Vous êtes les derniers survivants. Toute votre espèce a disparu il y a bien longtemps. Vous survivez dans les ruines de votre cité autrefois si flamboyante.
Mais quels sont ses êtres qui profanent les vestiges de votre civilisation ? Et pourquoi vous pourchassent-ils avec ces armes bruyantes ? Pourquoi poussent-ils ces cris terrifiants dès qu'ils vous voient agiter amicalement vos pseudopodes ?
Fabien_Lyraud a écrit : ↑ven. avr. 23, 2021 11:05 am
Le mal des ardents.
Hummm je suis hésitant. Ton pitch est sympa mais très restreint, ce n'est pas vraiment un setting. Ceci dit comme un scénario/mini campagne pour un truc plus global pourquoi pas. Par contre comment est ce que tu différencie ton setting de Cthulhu Dark Ages? A retravailler, mais y'a de l'idée là avec le Diable/les superstitions et les grand Anciens. Vas-y Hellboyize nous tous ça pour que ça claque sa mère!
Léonard a écrit : ↑ven. avr. 23, 2021 11:15 am
Nous sommes une Légende
The Last of us version gluante et "je suis un incompris/personne ne m'aime" j'aime bien. Un format idéal pour des one shot ou des parties en convention (tu feras un carton à l'Udocon avec ça ). J'achète, caresse moi les tentacules!
Ramentu a écrit : ↑ven. avr. 23, 2021 10:59 am
Le dernier Terminator
FATE of Cthulhu... Recalé
Ramentu a écrit : ↑ven. avr. 23, 2021 11:09 am
Je proposais le pitch inverse
Oui mais c'est pareil en fait, y a juste un cas où on a plus besoin d'avoir de la SAN
Disons que l'inversion me paraissait suffisamment différente ... mais je vais derechef acheter Fate of Cthulhu, si 2 de mes pitch tombent dedans, c'est que j'y trouverai sans doute du contenu utile pour moi !
Je ne connaissais que de nom, merci de me l'avoir indiqué !
Oui, bien sur, on remplacerait la SAN par la FID, qui serait plafonnée par 99-score en technologie.
Plus la FID diminue, moins les serviteurs des choses très anciennes sont en phase avec leurs dieux, et plus ils souffrent de troubles psychiques.
Ramentu a écrit : ↑ven. avr. 23, 2021 11:20 am
je vais derechef acheter Fate of Cthulhu
je pense que tu devrais apprécier si ce genre d'apocalypse est ton trip. Je ne donnais pas cher d'un jeu motorisé FATE dans un univers Lovecraftien...mais force est de reconnaitre qu'ils ont fait un truc qui tient vraiment bien la route
Une femme commence à danser sur une musique que elle seul entend. Puis on arrive a une cinquantaine et au maximum 400 personnes. Pourquoi ces personnes dansent elle? Qu'elle est cette étrange musique qu'elles semblent entendre. Et quelle est ce nom "d'Azathoth" qu'on entend prononcer parfois dans le dernier souffle des mourants...
Moridin a écrit : ↑ven. avr. 23, 2021 11:26 am
Juillet 1518, Strasbourg.
Même remarque que pour Le mal des ardents, ce sont un pitch très restreint pour un scénario. Là ce qu'on attend plutôt, c'est des settings incongrus et remixer sauce cthulhu pour en faire un truc qui aurait pu être débile mais qui finalement est super intéressant (cf page 1)
Régiment 666
Le 666éme régiment étranger d'infanterie est un régiment qui n'est pas censé exister. Il est payé sur des fonds secrets de la présidence de la république. Il est chargé de régler les problèmes surnaturels de la France par des moyens militaires.
- Déployé en Afghanistan ils sont chargés de protéger les bases de la Grande Race de Yith et de leur alliés, la tribu Sarmoung. La France a en effet signé un pacte avec la Grande Race pour obtenir des technologies. Et les Talibans ne sont peut être pas la menace la plus dangereuse dans ce contexte.
- Déployé au Mali et au Tchad ils combattent les mystérieuses sectes locales ainsi que les démons qu'elles invoquent. Mais de mystérieux étrangers ne sont pas sans compliquer les choses. Sans compter sur les hommes serpents fréquents sur le continent noir.
Ils peuvent compter sur leur armement largement modifié et pas uniquement par la technologie.
Quand Aperture Carceral Technology, filiale d'Aperture Technology développa sa technologie POKE pour miniaturiser, contrôler et mettre en stase les prisonniers afin de soulager les prisons surpeuplées, ce fut un échec.
