[CR] la grande campagne Pendragon

[Harfang2]

 

Hadrien (G-2), écuyer de Sire Erec. 

Aventure d'Erec et d'Enide

Hadrien, écuyer posé, au physique discrâcieux s'était retrouvé être écuyer d'Erec depuis la campagne de France. Si la première année où il guerroya en France lui permit d'apprécier la vaillant, tout autant que la bonne nature d'Erec, si la deuxième lui avait permis de voir que celui-ci était capable de force exploit tandis qu'il conquerrait le coeur d'Enide et rosser un seigneur adepte de mauvaise coutumes et de voir comment celui-ci accéder à la table ronde, les deux années suivantes  furent pleine d'ennui; En effet, le calme d'Erec, allié a son amour dévorant pour Enide lui avait abandonner tous gouts de exploits guerriers. Il ne semblait plus penser qu'a passer son temps paisblement le jour, ardemment la nuit avec son épouse. Composition et poésie, ballades simples, vie paisible et campagnarde. L'entraînement même d'Hadrien était négligé et, n'aurait ses nombreuses sollicitations à son maitre (jet oppose énergie Hadrien contre Paresse Erc), il n'aurait touché une épée durant deux ans.

Mais, celà devait basculer au début du printemps 539. Hadrien se trouva témoin du début d'une scène ou Enide fit remonté à son époux les méchantes rumeurs le concernant.
Hadrien vit surgir un Erec blanc et qui d'un on froid, bien loin de son habitude lui intima l'ordre de "Prépare nos deux meilleurs chevaux de guerre, nos deux meilleurs chevaux de monte, un palrefoi pour mon épouse, et trois chevaux de bât; Tu veilleras a ce que l'équipement de guerre et de voyage soit bien préparé et veilleras au vivre, pour une longue période. Et au plus tôt."

Son seigneur le bat froid a son épouse la faisant chevaucher derrière lui, plusieurs fois celle-ci cherchera-t-elle a le prévenir mais n'obtiendra que le courroux d'Erec "Ha celà femme! Je ne suis point assez vaillant pour vous et vous doutez même tant qu'il vous faut me prévenir. Vous faites bien peu de cas de votre époux, ne m'adressez pas la parole vous jugerez bien ainsi par mes actes."
Loin des oreilles de son épouse il demandera Hadrien "Ecuyer, je ne veux qu'en aucun cas vous ne m'assistiez dans les combats qui seront miens, mais je veux que vous vous teniez auprès d'Enide pour la protéger; Et, si d'aventures vous me voyiez faillir ou manquer de succomber, sauvez-là, menez -là en sureté, sa vie m'est plus chère que la mienne. Jurez-le sur votre honneur écuyer!"
Ce sera l'occasion, pour Hadrien de jauger la Justice, la miséricorde, et le fierté. et, si au fond, il juge que, peut-être, Enide manqua de tact, la réaction de Sire Erec est, par trop excessive, malgré le fait que, personnellement, il préfère voir son chevalier ainsi plutôt que de le voir aussi dolent qu'il le fut ces deux dernières années.
 Au bout d'une année d'errance, un dernier combat, plus dangereux que les autres, eut lieu où Hadrien fut assailli par trois soudoiers qui comptait bien mettre la main sur Enide tandis qu'Erec combattait à un contre vingt. Hadrien s'escrima, inspiré par sa loyauté puis, débordé, blessé, se décida a se saisir d'Enide qu'il assit a l'arrière de son cheval et piqua des deux. Un dernière adversaire s'accrochait qu'il réussit, in extremis a faire rouler au sol, d'une volte-face bien manoeuvré.

Le soir ils allèrent chercher Erec qui gisait dans on sang, victorieux, mais mal en point. Les deux amants se serrèrent dans les bras, l'un s'excusant, l'autre refusant, prétextant ses propres maux qui étaient son commune mesure.

Hadrien, encore fut témoin, s'interrogeant sur ce que son physique, lui interdisait, à savoir l'amour. Mais; à n'en pas douter que cet amour était beau et même pour lui qui aspirait plus à la paix du Christ qu'a l'amour des dames, celà le touchait.

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Anno Dei 539-540 

Sir Marc de Silchester (G-2)
Sir James de Balcktower (G-2)
Sir Yffan de Don-Wood (G-3)
 

Aventure du Roi toujours mourant

Pour la Toussaint, Sire Yvain l'avoustre qui fut l'écuyer de Sire James et est l'époux de sa fille Elizabeth, avait invité Sire Marc, amoureux transi d'Erinn, Sire James de Blacktower et Sire Yffan de Donwood, compagnon d'armes des sus-cités et voisin en ce royaume de Roestoc.

