant dégénéré dont ma campagne sera peuplée.
Sombre destinée, Apocalypse 03 : Les mutants de plus en plus nombreux sortiront un jour de leurs cachettes et s'attaquetont en plein jour à cette race maintenant dépassée qu'est l'humanité. La conquête ne sera que plus aisé, lorsque suite à une grande hybridation orgiaque, l'avatar de Gaïa Shub Niggurath reviendra sur terre et imposera sa nouvelle race.
Le Culte du Desséché
Société secrète de sorciers dédiés au culte d'Hastur. Se sont pour la plupart des riches notables ou intellectuels dépravés, qui pour quelques grammes de puissances et surtout pour allonger leur trop courte existance, utilisent des rituels d'Hastur pour voler de la vie à d'autre et rester ainsi jeune éternellement. Ils sont pour certains assez au courant des autres conspirations.
Ils ont un dégout profond pour le culte de Shub Niggurath et n'hésitent pas à utiliser les sectareurs (ou les pj) d'autre conspiration pour contrer les buts de leurs adversaires.
Sombre destinée, Apocalypse 04 : Pour contrer l'une des trois autre conspirations qui pourrait prendre l'ascendant, ils vont invoquer un avatar d'Hastur sur terre.
Voilà, ce sont plus des direction roleplay de "méchant" pour moi. L'idée reste celle de la campagne : L'Armitage fou de futur manipule les joueurs pour qu'ils rencontrent et fassent se rencontrer les différent protagonistes de ses conspirations, qui vont par réaction et peur de leur d'adversaires déclancher l'apocalypse.
Nyarlathotep : je ne sais pas encore si je vais l'utiliser celui là, même s'il est mentionné dans les pages des documents Armitage. Comme il est le messager d'Azathoth et que les PJ en sont, malgré eux, les champions, il viendra peut être leur donner un petit coup de tentacule, bien intéressé, pour les aider à bien réaliser l'Apocalypse. Ont est pas le Chaos Rampant pour rien..
De mon côté je me suis un peu plus préparé qu'à Apocalyse World, rien de fou non plus, juste quelques bases avec beaucoup de trou à remplir durant la campagne.
Je me suis tout de même amusé a refaire moi même les fameuses pages que reçoivent les PJ. Déjà car je n'étais pas très satisfait par certain choix de traduction et tournure de phrase que je trouve trop littérale. Ensuite car je veux pouvoir retirer ou ajouter tout se que je veux pour coller encore plus aux aventures et aux choix de mes joueurs.
Pour la base j'ai posé 4 grandes conspirations.
j'ai ensuite listé tout les PNJ, organisations, lieux qui apparaissent dans les pages que les joueurs ont reçu (pour le moment les document 1 et 2).
J'ai fais un rapide decriptif comme pense bête et pour avoir une base de role play. Ensuite j'ai fais deux à trois propositions d'intrigue autour des PNJ/orga en les liants à l'une des 4 conspirations. Durant les parties et en fonction des choix des joueurs je déterminerai quelle forme prend alors mon PNJ/Organisation.
Austin Kitrell par exemple peut être un sorcier lié au culte du Desséché, qui vole la vie de ses victimes, ou bien un simple dépravé qui pourrait être manipulé psychiquement pas les émissaires stellaires.
En gros j'ai repris une bonne partie des propositions de la campagne en ajoutant deux trois possibilités de mon inventions.
Les 4 conspirations sont les suivantes (elles sont livrées avec une sombre destinée qui surviendra, comme l'annonce les documents d'Armitage, sauf peut être si les joueurs arrivent à déméler les mensonges des vérités) :
Le projet Solaris
Il ya une dizaine d'années une météorité s'est écrasée dans le désert américain. A l'intérieur se trouvait des Vampires de feu, serviteur de Cthugha (Grand Ancien du feu peut utilisé dans les campagnes de Cthulhu)
L'armée américaine a dut combattre les antités que vomissait le cratère de la météorite. Après avoir réussit à andiguer la menace, le FBI a décidé de former une branche spéciale pour étudier, contrôler, affronter toute antité extraterrestre qui voudrait encore venir sur terre.
Le projet Solaris était né. L'armée a rapidement mit son nez dans ce projet et lorsque les membres du projet ont réussit à capturer et étudier leur premier vampire de feu, ils ont réalisé qu'ils pouvait utiliser cette créature comme comme source d'énergie. Les recherches sont encore au début, mais elles vont potentiellement déboucher sur la bombe atomique.
Le projet Solaris est une sorte de Delta green, plus dark, qui n'hésite pas à utiliser le mal contre le mal. Globalement ses chefs sont aussi fondue que des sectateurs classiques, mais pensent lutter contre le mal de la bonne manière et au passage mettre la main sur une source d'énergie nouvelle.
Ils mènent donc des expériences clairement inhumaines sur des cobayes pas du tout coopératif et violent de nombreuses lois pour le "bien" de l'humanité. Ils ont un côté templiers de Nephilim.
Sombre destinée, Apocalypse 01 : à force de jouer avec le feu et en voulant erradiquer une invasion des émissaires stellaire (ou tout autre invocation dangereuse du Mythe) ils vont faire exploser une proto bombe atomique qui va en fait libérer une horde de serviteur de Cthugha sur la terre.
Les émissaires stellaires
Extraterrestres à tête de pieuvre de 3 mètres de haut et aux pouvoirs psychiques de domination mental. Ils ont dépuis des millénaires présidé à la destiné de l'humanité. Certains pense même qu'ils ont crée l'humanité, en faisant muter des singes, pour réaliser leur grand projet. Cette race peu nombreuses, mais très avancé technologiquement, voyage par des portails des étoiles dont le plus proche de notre planète se trouve sur la face cachée de la Lune. Les émissaires y ont d'ailleur un temple en l'honneur de leur dieu le grand Cthulhu.
Tout puissant, tentaculaire et impie qu'ils sont, ils sont pour le moment en train de perdre les guerres stellaires qui les opposes à d'autre races serviteurs de grands anciens. Car leur grand titan, leur dieu, le Grand Cthulhu est retenu prisonnier sur terre entre le monde réel et celui des rêves.
Incapable de sortir leur dieu de sa léthargie, car incapble de rêver, les émissaires utilisent les humains pour peu à peu, siècle après siècle, ébrêcher le sommeil et donc la prison, du Grand Cthulhu.
Voulant rester discret, car tout de même mortel, et trop peu nombreux pour prendre la terre de force, ils manipulent donc psychiquement leurs victimes et implante des cortex fongiques sur certain humains pour en faire leurs âmes damnées. Les humains en question de dorment plus et donc ne rêvent plus, mais sont les agents direct de la conspirtion des émissaires.
Depuis quelque années, alors que leur grand oeuvre touche à sa fin, ils rencontrent quelques résistances de la part de cette insignifiante race. En effet les membres du projet Solaris ont commencé à traquer et abattre les agents des émissaires.
Sombre destinée, Apocalypse 02 : Les agents des émissaires arrivent à utiliser suffisament de mortel dans une grande invocation et arrivent à briser la prison de Cthulhu. Se dernier se réveille et commence à reprendre ses forces en se nourrissant des millards d'humains qui tantent d'échapper à la fureux du dieu.
Le Culte de la fécondité
Culte millénaires dédié à Shub Niggurath. Il fut pratiqué par de nombreuses peuplades primitives en prennant des formes différentes.
Aujourd'hui encore il est vivace est pratiqué par des hommes et des femmes qui savent que l'Apocalypse arrive bientôt, que des races extraterrestres essaient de plier à leurs volontés l'humanité et que la seule solution et de faire évoluer cette même humanité vers autre chose. C'est donc un culte qui pratique l'hybridation entre mutant et humains et est responsable de l'apparition des Profonds ou de tout autre mutant dégénéré dont ma campagne sera peuplée.