Seul un enfant innocent pouvait activer le dispositif.
Et seulement 0.02% de la population était susceptible d'être emprisonné par un dispositif POKE ( Protocole Ovoide de Kompression et d' Emprisonnement) activé.
L'invention fut mise au placard, jusqu'au jour ou Gladys, petite-fille du PDG d’Aperture attira l'attention d'un Chien de Tindalos en faisant son devoir de mathématiques.
Pourchassée dans les locaux déserts du centre de test, elle s'empara du prototype qui trainait sur l'étagère, lança l'objet sphérique vers le chien de Tindalos ... qui fut instantanément capturé.
Aujourd'hui, des enfants parcourent le monde, explorant ruines oubliées et manoirs hantés afin de capturer des monstres et entités.
Dès 1996, des arènes furent construites pour faire s'affronter les monstres, permettant à la fois de gagner de l'argent (paris, spectateurs, droits de retransmission, ...) et de se débarrasser des monstres stockés.
Une vive concurrence se créa instantanément entre les teams de chasseurs.
En 1998 fut voté la loi obligeant la visite préalable de toute maison léguée par un oncle lointain par un team de POKE-master.
En 2000, la loi fut étendue à toute épave de navire coulé avec de l'or ou de l’argent dans les cales.
En 2003, obligation fut faite à toute expédition archéologique d'être accompagnée par des chasseurs.
En 2016, une version holographique installée sur des terminaux portables a remplacé l'antique dispositif mécanique sphérique.
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J'ai honte.
Dernière modification par Ramentu le ven. avr. 23, 2021 12:08 pm, modifié 1 fois.
Blondin a écrit : ↑jeu. avr. 22, 2021 11:24 pm
Tiens, je voyais plus ce pitch en mode magical girl
C'est plus comme çà que je le voyais, en effet, ou alors en mode Chevaliers du Zodiaque.
Un autre pitch avec un peu de L'homme qui valait trois milliards, Power Rangers et Cthulhutech dedans:
Nouvelles recrues
Anciens investigateurs au bout du rouleau, les personnages ont été recrutés par l’énigmatique N et son indicible mais sympathique assistant.e Jaune, puis remis sur pieds grâce à l'incompréhensible biotechnologie dont ils disposent. Ils disposent à présent du pouvoir nécessaire pour protéger la Terre et ses alliés secrets contre les sectateurs meurtriers et les envahisseurs extra-terrestres. Lorsque ces derniers font appel à l'un de leurs monstrueux kaiju biomécaniques, ils peuvent le combattre en pilotant ensemble un titan biotech conçu spécialement pour eux. L'expérience aidant, chacun obtiendra son propre titan et pourra même éventuellement fusionner avec.
"Soyez les bienvenus dans l'organisation, petits nouveaux."
Moridin a écrit : ↑ven. avr. 23, 2021 11:26 am
Juillet 1518, Strasbourg.
Même remarque que pour Le mal des ardents, ce sont un pitch très restreint pour un scénario. Là ce qu'on attend plutôt, c'est des settings incongrus et remixer sauce cthulhu pour en faire un truc qui aurait pu être débile mais qui finalement est super intéressant (cf page 1)
À mon tour, dans une tendance Cthulhu trop choupi:
Le culte de la gaffe
Dans les années 60-70, les personnages sont membres de la rédaction d’un journal d’illustrés, tendance école de Marcinelle. Un nouveau garçon de bureau est récemment arrivé dans leurs locaux. Certes, il est mou et paresseux. Mais il est aussi bricoleur, maladroit au grand cœur. Par contre, il s’exprime souvent par onomatopées, pense à ramener très souvent du poisson au bureau et ses inventions sont souvent... non euclidiennes.
Alors, qui est-il vraiment? Un naïf innocent ou bien quelqu’un aux intentions beaucoup plus sinistres? Vos personnages auront pour tâche de percer le voile de la vérité et découvrir qui est vraiment Gaëtan, ce fameux garçon de bureau. Un jeu qui plutôt que de proposer des scénarios élaborés, mise sur des tranches de vie de bureau (et ses dangers insoupçonnés).
NB: Aucune idée de la motorisation du projet, mais avec nécessairement de très fortes probabilités de faire des critiques (réussites comme échecs), histoire de multiplier les retournements de situations improbables
Le jeu de rôle est à la littérature et au cinéma ce que le karaoké est à la musique : on fait la même chose en moins bien, mais pour le plaisir de le faire nous-mêmes. (Léonard)