Alors qu'en cette fin d'automne James, Marc et Yffan se sont rejoint et font chemin vers Mistcastle en compagnie de sa famille, pour James, de son épouse pour Yffan ou bien seul, pour Marc*. Ils croisent, en chemin une noble dame, portant de sable au diamant d'argent et escortée d'une douzaine d'hommes d'armes, disciplinés.
Par l'entremise de Dinadan**, l'ineffable ecuyer de Marc, un contact sera créé et les deux troupes décideront de faire chemin commun. En effet, la dame, Maudène de son prénom, prétend-t-elle rejoindre ses terres en Cambrie après avoir été demandé conseils a son frère quant a son futur époux.
Les chevaliers et la dame deviseront agréablement, toutefois, sir Marc remarquera lors d'un coup de vent que dame Maudène porte une broche en forme de chauve-souris ce qui le surprend ainsi, un tel symbole étant, en général, néfaste.

Bien vite, cependant, on arrive a MistCastle ou nos chvealiers découvriront un manoir en pleine reconstruction, aux enceintes de bois abattus, aux fossés comblés, James se fera la réflexion que son propre père, Edward aurait pousser des cris d'orfraies en voyant un manoir aussi vulnérable.

Dans tous les cas l'accueil sera plein d'émotion, James y retrouvera sa fille ainée, Elizabeth enceinte de cinq mois, ce qui fera sourire Flora, épouse de James et mère d'Elizabeth, Dame Maudène se verra accordé l'hospitalité . A peine quelques repos pris, qu'on se retrouvera pour un banquet en petit comité où les discussons iront bon train. Toutefois, malgré le plaisir des retrouvailles, James serendra compte d'un certain malaise chez Yvain qui, toutefois, fidèle a son habitude ne se départira ni de ses manières ni de son sourire: il est l'hôte et ne saurait ennuyé ses invités, surtout pas au premier soir des retrouvailles. 


* En fait, pas si seul pour Marc puisqu'il chevauche, bien souvent, auprès d'Eirin, l'une des filles de James de qui il est éperduement amoureux et avec qui, après cinq ans d'amour éperdu, et contrarié, il a récemment eut contact charnel. Si, d'une certaine manière un rêve se réalisait il reste toutefois dans une situation complexe, la jeune femme étant marié, fut-ce à un faë et n'ayant, elle, pas déclaré d'amour a son encontre, juste d'une affection, dont il ne saurait jaugé.
* *Oui, c'est bien le Dinadan des légendes, frère de La cote mal taillée. Depuis longtemps j'ai pris le partis que les joueurs ne feraient pas leurs aventures dans les marges de monde arthurien, mais l'embrasseraient pleinement. Ils ont été écuyer de grands personnages, ont été les chevaliers de grands personnages, leurs amis sont parmis les plus grands, qu'ils soient des clans d'Orcanie, de Galles ou de Ganis et des liens familiaux ce sont même crées. Ainsi Constantin est-il le petit-fils d'un des joueurs ou Yvain l'avoustre est le gendre d'un autre....

[pelon]

J'aime beaucoup l'aventure d'Erec et Enide

[Harfang2]

J'aime beaucoup l'aventure d'Erec et Enide

Moi aussi.
Usuellement, j'ai une sainte-horreur que les personnages soient "spectateur" ou "second rôle". Mais, ici, il fallait bien suivre, l'envie du joueur, vivre des choses avec son chevalier et se conformait à la chronologie, aussi, a-t-il fallut mettre l'emphase sur les sentiments et réflexions intérieurs du personnages, ce qui, pour le coup, devient actif, puisque au début de la carrière d'un personnage le joueur peut constituer sa personnalité au gré de ses premières expériences et de son rapport avec son mentor. Des scènes contemplatives et intériorisées qui changent des déchainements de violence qu'ils vivent aussi en d'autres aventures ^^

[Harfang2]

J'ai laissé tomber les CR pour le moment, faute de temps.

J'ai retrouvé un second souffle et, alors, que nous sommes en 544, l'ère des tournois est que la quête du Graal n'est plus que dans 9 ans je pose les jalons de l'apocalyspe à venir avec de vrais pistes, de fausses pistes.
Derrière la scène des tournois grandioses, des bals, de la joie et de la chevalerie triomphante, le mal s'installe.
Au nord, disettes et intempéries, ravagent la Cumbrie, le Nord et le Roestoc.
Lamorak a avoué a Aël, son écuyer, être du sang de Joseph D'arimathie puis l'a emmené en Thulé a la recherche de l'hypothètique cité de Sammaël, frère de dieu qui, sous le nom de Satan est présent dans la Bible mais leur bel élan a été coupé par la mort tragique de Morgause, l'amante de Lamorak et ce dernier a adoubé Aël en lui signifiant leurs adieux, il n'y aura plus de paix entre lui et le clan d'Orcanie;
Ailleurs, James, le père d'Aër, erre dans les terres gastes tentant desépérement d'atteindre Carbonek dans l'indifférence général et souffrant de ses péchés.
Quand a Yfan et Marc qui, enfin, vit son rêve de tournoi et d'amour avec Eirin, ils sont bien loin de tout ça, menant une saison de tournoi puis s'apprêtant a rejoindre l'Ost du Prince Théodoric dans une croisade visant a libérer la sicile des vandales & sarrazins ( et, là je rejoindrais la vrai histoire avec une possible suite vers Carthage en soutien des Byzantin et de Belisaire)
Bref, Pendragon, c'est magique et je m'éclate toujours autant.