Sombre destinée, Apocalypse 03 : Les mutants de plus en plus nombreux sortiront un jour de leurs cachettes et s'attaquetont en plein jour à cette race maintenant dépassée qu'est l'humanité. La conquête ne sera que plus aisé, lorsque suite à une grande hybridation orgiaque, l'avatar de Gaïa Shub Niggurath reviendra sur terre et imposera sa nouvelle race.
Le Culte du Desséché
Société secrète de sorciers dédiés au culte d'Hastur. Se sont pour la plupart des riches notables ou intellectuels dépravés, qui pour quelques grammes de puissances et surtout pour allonger leur trop courte existance, utilisent des rituels d'Hastur pour voler de la vie à d'autre et rester ainsi jeune éternellement. Ils sont pour certains assez au courant des autres conspirations.
Ils ont un dégout profond pour le culte de Shub Niggurath et n'hésitent pas à utiliser les sectareurs (ou les pj) d'autre conspiration pour contrer les buts de leurs adversaires.
Sombre destinée, Apocalypse 04 : Pour contrer l'une des trois autre conspirations qui pourrait prendre l'ascendant, ils vont invoquer un avatar d'Hastur sur terre.
Voilà, ce sont plus des direction roleplay de "méchant" pour moi. L'idée reste celle de la campagne : L'Armitage fou de futur manipule les joueurs pour qu'ils rencontrent et fassent se rencontrer les différent protagonistes de ses conspirations, qui vont par réaction et peur de leur d'adversaires déclancher l'apocalypse.
Nyarlathotep : je ne sais pas encore si je vais l'utiliser celui là, même s'il est mentionné dans les pages des documents Armitage. Comme il est le messager d'Azathoth et que les PJ en sont, malgré eux, les champions, il viendra peut être leur donner un petit coup de tentacule, bien intéressé, pour les aider à bien réaliser l'Apocalypse. Ont est pas le Chaos Rampant pour rien..
Dernière modification par Mat le mar. févr. 18, 2014 6:13 pm, modifié 1 fois.
"Débouler chez des inconnus, de préférence bien plus faibles que soi, les menacer, les tuer pour leur voler leurs biens... c'est vrai qu'à donj, ça n'irait choquer personne ; tout au plus on dirait qu'il y a un problème équilibrage dans l'opposition." Capitaine Caverne 11/12/16
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- Dieu d'après le panthéon
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Re: [CR] L'Affaire Armitage jouée sous Tremulus
Partie 01 du 17 02 14
25 janvier 1935, Providence Rhode Island.
Alors que le professeur William Armitage est en train de travailler sur une monographie sur les cultes indigènes de l'Amazonie il est soudainement prit de vertige, ses oreilles semblent exploser et il s'écroule sur son tapis.
En se réveillant et après avoir demandé à sa gouvernante d'appeler un médecin, il va préniblement reprendre son travail. Il fut alors surpris de trouver deux mystérieuses pages volantes glissées dans son carnet de notes fétiche. Elles sont maculées d'une substance rougeatre et grifonnées d'une écriture qui ressemble beaucoup à la sienne. On peut y lire un texte délirant sur la fin du monde et des pistes à suivre ou a ne pas suivre pour éviter ce sinistre futur. On y mentionne aussi les Larmes d'Azathoth, un mystérieux livre qu'il ne faudrait lire sous aucun prétexte.
Richard Armitage était en train de boire un verre dans son rade favori dans le centre ville de providence, lorsqu'un bruit assourdissant, qui pouvait faire penser un pneu que l'on éclate mais très emplifié, suivi d'un accident entre deux voiture sur la chaussé, le tira de sa discution avec le barman.
Il sortit alors pour voir s'il y avait des blessés et découvrit qu'un passant, prit de vertige, était en train de vomir sur la roue de la voiture du détective, garée juste devant le bar.
Après avoir payé un coup au pauvre homme et avoir nettoyé son véhicule, il apperçu un étrange feuillet posé simplement sur le siège du conducteur. En le parcourant rapidement, il reconnu l'écriture de son père et pensa que ce dernier avait oublié une page de son carnet dans la voiture de son fils. Il décida d'aller la rendre à son père.
Benjamin Blackwood, installé depuis moins d'une semaine dans le manoir de son oncle prennait difficilement ses marques. Il faut dire que le lieu est quelque peut sinistre. Délabré, plein de courant d'air, et emplis d'artefacts étranges et exotiques allant de l'ours empaillié montrant les crocs, aux masques africains effrayant.
Il fut surpris durant ses érrances dans ce lieu bien trop grand, par un bruit d'implosion provenant du bureau à l'étage.
Benjamin y découvrit la porte ouverte le fatra des notes de son oncle voletants dans la pièce, comme si un extraordinaire coup de vent avait soufflé dans le bureau. Essayant de remettre de l'ordre dans la pièce, il découvrit qu'en plein centre du bureau, parfaitement statique, se trouvait un feuillet. Il reconnu l'écriture de son mentor Armitage et la forme que celui si utilisait pour prendre des notes. Etonné de trouver un tel papier ici, surtout qu'Armitage n'était d'après Benjamin jamais venu dans le manoir Blackwood, décida d'aller tirer les choses au clair avec le professeur.
C'est ainsi que les trois hommes se retrouvèrent chez le professeur Armitage. Ils échangèrent rapidement leurs anecdotes et furent tout à fait surpris de comprendre que tout trois avaient reçu un mystérieux feuillet.
Armitage confirma bien qu'il s'agissait de son écriture, et Richard que c'était bien du sang séché sur les feuillets que son père avait retrouvé dans son carnet. En menant une rapide investigation, Richard découvrit deux choses importantes.
Tout d'abord qu'à l'endroit exacte où était apparut les feuillets la poussière était en suspention au dessus du sol de quelques milimètres. Le même phénomène pouvais être observé sur des miettes de sandwitch sur le siège conducteur de sa voiture. Ensuite il trouva une photo, qu'il n'avait pas remarqué plustôt, et qui était tombée entre les deux sièges avant. Sur cette photo l'on pouvait voir un rocher côtié, à moitier immergé, dont la forme pouvait vaguement rappeler la tête d'un chien. Il se trouve que sur l'un des feuillets l'on fait référence à ce rocher.
Richard commença à croire à un canular très élaboré pour destabiliser son père. Mais le professeur ainsi que Benjamin y voyaient quelque chose de plus mystérieux et indicible.
L'attention du professeur fut attiré particulièrement par l'un des papiers qui mentionnait le nom de Shub Niggurath. D'après Armitage ce dieu est vénéré par quelques peuplades primitives d'Amazonie. Le terme de "chêvre noire" marqua l'esprit de Richard, qui se rappela que sur la scène de meurtre sacrificielle New Yorkaise, sur laquelle il avait enquêté il y a quelques années, se trouvait bien la tête tranchée d'une chèvre noire posée prêt du cadavre de la victime.
Encore choqué par les événements, Richard décida de veiller son père en restant dormir chez lui. Benjamin lui entra dans son manoir et à la faveur de la nuit, n'arrivant pas à dormir, comme guidé par une intuition malsaine, se mit à lire les papiers de son oncle.
Il se rendit compte que se dernier était envieux des travaux et des artefacts que William Armitage ramenait de ses explorations. Il semblait aussi obsédé par "les larmes d'Azathoth" un livre d'une grande sapience qui lui serait apparut dans ses rêves. Il en avait trouvé trace dans le catalogue de l'université de Miskatonic au début du siècle, mais n'avait pas pu vérifier si l'ouvrage y était encore. On lui avait interdit l'accès la bibliothèque, L'oncle de Benjamin étant persuadé qu'Armitage avait fait pression pour bloquer ses recherches.
en fouillant plus avant, l'héritier des Blackwood trouva un lithographie représentant un sacrifice orgiaque réalisé par une tribu d'indien d'amérique du nord. En anotation il put y lire que d'après son oncle il s'agissait d'un rite en l'honneur de Shub Niggurath.
