Si c'est pour amener l'historicité en place publique afin de la torturer sans répit puis de l'exécuter dans les plus atroces souffrances, oui, ça peut convenir. Sinon, hum... On va plutôt ranger 300 dans la catégorie "super-héros" !
Je ne sais même plus si Agôn 1e édition mentionnait 300. Une chose est sûre : le type qui s'est chargé du format et de la couverture, lui, aimait beaucoup 300, puisqu'il a repris une image de casque ensanglanté et un format à l'italienne, comme le comic. Mais dans la très brève description de l'univers, on est plus sur du péplum années 1960-1980 avec des Grecs qui voyagent dans des îles peuplées de dieux et de monstres, ce qui m'a beaucoup rappelé Jason et les Argonautes et les Sinbad.








 Mais dans Agôn ça va plutôt bien avec l'ambiance. (Pour Kosmos, je ne les ai pas encore implémentés justement pour éviter ce type de problème. Pas facile d'égaler Homère ou de le pasticher de manière crédible au débotté. Mais je finirai bien par implémenter ça un jour.)
  Mais dans Agôn ça va plutôt bien avec l'ambiance. (Pour Kosmos, je ne les ai pas encore implémentés justement pour éviter ce type de problème. Pas facile d'égaler Homère ou de le pasticher de manière crédible au débotté. Mais je finirai bien par implémenter ça un jour.)



 Joueur jusqu'au bout des globules
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