Et j'ai vraiment repris mon second souffle (ou troisième souffle) 
De manière méta et au niveau technique de maîtrise, à ce moment de la campagne, chaque joueur a, vraiment, ses objectifs personnels et, les rassembler par des ficelles plus ou moins grosses ne me parait pas apropriés, ni sur la forme (c'est un pis-aller médiocre) ni sur le fond. Sur le fond, surtout. Nous sommes au moment de la recherche d'une vaine gloire, les chevaliers vont chacun par monts et par vaux en quête de gloire et les joueurs peuvent, bien, en faire autant, que ce soit dans les tournois, des aventures extérieurs ou bien encore dans la recherche du mal qui ronge la Cumbrie et, donc, l'exploration, dangereuse des terres gastes. Aussi ai-je décidé et l'ai explicité à mes joueurs, qu'ils ne devaient plus faire l'effort de s'agréger s'ils ne le sentaient pas. Ainsi leurs personnages principaux sont-ils encouragés a suivre leur voie, tandis que les personnages secondaires servent de varaible d'ajustement pour accompagner les uns ou les autres, tant que faire se peut.
Celà nécessité d'être assez réactif, d'avoir pas mal de matériel dans lequel puiser mais, aussi, de savoir s'adapter, vite comme MJ; Mais je relève le défi et, semble-t-il, ça fonctionne, mes joueurs aillant repris aussi leur second souffle et, au bout de six ans de campagne, même discontinue (mettons cinq ans réél), c'est assez extraordinaire de voir la motivation toujours aussi, intacte et de réussir a surprendre les joueurs, sans changer de jeu ni d'univers (mais bon, là dessus, la campagne Pendragon évolue beaucoup, que ce soit au niveau, du décorum, de l'ambiance ou des enjeux ce qui revivifie le jeu a chaque période et, même l'enrichit)

[Harfang2]

Plus trop le temps de faire des CR mais la campagne Pendragon continue et nous jouâmes vendredi.
Nous sommes maintenant en 545 et allons jouer 546. Je fais donc les CR en résumé.
Globlament, chaque joueur, joue aujourd'hui son personnage principal et son personnage secondaire. Ils ont une liberté assez totale sur leur personnage principal, décidant de forger leurs opportunités ou de se saisir de celles qui leurs sont offertes. Il leur a été explicatement dit qu'ils n'avaient pas a se préoccuper de ce qui me facilitait la vie ou non. Nous sommes dans la dernière ligne droite avant le resserement absolu de la quête du Graal puis de la guerre civile: qu'ils goutent leur liberté.
Contrepartie de cette liberté:
- Je décide pour leurs personnages secondaires ce qui me permet d'ajoindre, par exemple, un personnage secondaire a deux personnages principaux décident d'oeuvrer ensemble.
- Certains axes choisie, très individuel seront jouer de manière accéléré ou élliptique.

Les aventures des uns et des autres se seront croisés et entrecroisé au fils de l'année.
James, marc, Yfan et Afdan, d'abord ensemble pour suivre les tournois. puis, James et Yfan partant vers les terres Gastes pour l'aventure des Mouches de Lestroite. Aël, aillant son aventure solitaire pour sa dernière année, chargée, avec Lamorak le gallois, avant que de rejoinre, in extremis Marc et Afdan.
Hadrien sera, lui, hors-jeu.
Notons la présence de trois PNJ récurrents: Eirin, Aëlis, Hélain le blanc et Lamorak le gallois.
 

Anno Déi 544 

Personnage principaux
Sir Marc de Silchester,  29 ans, G2 (Deuxième fils de Marcus)
Sir Yfan de Donwood, 26 ans, G3 (troisième petit-fils d'Afdan par branche féminine)
Sir James de Blacktower, 47 ans, G2 (Fils aîné d'Edward)

Pesonnage secondaire
Sir Afdan de Dunworth, G3, 38 ans (troisième petit-fils d'Afdan par branche féminine)
Sir Hadrien, 22 ans, G2 (Troisième fils de Marcus)
Aël, 21 ans, G3 (Fils aîné de James, écuyer de Lamorak le gallois)