25 janvier 1935, Providence Rhode Island.
Alors que le professeur William Armitage est en train de travailler sur une monographie sur les cultes indigènes de l'Amazonie il est soudainement prit de vertige, ses oreilles semblent exploser et il s'écroule sur son tapis.
En se réveillant et après avoir demandé à sa gouvernante d'appeler un médecin, il va préniblement reprendre son travail. Il fut alors surpris de trouver deux mystérieuses pages volantes glissées dans son carnet de notes fétiche. Elles sont maculées d'une substance rougeatre et grifonnées d'une écriture qui ressemble beaucoup à la sienne. On peut y lire un texte délirant sur la fin du monde et des pistes à suivre ou a ne pas suivre pour éviter ce sinistre futur. On y mentionne aussi les Larmes d'Azathoth, un mystérieux livre qu'il ne faudrait lire sous aucun prétexte.
Richard Armitage était en train de boire un verre dans son rade favori dans le centre ville de providence, lorsqu'un bruit assourdissant, qui pouvait faire penser un pneu que l'on éclate mais très emplifié, suivi d'un accident entre deux voiture sur la chaussé, le tira de sa discution avec le barman.
Il sortit alors pour voir s'il y avait des blessés et découvrit qu'un passant, prit de vertige, était en train de vomir sur la roue de la voiture du détective, garée juste devant le bar.
Après avoir payé un coup au pauvre homme et avoir nettoyé son véhicule, il apperçu un étrange feuillet posé simplement sur le siège du conducteur. En le parcourant rapidement, il reconnu l'écriture de son père et pensa que ce dernier avait oublié une page de son carnet dans la voiture de son fils. Il décida d'aller la rendre à son père.
Benjamin Blackwood, installé depuis moins d'une semaine dans le manoir de son oncle prennait difficilement ses marques. Il faut dire que le lieu est quelque peut sinistre. Délabré, plein de courant d'air, et emplis d'artefacts étranges et exotiques allant de l'ours empaillié montrant les crocs, aux masques africains effrayant.
Il fut surpris durant ses érrances dans ce lieu bien trop grand, par un bruit d'implosion provenant du bureau à l'étage.
Benjamin y découvrit la porte ouverte le fatra des notes de son oncle voletants dans la pièce, comme si un extraordinaire coup de vent avait soufflé dans le bureau. Essayant de remettre de l'ordre dans la pièce, il découvrit qu'en plein centre du bureau, parfaitement statique, se trouvait un feuillet. Il reconnu l'écriture de son mentor Armitage et la forme que celui si utilisait pour prendre des notes. Etonné de trouver un tel papier ici, surtout qu'Armitage n'était d'après Benjamin jamais venu dans le manoir Blackwood, décida d'aller tirer les choses au clair avec le professeur.
C'est ainsi que les trois hommes se retrouvèrent chez le professeur Armitage. Ils échangèrent rapidement leurs anecdotes et furent tout à fait surpris de comprendre que tout trois avaient reçu un mystérieux feuillet.
Armitage confirma bien qu'il s'agissait de son écriture, et Richard que c'était bien du sang séché sur les feuillets que son père avait retrouvé dans son carnet. En menant une rapide investigation, Richard découvrit deux choses importantes.
Tout d'abord qu'à l'endroit exacte où était apparut les feuillets la poussière était en suspention au dessus du sol de quelques milimètres. Le même phénomène pouvais être observé sur des miettes de sandwitch sur le siège conducteur de sa voiture. Ensuite il trouva une photo, qu'il n'avait pas remarqué plustôt, et qui était tombée entre les deux sièges avant. Sur cette photo l'on pouvait voir un rocher côtié, à moitier immergé, dont la forme pouvait vaguement rappeler la tête d'un chien. Il se trouve que sur l'un des feuillets l'on fait référence à ce rocher.
Richard commença à croire à un canular très élaboré pour destabiliser son père. Mais le professeur ainsi que Benjamin y voyaient quelque chose de plus mystérieux et indicible.
L'attention du professeur fut attiré particulièrement par l'un des papiers qui mentionnait le nom de Shub Niggurath. D'après Armitage ce dieu est vénéré par quelques peuplades primitives d'Amazonie. Le terme de "chêvre noire" marqua l'esprit de Richard, qui se rappela que sur la scène de meurtre sacrificielle New Yorkaise, sur laquelle il avait enquêté il y a quelques années, se trouvait bien la tête tranchée d'une chèvre noire posée prêt du cadavre de la victime.
Encore choqué par les événements, Richard décida de veiller son père en restant dormir chez lui. Benjamin lui entra dans son manoir et à la faveur de la nuit, n'arrivant pas à dormir, comme guidé par une intuition malsaine, se mit à lire les papiers de son oncle.
Il se rendit compte que se dernier était envieux des travaux et des artefacts que William Armitage ramenait de ses explorations. Il semblait aussi obsédé par "les larmes d'Azathoth" un livre d'une grande sapience qui lui serait apparut dans ses rêves. Il en avait trouvé trace dans le catalogue de l'université de Miskatonic au début du siècle, mais n'avait pas pu vérifier si l'ouvrage y était encore. On lui avait interdit l'accès la bibliothèque, L'oncle de Benjamin étant persuadé qu'Armitage avait fait pression pour bloquer ses recherches.
en fouillant plus avant, l'héritier des Blackwood trouva un lithographie représentant un sacrifice orgiaque réalisé par une tribu d'indien d'amérique du nord. En anotation il put y lire que d'après son oncle il s'agissait d'un rite en l'honneur de Shub Niggurath.
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"Débouler chez des inconnus, de préférence bien plus faibles que soi, les menacer, les tuer pour leur voler leurs biens... c'est vrai qu'à donj, ça n'irait choquer personne ; tout au plus on dirait qu'il y a un problème équilibrage dans l'opposition." Capitaine Caverne 11/12/16
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Re: [CR] L'Affaire Armitage jouée sous Tremulus
OMG, comme j'ai dans l'idée (toute théorique) de faire la même chose
Tremulus + Armitage, yabon
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Dernière modification par Whimpering Vote le mar. févr. 18, 2014 7:58 pm, modifié 1 fois.
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Re: [CR] L'Affaire Armitage jouée sous Tremulus
Merci Mat pour ton CR très intéressant 

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Re: [CR] L'Affaire Armitage jouée sous Tremulus
Et au niveau technique Mat, ça s'est passé comment ?
F.
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Re: [CR] L'Affaire Armitage jouée sous Tremulus
La soirée a surtout permis de créer les perso et le setting.
Le temps de jeu a donc été très court, très peu de jets de dés. Mais j'ai trouvé que le système permettait de vraiment facilité l'enquête. L'action de fouille est juste super (je m'en doutais à la lecture, mais j'ai pu le vérifier). Donc c'est encore un peu tôt pour vraiment tirer des enseignements.
Donc à suivre.
Le temps de jeu a donc été très court, très peu de jets de dés. Mais j'ai trouvé que le système permettait de vraiment facilité l'enquête. L'action de fouille est juste super (je m'en doutais à la lecture, mais j'ai pu le vérifier). Donc c'est encore un peu tôt pour vraiment tirer des enseignements.
Donc à suivre.
"Débouler chez des inconnus, de préférence bien plus faibles que soi, les menacer, les tuer pour leur voler leurs biens... c'est vrai qu'à donj, ça n'irait choquer personne ; tout au plus on dirait qu'il y a un problème équilibrage dans l'opposition." Capitaine Caverne 11/12/16
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Re: [CR] L'Affaire Armitage jouée sous Tremulus
Partie 02 du 20 03 14
26 janvier 1935, Providence Rhode Island.
Au petit matin, hanté encore par des visions de sacrifice tribaux, Benjamin Blackwood se rendit une nouvelle fois chez le professeur Armitage avec la lithographie touvée dans les affaires de son oncle.
En l'étudiant Armitage reconnu rapidement les mêmes signes de sacrifices à Shub Niggurath, comme si les amérindiens du Nord avaient vénéré les mêmes dieux que ceux d'Amazonie. En poussant sa recherche il réalisa que cette lito datait du XIXième et que cette dernière devait plus être la vision qu'un illustrateur xenophobe se faisaient des éthnies d'amérique du Nord, qu'une réelle reproduction documentaires de ces rites. Difficile donc de tirer une conclusion, mais la présence des rites de la chèvre noire dans à plusieurs endroit et époques commençait à inquiéter le professeur.
Curieux Benjamin demanda ce que Armitage savait de Sub Niggurath. le Professeur explica qu'il connaissait peut de chose sur la question. Il n'était même pas sur que cela soit une divinité ou tout simplement le nom donné par les indiens au rite dépeint sur la litho. Le peu qu'il savait se résumait à quelque brime receuillit en Amazonie il plusieurs années. En gros les rites sacrificielle sont des rites de puissance et de transfert de force vitale. En tuant une victime la peuplade d'Amazonie qu'il avait étudié coryait s'approprier les puissances telluriques qui les rendaient plus fort ou les soignaient de terribles blessures ou encore les rendaient plus fertiles.
Pendant ce temps Richard alla questionner la gouvernante de son père pour savoir si ce dernier avait eu des abscences et des crises de somnambulisme ces derniers jours. Mais la gouvernante assura que rien d'anormal n'était arrivé, à part bien sur hier matin.
Le trio commença à deviser longuement pour savoir quoi faire. Armitage était très intrigué par les références aux larmes d'Azathoth dans les mystérieux feuillets, d'autant que Benjamin leur révella que son Oncle avait laissé entendre qu'une copie se trouvait peut être à la bibliothèque de l'université ou travaillait le professeur. Richard lui prenait très au sérieux les avertissements que l'on pouvait lire à plusieurs reprise dans les feuillets et qui intimaient de se méfier de ce livre et de ne pas l'ouvrir.
Le professeur alla tout de même interroger le bibliothéquaire de l'université. Ce dernier, un vielle homme un peu sénile, leur donna accès à l'enfer de la bibliotèque. A part quelques éditions originale de Sade, le professeur n'y trouva à première vu rien sur le les Larmes d'Azathoth. En fouillant plus avant, il trouva caché dans une des étagères de l'enfer, un compartiment secret ou se trouvait un petit livre en vieux cuir fatigué.
Il le cachat dans sa saccoche et alla l'étudier discrètement sur l'un des bureau de la bibliothèque. Le livre se revella être le journal du bibliothécaire, remplit d'une liste de commentaires et d'anotations sur les livres de l'enfer. Entre deux remarques sur les dessins "tout à fait intéressant" des ouvrages de Sade, Armitage trouva un passage sur les larmes d'Azathoth. Il y a plusieurs années, le bibliothécaire fit mention de deux demande pour cette ouvrage, alors que d'après le vieil homme ce livre ne fut jamais en la possession de la biblitothèque.
Curieux de ses demandes pour un livre dont il ignorait l'existance il fit quelques recherche sur la question. Dans une autre note il écrivit que dans d'autre ouvrage d'ésothérisme, il avait lu que ce qu'on appelait les Larmes d'Azathoth était tout ouvrage parlant d'Azathoth et non pas un ouvrage en particulier. le dieu Azathoth selon, les ouvrages d'ésotérismes qu'il avait lu, serait un dieu du néant et de la fin du monde. Une antité que peut de gens ou de peuplade vénère et dont on fait peut souvant référence, si rare que les ésotéristes ont surnommé chaque "suintement de sapience" sur le titan du néant, une Larme de se dernier.
Pendant la lecture du professeur, Benjamin visita la bibliothèque et découvrit que la collection recellait une copie d'une traduction anglaise du XVIIIsiècle d'un ouvrage nommé le Necronomicon. Ce dernier étant sous verre, mais à la vu du publique, cela piqua la curiosité de Blackwood. Il demanda a Armitage se qu'il savait sur ce livre. Le professeur explica qu'il sagissait d'une sorte de bestiaire de cultes oubliés et ancestraux, comme celui de Sub Niggurath et Azathoth et que le livre était considéré comme le fleuront de la collection et une pièce de collection inestimable. Benjamin proposa qu'ils essaient de trouver plus d'informations sur les antités dont ils venaient d'entendre parlé en consultant la traduction du Necronomicon. Armitage trouva que c'était ne bonne idée et en fit la demande au blibliothécaire. Ce dernier leur expliqua qu'il fallait en faire la demande au directeur de l'université et que pour avoir une chance d'optenir son autorisation, il fallait pouvoir justifier la consultation pour un sujet d'étude ou de thèse. En effet le livre étant l'un des plus rares et fragile de la bibliothèque, on ne peut pas le consulté comme un vulgaire ouvrage. Armitage rédigeant sa demande.
De son côté Richard décida de commencer à suivre une piste d'un des noms cité dans les feuillet. En l'occurence Austin Kitrell. Son enquête lui permit d'apprendre pour le moment que ce dernier était un riche mondain New Yorkais, qui possedait un pied à terre à Providence.
Après leur journée à la bibliothèque Armitage et Benjmin retrouvèrent Richard pour faire le point.
Il fut décidé, en attendant d'avoir une autorisation pour étudier le Necronomicon, de se lancer sur deux pistes en même temps.
Pendant que Richard et Benjamin allaient voir se qu'ils pouvaient découvrir sur le club nautique de Kingsport, Armitage lui se proposa pour aller faire une cure de quelques jours dans le Sanatorium de Providence, qui venait à peine d'ouvrir une aile de soins psychiatriques.
Là bas il raconta son malaise au directeur de l'éblissement, un homme polie mais très stressé bégayant presque, qui accepta donc de prendre William Armitage en observation. Il lui prescrivit une dose assez importante de calmant. La professeur fut installé dans un chambre simple de la partie Sanatorium de l'établissement et l'infirmiaire en chef lui donna des pillules à prendre. Armitage fit semblant de les prendre et se prépara à passer une nuit de repos au calme, essayant de joindre ainsi l'utile à l'agréable. Mais à la tombé du jour, il fut le témoin d'une scène perdurbante :
Une jeune femme en chemise de nuit, pied nue, seule, regardait l'horizon. Les infirmiers surgirent pour la récupérer et la ramener, semble t'il, vers l'aile psychiatrique de l'établissement. La jeune femme se débatit et appela à l'aide. Le professeur pu apercevoir sur les paupières plissées avec force de la jeune femme en train de crier, les tatouages d'yeux toujours ouverts.
La phrase "les yeux dans les yeux", qu'Armitage avait lu dans les feuillets, résonna dans son esprit.
26 janvier 1935, Providence Rhode Island.
Au petit matin, hanté encore par des visions de sacrifice tribaux, Benjamin Blackwood se rendit une nouvelle fois chez le professeur Armitage avec la lithographie touvée dans les affaires de son oncle.