Sir Marc (et sa dame de coeur, la si belle Eirin), Sir Afdan et Sir Yfan décidèrent, cette année, de suivre le circuit des Tournois; En mai, d'abord, comme spectateurs à Tirocinium, réservé aux chevaliers de l'année où ils assistèrent au triomphe de Gligois, ancien écuyer de Gauvain. Lucan et Griflet, présent, admonèstèrent Marc d'être bien présent a Camelôt pour le pentcôte. Sire james accepta que sa fille, Aëlis, accompagne sire Hélain le blanc, fils de Bohort; Ce dernier étant amoureux d'elle et ayant juré sur sa vie, son honneur et la bible de ne point permettre que sa vie ou son honneur soient altérés.
Puis vint la pâques et tournoi de la pentecôte où ils furent rejoint par James.
La confrérie de la table ronde était réunie sous les hautes voutes du donjon majeur, que de hauts noms! Le roi siègait au milieu d'une centaine de chevaliers et , devant la porte défendu par deux hallebardiers, Marc de Silchester attendait. Sa victoire en joute il y a deux ans, ses exploits de l'an passé ou avec son frère, Bohort et Méladius de l'espine noir, ils avaient vaincu le maléfique hermite noir, libérant James de Balcktower qui était en son pouvoir, lui avait valut, il le savait les attentions du Roi.
Les huissiers ouvrirent les portes et l'invitèrent à entrer. Moment d'exaltation et aussi de tension de voir tant de grands chevaliers rassemblés assemblés. Aurélius, son frère, James le seigneur de Blacktower, mais aussi, Alibel de Logres qui lui avait arraché la victoire, l'an dernier au Tournoi de Londres... Le roi invita les chevaliers à s'exprimer sur l'entrée de Marc à la confrérie. James parla pour lui, Alibel, Gauvain... et Aurélius, mesuré, clôtura. Le roi s'apprêtait à lui désigner un siège quand, l'inscription d'or sur le siège de Marcus de Silchester, son propre père, parti deux auparavant pour Jérusalem s'effaça. Le Roi désigna ce siège "Ce siège accueillait un grand chevalier qui fut parmis les premiers a rejoindre la table ronde en 512, puissiez vous continuer à l'honorer dignement". Les larmes aux yeux, comprenant que son père n'était plus de ce monde, Marc s'y assait, siègant, pour la première fois comme membre de la Table ronde

Et puis, le tournoi de Pentecôte débute. James n'y brilla pas, jeté au sol dès les premières passes. Par contre, aux phases finales, Sir Marc portant haut les couleurs d'Eirin étaient présent, tout comme Sir Yfan. Ce dernier malheureusement fut jeté au sol par Yvain le chevalier au lion, lui même défait par Sir Marc qui venait de jeter Guivret le petit au sol. C'était grande excitation pour la finale où sir Marc affrontait un étranger, Sire Taulas comte de Lyon, un seigneur franc, qu'il avait déjà croisé deux ans auparavant au premier tournoi de Burdigala. La foule est embrasé! Chacun veut la victoire de Marc! las! Taulas de la désert est redoutable et à la troisième passe il le jette au sol au grand dam de la foule.
Deux jours aprés, c'est la mêlée. Taulas commandera le camp adverse, piqué au vif, Griglet, le connétable décide, de prendre lui-même le commandement des chevaliers de la table ronde. La mêlée sera furieuse et marc, encore une fois de distinguera de manière extraordinaire! Mais, hélas, Taulas commande brillamment et réalise des exploits individuels et c'est lui qui est désigné champion de la mêlée.

Et puis , ce sera la vieille mêlée d'Anglia, encore une fois, Marc arrive aux finales de la joute, démontant Mordred au passage et se retrouve face au vieux Lucan en final, qui gagne. A la mêlée, il triomphe encore, mais Lucan s'est montré, aussi, fort brillant. Finalement, devant les hésitations des juges d'armes, Lucan décide de se démettre. Marc va l'interroger "Pourquoi messire, vous avez combattu avec vaillance." Lucan a un sourire hésitant "Mmm, disons qu'il me semble préférable que soit honoré un nouveau chevalier de notre ordre qui répresente l'avenir.
 Du 15 au 18 juillet, le Roi Alain organise le tournoi de Carlion à l’occasion de la visite du Prince Théodoric, fils du Roi Théeudis qui, en 541 à chasser les francs d’Espagne. Sera également un contingent de dame Ibero-romaine accompagnant la sœur du prince Gisela.
Dès l'ouverture du Tournoi, le prince Théodoric réalise un brillant discours où il remercie le roi Alain d'escavalon, qui porte beau malgré malgré ses presques 80 ans, pour l'aide qu'il apporta aux Wisigoth il y a de celà de longues années, puis il exposera avec force et éloquence sa recherche de combattants pour libérer la Sicile de la présence des vandales "Accepeterez vous longtemps encore de voir Chrétiens vivre sous le joug sarrazins"! Le prince est convaincant et le projet exaltant.
Il y aura de nombreux bals, on fera la connaissance d'Arquais, neveu d'Alain et héritier désigné, ains que de Méliant de Lys, chevalier de la table ronde et époux de Florée, bâtarde du Roi, ainsi que de Cadogan le noir, chevalier mercenaire de bonne réputation.
James et Marc y feront l'acquistion de Coursier Valencien, habile en montagne.

Du 22 au 25 juillet, La reine Guenièvre, en tant que Reine de Caméliard, organise un tournoi à Carohaise. La parade est une nouveauté dans cette région.
James et jeté au sol dès la premier joute. le vieux chevalier ronchonnera "De toute façon, les tournois c'est pour les jeunes.", Afdan lui arrivera en demi-final quand a Marc, de nouveau il sera en finale, opposée a Lancelot. Marc acceptera la main de son adversaire pour le relever.