En l'étudiant Armitage reconnu rapidement les mêmes signes de sacrifices à Shub Niggurath, comme si les amérindiens du Nord avaient vénéré les mêmes dieux que ceux d'Amazonie. En poussant sa recherche il réalisa que cette lito datait du XIXième et que cette dernière devait plus être la vision qu'un illustrateur xenophobe se faisaient des éthnies d'amérique du Nord, qu'une réelle reproduction documentaires de ces rites. Difficile donc de tirer une conclusion, mais la présence des rites de la chèvre noire dans à plusieurs endroit et époques commençait à inquiéter le professeur.
Curieux Benjamin demanda ce que Armitage savait de Sub Niggurath. le Professeur explica qu'il connaissait peut de chose sur la question. Il n'était même pas sur que cela soit une divinité ou tout simplement le nom donné par les indiens au rite dépeint sur la litho. Le peu qu'il savait se résumait à quelque brime receuillit en Amazonie il plusieurs années. En gros les rites sacrificielle sont des rites de puissance et de transfert de force vitale. En tuant une victime la peuplade d'Amazonie qu'il avait étudié coryait s'approprier les puissances telluriques qui les rendaient plus fort ou les soignaient de terribles blessures ou encore les rendaient plus fertiles.
Pendant ce temps Richard alla questionner la gouvernante de son père pour savoir si ce dernier avait eu des abscences et des crises de somnambulisme ces derniers jours. Mais la gouvernante assura que rien d'anormal n'était arrivé, à part bien sur hier matin.
Le trio commença à deviser longuement pour savoir quoi faire. Armitage était très intrigué par les références aux larmes d'Azathoth dans les mystérieux feuillets, d'autant que Benjamin leur révella que son Oncle avait laissé entendre qu'une copie se trouvait peut être à la bibliothèque de l'université ou travaillait le professeur. Richard lui prenait très au sérieux les avertissements que l'on pouvait lire à plusieurs reprise dans les feuillets et qui intimaient de se méfier de ce livre et de ne pas l'ouvrir.
Le professeur alla tout de même interroger le bibliothéquaire de l'université. Ce dernier, un vielle homme un peu sénile, leur donna accès à l'enfer de la bibliotèque. A part quelques éditions originale de Sade, le professeur n'y trouva à première vu rien sur le les Larmes d'Azathoth. En fouillant plus avant, il trouva caché dans une des étagères de l'enfer, un compartiment secret ou se trouvait un petit livre en vieux cuir fatigué.
Il le cachat dans sa saccoche et alla l'étudier discrètement sur l'un des bureau de la bibliothèque. Le livre se revella être le journal du bibliothécaire, remplit d'une liste de commentaires et d'anotations sur les livres de l'enfer. Entre deux remarques sur les dessins "tout à fait intéressant" des ouvrages de Sade, Armitage trouva un passage sur les larmes d'Azathoth. Il y a plusieurs années, le bibliothécaire fit mention de deux demande pour cette ouvrage, alors que d'après le vieil homme ce livre ne fut jamais en la possession de la biblitothèque.
Curieux de ses demandes pour un livre dont il ignorait l'existance il fit quelques recherche sur la question. Dans une autre note il écrivit que dans d'autre ouvrage d'ésothérisme, il avait lu que ce qu'on appelait les Larmes d'Azathoth était tout ouvrage parlant d'Azathoth et non pas un ouvrage en particulier. le dieu Azathoth selon, les ouvrages d'ésotérismes qu'il avait lu, serait un dieu du néant et de la fin du monde. Une antité que peut de gens ou de peuplade vénère et dont on fait peut souvant référence, si rare que les ésotéristes ont surnommé chaque "suintement de sapience" sur le titan du néant, une Larme de se dernier.
Pendant la lecture du professeur, Benjamin visita la bibliothèque et découvrit que la collection recellait une copie d'une traduction anglaise du XVIIIsiècle d'un ouvrage nommé le Necronomicon. Ce dernier étant sous verre, mais à la vu du publique, cela piqua la curiosité de Blackwood. Il demanda a Armitage se qu'il savait sur ce livre. Le professeur explica qu'il sagissait d'une sorte de bestiaire de cultes oubliés et ancestraux, comme celui de Sub Niggurath et Azathoth et que le livre était considéré comme le fleuront de la collection et une pièce de collection inestimable. Benjamin proposa qu'ils essaient de trouver plus d'informations sur les antités dont ils venaient d'entendre parlé en consultant la traduction du Necronomicon. Armitage trouva que c'était ne bonne idée et en fit la demande au blibliothécaire. Ce dernier leur expliqua qu'il fallait en faire la demande au directeur de l'université et que pour avoir une chance d'optenir son autorisation, il fallait pouvoir justifier la consultation pour un sujet d'étude ou de thèse. En effet le livre étant l'un des plus rares et fragile de la bibliothèque, on ne peut pas le consulté comme un vulgaire ouvrage. Armitage rédigeant sa demande.
De son côté Richard décida de commencer à suivre une piste d'un des noms cité dans les feuillet. En l'occurence Austin Kitrell. Son enquête lui permit d'apprendre pour le moment que ce dernier était un riche mondain New Yorkais, qui possedait un pied à terre à Providence.
Après leur journée à la bibliothèque Armitage et Benjmin retrouvèrent Richard pour faire le point.
Il fut décidé, en attendant d'avoir une autorisation pour étudier le Necronomicon, de se lancer sur deux pistes en même temps.
Pendant que Richard et Benjamin allaient voir se qu'ils pouvaient découvrir sur le club nautique de Kingsport, Armitage lui se proposa pour aller faire une cure de quelques jours dans le Sanatorium de Providence, qui venait à peine d'ouvrir une aile de soins psychiatriques.
Là bas il raconta son malaise au directeur de l'éblissement, un homme polie mais très stressé bégayant presque, qui accepta donc de prendre William Armitage en observation. Il lui prescrivit une dose assez importante de calmant. La professeur fut installé dans un chambre simple de la partie Sanatorium de l'établissement et l'infirmiaire en chef lui donna des pillules à prendre. Armitage fit semblant de les prendre et se prépara à passer une nuit de repos au calme, essayant de joindre ainsi l'utile à l'agréable. Mais à la tombé du jour, il fut le témoin d'une scène perdurbante :
Une jeune femme en chemise de nuit, pied nue, seule, regardait l'horizon. Les infirmiers surgirent pour la récupérer et la ramener, semble t'il, vers l'aile psychiatrique de l'établissement. La jeune femme se débatit et appela à l'aide. Le professeur pu apercevoir sur les paupières plissées avec force de la jeune femme en train de crier, les tatouages d'yeux toujours ouverts.
La phrase "les yeux dans les yeux", qu'Armitage avait lu dans les feuillets, résonna dans son esprit.
Dernière modification par Mat le lun. mars 24, 2014 11:09 pm, modifié 1 fois.
"Débouler chez des inconnus, de préférence bien plus faibles que soi, les menacer, les tuer pour leur voler leurs biens... c'est vrai qu'à donj, ça n'irait choquer personne ; tout au plus on dirait qu'il y a un problème équilibrage dans l'opposition." Capitaine Caverne 11/12/16
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Re: [CR] L'Affaire Armitage jouée sous Tremulus
Excellent! Merci pour ces CR.
ESt-ce que tu peux nous dire, d'après toi, ce qu'apporte tremulus à cette dernière partie. Quels mécanismes t'ont permis de rebondir facilement? Ou lesquels t'ont gêné aux entournures?
ESt-ce que tu peux nous dire, d'après toi, ce qu'apporte tremulus à cette dernière partie. Quels mécanismes t'ont permis de rebondir facilement? Ou lesquels t'ont gêné aux entournures?