Juste après la bénédiction des moissons (1er aout) à Silchester . Le puissant duc de Silchester et sir Lupin de Donnington possédant des terres en plusieurs comtés, organisent un grand tournoi. De grands chevaliers sont présent, notamment Calégronant; Gosenain de strangore (cousin, d'Alya, épouse d'Aurélius, duc de Silchester) mais, aussi, le roi Aiguisant d'escoce (qui était présent au tournoi de Pentecôte)
Le grand tournoi commence, et Marc triomphera à la fois à la joute et la mêlée, sans doute le baiser, fort peu chaste que son aimée lui accorda au vu de tous, n'y était pas pour rien.
Quelques semaines tranquilles passent alors, où Marc et Afdan s'adonnent à la fauconnerie, aux bals, bref, à la joie. Eirin semble bien s'entendre avec Eirin. Durant ces semaines, Marc sera intérrogé par Magde; sa soeur aînée quand a ses intentions vis à vis de la jeune et si belle Eirin. marc sera sincère. Oui, il l'aime, oui il aimerait l'épouser, mais elle a déjà été mariée quand elle avait quinze ans et surtout, son histoire a été difficile, elle n'est certainement pas prête à recevoir une demande en mariage (et il a raison, d'autant plus que son époux faë, qu'elle a fuit, alors qu'elle était enceinte, n'est pas mort)
Mais, James de Blacktower et Yfan de Dunworth ont d'autres projets et repartent vers les terres gastes: ils veulent percer le mystère de ces terres et s'inquiètent (voir partie: Les mouches de Lestroite)

Début septembre à Carhaix, le grand-duc Hoël organise le tournoi de l'hermine. Le vainqueur, outre le prix, aura l’honneur de pouvoir rejoindre l’ordre de l’hermine : Kentoc'h Mervet Eget Am Zoatran, autrement dit « Plutôt la mort que la souillure ».
Marc, toujours exalté perda la finale contre Ruvalen, l'héritier du Doc Hoël. Ayant brillé en mêlée également, il lui sera proposé de rejoindre l'ordre de l'Hermine, ce qu'il acceptera: chevalier de la table ronde et membre de l'ordre de l'Hermine la même année.
Pour faire bonne mesure il offrira, aussi, un manteau d'hermine a son aimée. Eirin est fière et, James, l'aime elle, follement, il veut être ce qu'elle attend et peu importe la vieille modestie de son père et de son frère!
l'ambiance entre les jeunes chevaliers et les deux ravissantes filles de James Eirin et Aëlis est toujours excellente: il fait beau, l'ambiance est légère, heureuse...

le tournoi des vignes a Burdigala, terminera la saison, avec la victoire de Sire Lionel de Ganes. Marc se consoloera en ayant démonté Ludwig de la fôret noir, un champion germain.
Hôtes du clan de Ganis, Afdan et , ils gouteront les lieux avant que de se mettre en route vers Carthago nova (carthagène) ou la princesse Giselda et le prince Théordoric les avaient invités a passer la cour d'hiver. Hélain le blanc les accompagnera avec Aëlis, les deux soeurs n'ayant pas pour envie de se séparer et Hélain le blanc, qu'Aëlis avait sauvé après l'aventure de l'hermite noir ne semble rien pouvoir refuser a sa fiancée.

A Carthago nova, peu avant l'hiver, ils seront rejoint par Sire Aël de Blacktower, frère d'Eirin et Aëlis qui leur contera des événements pour le moins troublant! Alors que sir lamorak, son chevalier passait une nuit avec son amante, la reine Morgause, Gaheris, fils de cette dernière les surpris. Au moment ou il entra dans la chambre la reine gisait nue dans son sang sur le lit et Lamorak frappait a coup de poings Gaheris désarmé "prends-ton arme! prends-ton arme matricide que je te fasse rendre gorge" Durant plus d'une heure Gaheris, prostré avait été insulté et frappé par un Lamorak rendu fou par la douleur. Finalement, Lamoral adjura un Gaheris humilié, insulté lourdement blessé d'aller confessé son crime à Arthur. Ils apprendront aussi, que ce meutrer faisait suite à l'humiliation que leur avait subir Lamorak qui, grimait, lors du tournoi de l'amitié avait culbuté les cinq frères d'Orcanie, alors même ce tournoi était en leur honneur après leur capture du Roi Mark de Cornouailles.
Il contera son bien triste adoubement dans un chappelle vide, au petit matin et les adieux de Lamorak. Sombres adieux où il avait confié a Aêl ses certitudes concernant les meurtres de son père, Pellinore et de son frère Dornar. "C'était par amour de leur mère que je conservais la paix entre nous, c'en est finit maintenant, le sang coulera."
Il leur confiera, aussi, l'aventure qu'il avait vécu avec Lamorak la même année, aventure qui les avaient mené en Thulé à la recherche de Samaël le frère du Christ qui, selon certains légendes vivraient encore dans des terres de glace et qui, de là, propageraient toujours le mal sur ce monde*. Semaines de navigation, naufrage, combat dans une tribu reculé contre des hommes sauvages, froid, faim, toujours guidé par un Lamorak qui l'impressionné, meilleur chevalier du monde selon lui... avant que d'arriver à une montagne glacé habitaient d'humains aux moeurs indignes.
Mais, plus étonnant, encore, il leur apprendra que Pellinore était le frère du roi pècheur et que, par conséquent, lui et ses frères étaient, aussi, les descendants de Joseph d'Armathie, qui amena des siècles, avant, la coupe qui recueilli le sang du Christ en Bretagne! Lamorak lui a même parlé d'une légende comme quoi il existerait, toujours, des descendants du Christ **
Pourquoi est-il là! Et bien, sa mère, sachant son père absent, l'avait commandé d'aller rejoindre ses soeurs a Carthago nova pour assurer leurs protections.
Toutes ces contes fascinent Afdan, Marc et Hélain... Mais, la vie reprend son cours dans une cours Wisigoth ou l'ambiance est bonne et les chevaliers d'Arthur honorés! Et puis, surtout, Aël a retrouvé ses soeurs et en est tout heureux!
 