- Mat
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Re: [CR] L'Affaire Armitage jouée sous Tremulus
C'est un peu particulier comme approche car je me base sur une campagne écrite. Certe très open, mais avec deux trois choses clefs à faire passer. (Je me rend compte aussi que ce CR doit souvant apparaitre peu clair pour qui n'a pas lu la campagne. Genre "pourquoi aller à kingsport ?" par exemple. Ce sont à chaque fois des pistes que l'on peut lire dans les feuillets qui lancent la campagne et je ne pense pas toujours à le rappeler. Il se trouve que les trois feuilles recto verso qu'on eu les perso sont déjà bardés d'infos et qu'il y en a encore 8 à suivre...).
Pour le système en lui même. j'apprend encore à utiliser les actions d'enquêtes. Elle sont très intéressante mais là, pour cause de campagne écrite, j'ai dû un peu les tordre et donc aller contre l'esprit du jeu.
Explication :
L'un de mes joueurs a fait un jet de fouille dans l'enfer de la bibli : 7-9. Il a choisi "compartiment secret". Et là j'ai un peu bloqué. Que devais je lui réveller ? j'ai donc improviser l'histoire des notes du blibliothécaire, mais eu lieu de faire avancer l'histoire, comme le sous entend chaque actions du système, j'ai évité qu'il se perdre dans une fausse piste, donc de manière classique je les ai remis sur les rails du scénario.
J'ai donc jonglé avec le système. Sur une partie sans scénar, j'aurai plus volontier fait avancer l'histoire. Même si face à cette situation je me suis dis que l'action "reveller un compartiment secret" posait quelques questions d'équilibrage. En quoi cette découverte peut faire avancer l'histoire sans donner un indice ou un objet mineur et donc de facto servir indirectement à jouer une autre partie de l'action "fouiller" ?
L'autre moment ou j'ai dû un peu jongler avec le système c'est celui où la joueuse qui joue Benjamin a fouillé la bibliothèque. j'ai failli dire à mes joueurs "vous ne trouvez rien" sans leur demander un jet (car je trouvais qu'ils perdaient leur temps dans cette bibli par rapport à la campagne) mais ils m'ont rappeler à l'ordre en me disant "si l'on ne joue pas nos actions, à quoi sert le système ?". Bon point pour eux. La joueuse m'a sortie un 10+ et a demandé "objet Majeur, démerde toi".
Bon.... j'ai donc sortie de Necronomicon du chapeau. Il se trouve que mes joueurs ont une connaissance assez faible de l'univers de Lovecraft et donc les noms des antités cthulienne, ce n'est pas leur tasse de thé. Je me suis rendu compte que pour eux la fin du monde décrite dans les feuillets n'était pas concrète car elle faisait appel à des choses qu'ils ne connaissaient que très peu ou pas du tout en tant que joueurs. En introduisant le Necronomicon (en version bestière Cthulien) je pense que ça va leur permettre de donner plus de concret à tout ces noms exotiques, puisqu'ils pourront l'étudier (au prix d'un peu de santé mentale, gameplay et roleplay, car plus ils vont accepter ces antités comme réalité, plus ils vont faire un pas vers la "réalité" qui sous tend l'univers de Lovrecraft).
Bref dans l'autre campagne que je mène en parallèle (mon hack SOS) je joue les actions d'enquête plus by the book et ça coule bien mieux. Là je me prend (discrètement) les pieds dans le tapis, mais j'arrive à tout de même m'en sortir, mais c'est un poile moins fluide.
Pour le système en lui même. j'apprend encore à utiliser les actions d'enquêtes. Elle sont très intéressante mais là, pour cause de campagne écrite, j'ai dû un peu les tordre et donc aller contre l'esprit du jeu.
Explication :
L'un de mes joueurs a fait un jet de fouille dans l'enfer de la bibli : 7-9. Il a choisi "compartiment secret". Et là j'ai un peu bloqué. Que devais je lui réveller ? j'ai donc improviser l'histoire des notes du blibliothécaire, mais eu lieu de faire avancer l'histoire, comme le sous entend chaque actions du système, j'ai évité qu'il se perdre dans une fausse piste, donc de manière classique je les ai remis sur les rails du scénario.
J'ai donc jonglé avec le système. Sur une partie sans scénar, j'aurai plus volontier fait avancer l'histoire. Même si face à cette situation je me suis dis que l'action "reveller un compartiment secret" posait quelques questions d'équilibrage. En quoi cette découverte peut faire avancer l'histoire sans donner un indice ou un objet mineur et donc de facto servir indirectement à jouer une autre partie de l'action "fouiller" ?
L'autre moment ou j'ai dû un peu jongler avec le système c'est celui où la joueuse qui joue Benjamin a fouillé la bibliothèque. j'ai failli dire à mes joueurs "vous ne trouvez rien" sans leur demander un jet (car je trouvais qu'ils perdaient leur temps dans cette bibli par rapport à la campagne) mais ils m'ont rappeler à l'ordre en me disant "si l'on ne joue pas nos actions, à quoi sert le système ?". Bon point pour eux. La joueuse m'a sortie un 10+ et a demandé "objet Majeur, démerde toi".
Bon.... j'ai donc sortie de Necronomicon du chapeau. Il se trouve que mes joueurs ont une connaissance assez faible de l'univers de Lovecraft et donc les noms des antités cthulienne, ce n'est pas leur tasse de thé. Je me suis rendu compte que pour eux la fin du monde décrite dans les feuillets n'était pas concrète car elle faisait appel à des choses qu'ils ne connaissaient que très peu ou pas du tout en tant que joueurs. En introduisant le Necronomicon (en version bestière Cthulien) je pense que ça va leur permettre de donner plus de concret à tout ces noms exotiques, puisqu'ils pourront l'étudier (au prix d'un peu de santé mentale, gameplay et roleplay, car plus ils vont accepter ces antités comme réalité, plus ils vont faire un pas vers la "réalité" qui sous tend l'univers de Lovrecraft).
Bref dans l'autre campagne que je mène en parallèle (mon hack SOS) je joue les actions d'enquête plus by the book et ça coule bien mieux. Là je me prend (discrètement) les pieds dans le tapis, mais j'arrive à tout de même m'en sortir, mais c'est un poile moins fluide.
"Débouler chez des inconnus, de préférence bien plus faibles que soi, les menacer, les tuer pour leur voler leurs biens... c'est vrai qu'à donj, ça n'irait choquer personne ; tout au plus on dirait qu'il y a un problème équilibrage dans l'opposition." Capitaine Caverne 11/12/16
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Re: [CR] L'Affaire Armitage jouée sous Tremulus
Merci pour ce retour.
As-tu traduit les principaux arcs scénaristiques de la campagne en Fronts et Dangers?
As-tu traduit les principaux arcs scénaristiques de la campagne en Fronts et Dangers?
- Mat
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Re: [CR] L'Affaire Armitage jouée sous Tremulus
Absolument pas 
ATTENTION SPOILER.
Pour le moment ça ne s'y prête pas du tout. La forme de la campagne est très particulière. Il n'y a que des pistes et des amorces, aucune structures. C'est au Mj de les improviser selon les choix des joueurs.
la campagne est écrite ainsi. Tout les pistes données par les feuillets peuvent être des antagonistes, des alliers ou des fausses pistes. Le choix dépend du rythme que tu veux donner à ton scénar. Par exemple tu peux décider que quelque soit la première piste que les joueurs vont suivre, cela va être une fausse piste, mais que la deuxième piste suivie sera plus concluante.
Laquelle va donc être fausse et Laquelle sera concluante ? Impossible de le savoir, il faut jouer pour l'apprendre.
Donc de base la campagne est une des plus free forme que je connaisse. Il n'y a que deux trois points clefs qui tiennent l'histoire (l'idée que se sont les joueurs les héraults d'Azathoth et qu'en suivant les pistes, ils vont activer les camps en présence qui vont déclencher l'Apocalypse, ou que les Larmes d'Azathoth se sont les feuillets justement).