(à suivre)

* Bon, c'est ce que croit Lamorak, hein, mais c'est vaguement inspiré du troisième testament. Ceci dit, ce n'était pas gratuit. Le premier point et que le joueur voulait Lamorak comme chevalier pour apprendre a son contact. Il aura été servi par des brèves où il aura assisté, certes à l'ydille de Lamorak et Morgause, aura affronté un dragon dans le nord, traqué un chef picte possédé par une lance ensorcelé et chassé la bête glapissante dans la forêt aventureuse. par ailleurs, je laisse, aussi, ouverte la possibilité de Thulé si un joueur proactif décide d'embarquer ses camarades vers la citadelle du Diable.
** Là, non plus, je n'en sais fichtre rien, c'est une légende et une piste qu'exploreront, ou pas les personnages. Ils ont toute libertés, mais la liberté ne vaut rien sans opportunités, je leur en offre.
 
 

[Harfang2]

Anno Déi 544

Sir James de Blacktower, 48 ans. G2
Sir Yfan de Donwood, 26 ans G3

Un aventure, alternative, qui du être improvisée. Qui dit liberté dit, aussi, prendre le risque d'être surpris par les joueurs. Je pariais sur le fait qu'ils suivraient tous le circuit des tournois, ce ne fut pas le cas et l'obstiné Sir James emmena dans son aventure sir Yfan de Donwood, habile chasseur comme tout sa maison.
Lestroite est connu des personnages, vingt ans auparavant, ils avaient sauvé le seigneur des Géant des landes qui faisaient souffir son pays.

Des villages abandonnés et pas âmes qui vivent. Une chaleur étouffante et des nués de mouches. Tant est, qu'elles finirent par faire se cabrer des chevaux et que l'un fut perdu avant que les chevaliers et leurs écuyers piquent des deux vers la ville de Lestroite cise derrière des remparts de bois, le long d'une rivière.
Là, les moches étaient moins présente mais le seigneur, affaiblié leur conta ses malheurs. Son territoire étaient assaillis par des mouches et des loups géants; L'une de ses filles et son époux l'avaient quitté suivant un moine errant qui leur promettaient mont et merveilles, puis quelques temps plus tard, c'était son autre fille et son époux qui le quitter, ce dernier prenant ombrage du fait que son beau-père ne le désigna pas héritier après qu'il eut tué un loup géant. Las, son fief et sa population n'avait été sauvé que par le retour de son fils, le plus jeune de ses enfants du monastère ou il était rentré dans les ordres pour racheter la faute de sa mère *. En effet, les prèches et cortège religieux organisé parcelui-ci avait redonné espoirs aux populations et ses ordres pour transformer toutes les terres disponibles intra-muros en potager avaient sauvé la population de la famine.

Ni une, ni deux après une nuit a peine de repos James et Yfan repartirent, laissant derrière eux l'un des écuyers Morien, atteint de fièvre, a cause des piqures de mouches. L'avancée fut difficile, mais le soir, eurent la surpris de recevoir l'hospitalité d'un vieux berger. Inquiet de la tranquilité des lieux, ils acceptèrent toutefois, la chère était bonne, l'eau de vie, aussi, et James but plus que de raison... Ce vieux bonhomme les inquiètaient, répondaient courtoisement, insistaient trop... Ils refusèrent, toutefois nettement quand deux belles jeunes femmes, les filles du berger voulurent partager leurs couches. James se souvenait, par le passé, avoir déjà succombé a ces tentations et Yfan, chevalier de l'amour et éperduement amoureuse de son épouse, Avhielle al Alarch, su repoussé la tentrice par l'évocation du doux minois de sa chère et tendre.
Le lendement, alors qu'ils cheminaient sur un chemin creux, un chevalier à l'armure poussièreuse les chargea à l'improviste. Non armé, James réussit a esquiver la charge, mais Yfan fut lourdement navré, (a 1 point de la chrurgie nécessaire, en fait). James s'inquiètent de son état et les deux hommes revêtent leurs armures, tandis que Patrice et Loïk, leurs écuyers passent leurs mailles.