Je pense que j'écrirai des fronts lorsque mes joueurs auront débrousaillé un peu les pistes et que sans le savoir ils m'auront poussé à choisir se qui est vrai ou faux. Lorsque les joueurs en sauront plus, je pourrais leur donner l'impression qu'il y a une vraie campagne cohérente derrière toute ces pistes qui semblent, pour le moment, sans liens les unes avec les autres.

ATTENTION SPOILER.
Pour le moment ça ne s'y prête pas du tout. La forme de la campagne est très particulière. Il n'y a que des pistes et des amorces, aucune structures. C'est au Mj de les improviser selon les choix des joueurs.
la campagne est écrite ainsi. Tout les pistes données par les feuillets peuvent être des antagonistes, des alliers ou des fausses pistes. Le choix dépend du rythme que tu veux donner à ton scénar. Par exemple tu peux décider que quelque soit la première piste que les joueurs vont suivre, cela va être une fausse piste, mais que la deuxième piste suivie sera plus concluante.
Laquelle va donc être fausse et Laquelle sera concluante ? Impossible de le savoir, il faut jouer pour l'apprendre.
Donc de base la campagne est une des plus free forme que je connaisse. Il n'y a que deux trois points clefs qui tiennent l'histoire (l'idée que se sont les joueurs les héraults d'Azathoth et qu'en suivant les pistes, ils vont activer les camps en présence qui vont déclencher l'Apocalypse, ou que les Larmes d'Azathoth se sont les feuillets justement).
Je pense que j'écrirai des fronts lorsque mes joueurs auront débrousaillé un peu les pistes et que sans le savoir ils m'auront poussé à choisir se qui est vrai ou faux. Lorsque les joueurs en sauront plus, je pourrais leur donner l'impression qu'il y a une vraie campagne cohérente derrière toute ces pistes qui semblent, pour le moment, sans liens les unes avec les autres.
"Débouler chez des inconnus, de préférence bien plus faibles que soi, les menacer, les tuer pour leur voler leurs biens... c'est vrai qu'à donj, ça n'irait choquer personne ; tout au plus on dirait qu'il y a un problème équilibrage dans l'opposition." Capitaine Caverne 11/12/16
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Re: [CR] L'Affaire Armitage jouée sous Tremulus
Pour avoir aussi fait du tremulus, je pense que c'est (très) loin d'être indispensable. Dans un scénar Cthlulhu les menaces et leurs conséquences sont tellement claires que ça roule tout seul pour le MJ (au contraire d'AW, où les choses sont tellement ouvertes que les Front se révèlent bien utiles).Acritarche a écrit :Merci pour ce retour.
As-tu traduit les principaux arcs scénaristiques de la campagne en Fronts et Dangers?
F.
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Re: [CR] L'Affaire Armitage jouée sous Tremulus
C'est pas faux... Si les joueurs ne font rien, le culte machin va prendre de l'ampleur et s'ils ne font toujours rien, ils vont invoquer une Cthulerie qui va tout détruire... Le scénar de Cthulhu classique en somme.
"Débouler chez des inconnus, de préférence bien plus faibles que soi, les menacer, les tuer pour leur voler leurs biens... c'est vrai qu'à donj, ça n'irait choquer personne ; tout au plus on dirait qu'il y a un problème équilibrage dans l'opposition." Capitaine Caverne 11/12/16
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Re: [CR] L'Affaire Armitage jouée sous Tremulus
Partie 03 du 26 03 14
Du 27 au 30 janvier 1935, Rhode Island.
Benjamin et Richard arrivèrent en milieu d'après midi à Kingsport. Petite station balnéraire au Sud de Providence (complétement inventé, la vraie Kingsport ne se trouve pas du tout à cet endroit.). Après avoir prit leurs marques dans un petit hotel du centre ville, ils commencairent à chercher des informations sur le club nautique de Kingsport. Recherche quelque peu ralenties par le manque de vie de cette station complètement morte hors saison, et de la confusion qui est souvant faite par les gens du coin entre le club nautique (pour les nantis) et l'école nautique (pour apprendre à naviguer des petits bateaux de plaisance).
C'est donc dans un rade miteux, à la tomber du jour que les deux compères arrivèrent à obtenir l'adresse du Club (en cherchant dans l'annuaire).
Dans le quartiers chic de kingsport ils trouvèrent une maison de haut standing, apparemement uniquement habité par une gouvernante peu avenante, qui ne les laissa pas entrer et leur apprit qu'il fallait être introduit par un membre pour espérer participer aux réunions du club, qui pour le moment, pour cause de saison morte, n'étaient pas à l'odre du jour.
Richard essaya bien de s'introduire par effraction mais renonça par peur de trop attirer l'attention, d'ailleurs quelque heures plus tard, Benjamin remarqua qu'ils étaient suivit par deux individus à la mine patibulaire.
Essayant de les confronter, l'affaire tourna mal et Benjamin se fit méchament sécher par l'un des gros bras. Richard sortie alors son nerd de boeuf et après avoir sonné l'agresseur de Benjamin, lui plaça un étranglement vigoureux et ordonna au deuxième gros bras de se tenir à distance. Ce dernier un peu paniqué, commença par appeler son partenaire "Denice", puis demanda à Richerd s'il venait pour demander une raçon et si Sophie se portait bien, et enfin que monsieur Garnider voulait régler les choses.
Sans dissiper le quiproquo, Richard relâcha sa prise, releva Benjamin et laissa s'éloigner les deux gros bras.
Santant que quelque chose de pas net se passait dans le coin Richard commença à enquêter sur Oliver Gardiner, le responsable du club nautique de kingsport. Il apprit que c'était un notable de la région, propriétaire des usines de boites de conserve du coin, qu'il était marié et avait une fille unique nommée Sophie. Richard réussit aussi à apprendre qu'Austin Kitrell (l'un des noms mystérieux cité dans les feuillets) et que l'Oncle de Benjamin Blackwood étaient eux aussi membre du club de Kingsport.
Les deux hommes décidèrent de repartir pour Providence, dans le but de chercher plus d'informations sur le club dans le manoire de Benjamin.
Armitage, de son côté essaya d'en apprendre plus sur la jeune femme aux yeux tatoués. Il passa une journée a étudier l'organisation de Sanatorium et les allers et venues des médecins de l'aile psychiatrique à celle des patients comme lui.
Il nota que les personnes les plus importantes étaient L'infirmière en chef Parker, jouflue, blonde, souritante, toujours à prendre des notes, et bien sur le docteur en chef Hubert Chotsky, toujours aussi stressé. Armitage détecta d'ailleurs chez cet homme une trouble psycologique fort, certainement causé par un manque de sommeil prolongé. Le professeur remarqua aussi un moyen de passer du Sanatorium vers l'aile psychiatrique ou se trouvait la jeune fille. En passant par les cuisines de la cantine, il réussit le soir venu à visiter l'autre partie du bâtiment.
Armitage eu fort à faire pour ne pas se faire repérer par l'infimier de garde qui patrouillait dans les couloirs de l'asile. Il fut ensuite interpeler par les cries étouffés d'une femme dans l'une des chambres des malades. Il voulu s'approcher, mais dû rester caché pour ne pas être surpris par l'infirmière en chef qui alla visiter la personne qui criaient ainsi.
De loin donc, distinguant mal se qui se passait, le professeur cru entendre la voix d'une jeune femme, qui d'un coup devient plus grave et commença à parler dans une langue qu'il ne reconnu pas. L'infirmière en chef toujours dans la salle de la patiente, se contentait de dire "c'est bien, allez y continuez". tout en prenant des notes.
De retour dans sa chambre, troublé par cette expérience, Armitage eu bien du mal à trouver le sommeil et fut hanté par cette voix étrange et guturale et par les mots qu'elle prononçait.