A la mi-journé, toujours abruties par les nuées de mouches et suant sous leurs armures, James et Yfan arrivent à l'aurée du bois. Devant eux, brutalement, derrière les bois, une plaine glacée couverte de neige sous un ciel anthracité....
Mais, un vieillard portant le même bâton noueux que le berger, les cheveux longs et sales, les ongles jaunes et démesurément longs
"Reculez âmes souillés, reculez pendant que vous avez encore le temps".
James discerne, sous la masse de cheveux, deux cornes pointées. Le démon!

Une nuée de mouche s'abat sur eux, James réussit à tenir ferme les rênes et charge sur le démon (malgré le -5 du aux mouches s'infiltrant partout dans son armure et sous son casque). Tous les autres sont jetés au sol et Yfan tombe en chirurgie nécessaire. Les écuyers se débattent alors avec les chevaux, mais personne ne s'enfuit malgré le péril.
Le combat contre le démon est difficile. Certes, James, souvent le touche, mais ce sont des estafilades, tandis que, quand celui-ci le touche il est assaillit de visions honteuses et que son corps se tord de douleur (dégat égal a son pire défaut sans armure, donc 10 pts de dégats sec - armure d'honneur, soit 7: ca pique, inversement ses coups sont égaux a sa plus basse vertu)
Se rendant compte que son ami souffré, Yfan se relève et décide d'aller combattre également (combat en chirurgie nécessaire: croix en valeureux mais - 3 pv à la fin du combat). Sous les coups des deux héros, yfan, notamment, vertueux lui porte des coups douloureux lors d'attaque suicidaire. Le démon tressaille mais un coup vicieux plonge Yfan dans l'inconscience (et il perd, de surcroit 3 PV... il est à 1PV). Finalement, James, aussi finit par tomber.
Le démon pourrait les achever mais les écuyers tentent de les défendre et, miraculeusement, le démon recule, puis disparait (l'un des deux, fils bâtard de James porte une relique sacrée, dont de sa mère: le point existait depuis toujours mais n'avait jamais eu a être abordé)
Rapatriés par leurs écuyers les chevaliers émergeront a Lestroite, sous les soins, du fils d'Ogier.

Fin des aventures, fin de l'année.
 

 Conclusion méta

De manière générale, j'aime beaucoup ce contraste entre la vie pleine de joies et de vanités de certains, et la vie sombre et dangereuse que d'autres décident d'arpenter. Mieux encore, la voie douce est bien payée de gloire, tandis que l'autre l'est moins. ce qui implique que les personnages rééllement "héroïque" en bavent, a tous niveau, alors même qu'autour de la table tout le monde sait que c'est dans les terres gastes que se situe le noeud de la malédiction qui commence à s'abattre tant sur le roi que le royaume... Mais la tentation ( et les douces tentatrices, sont là.) de l'ailleurs est aux portes. Certains PNJ parlent de Byzance et Eirin, même a parler du périple que fit Merlin au delà des limites de l'ancien empire d'Alexandrie. Les personnages vont-ils années après années, allaient souffrir et risquer leurs vies dans les terres gastes? Vont-ils embrasser une vie de gloire terrestre et de frivolités? Vont-ils aller jusqu'a Byzance, Alexandrie, voir Jérusalem ou Ctéphison? Ou bien encore chercheront-ils à poursuivre la quête de Lamorak et de chercher la citadelle du Diable? Ou se feront-ils enquêteurs pour aller chercher la famille du Christ, le Sangre real? En tous cas la croisade en Sicile se profile pour la moitié d'entre eux.
Il y a quelque chose de vraiment intéressant à jouer dans cette avancée vers l'abîme. Tout le monde sait qu'il est là. On peut continuer à danser en avancant vers la précipice ou se blesser et souffir dans un effort, probablement vain d'enrayer le processus. Personnellement, j'adore et je suis curieux des choix de chacun, car il pose la question de l'absolue héroïque: est-il besoin d'un espoir pour rentrer, au péril de sa vie et de son bonheur, dans une tâche impossible mais nécessaire?
Au niveau maîtrise c'est, également, exaltant: je ne sais pas où ils iront (même si, pour certains, j'ai quelques idées) et je dois donc être prêt à suivre toutes les pistes que j'ai lancé, de Thulé à l'Indus, des tournois flamboyants jusqu'à la boue des terres gastes, en passant par les guerres vandales de Belisaires...

Et surtout, le Graal, en temps que symbole de la foi, peut être partout... Même dans une quête folle qui les menerait jusqu'à l'Himaya (cf Julius), à la poursuite du sang du christ (option les enfants du Graal), ou ailleurs encore ^^
La suite dans la saison 545

* oui, il y a vingt ans, c'était la femme du seigneur de Lestroite qui voulant se venger de son époux, c'était donné au géant pour qu'il le tue! Govier de Lestroite, qui l'aimait sincèrement, malgré le fait que ce fut un mariage arrangé en fut attristé.

[Harfang2]

Anno Dei 545

Branche I : campagne de Sicile

 

Afdan de Dunworth, 39 ans, G3
Marc de Silchester, 29 ans, G2
Aël de Blacktower, 22 ans, G3

C'est sous le ciel radieux de Mai que les premiers navires Wisigoth débarque dans le golfe de Castellamare après avoir largement évités les baléares. Les bretons, une quarantaine sont des premiers. On peut attendre 400 chevaliers Ibéro-Wisigoth renforcé d'une quarantaine de chevaliers bretons, d'autants de chevaliers de Ganis, de 500 sergent d'armes, de 300 arbalétriers Byzantins et de 1500 à 2000 piétons. Mais, seuls les premiers navires sont arrivés, aussi, les ordres tombent rapidement, fortifié un camp sur la plage et prendre le contrôle des collines bordant le golfe.
Les hameaux alentours sont vite contrôlés, mais les navires arrivent en ordre dispersés. Les bretons font connaissance, jauge Arquais d'Escavalon leur commandant, fraternise avec les occitans mené par Lionel de Ganes...

Bataille de Castellamare
T1: Réussite Vandale, Réussite partielle Wisigoth. Et puis cinq jours après leur arrivée, alors que le soleil s'apprêtent à toucher la ligne d'Horizon, des cris se font entendre, des fuyards semblent dévaler des hameaux sous contrôle, avant de s'effondrer sous les traits. "Aux armes! Aux Armes! Deus Aix!" Les cris résonnent dans le camp, tandis que des centaines de cavaliers passent les lignes de crêtes. Gothar le fier, seigneur de Palerme n'a pas choisi de s'enfermer dans sa ville contrairement à ce que les seigneurs croyaient; non, il est là dévalant les pentes à la tête de la cavalerie vandale, bannière déployé, d'or à la guivre de sable. Les vandales ont abaissés leurs lances, et les archers maures, tirent en cloche de meurtriers traits. 
Arquais, hurle au rassemblement, Afdan, Marc et Aël s'activent le plus rapidement possible, mettent leurs armures fébrilement, tandis que leurs écuyers harnachent les chevaux; La peste soit des sarrazins!
T2:  Réussite critique vandale, réussite partielle Wisigoth. Arquais a organisé ses troupes en un seul corps et ordonne de rester groupé. Les berons combattent comme un seul homme, leurs lourdes armures les protègent des traits et leurs lourdes armures font la différence avec la maille des vandales. Si Afdan, chevalier expérimenté et Marc, flamboyant aux armes, se débarassent aisément de leurs adversaires, Aël est se retrouve désarmé et tente de sauter sur son adversaire, répoussé d'un coup de bouclier, il bascule dans le sable. Il en sera quitte pour quelques bleux. Autour d'eux des tentes se sont mises à brûler sous les torches que déploient les maures, pis encore, des hennissements de chevaux, l'enclôt a été atteint de nombres de chevaux s'enfuient, effrayés.
T3: Réussite critique vandale, échec Wisigoth. Si la bataille bretonne tient le choc il n'en va pas de même sur la plage. Les traits maures ravagent la piétaille, et des cris se font entendre. Pire encore, on voit s'abattre la bannière De gueules au lion d’argent portant marteau de guerre à deux mains: le comte Gundemar, commandant de l'arrière garde vient de tomber! Marc, désengagé en profite pour retrouver un cheval.
T4: Réussite Wisigoth, Réussite partielle Vandale, réussite critique du commandant Breton. Arquais, voit une opportunité et hurle " Pour Escavalon, pour la Bretagne " et lance sa bataille dans une ouverture, vers la garde personnelle de Gothar le fier, le commandant vandale. Afdan, démonte un cavalier, puis sa lance se brise et il doit ferrailler contre un adversaire. Aël, de nouveau est jeté au sol, par le coup de hache d'un géant, il se relève étourdi, tandis qu'un nouveau cavalier tente de l'estourbir. Le géant de blacktower se saisit alors de l'espadon, que sire Lamorak lui avait offert et pare les coups du mieux qu'il peut. blessé, il décide de tenter le tout pour le tout et subissant un nouveau choc, il envoit un coup meurtrier qui fait basculer son adversaire. Marc, lui démontre, une nouvelle fois sa maîtrise de la lance, démontant deux vandales avant que de devoir affronter deux gardes du coups de Gothar. L'échange de coup est brutal, mais lourdement protégé par sa plaques complètes, disposant d'une formidable assise à cheval, il finit par trancher la gorge d'un de ses vis-à-vis. Pas assez vite, cependant, pour que les rangs ne se soient refermé et que Gothar se soit de nouveau mise à l'abri.
Alors que la bataille est, toujours indécise, les vandales font soudainement retraite. Il fait sombre, Arquais interdit la poursuite.
La campagne de Sicile commence bien mal. Bien que deux fois supérieur en nombre, l'armée Wisigoth a été surprise, accuse beaucoup de pertes et a perdu des chevaux et du matériel. L'un de ses commandants est même tombé.  Mais les bretons n'en ont cure! En ce qui les concerne, la gloire était là et ils ont manqués de se saisir du seigneurGothar: pourquoi s'inquiéter! Plutôt se verser du vin et trinquer.