De leurs côtés Richard et Benjamin, qui étaient arrivés au manoir Blackwood, trouvèrent quelques lettres que l'oncle de Benjamin avait reçu du club nautique de Kingsport et utilisèrent le papier entête Blackwood ainsi que l'adresse marquée sur les couriers du club, pour envoyé une lettre de demande d'inscription et pour se pleindre de la manière dont ils avaient été éconduit.
Leurs nuits fut aussi hanté par des cauchemards, Richard mal à l'aise dans cette demeure rêva des meurtres rituals dont il avait été le témoin, et Benjamin fut poursuivit par une vision de son oncle, à moitier mort sur une chaise essayant de communiquer, mais capable uniquement de laisser sortir des asticots de sa bouche.
Benjamin fut réveillé par le téléphone. C'était Armitage demandant si l'on pouvait venir le chercher au plus vite.
Les deux hommes s'éxécutairent et allèrent récupérer Armitage, malgré l'avis dévorable du médecin en chef, plus stressé et suant que jamais.
En prenant un café dans un diner du centre ville, pour ce remettre de leurs nuits respectivent, les trois hommes tombèrent sur un article du journal qui annonçait le meurtre d'un certain Denice Margrave, employé de M Gardiner, que l'on aurait retrouvé au matin écrasé en bas d'une falaise de Kingsport après s'être pris plusieurs coups de couteau. Son collègue faisant référence dans l'article à deux mystérieux individus, qui plustôt dans la soirée, auraient prit à partie Denice, avant de disparaitre.
Du 27 au 30 janvier 1935, Rhode Island.
Benjamin et Richard arrivèrent en milieu d'après midi à Kingsport. Petite station balnéraire au Sud de Providence (complétement inventé, la vraie Kingsport ne se trouve pas du tout à cet endroit.). Après avoir prit leurs marques dans un petit hotel du centre ville, ils commencairent à chercher des informations sur le club nautique de Kingsport. Recherche quelque peu ralenties par le manque de vie de cette station complètement morte hors saison, et de la confusion qui est souvant faite par les gens du coin entre le club nautique (pour les nantis) et l'école nautique (pour apprendre à naviguer des petits bateaux de plaisance).
C'est donc dans un rade miteux, à la tomber du jour que les deux compères arrivèrent à obtenir l'adresse du Club (en cherchant dans l'annuaire).
Dans le quartiers chic de kingsport ils trouvèrent une maison de haut standing, apparemement uniquement habité par une gouvernante peu avenante, qui ne les laissa pas entrer et leur apprit qu'il fallait être introduit par un membre pour espérer participer aux réunions du club, qui pour le moment, pour cause de saison morte, n'étaient pas à l'odre du jour.
Richard essaya bien de s'introduire par effraction mais renonça par peur de trop attirer l'attention, d'ailleurs quelque heures plus tard, Benjamin remarqua qu'ils étaient suivit par deux individus à la mine patibulaire.
Essayant de les confronter, l'affaire tourna mal et Benjamin se fit méchament sécher par l'un des gros bras. Richard sortie alors son nerd de boeuf et après avoir sonné l'agresseur de Benjamin, lui plaça un étranglement vigoureux et ordonna au deuxième gros bras de se tenir à distance. Ce dernier un peu paniqué, commença par appeler son partenaire "Denice", puis demanda à Richerd s'il venait pour demander une raçon et si Sophie se portait bien, et enfin que monsieur Garnider voulait régler les choses.
Sans dissiper le quiproquo, Richard relâcha sa prise, releva Benjamin et laissa s'éloigner les deux gros bras.
Santant que quelque chose de pas net se passait dans le coin Richard commença à enquêter sur Oliver Gardiner, le responsable du club nautique de kingsport. Il apprit que c'était un notable de la région, propriétaire des usines de boites de conserve du coin, qu'il était marié et avait une fille unique nommée Sophie. Richard réussit aussi à apprendre qu'Austin Kitrell (l'un des noms mystérieux cité dans les feuillets) et que l'Oncle de Benjamin Blackwood étaient eux aussi membre du club de Kingsport.
Les deux hommes décidèrent de repartir pour Providence, dans le but de chercher plus d'informations sur le club dans le manoire de Benjamin.
Armitage, de son côté essaya d'en apprendre plus sur la jeune femme aux yeux tatoués. Il passa une journée a étudier l'organisation de Sanatorium et les allers et venues des médecins de l'aile psychiatrique à celle des patients comme lui.
Il nota que les personnes les plus importantes étaient L'infirmière en chef Parker, jouflue, blonde, souritante, toujours à prendre des notes, et bien sur le docteur en chef Hubert Chotsky, toujours aussi stressé. Armitage détecta d'ailleurs chez cet homme une trouble psycologique fort, certainement causé par un manque de sommeil prolongé. Le professeur remarqua aussi un moyen de passer du Sanatorium vers l'aile psychiatrique ou se trouvait la jeune fille. En passant par les cuisines de la cantine, il réussit le soir venu à visiter l'autre partie du bâtiment.
Armitage eu fort à faire pour ne pas se faire repérer par l'infimier de garde qui patrouillait dans les couloirs de l'asile. Il fut ensuite interpeler par les cries étouffés d'une femme dans l'une des chambres des malades. Il voulu s'approcher, mais dû rester caché pour ne pas être surpris par l'infirmière en chef qui alla visiter la personne qui criaient ainsi.
De loin donc, distinguant mal se qui se passait, le professeur cru entendre la voix d'une jeune femme, qui d'un coup devient plus grave et commença à parler dans une langue qu'il ne reconnu pas. L'infirmière en chef toujours dans la salle de la patiente, se contentait de dire "c'est bien, allez y continuez". tout en prenant des notes.
De retour dans sa chambre, troublé par cette expérience, Armitage eu bien du mal à trouver le sommeil et fut hanté par cette voix étrange et guturale et par les mots qu'elle prononçait.
De leurs côtés Richard et Benjamin, qui étaient arrivés au manoir Blackwood, trouvèrent quelques lettres que l'oncle de Benjamin avait reçu du club nautique de Kingsport et utilisèrent le papier entête Blackwood ainsi que l'adresse marquée sur les couriers du club, pour envoyé une lettre de demande d'inscription et pour se pleindre de la manière dont ils avaient été éconduit.
Leurs nuits fut aussi hanté par des cauchemards, Richard mal à l'aise dans cette demeure rêva des meurtres rituals dont il avait été le témoin, et Benjamin fut poursuivit par une vision de son oncle, à moitier mort sur une chaise essayant de communiquer, mais capable uniquement de laisser sortir des asticots de sa bouche.
Benjamin fut réveillé par le téléphone. C'était Armitage demandant si l'on pouvait venir le chercher au plus vite.
Les deux hommes s'éxécutairent et allèrent récupérer Armitage, malgré l'avis dévorable du médecin en chef, plus stressé et suant que jamais.
En prenant un café dans un diner du centre ville, pour ce remettre de leurs nuits respectivent, les trois hommes tombèrent sur un article du journal qui annonçait le meurtre d'un certain Denice Margrave, employé de M Gardiner, que l'on aurait retrouvé au matin écrasé en bas d'une falaise de Kingsport après s'être pris plusieurs coups de couteau. Son collègue faisant référence dans l'article à deux mystérieux individus, qui plustôt dans la soirée, auraient prit à partie Denice, avant de disparaitre.
"Débouler chez des inconnus, de préférence bien plus faibles que soi, les menacer, les tuer pour leur voler leurs biens... c'est vrai qu'à donj, ça n'irait choquer personne ; tout au plus on dirait qu'il y a un problème équilibrage dans l'opposition." Capitaine Caverne 11/12/16